J'étais sortie de la salle, et marchais dans les couloirs qui s'étaient assombris. Une odeur vint me chatouiller la truffe. Une, ou des, chauves-souris. Je me dirigeais silencieusement dans le couloir, et les vit. Deux grosses chauves-souris suspendues au plafond. lorsque que je fus presque sous elles, l'une d'elles ouvrit les yeux et poussa un hurlement qui réveilla immédiatement sa consœur. Elles s'envolèrent, mais j'avais anticipé ce geste, et bondissais, attrapais l'aile de la première. Un craquement sr fit entendre, suivit d'un hurlement strident. La chauve-souris tomba au sol, inerte. L'autre, furax, fit demi_tour en entendant le première, et me mordit la nuque. Je roulais, me retrouvant sous elle. Je relevais d'un mouvement, et l'attrapais par le cou. Elle hurla, et ce fut son dernier cri. Je rejoignit l'autre, qui essayais tant bien que mal de s'envoler. Mais, puisque je savais qu'elle n'y arriverait pas, je ne me dépêchais pas. Je me rendis compte que j'aurais pas dû. Le rouquin venait de bondir, sur elle. Il se sauva, suivit de près par moi. Mais, malheureusement pour lui, le poids de la chauve-souris, qui trainait par terre, le ralentis et j'en profitais pour lui sauter dessus. Il poussa un miaulement de terreur, lâcha la chauve-souris, et essaya de se sauver. Mais, je ne lui en laissais pas le temps, je l'attrapais par la nuque, et le lançais contre le mur. Alors qu'un craquement sonore, du aux échos, se fit entendre, il poussa son dernier soupir. Je le pris, ainsi que les deux chauves-souris, et les cachais. Puis, je repris mon chemin.