Soudain, une petite odeur ténue vint me chatouiller la truffe. Je m'approchais discrètement, mais lorsque j'arrivais, je vis une petite queue de rat entrer dans une petite faille. Zut, loupé...Temps pis, une autre fois peut-être...

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'Dé de chasse' : 4

Je marchais, même si rien ne faisait son apparition. Pff, je commençais à en avoir marre de rien trouver. Mais il faut chercher, chasser, tuer, manger. C'est le cycle de la vie, et je dois le continuer...

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'Dé de chasse' : 5

Pfff, je poussais un long soupir, toujours rien trouvé... Mais, je continuais quand même. De toute façon, il faut pas se décourager, même si c'est dur....

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'Dé de chasse' : 10

Je marchais toujours, en commençant à perdre mon peu d'espoir restant lorsque j'entendis un couinement strident. Un rat ! Mais s'il gueulait comme ça, c'est qu'il était pas seul. Je m'élançais dans le couloir, et atterris dans une salle circulaire sans sortie, à part une ouverture dans le plafond. Un chat se tenait au milieu, les deux ratons morts entre les pattes. Lorsque le chat me vit, il allait à peine entamer l'un des ratons. C'était le blanc, mais où est le rouquin ? Temps pis, je le chercherais plus tard, celui-là ne va pas m'échapper. Il feula, laissa les ratons en plan, et bondit sur moi. Je m'esquivais, pivota sur une patte, et me retrouva derrière lui. Je lui sautais dessus, lui mordais la nuque, et il poussa un miaulement de terreur lorsque son cou se brisa. Je le lâchais, et il tomba mort sur le sol. Je récupérais les deux ratons, qui n'avaient pas étaient mangés, le chat et allais les cacher. Je reviendrais les chercher plus tard.

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'Dé de chasse' : 10

J'étais sortie de la salle, et marchais dans les couloirs qui s'étaient assombris. Une odeur vint me chatouiller la truffe. Une, ou des, chauves-souris. Je me dirigeais silencieusement dans le couloir, et les vit. Deux grosses chauves-souris suspendues au plafond. lorsque que je fus presque sous elles, l'une d'elles ouvrit les yeux et poussa un hurlement qui réveilla immédiatement sa consœur. Elles s'envolèrent, mais j'avais anticipé ce geste, et bondissais, attrapais l'aile de la première. Un craquement sr fit entendre, suivit d'un hurlement strident. La chauve-souris tomba au sol, inerte. L'autre, furax, fit demi_tour en entendant le première, et me mordit la nuque. Je roulais, me retrouvant sous elle. Je relevais d'un mouvement, et l'attrapais par le cou. Elle hurla, et ce fut son dernier cri. Je rejoignit l'autre, qui essayais tant bien que mal de s'envoler. Mais, puisque je savais qu'elle n'y arriverait pas, je ne me dépêchais pas. Je me rendis compte que j'aurais pas dû. Le rouquin venait de bondir, sur elle. Il se sauva, suivit de près par moi. Mais, malheureusement pour lui, le poids de la chauve-souris, qui trainait par terre, le ralentis et j'en profitais pour lui sauter dessus. Il poussa un miaulement de terreur, lâcha la chauve-souris, et essaya de se sauver. Mais, je ne lui en laissais pas le temps, je l'attrapais par la nuque, et le lançais contre le mur. Alors qu'un craquement sonore, du aux échos, se fit entendre, il poussa son dernier soupir. Je le pris, ainsi que les deux chauves-souris, et les cachais. Puis, je repris mon chemin.

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