Une nouvelle période pour le louvard. Le mois de Mars était terminé, sa session du mois aussi. Il était aujourd'hui parti en terres neuves, près des forts d'eaux, pour renouveler sa chasse quotidienne. La chance était-elle avec lui ?

C'était un territoire encore jamais exploré auparavant. Sang du Triomphe découvrait l'étendue du territoire, ces immenses forts et toutes les proies qui allaient et venaient, peu importe leur taille et leur couleur. Il y avait de tout, des rats, de petites musaraignes et même quelques grenouilles, parfois des poissons, qui s'étaient retrouvés coincés dans des grillages permettant la filtration de l'eau. Le louvard arrivait près de l'entrée, où il vu tout de suite ces imposantes structures en béton, ces colosses grisâtres, vieux comme adam et pourtant, encore là. Il était temps. Il y avait tellement de proies que ce n'était ps bien difficile d'en débusquer une. Un rat venait justement de filer sous le nez du Sekmet. Vif comme un lièvre, il surgit devant lui et atteignit un petit bloc de béton. C'était sa chance. Dovahkiin s'élança sur lui comme un boulet de canon. Mais pour l'attraper, il devait d'abord monter sur ces petites hauteurs, quoi que de toutes tailles, il y en avait pour tous les goûts. Il bondit en élançant ses pattes vers l'avant, et atteignit le bloc sans difficulté. Il poussa sur ses postérieurs en s’agrippant pour pouvoir hisser tout son corps jusqu'en haut. Ce bloc-ci était le plus grand. Et d'en bas, il avait l'air beaucoup plus petit que ça. Le louvard ne s'arrêta pas. Il repris sa course en passant par de petits chemins ; tous créés par l'homme, qui avaient prévu des passages pour ce dernier avant que les catastrophes n'arrivent les unes après les autres. Le rat se faufilait le long des murs de bétons, longeant les parois en filant comme une flèche. L'apprenti était en furie, derrière lui, galopant comme un vieil âne, parfois maladroitement, passant dans des endroits totalement inconnus. Mais il ne s'arrêtait jamais, et passa bientôt en vitesse de pointe où il pu enfin prendre la vitesse qu'il souhaitait. Le rat arrivait devant les plus petits blocs de ces forts d'eaux, des hauteurs qui ne mesuraient moins d'un mètres mais qui s'enchaînaient les uns derrière les autres pour arriver à la salle des machines. Le loup rattrapa bientôt sa proie en brandissant ses pattes avant vers le haut, sautant ainsi de bloc en bloc. Il donnait de violentes impulsions dans le sol en tapant des pattes arrières, s'élançant encore plus haut à chaque fois. Il pris de la vitesse, et étirant son corps vers l'avant, réussi à reprendre l'avantage. Il rattrapa bientôt le rat sur le long terme, et finit par le rejoindre en haut, devant la salle des machines. Avant qu'il ne réussisse à s'échapper à nouveau, l'apprenti-guerrier lui bondit dessus et referma ses mâchoires sur sa nuque. Bien joué le loup.

Deuxième tentative ; des musaraignes rôdaient près de la grande cuve, là où des tonnes de litres d'eaux étaient retenus prisonniers. L'apprenti en repéra une non loin de lui. Il bondit vers elle, et parti à sa poursuite. Il accélérait de toutes ses forces en brandissant ses antérieurs vers l'avant, telles des éperons, ses griffes faillirent frôler la proie dans sa course effrénée. Il la frôlait de justesse, faillit l'atteindre mais n'était pas assez rapide. L'apprenti-guerrier accélérait alors,encore et encore, donnant des impulsions avec ses postérieurs et pris de la vitesse. Ses foulées devinrent de plus en plus grandes, il atteint alors sa vitesse de pointe. La proie accélérait elle aussi, et passait sous de petites barres métalliques pour échapper à son prédateurs. Dovahkiin slaloma alors en faisant des bonds de gauche à droite pour éviter les obstacles. Il ne ralentissait pas et continuait d'aller aussi vite que l'éclair, bondissant quelques fois pour éviter de se prendre les barres dans la tête. Dans sa foulée, il pris de l'élan s'élança vers l'avant pour rejoindre sa proie. Faisant des bonds fulgurant, il passait sous pas mal d'obstacles en prenant garde à ne pas ralentir. Mais la proie avait vu juste dans ses plans, et malheureusement, il s'enfuit dans un petit tunnel sous-marin où elle regagna l'autre côté des forts d'eaux. Très endurants sous l'eau, ces animaux pouvaient tenir une bonne minutes en nageant. C'était énorme, et l'apprenti grommela de plus belle, faute de ne pas avoir la taille pour passer dans ce fichu trou.

Quelques poissons avaient réussi à survivre au fond d'une immense cuve qui était encore pompée pour que l'eau reste potable ; quelques survivants seulement, mais l'endroit était sale et la pompe ne marchait plus très bien. La mousse s'était formée sur les parois du bassin en béton, et les excréments d'animaux, quels qu'ils soient, jonchaient le sol et s'étendaient à perte de vue. Le novice s'approcha du bord de la cuve et posa une patte dessus pour pouvoir s'y pencher et observer le terrain d'un peu plus près. Trois poissons nageaient en groupe, il n'y en avaient que trois, mais trois étaient déjà assez. Même un aurait été assez pour le jeune. Dovahkiin décida de plonger et de partir à la pêche aux poissons. Il s'était déjà jeté à l'eau une fois mais n'avait pas réussi à chasser quoi que ce soit. Le louvard mis la tête sous l'eau, et se lança dans cette course-sous-marine. Il poussait avec ses pattes arrières pour reprendre le mouvement avec ses antérieurs, une patte après l'autre, pour nager au fond. Il était devenu plus endurant sous l'eau grâce à son entraînement précédent. Les poissons l'esquivèrent à chaque fois. Donnant des coups de patte par-ci, des coups de patte par là, Sang du Triomphe n'avait aucune chance de s'en sortir s'il ne prenait pas le temps d'analyser les choses. Il fit une pirouette en prenant de l'élan grâce à un appui de la structure, et fonça comme une flèche sur sa proie. Cette dernière fit une sorte de tourbillon et passa juste sur le flanc de l'animal noir. Ses pattes bougeaient sans arrêt ; mais le jeune remonta vite à la surface pour reprendre son oxygène. Aussitôt fait, il replongea la tête sous l'eau et se dirigea vers le fond en poussant de toutes ses forces sur ses pattes. Ses muscles brûlaient, il n'en pouvait plus. Dovahkiin suivit un poisson en allant le plus vite possible mais il voyait qu'il n'était pas assez rapide. Dernière tentative, il agita ses pattes dans tous les sens espérant prendre de la vitesse, élançant son corps comme une fusée sous l'eau mais les proies étaient toujours plus vives et rapides que lui. Le loup remonta à la surface, désespéré. Il y reprit son oxygène et remonta sur la terre ferme. Il fallait faire une pause à présent.

Il était là. Planté devant ce groupe de musaraignes. Le novice avait faim, il voulait chasser, et savait qu'il réussirait s'il donnait tout ce qu'il avait. Les musaraignes ne savaient pas ce qui les attendait. Mais le Sekmet n'avait pas de temps à perdre ; il s'élança sur le groupe et fit éparpiller ses proies dans tout le terrain de chasse. Celle que le loup avait repéré s'était lancé dans une course vers la descente jusqu'à l'entrée des forts d'eaux. Les pentes de béton et les blocs qui la bordaient était un endroit parfait pour lui ; il prenait de la vitesse, élança ses membres vers l'avant et étira son corps comme une fusée. Le louvard pris de la vitesse et atteint très vite sa vitesse de pointe et déboula le long de la pente comme un boulet de canon. Il descendit en flèche, esquivant les poteaux de ferrailles et rejoignit sa proie en faisant plusieurs bonds vers l'avant, sautant en poussant sur ses postérieurs afin de conserver sa vitesse de pointe. Il finit sa course en bas de la descente, la musaraigne accélérait et en faisait baver à Sang du Triomphe. L'apprenti finit une roulade et atterrit en bas, se releva puis bondit une dernière fois sur sa proie pour l'achever d'un coup de crocs.

De nouveau sur le terrain, Dovahkiin humait l'air à la recherche d'une petite odeur. Il en avait repéré une, non loin de la salle des machines. Plus haut, où quelques rats s'étaient regroupé pour dévorer une carcasse de poisson à moitié pourrie, tout droit sortie des grilles du barrage. Ils devaient être une petite dizaine à se sauter dessus, se tirant les chairs du cadavre. Le louvard s'en approcha et se plaqua au plus bas du sol pour repérer une proie. Le rat noir de droite semble être une bonne prise. Se disait-il à voix basse. Prêt à chasser, il brandit ses pattes vers l'avant en prenant de l'élan, et s'élança à toute vitesse vers sa proie. Le groupe s'éparpilla alors, et en quelques secondes, l'animal se retrouva pris dans une course folle. Le loup noir progressait et pris assez rapidement de la vitesse. Il se propulsa vers l'avant et, comme un boulet de canon, fonça droit sur le rongeur. Il ne s'arrêtait pas, et le suivi jusqu'en dehors de la zone de commande. Le rat se dirigeait tout droit sur les colonnes d'eaux. Déboulant alors comme un étalon au galop, Dovahkiin pris plus d'élan et agrandi ses foulées d'une en une. Rapide comme le vent, il bondit par dessus les barres métalliques qui se présentaient devant lui en prenant de l'élan et s'élançant par dessus avec de grands bonds. Il élança tout son corps en avant, étirant tous ses membres et conservant sa vitesse de pointe. Il rattrapa bientôt sa proie ; arrivée derrière lui, la frôlant presque, il pris une grande impulsion et s'élança dans les airs pour lui retomber dessus. Le novice lui donna la mort d'un coup de croc fatal dans la nuque.

D'autres rongeurs filaient sous son nez ; après la chasse effrénée du prédateur, d'autres rats continuaient de fuir le loup, en passant juste sous ses yeux. Se relançant à la poursuite de ces rongeurs. Il fléchit ses postérieurs, et avec une violente impulsion, s'élança vers l'avant en direction de sa proie. Martelant le sol comme un bourrin, Dovahkiin s'élança au galop en faisant de grandes foulées. Atteignant sa vitesse de pointe, il ne tarda pas à rattraper sa proie. Le rat empruntait de petits chemins à gauche, à droite, et parfois en bondissant sur des blocs de béton. Le loup, tenace, slaloma pour éviter les barreaux d'acier qui se présentaient devant lui. Il fit basculer son arrière-train vers la gauche tout en gardant sa vitesse de pointe et fit un détour pour éviter l'obstacle. Ses pattes brûlaient, et ses antérieurs ne cessaient d'acclérer pour progresser sur le terrain. Sang du Triomphe tourna brusquement sur la gauche pour prendre un petit passage qui le mènerait directement à sa proie. Il accélérait de toutes ses forces et allait le plus vite possible, jusqu'à ce que ... Paf. Devant lui, cul-de-sac. Le mur de la salle des machines se pointa juste devant lui. Il s'arrêta net, et rebroussa chemin. La proie n'était plus là ... Faute d'avoir emprunté un autre chemin, il perdit sa nourriture en moins de deux minutes.

Le mâle reparti sur le haut des forts d'eaux pour arriver près du bloc principal. Les musaraignes rôdaient à la recherche de poissons morts ou de petites proies à attraper. Mais pour le Sekmet, c'étaient elles les proies. Il les traquaient jusqu'à ce qu'il en aperçoive une devant lui. Prenant son élan, appuyant ses postérieurs contre le mur posté derrière lui, il donna une violente impulsion avant de se propulser vers l'avant. Filant comme une fusée, il filait dans le vent en galopant en direction de sa proie. Il entre rapidité et furtivité, ses mouvements s'accéléraient et sa vitesse de pointe ne tarda pas à arriver. Le novice ancrait ses pattes dans le sol pour un meilleur appui à chaque foulée. Elles devinrent de plus en plus grandes, jusqu'à ce que les premiers obstacles n'arrivent en plein sur son chemin. La musaraigne se faufilait dans bien des endroits trop serrés pour son prédateur. Alors, le mâle bondit par dessus les barreaux qui se présentaient à lui. Il pris de grandes impulsions, martelant le sol avant de bondir et d'élancer son corps vers l'avant. Il retomba de l'autre côté où la musaraigne fila vers les caves. La petite porte était bien trop étroite pour que le novice parvienne à y passer. Il s'arrêta net, planté là, en voyant sa proie s'échapper en quelques secondes seulement.

Drôles de proies qui avaient pris l'habitude d'échapper aux griffes de leur prédateur. L'apprenti-guerrier cherchait d'autres petits animaux à traquer. Il n'y avait pas grand chose mais quelques rongeurs et batraciens parvenaient tout de même à survivre dans cet endroit inhabité. Dovahkiin avait repéré quelques grenouilles au bord de l'eau. Elles semblaient perdues au milieu des poissons qui peinaient encore à trouver de l'oxygène dans cette eau polluée. Le loup bondit sur un bloc et attendit qu'une grenouille passe. Au moment où la proie se pointa pile devant lui, il fléchit les postérieurs et bondit sur le batracien. En un éclair, il esquiva l'attaque et se positionna sur un rocher mousseux qui avait été laissé pour compte. Le loup noir repris de l'élan et en poussant fort sur ses pattes et en prenant appui dans le sol, il bondit et fonça sur la grenouille en rapatriant ses quatre membres au bon endroit pour ne pas tomber. L'animal recommençait encore et encore à bondir à n'import quel endroit ; mais le novice n'avait pas encore dit son dernier mot. Il fléchit de nouveaux ses membres et ne laissa pas de chance à sa proie. En bondissant, il atteint le mur d'à côté et repoussa sur ses postérieurs pour rebondir une seconde fois et retomber sur sa proie. Ses jambes se tendirent alors, le propulsant comme un canon vers la cible. Mais le petit animal bondit et plongea dans l'eau au moment où Sang du Triomphe atterrit sur elle. Elle s'échappa alors et laissa derrière elles quelques bulles d'air s'échappant de l'eau.

De nouveau en quête de nourriture, il parti donc vers l'ouest des forts d'eaux et retrouva la trace d'un rat qui traînait près des blocs de béton. Il était très proche de lui, et le novice ne tarda pas à le poursuivre en chasse. Il pris de l'élan et parcouru le terrain avec de grandes foulées. Sa vitesse ne cessait de s’accélérer ; Dovahkiin avait sa proie dans le viseur, et ne comptait pas le lâcher d'aussitôt. Il bondissait comme un lièvre sautant par dessus chacune des barres métalliques en prenant de grandes impulsions et martelant le sol comme un étalon, utilisant ses membres antérieurs pour gagner de la vitesse à chaque foulée. L'apprenti rejoignait sa proie dans des zigs-zags et virages impressionnants, virant à toute vitesse sur la gauche et ne perdant pas sa vitesse, il gagna alors sa vitesse de pointe qui lui permis alors de filer comme un boulet de canon derrière le rat en cavale. Sang du Triomphe arriva devant un portique et décida de passer par-dessus. Le louvard donna alors une violente impulsion dans le sol avec ses membres postérieurs et décolla du sol pour s'élancer par-dessus l'obstacle. Le rat passait en dessous, mais le loup lui, étendit tous ses membres et fila comme un oiseau pendant deux ou trois secondes les pattes au dessus du sol. Dovahkiin atterrit de l'autre côté et garda sa vitesse constante, filant à toute allure, jusqu'à regagner sa proie. Il arriva près du rat et bondit sur lui en lui donnant un violent coup de croc dans la nuque qui lui donna alors la mort dans les secondes qui suivirent.

Nouvelles proies en vue ; les corbeaux. Il y en avait quelques uns postés au bord de l'eau. Ils attendaient que quelques rongeurs inconscients viennent s'abreuver, et le tour était vite jouer pour eux. Mais cette fois-ci, c'était l'apprenti qui allait leur jouer un mauvais tour. Il patientait, encore et encore, posté derrière un mur de béton que les Hommes avaient autrefois battis. Le louvard observait les oiseaux noirs se chamailler entre-eux, et parfois, s'abreuver au bord de l'eau polluée. Muet, patient, sans aucun bruit, il repéra un volatile aux plumes en pagaille, où la peau était même présente à certains endroits. Il n'avait pas l'air en pleine forme mais assez coriace pour repousser d'autres congénères qui le cherchaient depuis quelques heures. Le loup avait assez observé la scène. Il bondit et parti à la poursuite de sa proie. L'oiseau battait des ailes et s'envola, avec quelques difficultés ; il ne pouvait pas voler très haut et semblait boiteux de l'aile gauche. Le louvard pris de l'élan et bondit sur sa proie en tendant tous ses membres, s'élançant vers le haut. Il bondit aussi haut qu'il pu mais n'arriva pas à attraper le corbeau. Ce dernier se dirigea vers les grands blocs pour se reposer, mais se renvola aussitôt, cherchant à s''enfuir sans le pouvoir vraiment. Dovahkiin grimpa sur les blocs de béton et s'appuyant avec ses pattes arrières, ancrant tout son poids dans le sol pour donner une violente impulsion dans le sol. Il décolla alors et se hissa sur chacun des blocs, répétant tous les mouvements avec une certaine dextérité. Il gagna de la vitesse, filait comme un rat et bondit parfois pour élargir ses foulées. Il pris encore de l'élan et cette fois-ci, claqua des mâchoires en essayant d'attraper ce fichu volatile. Il retomba sur le sol mais ne relâcha aucun de ses efforts. Le loup avait faim, le loup était enragé après cet oiseau noir qui même handicapé, lui echappait encore et encore. Le mâle au pelage d'ébène eu alors une idée. Il grimpa au dessus de tous les blocs en bondissant à chaque fois, élargissant encore et encore ses foulées pour atteindre sa vitesse de pointe. Filant à toute allure, il changea de direction et fila sur sa droite, où la cuve gardait des centaines de litres d'eau ! L'oiseau volant par-dessus, chercha une issue, en vain. Avec son aile blessée, il n'arrivait pas à voler très haut et croassait de désespoir. Dovahkiin accéléra et pris un dernier élan, le plus grand qu'il n'eut jamais pris. Arrivé au bord du vide, il pris une énorme impulsion dans ses postérieurs et décolla du sol pour attraper sa proie à l'aile gauche. Les deux animaux noirs retombèrent dans le vide, où l'eau reposait sous leurs pattes. L'oiseau tomba dans la gueule du loup dans un dernier cri, et Dovahkiin, lui, tomba les quatre pattes dans l'eau avec sa proie entre ses deux mâchoires. Il serrait sa prise du plus fort possible pour ne pas la lâcher dans sa chute. Une fois dans l'eau, il se dirigea vers le bord où il déposa sa proie, noyée, blessée et complètement amochée à l'aile. Elle était morte.