Souffle acide du vent, larmes brulantes du ciel. Le monde ne ressemble plus aux paysages d'autrefois. Les cataclysmes ont frappé, des colonnes de flammes et de fumées se sont élevées sur l'horizon. La guerre. La guerre des hommes. Et nous, les loups n'avons eu d'autres choix que de fuir. Nombreux furent nos congénères emportés. Nous traversâmes les plaines cabossées, les forêts de cendres, poursuivis par la faim, traqués par la mort.
Notre salut, nous le devions malheureusement à ceux qui avaient provoqué notre malheur.
– Réduit la gravité des Blessures reçues
– Augmente la gravité des Blessures de l'adversaire
BONUS PILLAGE (Trait de faction)
– + 5 aux résultats de dé de pillage
– Blessures reçues en cas d'échec de gravité réduites
Compétence d'élite :
Jeu 6 Avr - 22:03
Le silence des corbeaux.
Force : 5
Agilité : 2
Endurance : 13
Akuma
Le silence des corbeaux.
Je sens ton âme se transpercer de mes crocs. Le battement ralentit et j’en salive encore plus. Dit moi comment on se sent. Dit moi comment on sent cette fin si proche. Je resserre ma prise de mes crocs jusqu’à sentir le craquement résonner jusqu’au bout de ma queue et gouter l’explosion de saveur du liquide rougeâtre perler dans ma gueule. J’ouvris la gueule laissant retomber le lapin sur le sol d’un bruit a peine audible le distinguant à peine. C’était amusant faut dire. Tout sa que pour le plaisir de juste rendre final la vie d’autrui; tout simplement, Moi. J’ouvris la gueule d’ennuie tout en marchant à travers le camp. Les humains comme a leur habitude luisait leur armes tout en discutant de manière incompréhensible à mes oreilles de serviteur. Les simples mots que je connaissais était ; Tuer. Cela signifiait en autre de tout massacrer dans les alentours et faut dire que rien ne me plaisait plus que de jouer a ce petit jeu. Les humains m’avait bien traité aujourd’hui par chance, ils commencait à comprendre que je valais la peine d’être , oui martyrisé pour être renforcer mais également maintenu en vie car je representais une bonne relève. Du moins c’est ce qu’il dégageait dans leur comportement. Je traversai ainsi le camp fixant la sortie de mes yeux bleus. Les loups que je croisai n’osait pas me parler sans savoir pourquoi. Peut être bien parce qu’ils savent que je suis l’exemple a suivre. Dans mes taches principales, se résumait a rapporter tout ce que je voyais aux alentour et de rechercher des futurs serviteurs. Je connaissais l’endroit ce qui faisait que les hommes me faisaient confiance. Je portais malgré tout ce GPS qui me reliait à eux pendant un bon moment. La terre se durcit rapidement pour faire place au sol de roche d’où de son trône régnait un monument clairement abandonner. Mais c’est l’odeur que je sentis qui me fit sourire de ce sourire qu’on n’apprecie pas voir contre soi. Une odeur qui puait la meute et la pire de tous ; Une Aldark. Mon sourire se transforma en grognement ; et pas n’importe laquelle. Si les souvenirs des Ald’s m’était à present complètement indifférent faut dire que certaines de ces odeurs m’était rester coincer dans la gorge comme une mauvaise blague. J’ignorais son nom mais cela m’était égale. Blanche . Yeux de soleil. Je grognait en hérissant le poil de tout mon corps couvrant la porte d’entrée.
Maintenant une des dirigeantes des Aldarks, aux côtés de Véga et de Nocturne, les responsabilités s'amassaient tel un charnier. La politique ne m'avait jamais vraiment attiré, mais à présent, la soif de pouvoir me prenait. En ce moment même, je supportais le poids des attentes de mon Alpha. Surtout pour une mission particulière, elle consistait à me frotter d'un peu plus près à ce nouveau groupe de solitaire, évaluer leur force, compter leur nombre. Toutes informations même sans importances étaient capitales. En tant que chef des Umbras, j'étais la plus qualifier -et il faut le dire- pour mener et soutirer des données compromettantes. Il ne me restait plus qu'à trouver une proie -ou devrais-je dire-, un loup de ce groupe pour effectuer le plan diabolique qui miroitait en moi.
Mes petits oiseaux me gazouillaient toujours de beaux mots doux. Et aujourd'hui, ils m'indiquaient un endroit qui selon eux résideraient quelques troupes. Je me lançai donc à la recherche de toutes choses intéressantes les concernant. L'abbaye. Pas con. Une demeure cachée, reculée, où jamais personne ne mettait les pieds...à part moi. L'odeur acre des hommes me piqua violemment le nez. C'était donc vrai, mes gentils serviteurs ne m'avaient donc pas menti. La végétation entourait le lieu permettant une bonne dissimulation.
«Tu est bien loin de chez toi, Femelle.»
Cette voix...inconnu. Elle était grave, suave avec ce côté bestiale qui vous filiez des frissons. Le vent arrivait soudainement dans le sens inverse m'apportant l'odeur du nouveau venu.
Oh ? Non. Lui ? Impossible.
Les souvenirs se renommèrent d'eux mêmes. Ce loup noir m'avait causé le pire des sommeils. En plus, je pensais qu'il était muet ! Bonne surprise. Et me revoilà, devant lui dans un face à face. Qu'allait-il se passer ? Était-il un membre de "ce groupe" ? Jouons.
"- Eh bien, me voici ici à présent. Je me souviens de toi. Maëlstrom c'est ça ? Comment oublier le jolie minois d'un loup qu'on a croqué."
D'une voix suave, grisante, impossible de résister aux doux appels de la tentation : les chaleurs.
– Réduit la gravité des Blessures reçues
– Augmente la gravité des Blessures de l'adversaire
BONUS PILLAGE (Trait de faction)
– + 5 aux résultats de dé de pillage
– Blessures reçues en cas d'échec de gravité réduites
Compétence d'élite :
Mer 3 Mai - 0:41
Le silence des corbeaux.
Force : 5
Agilité : 2
Endurance : 13
Akuma
Tes yeux croisèrent les miens. Le feu contre la glace. Cette implacable guerre entre ce qu’on jugeait bien et ce qu’on jugeait mal. D’ailleurs ? Comment considérait quelque chose comme gentil et d’autre méchant. Mes griffes s’étaient plantés dans le reste de terre qui errait entre les planques rocheuses de l’abbaye. Il y avait aussi cette odeur. Ces sales femelle et leur odeur de procréation puante. Malgré tout, il s’y trouvait cette odeur enviant qui glissait dans mon museau comme la peste. J’avança d’un pas, ce n’était bien sûr pas la première fois qu’il m’était donner de croiser cette senteur mais l’instinct on n’y pouvais rien. Alors que celle-ci le veulent ou pas, j’allais faire ce qui m’était obliger de faire en tant que male. De force ? Probablement. Ma langue passa rapidement sur mes crocs ne lâchant point ton regard. Tu étais presque belle de loin, en fait comme toute les femelles de ton genre quand elle joue à leur petit jeu de séduction merdique.
"- Eh bien, me voici ici à présent. Je me souviens de toi. Maëlstrom c'est ça ? Comment oublier le jolie minois d'un loup qu'on a croqué."
Maelstrom… Ce nom résonna comme la pire des melodie tel une personne ne sachant pas comment un instrument fonctionne et qui fait un vacarme a s’en rendre sourd jusqu’à la mort. La mort… j’avancai vers toi me rememorant à nouveau cette doux vision de ce champ de bataille chez les Alds’ Cette femelle ébène que j’avais si gentiment fracasser la tête au sol. Je souris de mes crocs et cette femelle en face et son stupide chien de compagnie , d’ailleurs ou est-il celui-la ?
« Tu as decider de sortir sans ton animal de compagnie ? »
Je claqua de la machoire avant de m’élancer vers toi , griffes dehors visant le museau que je pris entre ma gueule. Il fallais faire durer le jeu sinon doit aller finir trop tôt à mon désarroi personnel. Je barrai ainsi ma gueule sur sa voie odorante avant de tirer violamment de facon a cisailler quelque peu son museau et pourquoi pas tâcher cette belle fourrure, je reculai de même en fixant la femelle d’une pointe d’amusement.
« Ou alors était-il ennuyer de supporter la femelle insignifiante que tu est ? »