Je m'ennuyais et avais donc décider de me balader. J'avais manger quelques oisillons que j'avais dénicher et n'avais donc pas faim.Khan me suivais toujours et me fesait un peu d'ombre. De toute manière, la forêt était loin d'être dégarnie d'arbre et l'oiseau ne me servais pas vraiment à grand chose. Enfin bref, j'avançais à travers les arbres, lassé. Cette chaleur était vraiment casse pied ! Je trottinais la langue pendante à la recherche d'un endroit au frais, d'un petit oint d'eau non pollué, en vain. Les branches craquais sous mon poids et n'importe quelle animal m'aurais entendu venir. D'ailleurs, il me semblais avoir interrompue la chasse de quelqu'un, pas n'importe qui, Naïa. J'avais reconnue sont odeur agréable et son pelage blanc. Cette louve, comment l'oubliée ! Je l'avais rencontré un soir bien sombre mais je m'y étais en quelques sortes attaché. Quant elle me vit, m'adressant un sourire puis elle me salua.

- Bonjour Aaron.

Je m'approchais d'elle, heureux de la revoir. Elle ne me dit rien à propos de sa chasse que j'avais gâchée, un coup de chance ! Puis Khan crôassais et partis se poser sur une branche.

- Salut Naïa ! Heureux de te revoir, tu vas bien ?

Je m'attendais à mieux de ma part, mais j'étais si heureux de la revoir que je ne savais que dire, je voyais tellement peu de monde. J'avais bien envie de lui faire une grosse léchouille baveuse pour son retour, mais je me retint. Elle n'allais pas apprécier. Je riais en moi en pensant à mon idée. J'étais jeune et plein d'énergie, j'aurais fait n'importe quoi pour commencer une longue et interminable partie de jeu, mais on venais à peine de se retrouver alors, je me retint, encore une fois.
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Puis elle me répondais.

- Moi aussi, contente de te revoir. Oui ça va, malgré que je pense que tu as fait fuir ma proie, mais je trouverai bien quelque chose d'autre plus tard.

Oui, c'était bien ça, j'avais fais fuir sa proie, alors je m'excusais.

- Oups, je suis désolé, je me ferait plus discret la prochaine fois.

Puis elle me demandais si j'allais bien et je lui répondais.

- Oui, enfin je m’inquiétais un peu à ton sujet, je ne savais pas où tu étais. Et je sait se que tu vas me dire, mais je m'inquiète quand même.

C'était vrai, je n'avais fait que de penser à elle durent tout ce temps, je savais qu'elle pouvait se défendre, mais même, je ne savais pas dans quelle condition elle étais, en plus les Esobeks étaient au bord de la famine il me semblais. Elle regardais le paysage puis tournais son regard couché de soleil vers moi, avent de m'adresser la parole.

- Quoi de neuf depuis la dernière fois?

C'est vrai, que s'était-il passer depuis la dernière fois ? Rien de spécial. J'errais toujours dans les terres du nord, j'avais même penser à entrer dans le territoire Esobeks mais je ne l'est pas fait. C'était pour faire une surprise à la louve blanche en plus.

-Rien de spécial et toi ? Enfaite, je n'ai parler à personne d'autre depuis toi. Le corbeau me tient compagnie mais ce n'est pas une présence lupine non plus.

Je terminais ma phrase en rigolent à moitié, pourtant il n'y avais rien de drôle. Je me levais ensuite, m'approchant d'elle. On venais tout juste de se retrouver et pourtant j'étais fatiguer, trop fatiguer pour jouer. Après, je ne dit pas que si elle m'avais inviter à jouer j'aurais refuser.

- Je voulais venir te voir, sur ton territoire pour te faire une surprise, mais j'ai préféré ne pas chercher les ennuis, alors je ne l'est pas fait.

Je me demandais bien se qu'elle en pensait.
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Elle me répondais alors.



- C'est chouette, c'est gentil à toi. Tu n'aurais pas risqué grand chose, à cause des pluies de soleil, nous sommes tous dans la ville en ruines, cachés. Pour que nous soyons capables de survivre sans nous brûler.

Je le savais et compter bien en profiter.

- La prochaine fois je viendrais te voir, j'essayerais de ne pas me bruler. Si tu n'y vois pas d’inconvénient biensûr.

Je n'avais jamais exploré les territoires des meutes, c’était une chose à faire, moi qui ne trouvais pas d'occupation ! Je me couchais et soupirais.

- Tu avais faim non ? On peut aller chasser et on pourras ramener la proie pour ta meute, tu ne pense pas ?

Comme si il avais compris, Khan vain à moi, mais je ne voulais surtout pas qu'il fasse peur à notre proie, si on n'en trouvais une. Je lui sautais alors dessus et lui grognais dessus. Il partait en s'envolent, mécontent.

- Il ne nous dérangera plus comme ça ! Ce corbeau m'énerve, j'aimerais qu'il parte de lui même mais c'est impossible.

Oui, ce corbeau n'étais pas assez naïf pour me laisser tranquille. Je me levais battant de la queue, toujours aussi heureux d'avoir retrouver Naïa. Je l'aimais mais qu'en était t-il des sentiments de la louve ?
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Cela avait du lui faire plaisir que j'avais voulu lui rendre visite, et vu sa réponse, j'aurais du y aller.

- C'est chouette, c'est gentil à toi. Tu n'aurais pas risqué grand chose, à cause des pluies de soleil, nous sommes tous dans la ville en ruines, cachés. Pour que nous soyons capables de survivre sans nous brûler.

Enfin bon, il aurais tout de même fallut que j'arrive à y aller sans me brûler, d'ailleurs, sa aurais été une bonne façon de semer Khan pour pouvoir discuter tranquillement avec Naïa. Bon, je devais toujours aller chasse rmais j'étais un peu fatigué tout de même, en plus il commençais à faire chaud.

- Je suis un peu fatigué et il fait chaud, peut-être devrions nous chercher un endroit plus au frais et attraper quelque chose après tu ne pense pas ?

Sur ces mots, un lièvre passais à toute vitesse. Je m'élançais à sa poursuite mais il filais. Il s’engouffrait dans une tanière de renard abandonné et assez spacieuse. Je m'enfonçais dedans mais ne le voyais plus. Je rebroussais donc chemin.

- C'est nul, j'aurais pu l'attraper !

Je m'étais adressé à Naïa, grognent. Puis un gros nuage arrivais au dessus de nous. Un orage éclatais, je sursautais. De la pluie commençais alors à tomber. Il fesais tellement chaud et ce depuis plusieurs jours, il fallais bien qu'un que l'orage éclate un moment ou un autre.

- Viens, la tanière là-bas est parfaite pour nous abriter.

Il fallais absolument aller dedans car sous les arbres, ce n'étais jamais très bon lors d'un orage. Je regardais alors l'un des homme pendu, un éclair surgit et le foudroyait. Ne voulant pas finir comme lui, je me précipitais dans la tanière.
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Une fois rentrer dans la tanière, je vis la fourrure blanche de Naïa apparaitre. Elle m'avais suivit, j'étais rassurer. L'orage grondais et les éclairs fesait rage.

- Tu as vue, cette tanière et spacieuse non ? Nous somme mieux là, en sécurité.

Puis je m'allongeais très soulager que cette tanière soit là pour nous protégé. Je remerciais le lièvre qui me l'avais fait remarquer ! Je contemplais Naïa, d'un oeuil luisant. Qu'elle été belle. Je ne savais pas quant me décider à lui dévoiler mes sentiments, et puis je me lançais.

- Naïa, j'ai quelque chose à te dire, mais...c'est pas si simple.

Je ne savais pas comment lui dire, et vous, vus auriez fais comment à ma place, hein ? C'était très dure à dire, étant donné que je ne savais pas se qu'elle éprouvais pour moi. Elle me détestais peut-être ? Je lui posais alors cette question :

- Si tu venais à me retrouver blessé et à ne plus bouger tout près de ton territoire, que ferais-tu ?

Là, avec sa réponse, j'étais presque sûre de savoir si l'aimer servais à quelque chose. Enfin bon, j'attendais quant un nouvel éclair vient illuminer la tanière. Khan arrivais alors et rentrais dans la tanière, il se posais sur moi affoler.

- Et non mon pauvre petit charognard, je ne peut pas te protéger de l'orage.

Dit-je en soupirent. Je me levais et m'ébrouais pour faire partir l'oiseau. Je me suis alors recoucher et l'oiseau chercher une quelconque nourriture sur le sol, tandis que moi, j'attendais se que la blanche allais me dire.
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        Sa réponse n'était pas trop étonnante, mais quand même.

- J'aurai hurlé de l'aide et j'aurais attendu à côté de toi, que la guérisseuse arrive pour te soigner. Je ferai ce que je peux pour t'aider.

Oui, mais bon que lui répondre ? Je devais toujours lui dire. Comment lui dire ? 

- Eh bien, je... je... je t'aime.

C'était dit, ce gros poids sur le cœur c'était enlever. Je me taisait et ne savais plus quoi dire. Enfaite, j'attendais une quelconque réponse. Khan penchais la tête, incrédule. Qu'allait t-elle faire, ou dire ? C'était un grand mystère.
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       Puis elle me répondait :

- C'est vrai?


J'avais envie de lui dire que oui, c'était vrai mais elle renchérissais :

- Je t'aime aussi.


Puis elle se blottis contre moi. Et elle me fit une lèche. Pour une fois que c'était elle et non moi...  Le bonheur m'envahissait. Puis le coup de foudre retentissais à l’extérieur... mais aussi dans mon cœur.
Khan croassais et paniquais. Il déployais ses ailes dans un geste majestueux et je secouais la tête. L'odeur du lièvre venait chatouiller mes narines alors que je relevais la tête, aux aguets. Un mouvement dans le fond de la tanière attirait mon attention. Un mouvement que Naïa ne semblait pas remarquer. Je m'éloignais de quelques pas, les oreilles dressées, avant de bondir les pattes en avant. L'instant d'après, je revenais vers la louve blanche avec cette tendre proie dans les mâchoires.
Je la déposais aux pattes de ma bien-aimée et Khan papillonnait jusqu'à elle en piaillant. Quel goinfre ! J'attrapais alors l'oiseau de jais par les plumes avant de le reposer plus loin. Je ne voulais surtout pas que la blanche me prenne en grappe à cause de ce charognard. C'était une belle prise ce lièvre, et je n'avais pas eu de mal à l'avoir. Je me recouchais près d'elle, lui faisant une lèche sur le front.

- Mange-le, il est tout à toi.

Que je disais avec une voix douce. Mon cœur s'emballait au rythme de la respiration de Naïa. C'était comme... Une mélodie aux notes sans pareille. Quelle louve ! Je n'aurais pu tomber sur mieux qu'elle. Khan, les plumes hérissées, me fixait avec des yeux ronds comme des billes. Mais il m'importait peu à ce moment.  Seule Naïa comptait.  Je me blottissais contre elle, couchant ma tête au sol. J'étais heureux à ce moment là et ne voulais jamais sortir de cette tanière, l'orage était pour une fois une bonne chose.  
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