Souffle acide du vent, larmes brulantes du ciel. Le monde ne ressemble plus aux paysages d'autrefois. Les cataclysmes ont frappé, des colonnes de flammes et de fumées se sont élevées sur l'horizon. La guerre. La guerre des hommes. Et nous, les loups n'avons eu d'autres choix que de fuir. Nombreux furent nos congénères emportés. Nous traversâmes les plaines cabossées, les forêts de cendres, poursuivis par la faim, traqués par la mort.
Notre salut, nous le devions malheureusement à ceux qui avaient provoqué notre malheur.
Le lendemain, Epsilon se rendit dans le sous-bois afin de continuer à y chasser. Sur son chemin, il aperçut un écureuil en train de descendre d'un arbre. S'approchant silencieusement, il s'arrêta non loin de lui. Dès que le petit animal fut au sol, il prit son élan et se jeta vivement dans sa direction, contournant agilement les troncs pour venir faire claquer ses mâchoires près de l'écureuil. Celui-ci parvint à lui échapper de justesse, puis se mit à courir à travers la forêt. Epsilon le poursuivit rapidement, battant le sol de ses pattes à un rythme régulier. Devant lui, le petit écueil contournait vivement les arbres. Il courait de gauche à droite, bifurquant parfois soudainement dans une autre direction. Epsilon tentait de le suivre du mieux qu'il pouvait, accélérant l'allure. Ses muscles étaient tendus à force de faire des écarts, des changements de directions, ou bien d'esquiver les arbres et rochers qui se trouvaient sur sa route.
La poursuite commençait à devenir longue lorsque sa proie bondit rapidement sur un tronc d'arbre pour se mettre à l'escalader. Epsilon exécuta un long saut, déployant ses pattes vers l'avant. Ouvrant ses mâchoires, il tenta d'attraper l’écureuil avant que celui-ci ne monte trop haut, mais il le loupa de peu. Il retomba au sol en voyant sa proie disparaitre dans le feuillage, les muscles tendus.
Quelques jours plus tard, Epsilon trouva un cerf au beau milieu du sous-bois. S'approchant silencieusement, le loup blanc plaqua son corps au sol, ses membres en suspension. Tout en prenant soin de ne pas écraser les brindilles qui se trouvaient au sol, il s'arrêta non loin du cerf, analysant la distance qui le séparait de lui. Il prit alors une profonde inspiration, se prépara, puis s'élança rapidement vers l'avant. Devant lui, le cerf se mit à détaler à travers la forêt. Epsilon le poursuivit, étendant rapidement ses pattes d'avant en arrière. Il se mit à esquiver agilement les arbres, vacillant entre eux pour poursuivre sa proie le plus rapidement possible. Il courut ainsi sur de nombreux mètres, sentant les muscles de son corps se contorsionner. Bientôt, ils arrivèrent devant une petite rivière. Le cerf s'engagea à l’intérieur afin de lui échapper. Epsilon accéléra rapidement l'allure, bondissant dans l'eau. Moulinant vivement avec ses pattes, il se mit alors à nager le plus vite possible, sentant ses muscles se fatiguer. Une fois sorti de l'eau, il continua de courir, esquivant une nouvelle série d'arbres.
Après un certain temps, il sentit son endurance arriver à ses limites. Accélérant l'allure, le loup blanc rejoignit alors sa proie, elle aussi fatiguée par leur course. Il lui mordit les pattes, reculant rapidement afin d'éviter les coups de sabots que le cerf lui envoyait. Il esquiva agilement plusieurs coups avant de continuer à mordre sa proie, bandant ses muscles, jusqu'à ce que le cerf trébuche au sol. Epsilon ne lui laissa pas le temps de se relever. Il se jeta à la gorge de sa proie afin de l'achever.
Un renard se trouvait près de leur campement. Epsilon l'avait senti en revenant de patrouille. Il avait donc suivi sa piste jusqu'à le retrouver, non loin d'un point d'eau. En sentant son odeur, le renard se mit à s'enfuir rapidement. Epsilon s'élança vivement à sa poursuite, le rattrapant en quelques foulées rapides. Il bondit agilement vers lui, refermant ses mâchoires sur sa queue, puis bandant ses muscles afin de le stopper en plein élan. Glapissant, le renard manqua de s'écraser au sol. Il se retourna vivement vers lui, tentant de lui assener un coup de crocs. Epsilon relâcha la queue de son adversaire, recula agilement, puis le contourna pour venir lui mordre la hanche. Il le repoussa ensuite d'un violent coup de tête, manquant de le faire tomber. Déstabilisé, le renard revint à l'attaque, se ruant rapidement sur lui. Epsilon esquiva chacun de ses assauts, bondissant sur les cotés avec agilité. Il attendit que son adversaire se rapproche une dernière fois pour lui donner un puissant coup de patte dans la tête.
Sonné, le renard recula. Epsilon se jeta à sa gorge, l'attrapa fermement entre ses mâchoires, puis le souleva avec force. Bandant les muscles de ses épaules et de sa nuque, il projeta sa proie à terre, avant de l'écraser sous ses pattes. En dessous de lui, le renard se mit à se débattre. Epsilon le retint au sol avec toute sa puissance, puis abaissa la nuque jusqu'à sa jugulaire afin de lui prendre la vie.
Le lendemain, Epsilon aperçu un lapin au beau milieu du sous-bois. Il se camoufla discrètement, contournant sa proie afin de s'en approcher le plus possible. Il s’aplatit ensuite au sol, se prépara, puis se jeta droit sur lui. Le lapin partit vivement en direction des arbres, tentant de lui échapper. Epsilon le poursuivit rapidement, esquivant les troncs tout en accélérant progressivement l'allure. Des tas de ferrailles humains apparurent alors dans son champ de vision. Il se mit à sauter par dessus, les muscles tendus. Le chemin était difficile et les obstacles étaient nombreux. Il continua donc de franchir les tas de ferraille à l'aide de sauts agiles tout en continuant de poursuivre sa proie le plus rapidement possible. Plus loin, d'autres obstacles l’empêchaient de courir en ligne droite. Bandant ses muscles avant chaque saut, Epsilon continua de poursuivre sa proie, exécutant tantôt des bonds hauts, tantôt des courts.
Les muscles tendus, il sortit de cette zone difficile avec soulagement, se permettant enfin d’accélérer l'allure. Devant lui, le lapin était rapide. Il s'engagea dans un petit marécage boueux, puis se remit à courir. Epsilon le suivit, détachant ses pattes de la vase avec sa force. Lorsqu'il en ressortit, il repartit le plus rapidement possible, continuant d'esquiver agilement les arbres qui se trouvaient sur sa route. Au bout d'un certain temps, le lapin commença à ralentir. Epsilon en profita pour sprinter rapidement vers l'avant, courant à toute allure. Il se jeta vivement en direction de sa proie, faisant claquer se mâchoire sur sa nuque et le stoppant en pleine lancée.
Le lendemain, Epsilon aperçu un castor nager au milieu de la rivière. De petits rochers se trouvaient à la surface de l'eau, créant un petit chemin vers l'autre rive. Il bondit agilement sur l'un d'entre eux, rassemblant ses pattes en son centre, puis se mit à bondir vivement de l'un à l'autre, jusqu'à se retrouver assez proche du castor pour sauter à l’intérieur de l'eau. Il se mit alors à nager à contre-courant, moulinant rapidement à l'aide de ses pattes. Avancer ainsi lui demandait un réel effort, tant et si bien que ses muscles commençaient à être raides. Devant lui, le castor était plus rapide.
Epsilon continua de nager, le plus rapidement possible. Il n'était plus très loin de sa proie lorsque celui-ci disparu de sa vision en plongeant profondément dans la rivière. Restant sur place, Epsilon comprit que le castor avait regagné son terrier. Il regagna alors la rive, ses muscles endoloris par sa nage.
Quelques temps plus tard, Epsilon découvrit un glouton à l'orée de la forêt. L'animal semblait belliqueux et agressif. S’approchant de lui, il attendit que le glouton tente de l'attaquer en premier pour l’esquiver agilement, puis pour planter fermement ses crocs dans la peau de son épaule. Secouant vivement ses mâchoires, il posa ensuite sa patte antérieure sur le corps de son adversaire afin de s'y appuyer fermement puis de le repousser vers l'avant. Le glouton gronda en reculant, déstabilisé. Il tenta de se jeter à nouveau sur lui, tous crocs dehors. Encore une fois, le loup blanc esquiva chacune de ses attaques. Il se déplaça agilement sur les cotés, jusqu'à ce que le glouton se mette suffisamment à portée pour qu'il lui donne un coup de crocs dans la nuque.
Soulevant ses pattes avant, Epsilon les appuya avec force sur la nuque de son adversaire tout en continuant de lui entailler la chair. Il banda ses muscles pour repousser puissamment le glouton sur le coté et le forcer à tomber au sol. L'animal tenta de se redresser, mais Epsilon fondit rapidement sur lui, l'écrasant de toutes ses forces. Il plongea alors vers l'avant pour enfoncer ses crocs dans sa gorge, l'achevant d'un coup sec.
Le lendemain, Epsilon revint dans le sous-bois. Dans la clairière, il vit une biche en train de brouter. S'aplatissant au sol, le loup blanc se dirigea discrètement vers elle, ses pattes en suspension afin de ne pas se faire remarquer. Il attendit de se trouver à quelques mètres d'elle, prit son élan, puis fondit droit dans sa direction. En le voyant arriver, la biche se mit à courir jusqu'à la forêt. Epsilon la poursuivit rapidement, élançant ses pattes d'avant en arrière à toute vitesse. Il se mit à zigzaguer agilement entre les arbres, de plus en plus rapidement. Devant lui se trouvaient quelques troncs d'arbres tombés à terre. Cherchant à prendre un raccourci, le loup blanc se dirigea vers eux. Il franchir le premier d'un long saut, se rétablit de l'autre coté, puis s'élança rapidement en direction du deuxième. Soulevant ses pattes bien haut, il le franchit à son tour, toujours plus rapide. Ses muscles étaient bien échauffés lorsqu'il franchit le troisième d'un saut court et rapide. Il continua de franchir tous les obstacles qui se trouvaient sur son chemin sans faiblir, sentant ses muscles travailler.
Devant lui, la distance qui le séparait de la biche s'était réduite. Après une longue poursuite, celle-ci commença à ralentir, permettant au loups blanc de se rapprocher. Epsilon se jeta rapidement vers l'avant, sprintant afin de rattraper sa proie en quelques mètres. Ouvrant se mâchoires, il attrapa l'une de ses pattes entre ses crocs et se mit à la mordre avec puissance. La biche tenta de se défendre en lui portant un coup de sabot au visage, mais Epsilon l'esquiva prestement. Il continua de la mordre, puis d'éviter ses coups jusqu'à ce qu'elle commence à ralentir pour de bon, lui permettant, à l'aide d'un puissant saut, de lui sauter à la gorge. Entaillant profondément la chair de sa proie, Epsilon l'lacheva d'un coup sec.
Quelques temps plus tard, Epsilon repéra une loutre près de la rivière. En l'apercevant arriver, celle-ci s'empressa de plonger dans l'eau. Il la suivit, bondissant rapidement à l’intérieur de la rivière pour se mettre à y nager avec vigueur. Moulinant avec ses pattes, il tenta de suivre sa proie malgré le courant qui l’empêchait d'avancer. Il nagea aussi rapidement que possible, tous ses muscles en action, jusqu'à sentir ces derniers s'alourdir de fatigue. Devant lui, la loutre était évidemment plus à l'aise. Elle avançait dans l'eau à une vitesse remarquable, mettant de plus en plus de distance entre eux. Epsilon donna encore de la puissance à sa nage, fendant l'eau contre son corps au rythme de ses battements de pattes, mais sa proie était décidément plus rapide.
Elle quitta soudainement la rivière pour se mettre à courir sur de petits rochers à la surface de l'eau. Epsilon se hissa sur l'un d'entre eux, puis se mit à la poursuivre en sautant agilement de l'un à l'autre, prenant arde de ne pas déraper avec ses pattes. Au bout du chemin, il sentit que ses articulation étaient bien détendues, mais il avait raté sa proie. Celle-ci s'était engouffrée à l’intérieur de sa tanière, se mettant hors de sa portée.
Quelques jours plus tard, le loup blanc trouva la trace d'un lièvre près d'un petit sentier. En la suivant, il découvrit le petit animal devant un amas de buissons épais. Se plaquant contre le sol, Epsilon se rapprocha discrètement de sa proie. Il analysa la distance qui le séparait du lièvre avant de se redresser pour se ruer droit sur lui. Sa proie s'enfuit en direction des buissons. Bondissant rapidement par dessus la végétation, Epsilon ne le perdit pas de vue. Il se mit à esquiver agilement les buissons qui lui bloquaient la route, ses pattes se frayant un chemin à travers eux. Plus loin, il accéléra l’allure afin de sauter par dessus plusieurs troncs d'arbres qui jonchaient le sol. Étendant bien ses membres vers le haut, il les franchit tous à la suite, sentant ses articulation se tendre et se détendre au fur et à mesure qu'il progressait.
Lorsqu'il eut sauté par dessus le dernier obstacle, ses muscles étaient déjà bien échauffés. Epsilon se mit à sprinter rapidement en ligne droite, rattrapant sa proie d'une traite. Sur son chemin, des flaques de boues recouvraient le sol. Il continua donc de courir le plus rapidement possible tout en esquivant vivement ces dernières, se rapprochant de plus en plus du lièvre. Au bout d'un certain temps, il commença à se trouver assez proche de lui pour tenter de l'attraper. Il courut donc vivement vers l'avant, bondissant prestement pour atterrir droit sur la nuque du petit animal, qu'il broya entre ses crocs.
Le lendemain, Epsilon rencontra un renard sur le sentier qui menait au camps Sekmet. Lorsqu'il sentit sa présence, celui-ci se retourna en montrant les crocs, poussant un grognement aigu. Le loup blanc se rua droit sur lui, le taclant rapidement de l'épaule avant de planter ses mâchoires entre ses omoplates. Glapissant de douleur, le renard se tortilla entre ses crocs afin de lui échapper. Bandant ses muscles, Epsilon le relâcha violemment. Il recula d'un geste vif et précis afin d'éviter les mâchoires de son adversaire, se déportant sur la gauche. Déstabilisé, le renard tenta à nouveau de s'attaquer à lui. Il envoya ses mâchoires dans sa direction, mais Epsilon les esquiva à nouveau. Il bondit agilement sur le coté, puis derrière son adversaire. Avant qu'il n'ait eu le temps de se retourner, le loup blanc planta ses crocs dans son flanc, y appuyant fermement ses mâchoires. Le renard tenta de se débattre, mais Epsilon le retint avec force. Il finit par le relâcher vers l'avant, lui assenant au passage, un vif coup de patte au visage.
Désorienté et épuisé, son adversaire chancela. Il essaya de le mordre à l'épaule, mais Epsilon se déplaça rapidement vers sa droite, enfonçant violemment ses crocs dans sa nuque. Appuyant à l'aide de ses mâchoires et des muscles de sa nuque, il acheva le renard d'un coup sec
2 ème proie :
Ce matin, Epsilon avait senti la trace d'une biche, encore toute fraiche. En la suivant, il la découvrit au beau milieu d'une clairière. Elle ne semblait pas se douter de sa présence. Avançant discrètement, il s'en rapprocha un maximum avant de partir à sa poursuite, élançant rapidement ses pattes en avant. Devant lui, la biche se mit à courir à travers un champs de boue. Pour ne pas perdre en vitesse, le loup blanc se mit à esquiver agilement les zones boueuses, continuant de courir le plus rapidement possible. Sur son chemin, il aperçu des rochers qui pouvaient lui servir de promontoire. Il se dirigea donc dans leur direction, se mettant à sauter rapidement de l'un à l'autre. Prenant garde aux endroits ou il plaçait ses pattes, le loup blanc continua de courir sur eux, bondissant agilement, jusqu'à se retrouver hors du champ de boue. Il fit un dernier saut pour rejoindre la terre ferme et se mettre à y courir rapidement, ses muscles tendus par la vitesse à laquelle il courait.
La biche était rapide, mais en terrain plat, elle perdait de la distance. Epsilon avançait de plus en plus rapidement. Il se retrouva bientôt assez proche d'elle pour commencer à s'attaquer à ses pattes. Il fit rapidement claquer ses mâchoires sur les chevilles de sa proie, lui entaillant la peau. La biche lui donna un rapide coup de patte qu'il esquiva en bondissant agilement sur le coté. Epsilon continua de lui mordre les pattes sans faiblir, soutenant toujours la même vitesse. Après avoir donné plusieurs coups de patte qu'il avait tous évités et s'être faite mordre à chacun de ses postérieurs, la biche se mit à boiter. Epsilon en profita pour lui donner le coup final. Bondissant vivement à sa gorge, il l'encercla entre ses pattes et y mordit fermement, la faisant chuter au sol. Il l'acheva ensuite d'un coup sec.
Quelques temps plus tard, Epsilon avait suivi la trace d'un lapin jusqu'à le retrouver, au cœur de la forêt. Dès qu'il l'aperçut, le petit animal se mit à fuir aussi vite qu'il le pouvait. Le loup blanc se lança à sa poursuite, partant à vive allure. Il sprinta agilement entre les nombreux arbres qu'il rencontrait, poursuivant sa proie de plus en plus rapidement. Ses muscles étaient bien échauffés lorsqu'ils arrivèrent tous les deux sur un terrain rempli de nombreux déchets humains. En arrivant face à eux, Epsilon entreprit de les franchir à l'aide de longs sauts. Il commença donc par franchir agilement le premier, se retrouvant vite de l'autre coté. Il enchaina ensuite sur le second, au dessus duquel il pondit prestement, étendant bien ses pattes pour se diriger directement vers le troisième. Au bout du parcours, il se remit à courir vivement, à la poursuite de sa proie. Il le rattrapa en quelques foulées, mais le lapin bifurqua soudainement vers la droite.
Réactif, Epsilon le suivit agilement. Ils coururent alors tous les deux sur une montée, donnant tout ce qu'ils avaient afin d'aller le plus vite possible. Ses muscles alourdis par sa course, le loup blanc sprinta, toujours plus vite. Il rejoignit le haut de la montée en plusieurs mètres, s'élança en direction de sa proie, puis sauta vivement vers le haut. Il retomba alors sur la nuque du lapin, qu'il saisit fermement entre ses crocs. Entre ses mâchoires, le petit animal se mit à se débattre, mais Epsilon l'acheva d'un coup sec, après l'avoir retenu au sol avec sa force.
Epsilon traquait une proie depuis une bonne partie de la journée lorsqu'il avait découvert un chevreuil, situé près d'une zone rocailleuse. S'approchant de lui, le loup blanc se dissimula derrière des rochers. Il avança délicatement, posant doucement ses pattes sur le sol, jusqu'à se retrouver à quelques mètres du chevreuil. Prenant son élan, le loup blanc se concentra, bondit rapidement sur le rocher derrière lequel il se cachait, puis se jeta en direction de sa proie. En le voyant arriver, le chevreuil se cabra puis s’élança à travers la zone rocailleuse. Epsilon le suivit, sautant vivement d'un rocher à l'autre. Il sentait ses muscles travailler au fur et à mesure qu'il bondissait, de plus en plus vite et avec de plus en plus de précision. Devant lui, le chevreuil était très à l'aise. Il avançait à une vitesse impressionnante, si bien que le loup blanc devait sans cesse accélérer et garder le rythme afin de ne pas le perdre de vue.
Il continua de bondir de rochers en rochers jusqu'à ce que le sol devienne plus praticable. S'élançant à vive allure dessus, il esquiva agilement les pierres et autres crevasses qui entravaient son passage. A force de courir et de sauter, il sentait ses muscles se fatiguer. Devant lui, sa proie semblait elle aussi avoir ralenti. Il se rua donc rapidement vers l'avant, bondissant sur une pierre plate, puis sautant à nouveau à terre afin de se retrouver à quelques mètres de lui. Les crocs sortis, il se mit alors à attraper brièvement ses pattes entre ses mâchoires, cherchant à le faire chuter au sol. Le chevreuil tenta de lui donner plusieurs coups de sabots, mais il les esquiva les uns après les autres, sautant agilement de gauche à droite. Finalement, sa proie cessa de lutter. S'écrasant contre le sol, il permit au loup blanc de lui sauter à la gorge afin de l'achever.
2 ème proie :
Quelques temps plus tard, Epsilon se trouvait dans le sous-bois lorsqu'il tomba nez-à-nez avec un chien. Celui-ci, visiblement très agressif, se dirigea vers lui en aboyant. Il se mit ensuite à courir droit sur lui, les crocs sortis, tentant de s'attaquer à la peau de son épaule. Epsilon se déporta rapidement sur le coté, esquiva les mâchoires de son adversaire, puis bondit rapidement derrière ce dernier. Il planta alors ses crocs dans sa hanche avant de reculer à nouveau. Grondant, le chien se retourna pour essayer de l'attaquer encore une fois. Epsilon le laissa venir, puis l'esquiva encore au dernier moment, lui donnant un nouveau coup de crocs, dans la nuque, cette fois. Il décida alors de passer à l’attaque pour de bon, se ruant avec vélocité sur son adversaire, qu'il empoigna au poitrail afin de le mordre férocement. Le chien tenta de lui donner des coups de pattes, mais Epsilon le relâcha avant qu'il n'en ait eu le temps.
Il fit un petit bond en arrière, puis contourna son adversaire afin de venir le mordre au visage. Plaçant ses pattes de part et d'autres de sa nuque, il le retint alors avec les muscles de ses pattes, l'attrapant fermement en dessous de la gorge. Il resserra son étreinte, forçant le chien à s’aplatir au sol, puis l'y écrasa fermement avec toute la puissance de ses pattes. Epsilon attendit que son adversaire soit complétement immobilisé en dessous de lui avant de lui donner le coup final, refermant ses mâchoires sur sa jugulaire.
Quelques jours plus tard, Epsilon dénicha un furet alors qu'il chassait dans le sous-bois. Le vent étant contre lui, le petit animal ne mit pas longtemps à se sentir en danger et à s’enfuir vivement entre les arbres. Le loup blanc se lança à sa poursuite, étendant rapidement ses pattes sur le sol meuble du sous-bois. Il se mit à vaciller habilement entre les arbres, esquivant leurs troncs au fur et à mesure qu'il courait, de plus en plus vite. Au bout d'un certain temps, ils arrivèrent dans une zone ou plusieurs arbres étaient tombés à terre. Accélérant l'allure, Epsilon bondit de l'un à l'autre, se réceptionnant agilement sur leurs souches. Il continua de sauter, sentant les muscles de ses pattes travailler au fur et à mesure qu'il franchissait les obstacles.
Devant lui, le furet était rapide. Il le poursuivit sans faiblir, accélérant l'allure tendis qu'il esquivait ou bien bondissait par dessus les arbres tombés. Le parcours était long, mais plus il avançait, et plus il se sentait à l'aise dans ses sauts. Epsilon commençait à rattraper sérieusement sa proie lorsque celle-ci bifurqua soudainement sur le coté, le forçant à faire un écart. Le loup blanc s'empressa de poursuivre le furet, sprintant aussi rapidement que possible, mais sa proie réussit à disparaitre dans un trou avant qu'il n'ait eu le temps de refermer ses mâchoires sur elle... Grondant, il recula, repartant à la recherche d'une autre proie.
Le lendemain, le loup blanc se trouvait près d'une petite clairière boueuse lorsqu'il aperçu une jeune biche, de l'autre coté. S'abaissant jusqu’au sol, il la fixa du regard tout en avançant, son corps en suspens sur ses articulations. Pour la rejoindre le plus rapidement possible, il allait devoir franchir la zone boueuse. Il prit donc son élan avant de foncer vivement vers l'avant, étendant ses pattes aussi vite qu'il pouvait. Évitant les zones qui semblaient plus boueuses et plus profondes, Epsilon se mit à zigzaguer agilement entre les marres de boue. Il bondit au dessus de celles qui n'étaient pas très étendues, continuant sa course jusqu'à être forcé d'entrer dans la matière visqueuse. La boue le ralentissait, mais il parvenait à conserver une allure rapide en détachant bien ses patte à chaque foulée. Il sentit ses muscles travailler jusqu'à être complétement sorti de la zone boueuse.
Non loin de lui, la biche avait déjà commencé à fuir. Il se mit à la poursuivre à grande vitesse, accélérant l'allure au fur et à mesure qu'il courrait. Il s'engagea à l’intérieur de la forêt, se mettant à esquiver habilement les arbres sur sa route, se frayant le chemin le plus rapide vers sa proie. Sprintant rapidement vers l'avant, Epsilon finit par rejoindre la biche, qu'il commença à attaquer aux pattes. Celle-ci tenta de répliquer en lui assenant quelques coups de sabots, mais il les esquiva tous avec vivacité, bondissant agilement sur les cotés. Lorsque sa proie commença à fatiguer, il bondit rapidement vers sa gorge, qu'il saisit fermement entre ses mâchoires. La biche chancela avant de s'effondrer au sol. Epsilon l'écrasa de toutes ses forces, bandant ses muscles tout en enfonçant ses crocs dans sa gorge.
Quelques jours plus tard, Epsilon fit la rencontre d'un renard en plein cœur de la forêt. S'élançant agilement dans sa direction, le loup blanc le tacla violemment à l'épaule avant d'enfoncer sa crocs dans sa gorge. Il secoua la nuque, puis le relâcha violemment, plus loin. Chancelant, le renard se releva pour venir l'attaquer à son tour. Tous crocs sortis, il tenta de le mordre à plusieurs reprises. Epsilon esquiva agilement ses crocs, se déplaçant rapidement de droite à gauche et d'avant en arrière. Il attendit que son adversaire soit fatigué par ses attaques dans le vide avant de revenir à l'assaut, le saisissant vivement au poitrail. Refermant rapidement ses mâchoires, il appuya son adversaire vers le bas tout en continuant de la maintenir fermement. Aplati au sol, le renard tenta de le mordre à nouveau, mais Epsilon l'esquiva une fois de plus.
Il recula vivement, desserrant ses mâchoires pour laisser son adversaire se relever. Le renard essaya encore une fois de l'attaquer, sans succès. Il avait beau être habile et rapide, le loup blanc l'esquivait a chaque fois, se dépotant rapidement hors de sa portée. Il finit par plonger sa tête vers l'avant, refermant vivement ses crocs sur la gorge du renard. Entre ses mâchoires, son adversaire se mit à gigoter. Epsilon banda alors ses muscles, broyant sa gorge sous ses crocs.
2 ème proie :
Le lendemain matin, Epsilon se rendit à nouveau dans le sous bois de grenade. Il se mit à la recherche d'une proie, parcourant les lieux de long en large avant de finalement découvrir la piste d'un lièvre, dans les fourrés. S'abaissant vers sa proie, le loup blanc s'en rapprocha le plus possible. A quelques mètres de lui, il se redressa sur ses articulations, puis il bondit rapidement vers l'avant. Le lièvre se mit à fuir à travers les buissons. Epsilon le suivit, bondissant vivement par dessus la végétation. Il se mit à courir aussi vite que ses pattes le lui permettaient tout en esquivant les obstacles, étirant ses pattes à leur maximum afin de franchir les autres buissons qui se dressaient devant lui. Ses muscles déjà bien échauffés, le loup blanc continua de courir ainsi, se frayant un chemin à travers les buissons du mieux qu'il pouvait.
Devant lui, le lièvre finit par tourner vivement sur le coté, s'élançant à travers le sous bois, dans une zone jonchée de débris humains. Epsilon alla agilement à sa suite, se dirigeant vers les petites montagnes de détritus qu'il escalada rapidement. Il alla de l'une à l'autre, toujours plus rapidement. Il continua de courir ainsi, montant et descendant vivement les pentes et les montées jusqu'à s'éloigner enfin des déchets humains. Il se mit alors à accélérer d'un coup, s'élançant à toute vitesse en direction de sa proie, les muscles bandés. Exécutant un puissant bond vers le haut, Epsilon retomba droit sur le lièvre. Il le saisit rapidement entre ses crocs et l'acheva d'un coup sec.
Quelques temps plus tard, Epsilon trouva un lapin près de l'orée de la forêt. Dès qu'il le remarqua, le petit animal se mit à courir sous le couvert des arbres. Le loup blanc se lança rapidement à sa poursuite, se mettant à sprinter entre les troncs. Il les dépassait à vive allure, zigzaguant vivement de gauche à droite. Bientôt, ils pénétrèrent dans une zone rocailleuse. Pour continuer d’avancer sans perdre le rythme, Epsilon se mit à bondir d'un rocher à l'autre, étendant les muscles de ses pattes afin d'aller le plus loin possible. Se posant sur les pierres avec précision, il commença à aller de plus en plus rapidement, rattrapant peu à peu sa proie. Au bout du chemin, le loup blanc fit un dernier bond puis regagna la terre ferme. Il continua de poursuivre sa proie à travers la forêt, esquivant de mieux en mieux chaque obstacle qui se dressait devant lui.
Il avait atteint une bonne vitesse lorsqu'il remarqua quelques crevasses au sol. Réactif, Epsilon se mit à les franchir à l'aide de sauts courts et rapide, qu'il enchaina sur plusieurs mètres. De l'autre coté des crevasses, il sentait que ses muscles étaient tendus. Il continua de poursuivre le lapin le plus rapidement possible, poussant sur ses pattes. Après plusieurs mètres, il parvint enfin à s'approcher suffisamment de sa proie pour bondir agilement vers elle et refermer ses mâchoires sur sa nuque.
Le lendemain, Epsilon trouva un autre renard dans le sous-bois. S'approchant de lui, le loup blanc fit mine de l'attaquer par devant, mais s'arrêta au dernier moment pour bondir rapidement sur le coté et le mordre aux cotes. Poussant un grognement, le renard tenta de répliquer, mais Epsilon était déjà loin de lui. Sautant vivement sur le coté, le loup banc esquiva les attaques de son adversaire avec habilité. Il le contourna ensuite pour lui donner un puissant coup de patte au visage. Reculant, le renard chancela, sonné. En reprenant ses esprits, il se jeta droit sur lui, ses mâchoires grandes ouvertes. Le loup blanc les esquiva à nouveau à l'aide de mouvements rapides et agiles.
Il revint ensuite à la charge, plantant vivement ses canines dans le cou de son adversaire. Forçant sur les muscles de son corps, il appuya fermement sur sa prise, bousculant le renard vers le sol. Celui-ci tenta de se libérer en gigotant, mais Epsilon le maintenait fermement. Il l'écrasa sous son poids, déplaçant ses crocs jusqu'à sa jugulaire, qu'il mordit jusqu'à ce que le renard cesse de bouger.
Quelques jours plus tard, Epsilon découvrit la piste d'un autre lapin près de la lisière du sous-bois. S'aplatissant au sol, le loup blanc avança discrètement en direction de sa proie, l’apercevant non loin de lui. Il prit une profonde inspiration avant de se jeter vivement vers l'avant, courant à vive allure droit sur le lapin. Ce dernier se mit à fuir en direction de la forêt, s'enfonçant dans une zone jonchées de débris humains. Epsilon le poursuivit rapidement, se mettant à esquiver les obstacles avec agilité. Il sauta par dessus les petites montagnes les moins hautes, étendant bien ses membres afin d'aller le plus rapidement possible. Il les franchit une à une, sentant les muscles de ses pattes travailler. Les dernières étant trop difficiles à escalader, il prit son élan et bondit vivement par dessus. Il enchaina les sauts, jusqu'à se retrouver hors du champs de déchets humains.
Il put alors continuer de courir beaucoup plus rapidement, s'élançant à toute vitesse derrière sa proie. Il se mit à poursuivre le lapin à travers le sous-bois, esquivant agilement les arbres qui se dressaient sur sa route. Peu à peu, il gagnait du terrain sur sa proie. Il continua donc d'avancer, de plus en plus rapidement. Il fut bientôt assez proche du lapin pour bondir agilement vers l'avant, refermant habilement ses crocs sur la nuque du petit animal, qu'il acheva en un coup sec.