Je ne souhaite pas rester trop longtemps ici. Pourquoi y suis-je ? j'ai entendu dire qu'il est plus facile de chasser dans ce marais, que la découverte des proies est plus grande. J'espère trouver quelque chose rapidement pour vite retourner dans un endroits plus propre et plus sympathique. Quelque pas par ci, et par là, la tête baisser près du sol, frôlant mon museau sur cette terre boueuse.

Essayant de chercher un indice, une petite odeur dans ce marais. Tournant en rond, continuant d’éviter les zones boueuse et les mousses collante. Une petite odeur fine fini par m'arriver ... légère, étrange et surtout pas inconnu ... pourtant son odeur et mélanger a celle du marais qui me dérange et me détourne de mon objectif. Je suivit cette trace cherchant a la reconnaitre, ce n'était pas une grosse proie, j’aurais dit un rongeur. Mais parmi ses proies de nombreux race existait !

Je continue de suivre la piste pour passer de l'autre côté du marais, le suivant à la trace a partir du sol. Les quelques arbres possédait l'odeur de l'animal, je m’approchais donc rapidement. Je fini par reconnaitre l'odeur lorsque je vit quelque "crotte" de cet animal ..; un lapin. Finalement je n'étais pas déçu de la proie que je chassais !
J'étais tous près, et je le sentais, l'odeur était de plus en plus fraiche au fur et a mesure que je m'avance. Un crac, un bruit, je lève les yeux avant de me faire repérer, la proie etait là tous près d'un arbre, cherchant lui-aussi quelque chose a manger ... pas de chance le marais n'était pas un lieux idéale, ni pour lui, ni pour moi. Je lécha mes babines, ma première proie de la journée dans un lieux écorant ... Je le laissa chercher et baisser sa garde, dès que j'étais sur qu'il ne me regardais pas, je bondis vers lui et me dépêcha d'aller à sa hauteur pour le prendre par la peau du coup. Il se débats essayant de sortir de mon emprise, quitte a me donner des coups de pattes. La blague ... ses pattes me font l'effet d'un coup de gamin. Je le posa et mis mes pattes sur son corps pour finalement accrocher mes crocs a sa gorge. Je voulais le faire soufrir un peu plus, je le jeta de par et d'autre de moi contre le sol, laissant entendre un crack a chaque fois ! Il fini par mourir a force d'être jeter contre le sol. Me voilà donc avec un bon lapin.

Ses camarades était là, la tête sortie d'un terrier, il me fixait comme si j'étais le grand prédateur, je voulu leurs faire peur et avancer de quelque pas mais il fuyait dans leurs trou. J'avais bien envie de les taquiner ... Il son me fixant, regardant le cadavre de leurs compagnon dans ma gueule. Je posa donc ma proie au milieu du chemin et fit demi-tour, me déplaçant derrière le trou des lapins. Celui que j'avais achever me servira d'apat pour les faire sortir, à partir de là soyez sur que vous ne retournerez pas dans votre trou. Une fois bien placé j'attendis .... il suffit de pas longtemps pour voir des oreilles dépasser, il finissent par sortir et s'aprocher du lapin qui me servais d’appât. Je m'avançà de quelque pas pour bloquer leurs fuite ... vous voilà, A MWA ! Je laissa échapper un rire et me dépecha de bondir sur ceux deux lapins, j'en pris par un le cou et l'acheva rapidement ... deux lapins était suffisant pour moi, je laissa donc le troisième s’échapper.

Merde ... l'oiseau n'était pas du tout co-opératif, il m'avais laisser tomber, moi qui voulais a tous prix m'entraîner il décide de s'enfuir la queue entre les jambes, il est encore plus stupide que je peu l'être. Je l'insulta un moment avant de me calmer. Il me manque de la force, après un entraînement d'agilité et d'endurance je souhaitais a tous pris améliorer ma force physique ...
Je regarda autour de moi, il fallait de quoi m'entraîner ... j'ai des arbres, des plantes, et l'épave .. je pris un arbre devant moi et lui accorda le droit d'être mon arbre d'entraînement. Je vais faire de toi la preuve de ma force ! Par quoi vais-je commencer ? tes griffer jusqu'a m'en casser les griffes ? te mordre jusqu'a ce que mes dents tombes, et pourquoi pas te foncer dessus ? je gloussa a l'idée de mes objectifs, m'enfin je jure qu'après je retourner me coucher ou jouer.

Premières étapes les griffes, je sortie les miennes et les regarda attentivement, il n'était pas très grand, mais une fois bien limer pouvais griffer suffisament pour saigner un autre loup, je fixa l'arbre, levant mes deux pattes avant, et laissant la trace de mes griffes sur celui-ci. Je continuais encore et encore jusqu'a ce que l'écorse s'arrache et que je puisse desiner avec mes propres griffes. Je fini par m'épuisser, et surtout avoir mal au pattes et au griffes, elles était suffisament limer et pointu maintenant.
Deuxieme étape les crocs, mais là un problème s'impose, l'arbre est plus grand et plus large que ma gueule ... mais bon, je pris un bou de l'arbre essayant d'arracher l'écorse, comme si je lui enlevais sa propre peau, encore et encore je fini par arracher de bout de plus en plus gros, lorsque je fatigue je m'arrête et me pose.
Troisieme étape, la force du corps, j'avais mal avant même d'essayer, juste en imaginant, ce fut exactement ce qui se passa. Je fonca sur l'arbre a toute vitesse et le percuta, il me fit tomber en me propulsant de l'autre côté. Aie, pourquoi faire çà ? neanmoins je continua jusqu'a avoir mal à la tête et au torse, je fini par resentir quelque chose sur le torse, comme si maintenant j'avais un peu plus de force en moi !

Marchant devant l'épave, l'hymne de ma chanson dans la tête, mes pas bougeant comme si je dansais. Content pour le moment, échappant a la garde des nourrices ou de ma mère j'aime bien me balader par ici, tranquillement, tous seul. Je pense, il faudrait que je fasse un entraînement avec mon frère ! je suis sur qu'on s'améliorera plus vite a deux, je lui poserais la question la prochaine fois qu'on se vois. En en attendant je regarde devant moi ...
Je me suis souvent entraîner par ici, a courir autour de l'épave et entrer a l'interieur pour échapper a tous les pièges ... ou bien contre un arbre pour améliorer mes facultés. C'est alors que je reflechis ... Que m'avait dit papa ? « La chasse demande beaucoup de patience et de discrétion, le but est de ne pas faire fuir votre proie avant même d'avoir pu l'approcher. » En effet, je tourne sa phrase plusieurs fois dans ma tête ... Il y a peu je m'était entraîner pour faire des pas silencieux ... j'avance, un pas après l'autre, lentement, doucement sans faire de bruit, j'avais reussis, mais il faudrais améliorer ses pas, sans doute devrais-je demander conseil à maman ou papa ? « La chasse demande à ce que vous ayez un bon flair car, tout commence de là. Vous prenez le temps de flairer le sol puis, de remonter l'odeur qui vous semble la plus fraîche, sans vous précipiter et, en essayant d'être toujours face au vent pour qu'il ne porte pas votre odeur jusqu'à votre futur proie. » Le flair ? maman est très doué pour tous ressentir avec l'odeur et le bruit ... Comment elle fait ? je pose la tête au sol, sentant la terre, elle avait une odeur bien a elle ... Ici sa s'entait la féraille, le brulé et la terre. Je marche lentement, fermant les yeux, pour me concentrer sur mon odora. Resent, sens ce qu'il ya autour de toi, je commence a sentir quelque chose ... une feuille ? non ... un buisson ? peu être ... j'avance, et fini par me piquer avec l'un des feuilles du buisson. Je recule, et l'insulte ... j'avance autre part, cherchant d'autre odeur. Je fini par sentir une odeur étrange, un mélange entre la terre, les feuilles et ... le feu, j'ouvre les yeux : un arbre. Je me penche vers lui, reniflant encore et encore cette arbre pour rapproprié son odeur.

Toujours face au vent, ne jamais se mettre a contre vent ! ok essayons. Je m'avance essayant de reconnaitre d'ou vient le vent, comment le savoir ? comment sait-on d'ou vient le vent ? j'ai beau renifler, me tourner, me retourner, faire demi tour rien ... j'ouvre donc la gueule et sort ma langue... C'est froid ! oui par là, non ... nan par ici ! oui il vient de là le vent ! Je ferme les yeux et essaye de savoir d'ou il vient mais sans la langue cette fois ... Le vent me touche, il doit sans doute me frôler, toucher mon pelage non ? j'essaye de sentir en moi, il est là, je le sens toucher mes poils et passer à côté, sa me donne des frissons et d'un coup j'ai eu froids. Pourtant j'ai trouver la direction du vent ! content je sautille dans tous les sens avant de me mettre du bon côté, face au vent. Du coup je le sens, et là je sais qu'il vient vers moi, sa me permet de capter toute les odeurs. Je sens tous ce qui vient vers moi, que ce soit les feuilles qui s'envolent et que je prend en pleine tronche ... la terre, ou bien l'odeur des oiseaux volant.

Je retourne près de l'épave, heureux d'avoir réussis a retenir les astuces de papa, sans doute devrais-je continuer ? ou arrêter là ? je réfléchis, la nuit commence a tomber, et il va faire nuit, je vais devoir retourner avec maman, allons-y, rentrons au chaud.

Une silhouette entéré dans le sable bouga . La bête leva sa tête hors du petit banc de poudre jaune qui c’était formé sur lui la nuit d'avant . Le loup secoua bien sa tête , baya et s'étira en se levant . Le soleil de l'aube fraiche venait acceuillir son réveil après une bonne nuit de sommeil dans la dune. Il regarda autour d'elle pour s'orienter et décida d'aller vers le Sud ... vers les terres Navnik. . Le beau printemps était maintenant arriver à leurs portes et il l'acceuillera avec un sourire . Triste que cette saison où éclose les bourgeons ne peut pas rester plus longtemps . Cependant , ici ... c'est les terres des Navnik, et même en été , il y a un courant d'air froid ! L’espion marcha à pas lents , il prendrait tout son temps aujourd'hui . De toute façon , il aurait toute sa vie pour faire des choses plus dites « importantes » . Mais aujourd'hui .... c'est la marche. Les yeux de du loup brillèrent à la vue d'une hirondelle : cette hirondelle affirma l'arrivé du printemps ! le loup souria enfin , continuant son chemin avec gaieté . « Je t'adore beau printemps , si jamais tu pouvais rester plus longtemps ! Eh , en plus sa rhyme , hihi »

« Oh , je suis troooppp fatigué , hahhh . » Le loup bailla , non ... pas d'un autre réveil , enfin ... plutôt car ca fessait des heures de marche et maintenant , il fessait nuit . Il fessait plus froid aussi et le vent du Nord s'éleva à nouveau pour frapper sur son poil tricolore, beige et noir . La langue pendante et la bouche sèche le loup fit un soupir de contentement dès qu'il entendit le mouvement d'eau . Ah , c'était si favorable : le petit ruisseau n'était pas gelé ! Il y gambada et se pencha pour en prendre toute une bouffer . Elle était fraîche , avec de petites truites sursautant dans l'eau courante . De ce point si , Belphegor but toute l'eau qu’il pouvait et se pencha d'avantage , la patte prête à frapper sur le prochain poison qui sauterais . Splash ! Un sauta , il le ratta . Ploush ! Un autre de manqué ! Finalement , il y en avait un plus gros qui resauta de l'eau directement dessous sa patte . Il frappa l'air , ses griffes dirigant ... euh attend , non pas dans l'air ... Il ouvra grand les yeux à la vue de la truite qui grouillais sur le sable à son coté . Il se coucha et creusa ses crocs dans la tête du poison pour enfin l'immobilisé . Ceci serait un bon coin de repos il pensa . L'eau à sa disponibilité , ainsi que la nourriture ! Quand il eu presque fini son repas satisfaisant , il vit dans le sable, une ombre dessus sa tête . Elle la leva ainsi pour voir un oiseau .

Ce jour là, le jeune loup s'était retrouvé sur les belles terres des dunes. Il y allait de temps en temps car il aimait cet endroit. Heureusement pour lui, comme pour l'instant il n'était pas vraiment mêlé à la guerre il pouvait tranquillement ce promener sur à peu près toute les terres. Enfin revenons à notre jeune loup qui se promenait tranquillement dans la dune de sable,, les proies étaient nombreuses et ne manquait pas.. Les Navnik auraient au moins des réserves pour un bon bout de temps. Il fallait dire que Belphegor n'était pas venu dans cette forêt par hasard. Comme toujours, car il appréciait beaucoup visiter les terres et découvrir de nouveau endroit, il s'était alors promener dans tout aff, il avait d'ailleurs fait de nouvelles rencontres, et maintenant, disons que toute cette marche lui avait vraiment ouvert l'appétit. Et comme il s'était retrouvé tout près de ses bois, il avait donc décidé d'y chasser..

Belphegor était un bon chasseur, même un très bon, mais si il n'avait pas décider d'être chasseur s'était pour le simple fait qu'il n'aimait pas chasser.. Il le faisait seulement quand il avait vraiment besoin de se nourrir.. C'était dommage peut-être mais c'était son choix. Le jeune loup crème repéra une proie assez vite. Il trouva des empreintes encore fraiches de cerf. Une proie banale pour certain mais l'une des plus nourrissantes.. Et puis, ça n'était pas tout les jours qu'on trouvait à un cerf éloigné de son troupeau, surtout que celui-ci semblait assez gros vue la taille et la profondeur de ses empreintes.. Sans attendre Belphegor se mit en route. Peu à peu, l'odeur de l'animal devint de plus en plus forte. Bientôt il l'aperçut. L'animal mangeait l'écorce d'un bouleau sans se douter qu'un prédateur s'approchait... Le Navnik s'approcha discrètement du cervidé. Il se tapis sur le sol, attendant avec patiente le bon moment. L'animal sembla légèrement inquiet, il arrêta d'arracher de l'écorce puis observa les environs en humant l'air... Si il attendait trop longtemps, il finirait par se faire repéré.. Le loup tenta de se rapprocher encore un peu du cerf, toujours sans le moindre bruit. Heureusement l'animal ne vis rien.. Alors, Belphegor bondit, surgissant d'un seul coup des buissons. Il s'agrippa sur le dos du cerf qui fut prit par surprise et paniqua. Comme le sol était boueux, le cervidé glissa et se retrouva à terre. Belphegor dut lâcher l’animal qui en profita pour s’enfuir loin du prétadeur. Mais il était hors de question de le laisser s'échapper a si bon compte, le loup Navnik lui courru après, cherchant a effectuer des bonds plus puissant a mesure qu’il se déplacait en suivant sa proie. Il fini par bondir vers celle-ci.
Belphegor l'acheva d'un geste rapide et efficace. Il saisit sa proie par la gorge puis la traina dans un coin plus tranquille. Il ouvrit doucement le ventre de la bête puis commença son repas..

Concentre-toi, il est juste là. Le regard du loup était rivé sur un étroit trou creusé dans la terre. Il était tapie dans l'herbe fraîche, caché derrière un arbre au tronc immense, et ne bougeait plus depuis de longues minutes. Parfait, le vent souffle contre moi, il ne me sentira pas. Mis à part le bruit du vent soufflant dans les branches dénuées de feuilles, aucun bruit ne se faisait entendre, pas même la respiration de le loup - si seulement Il respirait. Un long moment s'écoula, où ne bougea que les maigres brins d'herbe balayés par le courant d'air. Puis un petit museau sortit de l'entrée du terrier. Il renifla l'air ambiant quelques secondes, et le lapin au pelage brun s'extirpa de son abri. Ses yeux cherchaient dans les alentours la silhouette d'un possible prédateur, mais il ne vit rien. Alors, tranquillement, il commença à grignoter une feuille verte se présentant sous ses dents, à petits coups. Ce fut lorsqu'il ne fit plus du tout attention à ce qui se passait autour de lui que Belphegor choisit de passer à l'action.

Avec la plus grande discrétion, Il esquissa un pas en direction de sa proie, qui ne se rendit compte de rien. Puis un autre pas, et encore un autre, jusqu'à ce qu'Il fut sortie de derrière sa cachette. Les muscles tendus au maximum, il attendit encore plusieurs instants, immobile. Et, sans prévenir, il bondit d'un coup. Un bond puissant, agile, calculé, précis. Le lapin n'eut pas le temps de rentrer dans son trou, qu'il avait déjà le loup atterrissant sur son dos, les griffes lui lacérant la chair. Sans attendre, le loup referma ses mâchoires sur la nuque de sa proie, et celle-ci mourut. Belphegor se redressa et lécha ses babines pleines de sang. Il avait hâte de manger, mais pas ici. Le soir commençait à tomber et l'obscurité se faisait oppressante entre les arbres. Prenant le lapin entre ses crocs, Il trottina d'un air léger jusqu'à la rivière de sang, dont les rives étaient dégagées et éclairées par la lune.