Souris, droit devant. Deux petits rongeurs qui se cherchaient juste devant la salle des tuyauteries. Elles s'y infiltraient parfois, puis ressortaient. Le loup noir attendit le bon moment puis, bondit à travers la porte fenêtre à moitié défoncée qui lui permis d'entrer directement. Les lieux étaient sombres et sales, limite dégoûtants. Les deux rongeurs fuirent vers le cœur de la salle en se faufilant chacune de leur côté. Le loup choisis sa proie, et la suivis dans une course folle à travers les tuyaux présents dans la salle. Il fonçait en suivant cette souris noire, et pris de l'élan pour passer au dessus d'un groupe de tuyaux accrochés ensemble. Cela formait une barrière que le loup évita en prenant de grandes impulsions afin de décoller du sol. Il slalomait entre les poteaux, évitant chaque obstacles et élargissant ses foulées à chaque fois. Il pris de la vitesse et, d'une allure folle, passa en dessous d'un plafond très bas qui menait dans une deuxième pièce, où la souris se faufilait encore et encore sous chacun de ces petits obstacles. Le loup poussait sur ses arrières en faisant de grands sauts, décollant du sol à chaque foulées et prenant de la vitesse à chaque bond. Il devenait aussi rapide que l'éclair et ne tarda pas à rejoindre sa proie. Il pris le plus grand élan possible et bondit le plus loin possible pour retomber pile poil sur la souris noire. Il l'avait enfin eut après une longue course à travers la salle la plus sombre des forts d'eaux.

Nouvelle chasse pour le bleu. Aujourd'hui, il s'en était allé un peu plus loin des forts d'eaux pour chasser des lapins, un peu plus bas. Il était temps de trouver de bonnes proies à rapporter au garde-manger. Il était pressé d'en ramener le plus possible. Arrivé devant les terriers, le loup attendit. Et ce n'était sans compter sur son incroyable patience qu'il attendait encore et encore, jusqu'à ce qu'un d'eux sorte. Il était assez dodu, c'était la proie parfaite. Dovahkiin pris de l'élan et s'élança à toute vitesse sur sa proie. Tous crocs dehors, il poursuivit le petit animal jusqu'en dehors du territoire. Il poussait sur ses jambes et pris de la vitesse à chaque foulée. il bondissait parfois, évitant les rondins qui se postaient sur son passage. Le loup rattrapa sa proie et fit quelques virages à travers les arbres, continuant sa course dans un petit sous-bois. Le lapin était complètement affolé. Le Sekmet martela le sol dans sa course et élança ses pattes vers l'avant en bondissant le plus loin possible. Iil passa sous des branches qui obstruaient son chemin et bondit par dessus d'énormes racines semblables à celles des mangroves. Il rattrapa bientôt sa proie et en une dernière impulsion, fléchit les membres postérieurs et décolla du sol. Sa vitesse de pointe était enfin là. Il allait le plus vite possible et une fois en l'air, étendit tous ses membres. Il atterrit sur sa proie en moins de deux et l'acheva d'un coup de croc bien placé dans la poitrine.

Dovahkiin ne trouva rien cette fois-ci. Une prochaine fois, peut-être.

Les corbeaux volèrent en masse au dessus du loup. Il y en avait beaucoup, ils devaient attendre quelque chose. Mais en s'approchant, le novice découvrit un cadavre de cerf élaphe allongé sur le sol. C'était la première fois qu'il en voyait un. Mais avec tos ces corbeaux, impossible de le ramener au garde-manger. Et il n'y avait presque plus que les os, la viande ne devait plus être bonne. Le loup pris de l'élan et s'élança sur le groupe de corbeau. Il fallait qu'il en attrape au moins hein. Il bondit en poussant sur ses pattes arrières et décolla du sol avant de claquer des dents en espérant que ses mâchoires se referment sur un de ces oiseaux noirs. Le loup repéra dans le groupe, un corbeau qui ne volait pas très haut. Une chance pour lui ; qui une fois retombé au sol, s'empressa de recommencer encore et encore. Il fléchit les jambes et poussa sauvagement sur ses postérieurs. Le loup noir élança tout son corps vers le haut en étirant tous les membres de son corps, jusqu'à la pointe de sa truffe. Il donnait des coups de patte pour tenter d'en blesser un. Le corbeau se posa sur le sol, un peu plus loin. Le mâle d'ébène retomba au sol et pris un élan avant de foncer sur lui, tous crocs dehors.S es membres brûlaient. Il passa en vitesse de pointe et parmi tous les corbeaux, continua sa course jusqu'à voir sa proie s'envoler. Mais pile avant qu'elle ne s'enfuit, le bleu bondit une ultime fois vers le volatile. Il étira son corps comme à son habitude et, dans les airs, claqua des mâchoires avant de les refermer sur une de ses ailes. Il l'acheva au sol, en retomba sur ses pattes, bien qu'il soit maladroit.

Le loup retourna près des forts d'eaux et découvrit un ragondin mâchouillant quelques cadavres de poissons. Cet animal était un prédateur aussi bien pour le loup que pour les autres animaux. Et il pouvait faire très mal. Le novice grommela et bondit sur lui pour l'attaquer. Il s'empressa de lui lacérer le ventre avant de se reculer. La proie, devenue prédateur, fonça sur lui et lui attrapa une patte. Bloqué, Sang du Triomphe fit un roulé-boulé et attrapa la nuque de l'animal avant de le tourner sur le côté. Il s'extirpa du piège du gros rongeur et se releva avant de foncer sur lui. L'animal se dressa sur ses pattes et griffa le loup avec sauvagerie. Dovahkiin perdit vite patience et, d'un coup de tonnerre, il bondit à toute vitesse et fonça pour heurter le flanc de l'animal. Il chavira alors et tomba sur le côté. Le novice en profita alors pour lui mordre le flanc et laisser s'écouler un peu de sang ; mais le rongeur n'abandonna pas et attrapa la fourrure du loup à l'encolure. Il le tourna sur le côté et, malgré sa résistance, le jeune mâle tomba sur le côté. Il lui fallu du temps pour trouver une solution mais, finalement, il roula sur le côté et fit un demi-tour pour lui bondir dessus une seconde fois. Le canidé attrapa sa gorge et serra du plus fort possible. Cela lui faisait mal mais il donnait ses dernières forces pour achever le rongeur. Il bloquait ses antérieurs avec ses pattes avants pour ne pas recevoir de griffures de la part de sa proie. L'animal tomba au sol, et lâcha un dernier cri de douleur avant de rendre l'âme.

Des mulots, des mulots, partout ! Ils filaient de gauche à droit, encore bloqués dans la salle des machines. Le loup les suivi et en pris certains en chasse, mais le nombre l'affolait. Ils grouillaient de partout ; certains s'en allaient dans le coeur de la salle. Le loup décida de les suivre ; il se mis à courir et accélérait de plus en plus jusqu'à rejoindre la salle des tuyauteries. Le rongeurs s'enfuirent tous ensemble le plus loin possible. Le novice, lui, bondit et s'élança à travers les obstacles. Il filait et passait sous les tuyaux avec une vitesse extrême. Dovahkiin fléchit les membres pour ne pas heurter les poteaux métalliques et dans d'immenses foulées, dévala la petite pente dans la salle et se glissa derrière d'énormes poteaux. Il accélérait de plus en plus et faisait passer ses membres les unes après les autres pour prendre plus de vitesse. Il bondit en poussant sur ses postérieurs et arriva de l'autre côté d'énormes caisses qui lui bloquaient le passage. Il suivait le mouvement et atteignant sa vitesse de pointe, jusqu'à ce qu'il soit obligé de se faufiler dans un petit tunnel où les débris bloquaient l'entrée. Il creusa au plus vite et en un éclair, s'abaissa pour y faire entrer son corps. Le bleu rampa jusqu'à la sortie et se releva au plus vite pour poursuivre ses proies. Malheureusement, tous les rongeurs pénétrèrent dans un petit trou où ils regagnèrent l'autre entrée des forts.

Le louvard était maintenant confronté à un petit ragondin. Il n'en avait jamais vu auparavant, et l'animal ne lui laissa pas d'autre choix que de se battre. Sang du Triomphe pris appui sur ses postérieurs et se prépara à attaquer. Le petit prédateur lui bondit à la gorge, mais le Sekmet anticipa l'attaque et encaissa de manière forte. Il brandit ses pattes avant vers sa proie et la repoussa en la jetant sur le côté. Le ragondin se releva et gloussa ; puis, en une fraction de seconde, il s'élança sur le mammifère noir et lui lacéra le flanc. Dovahkiin se plaqua sur le sol et tourna sur le côté ; ses muscles roulèrent sous son pelage. Le ragondin bondit sur le Sekmet et lui agrippa la patte gauche. Ce dernier résistait tant bien que mal jusqu'à ce qu'il parvienne à le plaquer au sol. L'apprenti se retourna en un éclair et se plaça au dessus de lui. Il lui saisit la gorge et resserra ses crocs le plus fort possible ; mais la proie se recula et donna un coup dans le ventre de prédateur pour qu'il lâche prise. Mais le loup était plus fort et lui attrapa la gorge à un endroit plus approprié et resserra jusqu'à ce que le petit animal relâche tous les muscles de son corps.