Chasse réussie


RP CHASSE 2



Le soleil était à mi-course dans le ciel quand le loup brun partit chasser. Il lui fallait ramener une plus grosse proie pour nourrir sa meute et pas seulement les louvards.  Alors; le grand loup brun s'enfonça dans la forêt charbonneuse.   Le soleil éblouissait  la forêt de tous ces rayons et pas un seul nuage ne traînait à l'horizon.  Le loup commença sa recherche en reniflard par ci par là,  afin de trouver une chose à se mettre sous la dent.

Enfin; il aperçut des traces de pas au sol. Leurs formes lui évoquaient un cervidé. Il renifla le sol pour en être certain. Effectivement, il s'agissait d'un cerf. Athos  se méfia. Un cerf ne traînait jamais seul et même s'il l'était, il restait dangereux. Le jeune loup suivit cette piste et arriva près d'un bosquet touffu. Quelques mètres plus loin se trouvait le cervidé. Doucement, le loup approcha pour voir sa proie de plus près.  Il s'agissait en fait d'un vieux cerf, certainement détrôné par un cerf plus jeune et qui avait été chassé de sa horde. Le loup observa ses bois. L'un d'eux était tombé et ne représentait donc aucun danger  mais le second s'élevait de toute sa splendeur et pourrait s'avérer être une arme fatale si elle venait à être utilisée contre un loup.  Athos prit place et s'apprêta à bondir.

De toutes ses forces, il se ruha sur le grand cerf. Il s'accrocha à son garot avec ses crocs et le saisit à pleins crocs. Mais le cerf était robuste et se de battit si fort que le loup glissa jusqu'à la coupe, lacerant  le cerf. Le cerf bondit tellement que le loup du descendre pour ne pas se prendre un coup de sabot. Mais il répartit directement à la charge sans laisser au cerf le temps de se remettre. Il lui mordit à la jugulaire, lui lacera  le coup et tentait de lui toucher l'artère vitale. Les coups de bois du cerfs menaçant l'obligea à lâcher prise. Alors le loup se rua de nouveau sur le cerf et l'attrape par une patte, en évitant les sabots violents. Enfin il réussit à toucher une artere; celle à l'intérieur de la cuisse. Le cerf poussa un hurlement d'agonie et finit par tomber à terre en quelques minutes.  Athos  attendit qu'il s'évanouisse pour lui porter le coup fatal.

Chasse réussie


Rp Chasse numéro 1


Il aurait aimé faire plus. Il aurait voulu faire bien plus. Il savait qu'il faisait tout ce qu'il pouvait pour que sa meute soit plus forte, mais il se sentait presque inutile ! Il est impatient, rien n'allait assez vite pour lui.  Il avait l'impression de ramer; de tourner en rond. Il entraînait les plus jeunes tout en s'entraînait lui même.

D'ailleurs; il n'était toujours pas satisfait. Il ne se sentait pas  au mieux qu'il pouvait être, il ne se sentait pas assez fort pour battre et tuer Sageeth. Ni même Atom qui avait disparu. Il aurait tellement voulu la retrouver rien que pour planter ses crocs dans sa gorge. .. Le loup se racla la gorge.

Soudain; il sentit une odeur familière. Un blaireau. Bien que ces bêtes ne sentaient pas bon; elles avaient un goût fumé très appréciable. Le loup s'approcha; la bête le vit. Il poussa un grognement terrible et voulu s'enfuir, mais le loup lui coupa la route, en un bond gigantesque il était devant lui, puis derrière avec un sourire sadique. Le blaireau était énorme. Acculé, il se jeta tous crocs dehors sur le grand loup brun. Athos recula vivement et lui asséna un coup colossal qui l'envoya valser au loin. Athos avait beaucoup de force, mais le blaireau aussi. Il repartit à la charge et se fut un duel de comparaison des forces qui commença.  Certes, le loup était plus imposant; mais le blaireau se faufilant et tentait de mordre de toutes ses forces le canidé.  Avec force; le grand loup lui envoya un grand coup de patte qui fit voler le blaireau.  Sans lui laisser le temps de réagir; Athos sauta sur le blaireau, lui prit la nuque entre les crocs et serra de toutes ses forces. La nuque céda. 

Chasse réussie


Rp Chasse numéro 2

Athos devait ramener à manger à sa meute. Les multiples pillages et l'épisode des chauves souris avaient nettement réduis les vivres; et le garde manger était très loin d'être plein. Le grand loup brun récemment promu général s'avança dans la forêt charbonneuse.  Il s'agissait de ramener quelque chose de gros; de gras, de consistant; qui nourrirait aussi bien les corps que les coeurs; car quand on a le ventre vide, on ne peut être heureux ni même songer à gagner une guerre.

Athos s'enfonça dans la forêt encore et encore. Il arriva dans un coin qu'il n'avait que peu exploré, ce n'était pas très beaj, mais la végétation y était abondante. Et donc par conséquent; les proies devraient l'être aussi.  Le loup regarda autour de lui; reniflant l'air et tentant de trouver quelque proie de bonne taille. Il renifla bien un lapin; mais rien de très satisfaisant. Il voulait amener quelque chose de gros.

C'est alors que le grand loup brun s'aperçut d'une chose. Une bête,  non loin de la, c'était fait la même réflexion que lui. Herbe abondante; nourriture abondante. Le vieux cerf avança doucement, son regard vif inspectant les environs. Pas de méchante grosse bête en vue; il pouvait traverser et rejoindre ces beaux brins d'herbe verte juste à côté; juste la. Il était gros et gras. Comme Athos le voulait. Néanmoins, il avait l'air plutôt robuste; grand et fort, pas comme le dernier cerf au bout de sa vie que le loup avait déjà  abattu la derniere fois.

 Athos s'approcha doucement, il marchait sur la mousse, ce qui fit qu'il ne fit aucun bruit. Le vent était avec lui, le cerf ne sentir pas son odeur quand le prédateur arriva à seulement trois mètres de lui; se cachant derrière un taillis.  Enfin; il sauta, atterrissant dans les pattes du cerf qui brama  de surprise. De toutes ses forces, le grand loup mordit les cuisses du cerf, espérant le déstabiliser jusqu'à le faire tomber. Mais le cerf était fort et se debattit. D'un coup de patte, il envoya le loup valser à deux mètres de la. Le cerf, énervé et voulant sauver sa vie,  se prépara à la charge. Pendant quelques secondes, les rôles s'inversèrent  et Athos du courir aussi vite que possible pour ne pas se faire écraser par le grand cerf. Mais aussitôt,  il revint à la cherche, harcèlant  le cerf de tous côtés, bondissant comme un lièvre, faisant preuve d'une agilité étonnante en évitant les coups de pattes et de ramure du cerf. Il fallait se dépêcher au ce dernier fuirait. Il fallait combiner la force et l'agilité pour cette attaque.
Enfin; le loup aperçut une ouverture. Quand le cerf donnait des coups de ramures, il laissa son cou à la portée du loup en se baissant. Ce dont Athos profita; d'un bon phenomenal; il sauta vers le cerf pour le mordre à l'épaule et l'attirer vers la droite. Et quand le cerf voulut riposter avec un coup de ramure, le loup lui sauta à la gorge et tint la prise de toutes ses forces, car le cerf se debattit en envoya des coups de tête à se rompre le cou. Enfin; il s epuisa et commença à se vider de son sang. Le cerf tomba à terre. Et le loup l' acheva.

"Y a plus qu'à traîner ça jusqu'à l'avion! "

Se dit il.

Il faisait chaud et froid à la fois. Son sang bouillonait dans ses veines et pourtant le vent glacé lui frappait le visage. Il courait si vite qu’il pensait que ses pattes allaient se dérober sous lui et qu’il finirait par tomber, rouler au sol. Et cette sensation était si grisante...

Il courait à en perdre haleine, allant toujours plus loins, toujours plus haut, s’amusant à faire des bons qui le faisaient voler quelques mètres plus loin. Il aimait cela. Il aurait voulu voler. Il sauta encore et encore, comme un fou, son entraînement repoussait toujours un peu plus ses limites. Il courut plus loin, plus haut.

Puis il s’arrêta, une odeur l’ayant perturbé, une odeur qu’il connaissait bien.

Puis il s’arrêta, une odeur l’ayant perturbé, une odeur qu’il connaissait bien.

Un sourire émergea sur ses lèvres... Décidément, c’était son jour de chance. Un cerf était là, non loin de lui. Il n’attendait qu’à être débusqué et tué. Le loup s’approcha doucement. Le cerf leva vivement la tête, ayant entendu un bruit. Et le loup lui sauta dessus.

Ce fut un combat mouvementé entre la proie et le prédateur. Le loup mordait de tous côté la pauvre bête acculée à des troncs d’arbres, elle n’avait aucun chemin de retraite, elle ne pouvait même pas ruer par manque d’espace entre les arbres. Elle essayait quand même, mais le grand loup brun était trop vif. Il la mordait aux cuisses, le sang dégoulinait des membres du cervidé. Le cerf tenta tout de même de frapper le loup de ses pattes. Grave erreur. Le loup esquiva et la patte du cerf ripa sur un arbre et se brisa. Le cerf hurla de douleur. Et Athos en profita pour lui sauter à la gorge, il perça l’artère vitale.

Un dernier soupir d’agonie, et Athos le ramena à l’épave.

Il fallait chasser ou la meute serait touchée par la famine. Athos le savait.
Il repartit donc à la chasse. Mais la chance était avec lui ce jour là. A peine entré dans la forêt charbonneuse, il tomba sur un gros lièvre. Athos sourit, mais le lièvre le vit et commença à courir. Alors une course poursuite commença. Le loup courut aussi vite qu’il le pouvait.

Après quelques minutes de course folle, le grand loup brun réussit enfin à attraper le lièvre. Il lui brisa la nuque entre ses dents.

Puis, Athos ricana si fort qu’il en était essouflé. Il sentait, il le sentait, il progressait à vue d’oeil. Avant, jamais il n’aurait pu rattraper un lièvre dont la course avait débuté !

Chasse réussie
2+ 3F +3A

Il s’était avancé encore dans la forêt charbonneuse, à chercher dans les coins et les recoins des bêtes qu’il aurait ^pu débusquer. Il avait faim, il n’avait plus mangé depuis plusieurs jours. Il devait chasser pour sa meute, mais aussi pour lui. Car s’il se vidait de ses forces, qui chasserait, qui combattrait ?

Le loup brun s’avança dans la brume matinale. Un cri, il n’en fallut pas plus pour alerter le jeune loup. Alors, sans sourciller et sans même se poser de questions, il suivit ce cri et partit comme un fou, il avait reconnu le cri de désespoir du gibier dont il avait tant besoin. Assis dans un coin se trouvait un marcassin. Seul, perdu. La mère l’avait abandonné car il avait deux pattes cassées. Il avait dû faire une mauvaise chute. Cependant, les pattes étaient fracassées, complétement retournées, impossibles à ressouder et tout juste bonnes à être amputées. Mais l’amputation n’était pas pratiquée par les loups, seulement pas les humains. Et ainsi, dans la nature, le petit était perdu d’avance. Sa mère avait dû l’abandonner pour cette raison. Alors le loup s’approcha et décida d’abréger ses souffrances et de lui épargner une mort lente et douloureuse.

Chasse réussie



Athos s’en était de nouveau allé pour chasser. Mais d’abord, il s’était dûrement entraîné. Il avait couru et refait deux fois le tour de la forêt charbonneuse en moins d’une heure et demie, un exploit.

Content de lui, il était repartit chasser. C’est là qu’il avait vu cette belle perdrix, qui courrait partout l’air affolée en voyant le loup s’approcher. Ce fut presque un jeu d’enfant. Trop dodue pour fuir, la perdrix courut droit devant elle. Le loup n’eut qu’à bondir pour se retrouver en face de ce buffet sur pattes. Lui tordre le cou. C’en était fini.

Chasse réussie



Athos était épuisé. Mais il lui restait encore quelques forces pour attraper quelque chose. Un lapin passa à la volée, aussi rapide que le vent. Athos voulu lui courir après, mais il était trop épuisé.

Mais le stupide rongeur en sembla amusé et repassa devant le loup qui lui lança un grognement. Un simple « squiiik » sortit de la gorge du lapin, comme un rire moqueur et strident. Alors le loup sourit, un sourire sadique qui voulait dire « toi, dans deux minutes, t’es mort. ». Le loup se leva doucement. Le lapin ne broncha pas et resta sans bouger. Et c’est seulement quand Athos bondit férocement que le lapin se mit à courir, forçant le loup à lui courir après. Athos n’en pouvait plus, mais il courut quand même. Aussi vite qu’il put, il courut encore et encore. Son entraînement le servait bien, car il était de plus en plus et finissait finalement par rattraper le rongeur.

Enfin, dans un grand bond final, il attrapa le rongeur et le tua d’un coup sec.

« Tu as joué, tu as perdu. »

Trouvé ! Un cadavre tout frais !


Le grand loup était sur le retour quand il sentit une odeur particulière et appétissante. Il se dirigea vers cette odeur et trouva à terre un sanglier, frais, tout juste mort d’à peine quelques minutes, la maladie l’ayant sûrement emportée. Un loup ne pouvait être contaminé que par ses congénères, c’est donc sans craintes qu’Athos s’approcha. Une nouvelle proie à ramener. Heureusement qu’il était tombé dessus le premier !