«Chasse»

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Chasse 1
Le blond avait beau creuser la terre, et remuer les buissons, il ne trouvait rien à se mettre sous la dent.

Chasse 2
Le blond bondit par-dessus une racine noueuse et arma ses griffes avant de les planter dans l'arrière train couleur sable de sa victime. Le félidé feula, avant de se retourner pour tenter de le gifler d'une patte. Alwidd roula à terre, le poussant au sol avant d'arracher des touffes de poils de sa gorge. Il joua des crocs et des griffes pour réussir à attraper une patte de l'animal, déjà saignante. Le lynx se retourna, le percuta, et il glissa au sol, se cognant la tête. Des chandelles dansaient devant ses yeux alors que la bête prenait la fuite.
Grognant, il se releva, et bondit à la suite de l'animal. Il esquiva deux trois branches, sauta par-dessus un buisson épineux, et rampa rapidement sous une racine. Ses pattes martelaient la terre, alors qu'il commençait à se rapprocher de sa proie. Le navnik bondit, dérapa sur le sol, et attrapa la patte arrière du lynx en le faisant chuter face contre terre. Mais il trébucha, et roula à terre, laissant l'animal continuer sa course folle.

Chasse 3
Par la suite, il se cacha derrière une portière explosée, et rampa vers un oiseau coloré qui ne s'était pas aperç de sa présence. Il bondit en avant, renversant le volatile pour le plaquer au sol. Celui-ci se débattit, et l'oméga dû attraper son aîle avec force pour l'empêcher de s'enfuir, alors qu'il volait déjà dans tous les sens. Finalement, il tira l'animal vers lui, et plaqua sa patte sur sa gorge avant de lui percer le poitrail de ses crocs.

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«Entraînement»

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Entraînement 1
C'était le moment. L'odeur qui lui était parvenu venait de dévoiler son propriétaire. Un magnifique lynx, maigre mais fort, et qui ne demandait qu'à goûter à ses crocs.
Le loup bondit, chargeant l'animal pour le bousculer avec brutalité. Il fit claquer ses crocs devant son museau et déchiqueta celui-ci à l'aide de ses griffes alors que l'animal se reprenait, le jartant d'au-dessus de lui avec violence.
Et le voilà qui galopait furieusement après le lynx qui se barrait droit devant lui.
La course dura une bonne dizaine de minutes avant que le loup ne finisse par le rattraper, le faisant rouler à terre. Il le domina mais il l'envoya bouler rapidement à l'aide d'un puissant coup de patte arrière.
En grognant, Al' se redressa alors que le félidé le chargeait à son tour.

L'adrénaline parcourut ses veines, et il fit demi-tour alors que l'animal lui collait au train. Bondissant sur un carcasse de voiture, l'oméga domina l'animal, avant de se laisser glisser au sol alors qu'il essayait de l'atteindre. Alwidd rampa à terre, couvert de poussière, en contournant le véhicule pour se jeter à nouveau sur sa proie. L'animal était plus grand que lui, il n'y avait pas à en douter. Plus fort aussi sans doute.
Ses crocs se plantèrent avec brutalité dans la patte arrière de l'animal, perçant la chair pour allez marquer l'os, avant qu'elle ne se redresse et ne s'enfuit de nouveau, la bête sur les talons, bien que boitant.
Il se retourna, et passa à côté de l'animal, commençant à tourner autour de lui comme pour creuser des tranchées, feintant divers attaque envers sa personne. Jusqu'à le bousculer totalement et à se ruer sur elle, déchiquetant ses flancs et son ventre de coup de crocs furieux, et destructeurs.

Le félidé émit des plaintes, en essayant de le repousser avec force, jusqu'à ce que le blond accepte de se redresser. Mais l'animal perdait trop de sang, il était faible mais continuait à vouloir sa peau, toute la rage du monde dans les yeux. Il l'entraîna vers une bâtisse au toit branlant. Et dès que l'animal fut sur le pas de la porte, Alwidd fonça dans un mur déséquilibré, provoquant une chute de pierres sur l'animal.
Et il attendit que ses plaintes se taisent pour tenter de le déterrer.

Al' entreprit de faire doucement rouler les pierres de la carcasse abîmée de l'animal. Il était bel et bien mort, le choc avait certainement dû lui fracturer le crâne. Il griffa les murs, les faisant rouler, s'aidant de sa tête pour en pousser certainement en essayant d'abîmer un minimum l'animal.
Quand ce fut chose faite, un beuglement alerta le blond qui se tapit d'abord au sol dans un réflexe de survie. Jusqu'à ce qu'un chevreau s'avance, les pattes tremblantes.
Il ne devait pas être bien vieux, et avait très certainement dû s'enfuir après une attaque de loups, perdant sa mère de vue. Il n'allait certainement pas manqué cette occasion de manger.

Bondissant avec toute la puissance que pouvait lui procurer ses pattes arrières, le navnik atterrit près de l'animal qui beugla de terreur. Sans un bruit, il le renversa au sol, martelant son corps de coups de patte en déchirant la chair à l'aide de ses crocs. L'animal se débattit, rampant le plus loin possible en essayant de s'enfuir loin de lui. Un sabot lui arriva dans l'oeil, et Alwidd pigna en laissant le pauvre animal s'échapper.

Entraînement 2
Et c'est en surplombant la plaine que les yeux avisés du blond touchèrent l'animal en plein fouet. Animal maigre qui avait commencé à prendre la fuite.
Sans faire de manière, le blond bondit de son estrade pour commencer sa course poursuite, jusqu'à se rendre compte au détour d'une carcasse de voiture que le chien, en était en fait deux. Deux canidés malades et apeurés qui traçaient leur route devant lui, fuyant, la mort sur les talons.

Jusqu'à ce que cette dernière frappe. Directement dans la patte postérieure du plus lent, l'envoyant rouler à terre et lui brisant la nuque sur le coup, avant de prendre le second en chasse. Gravissant un tank renversé, Alwidd prit son élan pour sauter le plus loin possible, gagnant du terrain sur le fuyard. Le chien se retourna, aboya férocement et fut happé par un tourbillon de poils corbeau qui l'entraîna au sol.

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«Chasse»

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Chasse 1
Apparemment la forêt avait décidé de ne pas être gentille avec lui.
Il bondit au-dessus d'un tronc d'arbre avant de reprendre sa course. Al' s'éloignait de moins en moins de sa tanière, pour la simple et bonne raison qu'il n'apprécierait pas qu'un solitaire s'y traîne pour le virer ensuite de chez lui. Non mais.
Ses foulées le menèrent au bord de la blessure. Il se stoppa net en levant le museau, juste assez pour laisser les effluves environnantes pénétrer son odorat.

Chasse 2
Un couinement le fit sursauter. Derrière lui, un éclair de mouvement le fit bondir. Il rampa avec rapidité sous un tas de ferraille renversé, faisant fît de la cendre qui s’emmêlait dans son pelage, et referma ses crocs sur la queue d'un rat. Il tira l'animal, et le tua d'un coup sec.

Chasse 3
L'animal était lourd, bien plus lourd que ce qu'il avait imaginé. C'est en le traînant sur quelques mètres seulement que ses muscles commencèrent à le tirailler. Clairement, le blond n'était pas connu pour sa force musculaire, mais il n'était pas une louvarde non plus. Attrapant la patte arrière de la petite chose entre ses mâchoires, il recommença à avancer. Déjà la deuxième fois qu'il changeait de patte, alors qu'il n'avait parcouru qu'une dizaine de mètres.
Le vent vont emmeler ses poils souillés, et une idée lui parvint. Traînant avec difficulté sa proie, alors que ses pattes s' enfonçaient presque totalement dans le sol, Al' la hissa sur une portière de voiture arrachée.

Il se laissa souffler un peu, puis commença à pousser son radeau terrestre. L'épaule bien calée lui procurait un appui non-négligeable.
Le navnik sentait ses coussinets s'enfoncer dans la poussière alors que ses mas avalaient les centimètres, puis les mètres.
Une pierre bloqua le convoi, et le vert fit le tour de la portière en grognant. Il jeta un coup d'oeil au vulgaire cailloux qui osait barrer son chemin, et commença à creuser autour de celui-ci. La terre meuble vola entre ses pattes arrières, jusqu'à ce que des griffes deviennent douloureuses. Ce rocher ne semblait pas avoir de fin.
Alors il entreprit de pousser son convoi pour le decaler, évitant ainsi l'obstacle.

Malheureusement, il était actuellement en pente, et la portière commença à glisser vers le bas. Le blond se précipita et rattrapa son chariot avec ses crocs accrochés à la fenêtre. Ses mâchoires le tiraillaient, la douleur les envahissant alors qu'il soutenait le convoi pour le tirer avec difficulté vers le haut.
Essoufflé il lâcha la porte pour se reposer, avant de se remettre à pousser sa charge jusqu'aux terres navnik.

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