Les oreilles en alertent, je cherchais le moindre bruit d'une possible proie, près à traquer et à bondir sur la première malheureuse bête qui passerait. Tapis dans l'ombre j'attendais.

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'Dé de chasse' : 11, 18

Un bruit, l'odeur suivit peu après. A droite un lapin sortait de sa tanière. Les yeux brillant il se croyait seul pour sortir ainsi. Je me léchais déjà les babines. Le lapin fit quelques pas. Il était désormais trop loin de sa tanière pour lui permettre de rester en vie. Mes pattes arrières me firent bondir. J'ouvris la gueule et le malheureux lapin n'eu même pas le temps de me voire arriver. Mes crocs s’enfoncèrent dans sa chair. Je serra la gueule et la vie s'échappa de l'être. Je me redressa avec la proie dans la gueule, tourna ma tête. Un second lapin venait de sortir, mais avec toute le raffut il retourna dans sa tanière.
'Stupide !' Je grogna, j'aurais du attendre plus longtemps, j'aurais pus voir les deux !
Enfin, j'avais quand même eu une proie ! un merveilleux lapin.

Le lapin reposé au garde-manger, je retourna sur mes pas pour me dégourdir. J'adorai marcher. Une fois revenus à mes pas, je regardai voir si d'autres bête étaient de sortit. Mais le cœur n'y était pas, alors je fouina donc un peu partout curieuse de savoir ce que je pouvais trouver.

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'Dé de recherche' :

Je trouvis un bout de tissus, et une plante qui me semblais utile pour la meute. Je ramenai le tout au camp de la meute.
e lendemain, nouvelle garde. Pas un animal pointa sa truffe sur ma course. Alors quand je rentrai de la ronde je me postais dans un coin sombre et tendis l'oreille.
L'odeur de la vase tamisant mon odeur, je me dis que les bête n'aurais aucune chance ! Ce jours là je rapporterais à manger !
Ou pas cela dépendait

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'Dé de chasse' : 10, 8

Deux lapins passèrent. Bien dodus. Mais encore une fois je loupai mon atterrissage et atterrit sur mes proies. Je ne pus même pas les attraper. Je rentrai donc au camp pestant comme jamais sur moi. J'avais trop espéré et un dieu ou les dieux avaient punis mon envie. Je rentrai donc au camp pour aller dormir déçus.

Le lendemain , rebelote. je me retrouvais dans mon terrain de chasse.
Les oreilles en alertent, je cherchais le moindre bruit d'une possible proie, près à traquer et à bondir sur la première malheureuse bête qui passerait. Tapis dans l'ombre j'attendais.

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'Dé de chasse' : 5, 18

Un lapin sortit de son troue. Je sortit de ma cachette. mais il fut plus rapide et le lapin déguerpis aussi vite que le vent. M'enfin, je n'allais pas en rester là. Je me tapis de nouveaux dans les ronces, protégé par mon pelage je ne sentais rien. J'humai l'air. Rien, j'attendis, le soleil baissa dans le ciel jaunâtre. Des nuages gris passaient devant et faisaient jouer la lumière. Crack. Une branche venait de se casser, je tendis, un ragondin passa juste devant moi. D'un coup de pas sur la gorge je le plaquai au sol. D'un coup de crocs dans la tête je le reportai à ma meute.

Le soir, quand la lune amorça sa descente. Le huitième jour du mois commençait.
Je repartit pour une nouvelle ronde. En passant devant l'Etang j'écouta les bruits de la nuit.

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'Dé de chasse' : 8, 12

Deux bestioles me fila entre les griffes. En même temps j'avais a peine réagit en les voyant. j'haussa les épaules et continua ma route

Je sortit de ma tanière. La lumière m'aveugla. Je fis quelques pas hasardeux et maladroit. Bâillement. Mes pattes me portèrent jusqu’à l'étang. J'avais pris la décision d'aller chasser tout les jours et soit avant ou après ma garde, pour que plus jamais, la famine vienne emporter nos loups.
J'entrais dans l’arène. Je changeai de poste. La queue basse, le museau au sol je pistais une proie.
Un lapin était déjà passé par là. Pas longtemps auparavant. Mes oreilles dressés. A l’affût. Je suivais la trace.

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'Dé de chasse' : 4, 3

Je mis mon ventre à terre, ma proie était tout près. Je rampai sur le sol. L'arrière train juste relevé pour pouvoir bondir sur ma proie. J'essayais de prévisualiser la scène. Je serrais les dents. Je devais rester connecté aux moindres mouvements. Je sentis les les vibrations du sol. La proie courait.
Entre les dents je m’injuriai.
Je pris mon élan, sur plusieurs mètres je suivis le lapin. Lui laissant aucun répits. Mes pattes frôlaient à peine le sol que déjà ils me propulsaient plus loin. Ma fourrure me fouettait à cause de la vitesse. Je plissais les yeux. Je sautais au dessus des ronces, coûtes que coûte je voulais cette proie. Le lapin courait juste devant moi, je pouvais sentir l'odeur de sa peur. D'un coup il bifurqua sur le côté. Je Hurlai comme pour l’arrêter
-L'eau !
Le lapin trop occupé à fuir, plongea dans l'eau. Je plongeai à mon tour, d'un coup de pas puis d'un autre je restais en dehors de l'eau. La fatigue vint portant très vite. Le lapin à coté , essayait toujours de fuir en vain.
Je fis un coup de patte en sa direction, mais le lapin fut pris d'une crise cardiaque. Choqué, je me concentrai à nager pour ne pas me noyer. Le lapin commençait à couler sans que je puisse rien faire. Mes pattes s’engourdissaient face à l'eau froide. Le mouvement devenait difficile et j'allai vite trouver le bords. Je remontai sur le terre ferme avec difficulté, vaincus par un lapin.

Dé.

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'Dé de chasse' : 15, 9