La prairie de Grenat, un endroit magnifique. Ces petites fleurs avec de minuscules pierres précieuses rouges, scintillent au soleil ! C'est la première fois que je vient ici et j'en suis heureuse, malgré ma blessure sur le flanc qui ne cesse d'empirer. C'est peut-être ici que je vais mourir
?
- Non, il faut que j'arrête, je vais trouver un guérisseur et tout ira mieux !

Et voilà que je parle toute seule maintenant ! C'est le matin et le soleil commence à se lever. Les petits grenats viennes scintillés sur mon pelage au blanc parfait. Ils sont un peu recouverts pas les cendres mais sont bien voyants tout de même. Je pousse un hurlement de détresse mais rien. J'avance un peu. Et si j'avais attirer un autre loup aux mauvaises intentions ? Je suis venu ici pour me reposer, mais je crois que je vient de faire une bêtise. Je les entends, les pas qui me font battre le cœur, ceux qui me térifis. Qui vient vers moi ? Seul le destin le sait...

De petits pas vers en petit endroit. Tel était l'intérêt que j'accordait à des tels endroits insignifiant. Or, ce petit endroit n'était pas comme les autres, oh non. L'un de mes préférés, depuis mon arrivée.
Tout ces petits grenats rouges, exceptionnellement magnifique. Ils me font pensait à...
Des larmes de désespoir. Des larmes de sang durcies. Cette image des grenats me fit sourire.

Je ne tarda pas à entrer dans la prairie de grenats. Le soleil les faisaient brillaient, et je ne put que m'en contentée. Quel beauté que de voir toutes ces... Larmes.
L'odeur du sang fit apparition peu de temps après ma venue. Le sang... Je ressentais du bien être quant-à la vue de ces larmes, et cette odeur de sang ne fit qu'en rajouter une couche. Je croyais rêver, mais non. J'en fit la conclusion lorsque j'entendit ce hurlement.

Un hurlement de détresse. Dans un tel lieu ? Sublime...
Ces grenats, puis le sang, et ensuite le hurlement. Il étais évident que ma faim étais en train d'accroître. Mon repas est prêt, et surtout, il n'est point en position de s'échapper.
Il est vrai que c'est embêtant... Je ne pourrais pas jouer avec cette cible. Je verrais ce que j'en ferais.

Je me remis en route, je ne me cacher pas. Seul les faibles le font. Je m'approcher de plus en plus de la source de sang, je vit une silhouette au loin. Aucun odeur Sekmet, pas même Esobek. Possiblement une Solitaire. Tant mieux. Un solitaire mort vivant n'est d'aucune utilité. Mort aussi, mais c'est une évidence. Ce ne serais pas une perte, en soi.

Je m'approchais de plus en plus de la silhouette, jusqu'à en définir le sexe. Une femelle. Blessée en plus ? Qu'elle maline. Et quel repas appétissant.

Il arrive. Il est noir au yeux bleus. Il à l'air bizarre. Où plutôt elle. Que me veut-elle ? Je vais lui poser la question.

- Pourquoi tu vient me déranger toi ?

Je la met en garde, elle ne doit pas me sauter dessus, sinon je risque d'empirer mon état. La noire à l'air heureuse de me voir, pourquoi ? Je ne le sait pas encore. Je me couche par terre, et je ne sait pas i je doit tout de suite me soumettre pour qu'elle me laisse tranquille ou justement lui tenir tête pour qu'elle ne m'affronte pas ? Je le sait maintenant, hurler était une mauvais chose pour moi. En plus j'ai été menaçante dans ma question. J'ai peur mais je ne le montre pas, je serais une proie trop facile pour cette femelle. Il n'y a aucun bruit, la louve doit sûrement entendre mon cœur battre la chamade. Je prend ma respiration et essaie de me détendre.

Je m'approchait. Toujours, et encore, une fois proche de celle-ci, j'ose imaginer que son état l'empêcher de se défendre. À vrai dire, j'en étais certaine. Or, le jeu n'en aurait été que plus amusant. Elle mâcha pas ses mots, elle me posa une question, presque froide si j'ose dire. Je n'eut aucune réaction quant à celle-ci. Je me préfère me contenter de sourire en l'entendant. Elle m'amusait.

Lorsqu'elle vint se mettre en position de soumission, je l'observe pendant qu'elle étais couchée. Je ne dit pas un mot pour autant, je me mis simplement à tourner autour d'elle, comme un mâle pourrait le faire en cet saison des amours. Or je ne suis pas un mâle. Je pris le temps d'observer sa blessure, tout en lui tournant autour. Le fait qu'elle se soumette, et qu'elle soit blessée, me plaisait éperdument.

Une belle femelle, avec une belle blessure. Je sentais sa peur. Son coeur battre à une telle vitesse. Puis à un moment, je cessa de tourner, et vint me positionner au dessus d'elle, mon corps au dessus de son dos, approchant ma gueule de son oreille, comme pour lui murmurer :

- Il est très imprudent de se balader, blessée, et seule. Tu n'es pas à l'abris des méchants mâles, en cette saison d'accouplement.

Je ne put m'empêcher de sourire, amusée, d'une voix fine et pourtant si froid qui se veux effrayante. Je me retira, pour ainsi reprendre mes cercles autour de celle-ci, espérant qu'elle reste dans sa position, auquel-cas je ne pourrais qu'attaquer, en proie à une possible attaque de la louve inconnue.

Dans l'attente d'une réponse, je commencer à établir quelques jeux dans ma tête. Lesquels seraient les plus amusant... Pour moi, bien sûr.

Le mâle, ou plutôt la femelle qui a des attitudes de mâle tourne autour de moi. Que cherche telle à faire ? Elle se positionne au dessus de moi, tel un mâle et me murmure à l'oreille :

- Il est très imprudent de se balader, blessée, et seule. Tu n'es pas à labris des méchants mâles, en cette saison d'accouplement.

Croit-elle que je ne le sait pas ? Mais que dois-je faire alors ? Elle souris et parle d'une voix effrayante puis elle continue ses cercles. Elle va faire quoi franchement ? Me torturer ? C'est bien facile de s'en prendre à moi dans un tel état ? Et si j'avais pu être soignée avant ça ! Mais où que j'aille je rencontre toujours une louve, oui une louve pour m’énervè et me rappelé que je suis blessée et vulnérable. Pourtant je le sait, mais elles prennent un malin plaisir à me le rappeler.

- Je le sait, ça serais dommage pour moi de me retrouver blessée et avec des petits en plus. Mais à leur naissance, je les tuerais en pensent à leur géniteur et à tous ceux qui m'ont mis en rogne. Enfin, ça n'ai pas arriver et ça n'arrivera pas, car tu n'est pas un mâle, même si sens mon odorat qui me dit que tu es une femelle, je te prendrais pour l'un d'eux.

Sur ces mots, je me relève, dans un élan de colère. Le lui mord les pattes espérant qu'il, non qu'elle arrête ses cercles. Mais j'ai peur et me me met en position de soumission. Je suis sur le dos et lui montre ma gorge. Ce n'est pas mon habitude de me soumettre ainsi, mais je crois que la soumission ne suffit qu'à un alpha car cette louve est cruelle, elle le porte sur elle, dans son regard. Mais à quoi je pense ? C'est moi qui étais à deux griffes de tué une jeune louve Esobek sans défense. Mon coeur bat toujours. Peut-être vais-je plutôt mourir d'une crise cardiaque ? Je l'avoue, j'ai envie de la supplier de m'épargner, mais je suis sûr que ça ne ferais que de rendre son petit jeu plus amusant qu'il ne l'est déjà pour elle. Et puis je doit bien avouer que -même si je me suis soumise- j'ai bien trop de fierté. J'émet un second hurlement, dans l'espoir que quelqu'un vienne m'aider. Même le plus jeune des loups, même Yan'ka. Mais je le sait, personne ne viendra m'aider, même si il en a l'occasion.

- C'est quoi ton petit jeu ? Me faire croire que tu es un mâle pour mieux me dominer. Me dire des choses que je sait déjà ? Même si je me suis soumises, c'est pas pour autant que je ne sait pas me défendre.

Tout ce que j'ai dit à cette Sekmet depuis le début, je l'ai dit en grognent, mais elle à un gros avantage sur moi, et elle le sait. Je crois que c'est ma pire rencontre et je ne suis pas prête de l'oublier. Les grenats, que je trouve si beau scintille vers les yeux de la louve lui donnent l'impression qu'elle à les yeux rouges. Si elle doit me tuer, pourquoi ne le fait t-elle pas maintenant ? Elle joue avec sa proie ? Comme je l'ai fait tant de fois. Mais je ne regrette pas se que j'ai fait, même au bord de la mort.

Je la trouvais bien arrogante. Enfin, surtout au début. La soumission me suffit amplement. Mais la souffrance... La torture... Il n'y a aucun frontière à ces petits plaisirs. Je n'eut pas le temps de réagir, enfin, pas vraiment, qu'elle vint me mordre les pattes. Je ne put retenir un couinement de surprise, et me mis à grogner. Donnant, sans le vouloir, un coup de crocs dans le vide. J'appréciait ce qu'elle venait de dire, à propos de tuer des petits. Cette idée l'enchantée. Mais la faible douleur ne lui fit aucun mal en réalité, elle en tirait plus de plaisir que de mal.

Il est vrai que je peut fort ressembler à un mâle, tant par mes pratiques et mes habitudes que par ma carrure. Mais je la vit aussitôt se remettre en position de soumission. J'allais la faire souffrir, oh que oui. Je pris néanmoins le temps d'observer le corps de la louve. En vue de mon attirance pour les femelles, comment m'en empêcher.
Et surtout, pourquoi me gêner.

Je m'approcha tout près d'elle, et la poussa d'un coup de museau, de sorte à la mettre sur le flanc et posa délicatement ma patte sur sa petite blessure, puis d'un content j'exerçais une pression sur celle-ci. Je me mis à grogner, gueule entre-ouverte et crocs à découverts, sa gorge à ma portée si elle tentée de se défendre, je prenait pleinement plaisir à sa douleur, ou pas si elle n'en avait pas, chose dont je doute.

Je reniflait plusieurs, cette odeur de sang me montait à la tête. Dans son grognement, et lui répondit, toujours de sa voix effrayante et froid :

- Tu me confond à un mâle ? Tu vas vite être habituée à mes pratiques... Disons que... Je prend plus de plaisir avec une femelle, qu'avec un mâle. Les femelles sont bien plus... Amusantes, quant à mes petits jeux. Et je ne doute pas que tu sache te défendre, ça serais même très bien, j'ai très envie de distraction. Petite louve.

Qu'elle est mignonne. Je ressenti tout autant la douleur qui s'emparait de la louve. Je senti aussi le sang sur ma patte, elle s'en tâchait.
Je prenait tellement de plaisir que j'en pris le temps de lécher ma patte brièvement, pour ensuite la reposer, et exercer de nouveau la pression. Mais cette fois-ci, elle se faisait plus conséquente, et je rentrait une griffe à l'intérieur, comme je le pouvais.

Plus le sang coulerais, et plus je serais excitée. C'est comme un engrenage à trop roue. L'un alimente le deuxième, pour alimenter le troisième, qui celui-ci, alimente le premier.
Une boucle qui ne pourrais jamais en finir. Je la voyais, cette tristesse et ce désespoir dans ses yeux. L'envie de me rapprocher de la femelle me pris, mais je n'en fit rien. Le goût du sang m'as entièrement éveillée. Mes sens meurtrier et sanguinaire étais au plus bas, et d'un coup, ils firent un bon.

Elle ne pouvait que parler, cette pauvre louve... Elle voulais certainement m'amadouer, ou me convaincre de la laisser en vie.
Mais il est peine perdu que d'essayer de convaincre une âme noire, impure, rongée par la haine et la mort, le chaos. Mais je lui répondit tout de même :

- Il y a bien longtemps qu'avoir ma confiance est un chemin plus épineux que la survie d'un solitaire. Je n'ai besoin de personne pour tuer, plus je transforme de loups en cadavres, mieux je me porterais. Aucunement besoin de quelqu'un. Peut-être est-tu bonne à faire l'Oméga ? Dans ce cas tu aurais surement de l'utilité à mes yeux.

Plus le temps passait, et plus l'envie de commencer être chose me prenait, toujours cette odeur de sang qui m'envoûter.
Je ne pourrait jamais m'en passer, jamais. Je n'entendit aucune réponse de sa part, une rebelle de nature ? Fort intéressant, j'enfonçais ma griffe, un peu plus, lorsque celle-ci se mit à remuer et essayer de se défendre, une fois à l'arrêt, malgré ma mise en garde, elle n'en as pas tenu compte.

J'ouvris grand la gueule pour venir lui attraper la nuque et tirer pour lui relever la tête, ma patte étais toujours sur sa blessure, mais à vrai dire, j'étais pleinement concentrée sur sa nuque. Je serrais de sorte à ce qu'elle ait mal, et qu'elle ait de faible chance de s'en tirer sans blessures. Ayant la gueule occupée, je ne put lui parler, je me contenter donc, de renifler, pour sentir son odeur de plus près, l'odeur d'une femelle provoquer en moi une sorte de... Plaisir caché. Je grogner tout autant en secouant un peu, pour lui faire mal. J'étais en quelques sortes excitée par le sang, son odeur et son toucher, mais aussi par l'odeur de la louve.

Je commencer à m'ennuyer, mais soit. Je ne m'y attendait, lorsqu'elle lança un nouveau jeu, d'elle même. Très distrayant, elle me fit lâcher sa blessure, mais je ne put me résoudre à lâcher sa nuque, quant à la morsure je n'ai fait que serrais du plus fort possible. La solitaire ne faisait sincèrement qu'accroître mes envies. La morsure m'as offert un bond d'excitation, mais la haine en faisait partie.

Je l'écouter parler, mais je n'en fit rien. Le sang couler et ô comment cela me faisait du bien. Je ne put m'empêcher de riposter comme il se devait, réfléchissant un bon coup. Je lui offrit un coup de patte postérieur, avec les griffes, entre ses cuisses, commençant par le milieu du ventre.

Puis s'en suivit un coup de l'autre patte, encore avec les griffes, celui-ci se dirigeant subitement sur la blessure de la Solitaire. Plusieurs suffisaient à accrocher la blessure de la louve, étirant les deux extrémités des blessures, horriblement. Tandis que je m'occuper à cela, je ne lâchait pas prise sur sa nuque je resserrais toujours du mieux que je le pouvais. Pour rendre le jeu plus distrayant et... Délicieux.

Je la sentais faiblir, elle n'arrivait pas à me tenir tête, je tenais toujours sa nuque, lorsque je la sentie se mettre sur le flanc, je suivis ce mouvement calmement, me positionnant au dessus d'elle en tenant toujours sa nuque. Le sang qui en coulait, je m'en délectait, aussi peu qu'il puisse y en avoir, j'aimait énormément. Je la sentais faible, à bout de force, ou peut-être désemparée.

Je l'entendait hurler, ô hurle femelle... Rameute des mâles, sachant que c'est la saison d'accouplements. Mais qu'elle est idiote. Je ne put par contre pas me retenir d'être amusée en entendant ses premières paroles, mais quand viennent les autres, je lui répondit :

- Je suis bel et bien une femelle, c'est juste que... Vois-tu, je suis plus attirée par les femelles que par les mâles. Alors ? Tu faiblit ?

Sentir sa fin, voilà ce que je voulais. Sentir sa fin, qui s'approche à grand pas, très lentement, discrètement. Pour l'emporter. Je sentais qu'elle faiblissait. Je crois bien qu'elle a perdu toute trace de fierté, ou n'est-ce qu'illusoire à mon bon sens. Qu'importe. Je me moque éperdument de la fierté des autres. Et puis nous en venons au mots, encore une fois. C'est à peine croyable, mais la louve qui me tenait tête il n'y a pas 5 minutes, me supplie et demande des explications.

Je lui rendit son regard, et à vrai dire, je pourrait me perdre dans celui-ci, comme je l'ai fait avec toute les femelles m'ayant plu. Enfin soit. Ce n'est pas avec des yeux d'anges et une position digne d'un louveteau, qui je vais la laisser en paix. Elle a dû mal me comprendre. Je fait durer le plaisir, je lui répond donc :

- Je le fait, car je suis comme ça. Et je te l'ai dit, je regarde les femelles, de la façon qu'une femelle normal le ferrait pour regarder un mâle qui lui plait. Petite louve.

Maintenant qu'elle a ses réponse, je ne lâche pas sa nuque pour autant, non. Le sang me plaisait beaucoup et je ne pouvais m'en lasser pour l'instant, je me coucha sur la femelle, sur le ventre, sans aucune gêne. Un peu marre de rester debout, je voulais qu'elle souffre, et elle souffrait, mais pas assez.

Décidément cette femelle a des pré-disposition à être une Oméga. Elle me plaisait bien, mais trop rebelle. Je doit décider de si je doit achever la louve, ou la garder comme jouet personnel. Et puis si je la laisse en vie, elle mourra de toute façon. Puis elle essaye encore d'appeler à l'aide. Elle m'agace quand elle s'y met. Elle désirait ma pitié ? Elle ne l'aurait pas, ou peut-être pas. Si elle venait à mourir, j'irais offrir le corps inerte de la Solitaire, aux Esobek.

Pourquoi le prendraient-ils mal ? Il paraît qu'il est difficile de trouver à manger en ce moment. Ce serait généreux de ma part que de leur offrir cet louve inutile ! Qui se soucis des Solitaire, vraiment ? Personne. Quoi qu'il en soit, je ressentais sa peur et sa douleur, et cela ne faisait qu'alimenter ma soif de torture, de sang et de méchanceté, je prenait pleine plaisir de sentir la chaleur du corps de la Solitaire contre mon ventre, pendant que je la maintenait, soumise.

Elle me supplia de la laissait appeler à l'aide. Elle y croit certainement. Mais je lui répond très franchement sans pour autant mâcher mes mots :

- Crois-tu que quelqu'un vas venir pour toi ? Qui se soucis d'une Solitaire ? Quelle utilité as-tu, hum ? Vous les solitaires, vous êtes des nuisibles, si l'on vous tuez, il y aurais plus de nourritures. Mais au final... Me nourrir de solitaire est fort appréciable.

Lentement, mais surement, je la sentais s'éteindre, elle finit vraiment par lâcher. Ces solitaires, tous des faibles. Je regarde la louve dans les yeux lorsque ce qui semblait être sa fin l'étais possible, je plissa les yeux.
Mes babines étaient recouverte du sang de la femelle, et l'intérieur de ma gueule en étais recoloré. J'avais énormément apprécier ce petit moment, avec cette femelle, mais inerte, elle ne servait plus à rien. Impossible de jouer avec.

Je observait ses yeux, vide, et vague, la gueule entre ouverte. Je lâche la nuque de celle-ci, et d'un amusement assez particulier, du domaine des fous, voir des psychopathes, je tendis mon museau vers celui de la solitaire et lui lécha les babines, puis me redressa au dessus du corps inerte qui semblait bel et bien mort. Je mis donc en route vers mon territoire, laissant ainsi la solitaire dans cet état, pour morte, mais j'hésitait toujours à la dévorer, j'avais faim. De toute façon, des charognard ne tarderons pas à venir s'occuper d'elle, elle mourra bien vite comme ça.

- Fort dommage. Aucun guérisseur dans les environs.

Dit-je d'un air amusée, je parle toute seule, mais je sais que les morts entendent tout. Je ne perdit pas mon temps plus que ça, m'en allant à pas de course.