Souffle acide du vent, larmes brulantes du ciel. Le monde ne ressemble plus aux paysages d'autrefois. Les cataclysmes ont frappé, des colonnes de flammes et de fumées se sont élevées sur l'horizon. La guerre. La guerre des hommes. Et nous, les loups n'avons eu d'autres choix que de fuir. Nombreux furent nos congénères emportés. Nous traversâmes les plaines cabossées, les forêts de cendres, poursuivis par la faim, traqués par la mort.

Notre salut, nous le devions malheureusement à ceux qui avaient provoqué notre malheur.


 
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 Il fallait qu'il y ait une fin.

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Lun 8 Aoû - 13:01

Ma fille était ma seule échappatoire, mon seul soutiens. Depuis le départ de Altaïr, je m'étais renfermée. De nouveau... Il y avait eu aussi ces cauchemars. Ceux où les yeux luisants de mon père d'adoption surplombait la scène de meurtre dans laquelle le corps de mes parents gisaient. C'était comme un souvenir, dont je refusais la vérité. C'était bien trop gros, bien trop impossible. Ce père qu'était Tybalt était certes un loup sans pitié, ni remord, mais pourquoi les aurait-il tuer? Il n'y avait derrière cela pas de sens, et encore une fois, je me sentais bien naïve et innocente.

L'été battait son plein, les orages et intempéries lié à la chaleur suffocante voir étouffante. Surtout avec une boule de poils entre les pattes. Une boule de poils bien trop excitée. Elle ne cessait de grandir et possédait la même lueur que moi dans ses prunelles. Je les trouvais magnifique sur elle et son poils aussi limpide que la neige. Elle était ma fierté, la seule avec qui je partageais mon sang.

Les hellhounds avaient foutu le camp, rendant la voie un peu plus libre et dégagée. J'en avais ainsi profiter pour saluer mère et père. Ce couple atypique qu'était mes parents d'adoption m'emplissait de joie à chaque visite. Helya avait mis au monde deux petits mâles débordant d'énergie. Ils s'amusaient alors avec ma princesse dont le prénom n'était qu'un souvenir enterré avec le départ de son père. Je l'appelais Blood pour la couleur de ses yeux, pour mon sang en elle, et la souffrance du souvenir de sa naissance.

Blood.

Nous avions donc pris un chemin différent. Altaïr était partis, ce couple n'avait mené nul part. L'annonce de la mort de sa soeur l'avait dévasté, et il avait appris à me haïr. Nous haïr. Abandonnant sa fille à une vie sans père, il était partis. Cela faisait bien longtemps que j'avais oublié la saveur de ses caresses, de sa langue caressant mon poils pour me rassurer. Il m'avait quitté, non sans raison.

J'avais besoin de prendre l'air, et après la visite de mes parents, j'emmena Blood errer avec sa mère dans les terres d'AFF. J'étais curieuse de découvrir le lieux où avaient campé les Hellhounds. Imaginer leur vie par simple curiosité. C'est ainsi que je m'étais retrouvé en ses lieux. Le laboratoire désaffecté... Une odeur de sang et de produits humains flottaient dans l'air. Des débris de verre jonchaient le sol, alors je mima à Blood d'y faire attention. Elle aventura les lieux avec une curiosité enfantine que j'adorais chez elle. Elle était ma fille. Ma force. Je repris mon inspection quand une odeur étrange vint chatouiller mes narines. Une odeur plus forte, une odeur de mâle. De loup. Je releva la tête et le spectacle se déroulant sous mes yeux me saisit d'effroie.

Il était tel une statut. Un diable, un mirage. Le loup face à moi était meurtris, déchiré. Son corps refletait mille douleurs, mille peine. Qu'avait-il pu enduré? Etait-ce la faute des Hellhounds? Avait-il été enfermer ici? Je voulu m'approcher, l'observer lui parler, mais un grondement rauque sortis de sa gorge, et je me rendis compte qu'autour de lui, flottait sans retenu une aura meurtrière.

- Qui ... qui êtes-vous...?






3/13/7
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Lun 8 Aoû - 13:40



DISPARAIT!

Force: 82 Agilité: 67 Endurance: 69

Le monstre n'est emplis que de ténèbres. Une impureté si grande si profonde, que lui même s'y noie, incapable de nager...



Il avait entendu les rumeurs. Les bruits s'intensifier dans l'air sur un "possible" départ de ses anciens tortionnaires. Il n'y avait cru mots, et avait finis par s'y rendre, seul.
Et là il se trouvait. Tel un schéma inconcevable, les Hell étaient partis. Ils l'avaient laissé là.

Seul.

Ils l'avaient laissé là avec pour seul allié, la bombe qu'il transportait depuis des mois. La bombe et la carapace qui avaient entaillés ses chairs, tailladé sa peau en perçant à jamais, ce cuir épais.

Il était là, tel un soldat de marbre. Il se sentait vide, trahis, délaissé. Ils avaient fais de lui ce qu'ils avaient souhaité. Il l'avait rendu insensible, insensé. Tuant, violant, oubliant ses origines, sa famille, ses amis, son fils. Et ils étaient partis. Ils l'avaient laissé là. Ils avaient oublié leur arme, leur soldat. Non pas que le loup ait souhaité un jour se soumettre à eux, ni leur obéir, mais il avait aimé devenir sombre, laisser son âme se noyer dans toute cette méchanceté que ces humains lui avait apporté. Il avait aimé ça. Il était devenu comme eux. Des démons, un monstre.

Une larme coula de son œil aveugle. Qu'allait-il devenir désormais? Il était seul dans ce lieux de désolation qu'il avait autrefois côtoyé durant des jours. Il se sentait si seul. Si abandonné. Le monde autour de lui, il ne souhaitait en faire partis. Et si... Et si il devenait une partie a par entière de ces lieux? Tel un gardien, un cerbère... Pourquoi faire? Au final... que pouvait-il bien compter pour lui à nouveau dans cette vie?
Il eut un rire jaune, un rire empli de folie.

Qui était-il désormais? L'arme abandonné? Le loup solitaire écorché?

Une louve blanche traversa alors son paysage de solitude. Qui était-elle? Que faisait-elle en ces terres dévastées? Une ombre blanche la suivait. Et la curiosité traversa l'oeil valide du solitaire. La louve était fine, belle, élancée. Mais le plus marquant chez elle était ses prunelles. Rouges écarlates comme le sang elles brillaient de mille éclats quand elles se posèrent sur lui. Il eut alors un mouvement de recul. Comme par instinct, il gronda. Elle eut un mouvement vif vers son enfant qui se réfugia dans une cage éventrée. L'image du petit dans sa cage lui rappela le moment douloureux de sa capture autrefois. Et il ferma les yeux un peu plus perturbé que d'ordinaire.

- Qui... Qui êtes-vous?

Qui était-il? Arès? Châtiment? Les deux? L'écorché, l'ancien brisé. Le monstre de sang. Le monstre sans pitié.

Il s'approcha, le poils de sa crinière hérissé. La carapace de fer en avant face à cette louve imbue qui avait osé pénétrer cette terre. Sa terre. Sa douleur.

- Je suis Châtiment. Je ne voudrais pas paraître grossier, mais je cherche de l'aide. Pourriez-vous me rendre un service? Les humains qui vivaient autrefois en ces terres m'ont poser cette chose grotesque que vous voyez là. Cette armure est mon fardeau, une chose dont seul, je n'arrive pas à me défaire.





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Mer 10 Aoû - 10:45

Son armure lui donnait des airs de monstres. De bête de foire, humaine, mécanique. Je ne pensais pas que faire confiance à une telle chose soit intelligent. Il mimait un loup gentil dans le besoin, mais je sentais que cela n'allait pas être un donnant donnant. Je regardais ma fille.

Il était clair que dans ce duel, niveau force, ce serait inégale et je prenais trop de risque à le défier. Dans tout les cas, si je devais mourir, je devais mourir seule. Protéger ma fille était ma seule priorité, quitte à donner ma vie pour elle. J'en avais fais le serment en la voyant respirer pour la première fois. Un serment que je tiendrais coûte que coûte.

- Si je venais à vous aider, vous laisserez ma fille tranquille?

Je le toisai dans le plus profond de ses yeux découvrant au passage l'horreur avait laquelle l'un de ses deux yeux avaient été profondement violenté. Quelles luttes avaient-elles pu être assez violentes pour lui créer ainsi tant de cicatrices horrifiantes?

Le fantôme me faisant face pouvait-il seulement être réellement vivant avec tant d'animosité sur un corps si frêle, si affamé? Ce monstre de chair devait être bien plus puissant que ce que je pouvais imaginer pour être capable de rester debout avec une telle charge sur son corps, sur ses muscles.
Inconsciemment, il me faisait penser à mon père adoptif. Tybalt. Monstrueux, puissant, et vous obligeant au respect et à la crainte.

Le loup me fit un signe affirmatif de la tête alors que ses babines dessinaient un large sourire. Il s'allongea face à moi, me présentant du museau les larges lanières de cuir qui entaillaient sa chair pour retenir le monstre de ferraille sur son corps.

- Ici.

Sa voix me faisait trembler, je commençais à réellement m'inquiéter pour ma vie en m'approchant de lui, mais un coup d'oeil vers ma fille me suffit pour l'approcher et commencer à ronger les trois lanières.

Je commença par celle sous son visage. La couper me prit du temps car je ne cessais de me concentrer sur sa respiration, était-elle calme et posée? ou rapide et signe d'une quelconque colère à venir?
Mais non, le loup était calme. Il avait même fermé les yeux, comme si il avait une parfaite confiance en moi. Comme si je n'étais qu'un oisillon incapable de quoi que ce soit contre sa personne. Serait-il si dur de viser sa jugulaire pour moi et mettre fin à la menace? Je la regardais battre sous son cou dégarnis ici et là de poils. Non. Je ne pouvais. Il le sentirait. Ce loup est un monstre. Il sait ce que je pense, il me test, il veut me tuer.

Je le sais.

La lanière finit enfin par céder et le bruit métallique de son heaume s'écrasant contre le sol me fit frissonner.






3/13/7
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Mer 31 Aoû - 14:05

Chatiment

Il savait que la louve s'executerait. Qu'elle comme les autres, se plierait a sa volonté. Sa volonté de blesser, d'être l'alpha, d'ordonner. La mère tremblait alors qu'elle coupait les liens qui le retenait. Sa fille au loin, les observait la queue rentrer entre ses pattes. Leurs yeux étaient semblable. Rouge comme le sang, et il trouvait la petite magnifique.

Se concentrant de nouveau sur la louve qui fit tomber son heaume avant de s'attaquer au reste, il s'allongea pour mettre en evidence les deux lanières de cuir qu'il restait.

- Il ne lui arrivera rien. Elle est magnifique.

Etait-ce Chatîment le père qui parlait? Curieux, une parole sage et raisonnée alors que de raison dans la situation actuelle, il était dure d'en trouver.

Finalement la bombe sur son dos vascilla, et l'attirail du mâle fit un bruit sourd en tombant sur le sol.
S'ébrouant, il découvrit a quel point son corps etait léger sans tout cet amas de ferraille. Il fit un bond de coté puis un autre. Le sourire sur le babine, il était libre. Son regard se posa sur la bombe qui etait entre ses pattes. Il savait qu'il ne la laisserait pas intact. Non. Il lui restait une mission à accomplir avant d'avoir l'esprit libérer de ses chaines.

Tuer.

Donnant un puissant coup de patte sur la bombe, celle ci émie un puissant et strident ultrasons. Le loup courut plus vite vers un mur pour s'y abriter. Il savait déjà que la louve allait devoir se sacrifier si elle voulait que son petit survive.
Mais il aimait ça. Et il voulait voir ce dernier spectacle de ses yeux lupins.





Drakariss



J'aurai dû m'y préparer. Le mâle ne pouvait être bon...et pourtant, instinctivement, j'espèrais ne jamais faillir à la tache que je m'étais donner. La tâche d'une mère, d'une louve protectrice.
Quand il frappa l'objet de sa patte qui glissa un peu plus sur le sol, je compris que cet objet allait être ma mise à mort. Voulant l'imiter et fuir au premier avertissement sonore, j'entendis le couinement de ma fille au loin.

- Blood! Cache toi!

J'hurla a en faire cracher de sang mes poumons. Ce fut mes dernières paroles. Comme une évidence je bondis sur l'objet pour l'enrouler sous mon corps qui s'était résolu à mourir.
Comme une évidence, l'objet émis un deuxième sons. Intérieurement je pensa à ce loup noir que j'avais rencontré un jour, Kérès. Il m'avait fait croire à l'amour, puis avait disparu.

Un troisème bip et je pensa à Altaïr. Retrouverait-il notre fille? prendrait-il soin d'elle comme il l'avait promis...? J'aurai aimé le croire. J'aurai aimé le rencontrer dans d'autre circonstance. J'aurai aimé pouvoir lui rendre l'amour qu'il m'avait offert, sans lui reprendre en lui annonçant avoir tuer sa soeur. J'aurai aimé qu'il ne me rencontre jamais, j'aurai aimé ne pas avoir transformer sa vie en enfer.

Au final. Je l'avais surement aimé, lui aussi.

Mon regard croise pour la dernière fois les yeux appeurés de ma fille, et une larme coule.
Je me sens intérieurement désolée, de n'avoir pu accomplir ma tâche de mère jusqu'au bout.
Me pardonneras-tu un jour? mon enfant?

Est-ce donc là ce qu'on ressentit mes parents le jour de leur mise a mort? Est-ce comme ça qu'ils me regardaient avant de savoir qu'ils allaient me laisser seule? Percher sur mon arbre?

Je m'en allais les retrouver desormais.

- je t'aim...

L'explosion retentit.





Châtiment



Le spectacle valut la chandelle. Des morceaux de chairs explosèrent ici et là. Du sang gicla contre les murs, et une brume rosée apparut en ces lieux desormais encore plus brisés.
Je jubilais de savoir que j'avais tué. Ma folie avait prit des proportions irréelles.

Qui etais-je réellement?

M'approchant de la scène de crime, j'attendus un instant que le voile ensanglanté tombe, pour mieux observer si la petite avait survécu ou non.


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Mer 31 Aoû - 18:02



When the heart is calling

F: 77 - A: 68 - E: 77



Un lieu que nous allons gagné sans même faire couler le sang de nos guerriers. Un lieu qui nous revient de droit car je crois en la puissance locutrice de notre Leader pour laquelle je nourris pourtant de doutes violents depuis plusieurs semaines. Je soupire en faisant ma ronde, continuant de contourner cet énorme bâtiment sombre qui fera bientôt partie de nos terres. Un nouvel endroit à protéger, à veiller jour et nuit. Nombre de loups aimeraient certainement pouvoir se prélasser en son sein, profiter de la protection des lieux et de la sécurité offerte par les parois froides de béton armé. Moi, je suis mal à l'aise, près de cette énorme bâtisse. Elle est sûre, probablement. Mais elle renferme tant d'horreur, tans de cauchemars que j'en frémis rien qu'à la regarder, là de l'extérieur, n'osant pas y pénétrer. Les jours passent, se succèdent en silence et je continue de faire mon travail de sentinelle, de veiller sur les miens avec hargne et sagesse. Aujourd'hui encore, j'ai pris le premier tour de garde, comme fascinée par le rôle que j'ai choisi dans la meute. Je me sens utile, importante, et surtout je peux enfin oublier mes propres peines lorsque je veille sur les miens. Je m'avance, hume les odeurs nouvelles qui émanent de cet énorme bâtiment, et finalement tend l'oreille avec curiosité. Non seulement des voix sourdes résonnent de l'intérieur, mais les effluves qui en sortent me semblent bizarres, étrangères.

Je m'approche d'abord lentement, silencieusement. Je me demande si je dois réellement rentrer ou si je risque d'interrompre une discussion importante qui ne me concerne pas. Peut-être les Leaders s'entretiennent-ils ici ? Mais non, mes doutes s'estompent rapidement : l'odeur est claire, c'est la terreur. Je fronce le regard, et prends mon courage à deux pattes. Peu importe ce qui se passe en ces lieux, le danger rôde. Hors, en tant que Sentinelle, mon travail est de veiller à éloigner le danger, ou à l'éradiquer. J'inspire profondément, lance vers le ciel un regard implorant. Si tu es là-haut, Kuro, et même où que tu sois, veilles sur moi. Je m'approche lentement, un pas après l'autre, et finalement m'enfonce dans les entrailles de la gigantesque oeuvre humaine. Je suis les voix et me guide grâce à elle, incapable de définir les mots échangés, mais certaine d'être sur la bonne voie. Finalement, je débarque dans l'entrepôt où deux adultes se font face. Avant d'être repérée, j'ai le temps d'apercevoir une petite créature camouflée entre les barreaux d'une cage défoncée. Je n'ai le temps que de voir le violent coup de patte et la fuite du premier. Je n'ai le temps que d'entendre les mots terrifiés d'une mère. Je n'ai le temps que de tourner la tête pour être à l'abri du mur de béton, avant que la détonation ne vienne heurter mes tympans avec une violence inouïe.

Quelques secondes, peut-être quelques minutes. Il me faut du temps avant d'être de nouveau capacitaire de mes membres. Pendant ce qui me semble une éternité, ils tremblent tous, les uns contre les autres, s'entre choquant comme de forcenés. Mais après la panique vient la raison. La petite. La petite créature est peut-être encore en vie. Je ferme les yeux. Dans l'odeur de chair brûlée, dans la brume sanglante, dans cette atroce atmosphère morbide, je m'élance. Je retrouve rapidement le haut de la cage, une plaque de fer à été propulsée dessus. Le sang a tâché cette dernière. Le sang à tâché tout ce qui se trouve alentour. Le sang ... Et tout ce qui fut un jour un être vivant. Je gratte avec fureur sur la plaque, dégage le passage pour la petite louve.

- N'aies pas peur ... ça va aller ...

Mais les pas derrière moi ne sont plus un simple cauchemar. L'autre est toujours là. L'autre est toujours en vie. L'autre est un danger, un meurtrier. Je lance un regard à la petite créature immaculée, lui faisant signe de ne pas bouger. Je me tourne vivement vers l'animal décharné et lui fait face, le pelage hérissé, le regard dur. Il a tué l'un des miens.

- Es-tu heureux de ce carnage !? Pars ! Tu n'aura rien de plus ici ! Va-t-en !

J'aimerais lui sauter à la gorge. Le dépecer vivant, le démembrer, l'éviscérer. Mais qui s'occupera de la petite ? Elle en a déjà trop vu. Trop entendu. Trop vécu ...



A-Delta ©
Kiriac
Marcheur du Ciel
Marcheur du Ciel

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force:
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agilité:
Il fallait qu'il y ait une fin. Qkci12/100Il fallait qu'il y ait une fin. Qkci  (12/100)
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Il fallait qu'il y ait une fin. Qkci16/100Il fallait qu'il y ait une fin. Qkci  (16/100)
Kiriac
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Mer 31 Aoû - 23:41





«Premier contact.~»
~~~~

«Sexy louve fait son boulot. ~»
FORCE: 7 | AGILITÉ: 9 | ENDURANCE: 6

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Bonjour bonjour ~

Je suis arrivée comme une fleur, peu après ce qu'il semblait être une explosion, en profitant pour tout écouter de l'affaire, je me contente de rester cachée, je capte pas mal de chose mais ne comprend pas tout, je sens cette odeur de cramée me remonter à la truffe, je me contente d'observer et de voir ce qu'il va se passer.
Je reste dans l'ombre et attends, je vois une louve blanche arriver et menacer l'autre loup roux, puis elle tente de récupérer la petite.
Codage par Zagan.

Destin

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Destin
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Mer 31 Aoû - 23:41

Le membre 'Rek'Sai' a effectué l'action suivante : Lancer de dés


'Dé de recherche' : 5
Kuro
Amertume du Destin
Amertume du Destin

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Kuro
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Jeu 1 Sep - 10:43

Il fallait qu'il y ait une fin. 4120076274

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Destin

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Jeu 1 Sep - 10:43

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Kuro
Amertume du Destin
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Kuro
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Jeu 1 Sep - 10:55

Il fallait qu'il y ait une fin.
Kuro & Chatiment & Shiro & Rek'Sai
Un nouveau lieu est apparu, ou plutôt un nouveau lieu a été découvert. Un laboratoire désaffecté. Je n’espérais pas grand chose, depuis le temps que je cherchais ma famille ... ma soeur. Personne dans mon entourage est au courant que je la cherche, pas même la meute. Pourquoi devrais-je leurs en parler ? Shiro est ma soeur, Shiro est ma faiblesse, je ne vais pas la dévoiler au premier venu.

Une odeur empeste autour de moi, une odeur de flamme, une odeur de chair brulé, cette odeur était récente. Je me déplace vers la direction de cette odeur, que c'est-il passé ? Plus je m’approche plus l'odeur deviens insupportable. Cette odeur de chair brulé, les traces noirs sur le sol, les murs brulée devenu noir ... un feu ? une explosion ? en quoi cela m'inquieterait-il ? pourtant une autre odeur vient se mélanger, une odeur que je connais. Elle est légère et très peu présente, mais cette odeur est plus qu'une odeur, je la connais ... Je la connais depuis longtemps. Shiro ?

Cela ne se peu pas, je la cherche depuis tellement longtemps, elle ne peu pas être dans cet endroit ! Et si cet odeur de chair brulé était son corps ? a cette pensée j'accélère mes pas jusqu'au lieu dit, restant discrêt et caché dans l'obscurité. Shiro ! Shiro ! oui c'est bien elle, pas de doute possible ! Inconsciemment mon corps se déplace, mes pattes avance, et me voilà là a côté d'elle. Elle regarde quelque chose, quelqu'un ... un loup en face d'elle, Shiro possède a ses pattes une petites, etait-ce son enfant ? non, je n'ai pas le temps de reflechir. Shiro, ma Shiro est là devant moi, et semble sur ses garde face a ce loup. Je me place entre ma douce et ce loup, le corps droit, les poils hérissé, s'il ose se mettre entre moi et ma Shiro il le regretta de sa vie.

" Dégage, ou ta vie prendra fin aujourd'hui"

25 - 20 - 15


[ Nila : Un espion ne peut espionner que à partir du moment où il fait irruption dans le RP. (feat "Niveau des rangs : Espion" Tu ne peu donc pas être là avant l'explosition. Si non gg :p ]
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Dim 4 Sep - 16:43



DISPARAIT!

Force: 82 Agilité: 67 Endurance: 69

Le monstre n'est emplis que de ténèbres. Une impureté si grande si profonde, que lui même s'y noie, incapable de nager...



La brume petit à petit se dissipe alors que l'atmosphère lugubre elle, ne disparaît pas. Je sens alors la présence d'un nouvel être. La même odeur. Cette louve ne devait pas être très loin de ses terres, navniks je dirais. Mes oreilles se plaquent alors en arrière en pensant que j'ai tué à l'instant sous l'excès de la folie, une louve qui pourrait être parente d'Ebène.

Je le savais, je l'avais pressentis. Athos ne m'avait pas assez écouté. J'ai finis par tuer une louve, une semblable. La mère d'une loupiotte désormais orpheline. Je n'étais pas mieux que les humains qui m'avaient dérobé à la mienne quand j'étais moi-même, trop jeune pour vivre seul, sans personnes.

Et pourtant, malgré tout cela, l'attitude de la blanche m'agace. Ni a t-il jamais de fin à tout ces loups blancs perfides qui défilent dans ma vie? Je revois le visage hautain de Manîthil, et celui de tant d'autres de cette couleur qui désormais, m'écoeure. Il faudrait éradiquer les loups blancs de ces terres, ils n'apportent que le malheurs, la honte, le déshonneur.

- Es-tu heureux de ce carnage !? Pars ! Tu n'aura rien de plus ici ! Va-t-en !

Je dévoile mes crocs sous mes babines alors que ma posture se veut clairement offensive. Mon poils se gonfle, mon oeil valide est meurtrier. Je plaque mes oreilles en arrière alors que ma langue passe sur mes canines.

- Faut-il une raison pour tuer? Ne sommes-nous pas naturellement des prédateurs..?

Je me met à tourner face à elle de gauche à droite. Préparant clairement une attaque.

- Rends-moi cette boule de poils et déguerpis!

Mais interviens alors encore un être non-désiré. Un loup noir cette fois. Un loup de jais. Je fronce le museau alors que celui-ci s'adresse à moi comme si seul, il pouvait me défaire.

" Dégage, ou ta vie prendra fin aujourd'hui"

L'odeur qui se dégage de ce loup m'est bien trop familière. Athos. Une claque en pleine gueule. J'ai envie de tuer la famille d'Ebène et l'un des membres de la meute d'Athos.

Ne perds pas l'équilibre...
Tu n'es pas ce genre de loup!
Reprend-toi.

Je sens ma conscience me hurler à la raison. Elle essaye de m'empêcher d'aller encore plus loin que ce que je ne devrais permettre à ma folie. Mais je ne suis plus capable de me maîtriser. Je ne suis plus capable de me contrôler.

Athos, Ebene, pardonnez-moi.

Plongeant contre le loup noir, mes crocs s'enfonce alors dans son encolure alors que nos corps rencontre le sol dans un choc lourd et violent. Je tire alors sur ses chairs avec des mouvements de tête fou de gauche à droite. J'ai envie de lui arracher la tête! J'ai envie de l'étriper vivant pour m'avoir menacer, moi, Châtiment, Arès, dieu de la guerre et loup immortel.



J'ai envie de tous les tuer...
Qui suis-je désormais...






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Ven 16 Sep - 22:16



When the heart is calling

F: 77 - A: 68 - E: 77



J'espérais l'impressionner, le faire déguerpir avec ses remords d'avoir commis un tel crime. Mais l'animal -parce que je ne peux plus le considérer comme un loup, comme un semblable- me fixe et n'esquisse pas le moindre mouvement. Sa face se déforme dans une grimace qui me fait peur. Je plaque les oreilles sur mon crâne mais reste droite, campée sur mes quatre pattes. Il ne touchera pas à la petite. Pas tant que je serais là.

- Faut-il une raison pour tuer ? Ne sommes-nous pas naturellement des prédateurs ... ?

Ce qui ne durera peut-être pas bien longtemps ... Malgré la peur qui grandit en moi, je reste parfaitement immobile et figée, les muscles bandés en attente de sa première attaque. Je ne le laisserais pas faire, fusse-t-il nécessaire de lui donner ma vie pour la survie de la petite. Je gronde, extériorise mes dents dans une grimace menaçante.

- Des prédateurs ! Pas des cannibales ! Monstre !

Mais il se fiche bien de mes leçons de morale. Le mâle tourne comme un loup en cage, attendant le moment propice pour me sauter à la gorge. Je me tends de toutes parts.

- Rends-moi cette boule de poils et déguerpis !

Je claque des mâchoires, déterminée à me battre. Jamais ! aie-je envie de hurler. Mais une autre voix résonne brutalement à mes oreilles.

- Dégage, ou ta vie prendra fin aujourd'hui.

Pas le temps de réfléchir. Pas le temps de pleurer. Je pose sur mon frère un regard empli de désespoir et les émotions se refusent à sortir maintenant. Pas le temps non plus de prononcer son nom. L'autre monstre se jette sur lui sans attendre. Et dans un élan réflexe, voilà mon corps qui se mêle à celui de mon frère pour abattre sa force sur notre ennemi commun. Comme autrefois. Comme toujours. A jamais. Nos deux robes ne font plus qu'une contre la masse difforme et décharnée de l'adversaire. Nos pelages se mélangent dans une harmonie parfaite alors que nos grondements ne font plus qu'un. Nos assénons à l'ennemi tous les maux jusqu'à le faire déguerpir de nos terres, le sang dégoulinant de son corps et de sa gueule déformée par nos morsures. Tu n'as pas le choix, vermine. Disparais de ce monde ! Et alors que ses gémissements méprisables résonnent encore au loin, je reste immobile, le visage face au sol, reprenant difficilement mon souffle. Quelques secondes s'écoulent avant que je n'ose relever la tête. Mon regard d'émeraude se plonge dans le sien, oubliant un moment la petite créature qui se cache derrière ...

- Kuro ...

Mais je n'attends ni une remarque ironique, ni un sourire satisfait et arrogant. Je fonds sur lui comme une furie, le percutant presque au moment où j'enfonce ma tête dans le pelage sombre de son poitrail. Je hume son odeur à grandes goulées et les sanglots qui menaçaient de filer de mes yeux s'échappent enfin avec violence, brûlant mes poumons et mon coeur.

- Je t'ai cru mort ... Je t'ai cru mort ... J'ai cru ...

Je suis incapable de finir. Incapable de dire que j'ai pensé ne jamais le revoir. Il est là désormais ... Serais-je morte à mon tour ? Ou serais-je dans l'un de ces rêves morbides qui, quand je me réveillerais, deviendra un souvenir de torture ?



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 Il fallait qu'il y ait une fin.


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