12-03

Vaincu par un lapin. Cela m'avait rendus presque malade pendant toute la journée. Je grognais ! j'étais bonne à rien ! comment avais pus ne pas sauter avant, ne pas avoir courus assez vite. j'aurais du faire bien plus attention au petit détaille comme au muscle fin de la bête qui trahissait son prochain mouvement j'aurai du y pensé ! Non d'un dieu !
je me lamentai sur mon sort de la sorte depuis la matin. toute la journée j'avais patrouiller et un plus sous la larme du ciel ! en plus d'être sous la pluie, pour me punir je m'étais interdis de manger, avant d'avoir réussit à trouver une proie par moi même. Je n'aimais pas me sentir incapable de faire quelques choses. Le soleil baissa dans le ciel, je rentrai à l'abris dans ma tanière. Je dormis jusqu'au levée de soleil suivant.
Malgré les fourmis dans les pattes, je me levai tous de suite et partit au trot pour aller m’entraîner un peu avant d'aller chasser. Entre le lac et le camp, je me trouvai un petit lieu calme, assez plat et quelques rochers qui me ferrait office d'aide à l'entrainement.
Premier exercice ? Slalomer entre la petite ranger de rochers sans les effleurer. Première tentative , je m’élançai avec souplesse. Mes pattes avant retombaient au ras de la roche et quand à celle arrière, elles touchaient a peine le sol qu'elles me propulsaient vers l'avant pour slalomer le plus rapidement. premier tentative était assez satisfaisant. Mais le reste restait à faire. une fois le slalome fait, je me tournis une nouvelle fois vers le roche mais cette fois j'allais faire un premier aller en sautant entre, puis un retour où je sauterais dessus.
Je pris mon élans, pattes arrières me poussèrent vers l'avant. Le rocher était juste assez haut pour m'obliger à bien pousser sur mes pattes. Mes muscles commençaient à brûler sous l’effort. l'Atterrissage était tous autant complexe car il ne fallait pas s’emmêler les pinceaux, entre se poser, se stabiliser et redonner une autre impulsion. Encore et encore jusqu’à la dernière roche passé. La langue pendais de ma gueule, j'avais chaud, très chaud. et le fait de ne pas avoir manger ne m'aider pas. Mais je n'avais pas flancher maintenant que j'étais partis. je me retournai, montai sur la roche. M'élançai de nouveaux, là la difficulté était de ne pas glisser. Manque de chance, ou de concentration je tombai trois fois et je recommençais trois fois l'exercice en partant du premier , soi du slalome. Après m'avoir assurée, que je savais parfaitement maîtriser ses quelques détailles, j'entrepris de rapprendre à bien ramper. J'avais finit assez vite mon apprentissage grâce à mon père, mais je n'étais jamais assez satisfaite de ma progression et de mes résultats. Le ventre presque à terre, le poids équitablement répartit entre mes quartes membres. La queue basse, mais assez relever pour ne pas faire de vibration sur le sol si celle-ci le touche. Me voilà prête. Je "rampai" comme ça pendant quelques minutes faisant quelques pauses, et me re-ajustant si je sentais que j'étais mal placé où qu'un animal pourrait me 'sentir'.
Le soleil commençait à monter et la faim me tordais le ventre. je me secouai pour enlevée toute la poussière accumulée sur ma fourrure et me redressai. J'avais essayer de voire mes résultats de mon petit entrainement matinal en allant chasser.
Je me mouvai avec souplesse vers l’étang. Me voilà là bas. j'ouvris mes oreilles et fermai les yeux. Je ralentis ma respiration, je respirai l'air et me détendis. J'entendais un titaillement près de moi. J'ouvris doucement les paupières et humai l'air. Une odeurs pas inconnue me monta au museau. Deux ragondins sortaient de leurs troue pour allez se trouver à manger surement. La raison de leurs sortit m’importais peu. Je mis le vent devant moi, mon odeurs était cacher, je baissai mon arrière train, en position. Je rampai doucement. Chacun de mes bruits ou de mes vibrations étaient suffisamment 'habituelle' enfin il ne cassait pas les bruits habituelles de l’étang. Un pas, et encore un. Je voyais maintenant les deux ragondins. là à se fricoter. Je me concentrai dessus. Regardais leurs petits corps à l’affût de leurs prochains mouvements que j’espérais pouvoir intercepté. L'un bougea un peu violemment comme si il avait remarqué quelque chose. mais la bête se calma rapidement. Les deux bestioles bougèrent d'un coup. C'était le moment. Je fit un premier bond et atterri à droite des deux ragondins. Je remarquai leurs muscles se contracter pour aller vers leurs gauche, alors je repris un autre saut pour les bloquer. j'avançai la gueule et pris les deux. Je les sentaient bouger. Je serrai plus fort. la colonne du premier malheureux craqua dans le silence. Croyant que les deux étaient mort je relâchai la pression et les posèrent au sol pour contempler ma petite oeuvre. L'autre pourtant se releva, et partit en courant. Ahurie je le laissai partir. Un ragondin avec une pattoune un moins venait de s'échapper. Face à la situation je ris un bon coup. repris mon bulletin bien plus amaigrit face au court de l'événement. Et repartit vers le camp, manger et me reposer de cette matinée bien chargé.

19-03
Enfin ! c'était répartit pour une nouvelle séance de chasse.
c'est partit, comme d'habitude juste après mettre réveiller, footing jusqu’à l'étang. Petit pause calme, respirer. Expire, inspire..
J'humai l'air, prête.

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'Dé de chasse' : 10, 3

Prête, prête... Trop vite dit. Pile après ma séance de relaxation avant de partir chasser. Pila après le moment ou je rouvris mes yeux, un écureuil me passa entre les pattes. Comme pour me narguer. Perturbée, je paniquai. Je tombais sur le côté et poussai un grognement puis brouillant.
La chasse c'était mort pour aujourd'hui.
Déception. je traînerai la patte tous le reste de la journée et jeûnerais.

20-03
Le soir, à la rentrée de ma ronde j'allais voir si quelques petites proies étaient de sortit. Les sens en alerte, j'écoutai les battements de la nature

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'Dé de chasse' : 7, 10

Deux lapins passèrent. Mais à ma vus ils birfurquerent violemment vers le tanière. Malgré le fait que je fut déjà élancée vers eux. C'était trop tard ils étaient déjà loin dans leurs nits douillet

26-03
Nouvelle journée, nouvelle chance. On tente notre chance.

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'Dé de chasse' : 3, 1

Chance, chance. Et bien elle m'avait abandonner depuis longtemps. La pluie avait fait fuir toutes les proie dans leurs tanières. J'avais beau eu à rester en cachette pendant au moins deux oreilles de soleil. Rien. La pluie m'avait tremper, et je puais. Je rentrais triste dans ma tanière. En passant devant le garde manger je pris un petit lapin et allai le partager avec mon père qui rentrais de sa ronde

08-04
nouvelle journée nouvelle chasse/

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'Dé de chasse' : 12, 10

Et ce fut une nouvelle fois raté ! j'ai bien vus des petites bêtes, mais elles étaient trop loin de moi. Je n'aurais pas pus les attraper sans me crever un œil sur les ronces dans lesquels ils étaient planqués. Je partit donc fouiner partout pour aider notre guérisseur. Fallait bien que je trouve de quoi me soigner et soigner les autres de ma meute , de mon sang.

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'Dé de recherche' :

10-04 Nouvelle chasse

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'Dé de chasse' : 14, 9

J'arrivais dans ma zone de chasse. Le ciel gris menaçait de pleurer. Une odeur aigre imprégnait les terres. Je me devais de finir ma mission avant que les nuages éclatent sur ma fourrure. Tapis dans l'ombre, patiente. J'attendais, un écureuil passa devant moi. Je l'ignora tout près, une proie plus grosse ne faisait pas attention. Je sentais ses pattes taper le sol. Je le sentis se rapprocher. J'entendais déjà son coeur battre. J'attendais le bon moment, c'était pour bientôt. Maintenant. La terre Vola sous l’impulsion de mes pattes arrières. La proie partit sur le côté. Je m'élançais plus rapide que jamais vers elle. Mon entraînements avec Vega et Isa m'avait rappelée à rester zen et consciente de la situation. j'allongeais ma foulée. Le Suivant à la trace. La pauvre petite bête courait. Elle savait déjà que sa mort était proche. Je m'amusais un peu avec elle. La laissant prendre un peu d'avance. Une goutte qui atterrit dans ma fourrure, me donna le signal. Il fallait l'attraper avant que l'acide nous arrose. Une autre foulée, je tendis ma patte. Je sentis ma griffe s’enfoncer dans le chair de l'animal. Une autre foulée, un autre coup de griffe, cette foi elle resta planté en lui. Je sentis la vie partir. J’arrêtai ma course. C'était la fin. Je le pris entre mes crocs et repartis.

15-04
Nouvelle journée triste, nouvelle chasse.

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'Dé de chasse' : 16, 2

Encore une foi les larme de foudre menaçait de me brûler les chairs. Je scrutais l'Etang qui devenait de plus en plus Acide. Je repartis vers nos frontières. Doucement, tous doucement. Je flairais l'air. Un mulot passa. Je m'élança, tapant avec force le sol. Le bruit de mes pas perdaient le pauvre animal. Je voyais ses yeux affolés. Je souriais et salivais déjà. Je jetai ma patte contre le sol, elle tapa le mulot. Surprise d'avoir marcher sur le mulot je sursautai.
- Et mince !*
J'avais écrasée la tête de la bête contre un petit caillou du sol. Je repris quand même le mulot dans ma gueule et partit au trot vers le camp.