Entrainement solo 1;1

Force → 57 Agilité →59 Endurance →63

J'étais de retour sur ces terres. Depuis le temps. Les constructions métalliques semblaient pencher sur les côtés. L'endroit semblait avoir été éprouvé par la guerre des hommes. Mais ça ne devait pas m'empêcher de m'entraîner pour autant. Je pris une courte inspiration, avant de commencer à courir en direction du chemin de terre encore praticable, malgré les quelques obstacles qui le jonchaient par-ci par-là. J'entamais quelques foulées, regardant droit devant moi, prêt à armer mon saut au dessus d'une pancarte publicitaire humaine qui traînait sur le sol. J'atterrissais sur la surface lisse, tendant mes muscles pour maintenir mon équilibre, avant de sauter une nouvelle fois pour retrouver la terre ferme. Je vire rapidement à droite, m'engouffrant dans une sorte de tunnel formé par une bicoque renversée. Je poussais sur mes pattes un peu plus fort pour gagner en vitesse, baissant la tête pour me glisser au travers du trou qui formait la sortie de ce tunnel.
Le souffle court, je tentais de respirer du mieux que je pouvais, la langue pendante pour laisser refroidir mon corps.
La route continue, et j'avance en ligne droite, sautant par dessus des véhicules humains de petite taille, il semblerait. Je poussais sur mes pattes, encore et encore, ralentissant parfois pour faire durer un peu plus mon effort. Je devais me perfectionner, devenir plus fort. Je sautais en direction d'un matelas humain, plantant mes crocs à l'intérieur sauvagement. Je secouais la tête frénétiquement, tentant d'en arracher un morceau à coup de crocs. Je griffais la surface douce et sale de l'objet jusqu'à l'éventrer, tirant sur mes membres antérieurs pour me stabiliser. Un morceau de tissu claqua entre mes crocs, alors qu'une sorte d'objet métallique ressortait. Je lâchais mon bout de tissu sur le sol, regardant le truc métallique en forme de rond. Inclinant la tête sur le côtés, essoufflé, je repars sur mes pas à petite allure. Mes muscles sont endoloris, mais ce n'est rien. Ni encore assez.

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Entrainement solo 1.2

Force → 57 Agilité →59 Endurance →63

Je retrouvais ce bâtiment étrange que je commençais à bien connaître, avec le temps. Celui où l'entrée est un véritable labyrinthe. Lentement, je me couche sur le sol, poussant sur mes pattes arrières, le ventre raclant la terre, afin de me glisser dans cette interstice. Elle me semble plus étroite que la dernière fois. Peut-être parce que j'ai pris en muscles, depuis le temps. Poussant un léger soupire, je penche la tête, les oreilles collés contre mon crâne, poussant sur mes pattes avant et arrière pour avancer lentement, au fur et à mesure. Je pliais mon corps à chaque mouvement pour me glisser sans heurter les parois de ce passage instable, me disant qu'il ne faudrait pas grand chose pour qu'il s'effondre sur moi.
Tirant avec force sur le sol avec mes pattes avant, les griffes plantés dans le bitume, mon corps passe presque déjà la moitié du tunnel. Même si je suis plus large, j'ai l'impression que c'est plus simplement de progresser de cette manière. Je pousse un long soupire, poussant cette fois sur mes antérieur, continuant ma progression. Finalement, j'arrivais à passer, me retrouvant devant le trou de la dernière fois, là où j'étais tombé par mégarde. Cette fois-ci, j'armais mon saut, bondissant à l'intérieur,au milieu des boites électrique humaines. Je renifle le sol, à la recherche d'une odeur particulière, ou alors à la recherche de quelque chose d'intéressant. Je tombe sur un câble en plastique. Curieux, je suis son chemin jusqu'à trouver une boite électrique collée au mur.
Peut-être y a-t-il quelque chose derrière? Je ne sais pas vraiment. Je prends le câble dans ma gueule, tirant mon corps alors en arrière. C'est lourd, très lourd. Je pousse encore une fois sur mes pattes, par accoues. Je sautilles presque sur place, tirant en arrière, pour me donner plus l'élan. Elle bouge, une fois. Je reprends, tirant de toute mes forces. Mes muscles se bandent, et mes poils gonflent, alors que je tire, je tire, je tire plus fort encore. Je secoue la tête, le câble entre mes crocs, tirant une nouvelle fois. La boîte bouge encore. J'entends son grincement sur le sol.
Je tire une dernière fois, les pattes ancrés au sol, les griffes dans le bitume, poussant sur mes épaules. Finalement, la boîte humaine bouge. Le relâche le câble, ma mâchoire presque douloureuse, avant de tourner derrière la machine, essayant de voir ce qu'il pouvait bien y avoir derrière celle-ci.

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Entrainement solo 2.1

Force → 61 Agilité →63 Endurance →66

Je me dirige lentement vers cette étrange attraction. Le toit avait été éventré, puis renverser, sans doute par les tempête de poussières. Cette fête foraine était notre nouvelle maison, avec le reste de la troupe. Et un lieu d'entrainement vraiment parfait pour moi. Il y avait toujours des exercices plus intéressant les un que les autres. Et aujourd'hui, j'avais choisi cette attraction: de nombreuses coques de métal se trouvaient sur le sol, avec des trous à l'intérieur, sans doute pour que les humains puissent s'asseoir à l'intérieur. On aurait dit des minuscule monstre de fer qui leurs permettait de se déplacer plus rapidement que nous, et de manière protégée.
Dans tous les cas, je m'approchais lentement de ces dernières, avant de me positionner pour sauter par dessus l'une d'entre elle. Puis je courrais, approchant d'une nouvelle que je dépassais par le dessus à nouveau. Maintenant une allure encore douce, je virais rapidement sur la droite, passant alors au dessus d'un nouvel obstacle. Il y en avait deux l'une à côté de l'autre, se dressant sur ma route. J'accélère un petit peu, prenant d'avantage d'élan, avant de bondir au dessus de ses dernière, prenant un fort appuie sur mes postérieur. Je bondis au dessus sans effleurer le métal, même si je manque de me ramasser sur l'atterrissage.
Je continue de courir, ne quittant pas le sol de métal sous mes pattes, faisant alors demi-tour et pratiquant le même parcours dans le sens inverse, à plus vive allure encore. Les deux côte à côte pour le grand saut, je continu tout droit, accélérant pour sauter celle qui se trouve devant moi avant mon virage à droite. Puis je prends encore en vitesse pour sauter; l'un après l'autre, les derniers obstacle du parcours.
Je fais à nouveau demi-tour, répétant le même manège. Mes muscles tirent dans mes pattes, qui commence à devenir douloureuse. Au bout de la quatrième fois que je réalise ce parcours, je manque de tomber sur le grand saut, fatiguant. Je me pousse à faire une cinquième fois le parcours, pour finir la boucle au moins, avant de m'arrêter, essoufflé. Je regardais alors en direction de la montagne russe. C'était ma prochaine destination.

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Entrainement solo 2.2

Force → 61 Agilité →63 Endurance →66

Je quittais le stand avec mes obstacles, les pattes engourdies d'avance. Je toisais la montagne ruse, celle qui montait dans les airs, cassée à de nombreux endroit. Grondant légèrement, je sens que mes pattes ont du mal à me suivre, sans doute à cause des sauts à répétition. Je ne pouvais pas prendre le risque de me blesser en cette période difficile.
Finalement, je fis demi-tour, j'irais demain sur les montagnes russes. Maintenant, je partais en direction d'un stand effondré. Je pris entre mes crocs une des poutres du stand, tirant alors de toute mes forces sur cette dernière. Elle craqua, lentement, partant dans ma direction. La structure grince, et je tire en arrière, encore et encore. Mes crocs se serrent un peu plus sur la poutre en bois pourri, jusqu'à réussir à la dégager de là. Je vois sa jumelle, que je prends alors à son tour entre mes crocs. Je serre, et tire une nouvelle fois sur cette dernière, avant de la faire rejoindre sa sœur derrière moi. Je bondis sur la taule qui se trouvait en dessous de ces poutres, avant de me glisser sous cette dernière. Collant mon dos à la parois froide, poussant avec mon crâne sur cette dernière, j'avançais pour la retourner. Les muscles de mes épaules se contractèrent les uns après les autres, alors que j'avançais, soulevant la taule par la même occasion. Dans un élan, je me dressais sur mes postérieur, plaquant mes pattes avant contre la surface presque à la verticale maintenant, avant de donner un puissant coup vers l'avant. Elle se renversa alors, claquant sur le sol de l'autre côté. Sous mes pattes se trouvaient des débris de pierre, sans doute le reste d'une cahute. Je commence à creuser les débris avec mes pattes, fouillant par la même occasion les lieux. Je poussais avec force pour retirer les plus gros morceaux de rochers, grondant légèrement, jusqu'à arriver à une surfaces de béton écroulé. Sans doute un morceau de mur. Encore une fois, je me glisse sous ce dernier, poussant encore plus fort sur mes pattes jusqu'à réussir à le relever. Essoufflé, et fier de moi, d'une certaine manière. Je fouille les débris, à la recherche de quelque chose d'intéressant.

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Entrainement solo 3.1

Force → 63 Agilité →71 Endurance →68

Ce matin, je me dirigeais en direction de la montagne. Je n'étais pas assez en forme la veille pour pouvoir grimper jusque là-haut après mon entrainement au saut, alors j'avais dû reporter à aujourd'hui. Devant les rails instables, je pris une courte inspiration, avant de m'élancer à vive allure, en de grandes foulées, sur le chemin de bois qui se dressais vers le ciel. Je souffle se saccadant rapidement, j'arrive à une monté assez raide. Je pousse sur mes postérieur, comme sur les antérieurs, gravissant alors foulées après foulées le géant de bois. Le monde semble bien plus petit en bas d'un coup.Les dalles grincent sous mes pas, mais je n'y prête pas attention. J'aurais peut-être dû. Alors que j'arrive presque au sommet, une des planches craque et se brise d'un seul coup. Ma patte postérieur droite me fait glisser vers l'arrière, mon poids m'entraînant dans une chute. Mes deux pattes avant s'agrippent sur une planche devant moi, alors que les deux arrières battent dans le vide pour que je puisse retrouver assez d'élan et d'équilibre pour me remonter. Les muscles de mes épaules se tendent, prêt à exploser sous la tension, alors que je laisse mon regard rivé vers l'avant. Je ne devais pas regarder en bas, ou je paniquerais.
Je souffle une fois, deux fois, gardant mon calme, alors que je tire sur les muscles de mes épaules, plantant férocement mes crocs dans une planche de bois plus proche que celle où mes griffes sont plantés. Je tire sur ma mâchoire, ma croupe se soulevant alors au fur et à mesure. Je tire, je tire encore, poussant aussi comme je peux sur mes pattes avant. Enfin, mes postérieurs touchent le sol, et je pousse un soupire de soulagement.
Je reprends mon souffle, le temps de me remettre de mes émotions, avant de reprendre ma course sur la montagne russe. J'arrive au sommet à vive allure, puis je fais la descente d'un pas rapide mais prudent, prenant de la vitesse à cause de la descente. Je reproduis ce chemin jusqu'au bout du rail, sans m'arrêter à nouveau une seule seconde. Je cours en sautant par dessus les trous sur mon chemin, arrivant au sol, le souffle court, et satisfait de ne pas avoir fait une chute sans aucun doute mortelle.

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Entrainement solo 3.2

Force → 63 Agilité →71 Endurance →68

Les montagnes russes passée, je décidais de me rendre en direction de cette étrange maison qui tenait presque encore debout. En entrant à l'intérieur, je voyais mille reflets dans tous les sens. Et je voyais mon reflet dans chacun de ses murs étranges, parfois brisé, parfois simplement impacté. Mon reflet dans chacun d'entre eux semble différent. Je m'enfonce dans le bâtiment, curieux, et au fur et à mesure, j'ai l'impression de me perdre. Grondant de rage, je me retourne vers ces miroirs, les un après les autres, ne retrouvant plus mon chemin. Je pousse un puissant grondement, avant de foncer la tête la première dans l'un d'entre eux. Je rebondis, l'impacte n'est pas suffisant. Je recule, prend de l'élan, avant de foncer à nouveau. Cette fois-ci, il craque dans un bruit d'éclat, me coupant légèrement la peau. Mais encore, encore d'autres miroirs autour de moi. Je me sens oppressé.
Je fonce dans chacun qui se trouve sur mon chemin, me ripant, me coupant. Je m'en fiche, ce n'est que des morceaux de verres, je pourrais les retirer moi-même s'il le faut.
Je frappe un nouveau miroir qui se brise sous l'impacte de mon crâne. J'en brise un autre après de nombreux coups de pattes. Je saccage cet endroit, jusqu'à me libérer un passage vers la sortie. Vers la libertés. Je pousse un nouveau grondement, devant une immense vitre. Je recule, prend de l'élan, assez en tout cas. Puis je fonce une nouvelle fois, épaule et crâne en avant, passant alors au travers de cette dernière.
Je roule sur le sol, sentant la terre sous mes pattes. J'étais libre, enfin. Et j'avais saccagé chaque miroir de cette foutu maison pour m'en sortir. Couvert de petites coupures, je fouillais encore, comme d'habitude, les environs, à la recherche de quelque chose.

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Entrainement solo 4.1

Force → 63 Agilité →71 Endurance →68

Un nouveau jour, un nouvel entrainement. Je courrais sur une piste aujourd'hui. Une piste, qui fait des ronds. Couverte de poussière, et de quelques traces de loups. Je m'étire rapidement, avant de commencer quelques foulées d'échauffement. Une fois le rythme bon, j'accélère un petit peu la cadence, faisant des ronds sur cette piste de bitume, parfois jonchée de petit véhicule humain. Il y a aussi des mottes de pailles, à moitié pourries par le temps. Par moment, je m'amuse à sauter dessus, faisant quelques obstacles pour mon exercice. Et je continue de courir, encore. Je dois améliorer mon endurance et ma rapidité. Je dois réussir à devenir plus performant. Je poussais littéralement un sprint, d'un seul coup, tentant de pousser mon corps à son maximum. Quittant la piste, je me retrouve sur une longue allée, maintenant cette allure folle.
Je gronde entre mes crocs, le souffle court, alors que le paysage autour de moi devient de plus en plus dense. J'accélère encore, et le temps semble passer bien plus vite, au fur et à mesure que je tire sur mes pattes. Mais la réalité revient très vite à moi, alors que mes muscles protestent. Je ralentis, leur laissant un peu de repos, ne m'arrêtant pas non plus pour autant. J'avance, à plus faible foulées, reprenant mon souffle. Puis je repars, encore une fois à pleine allure. C'est un entrainement long et douloureux, mais il finira bien par payer un jour. Je commence le tour complet de la fête foraine, passant par le cercle extérieur de cette zone. Elle était large, bien sûr.
Le souffle court, saccadé, une fois ce tour terminé à pleine allure, je me couche sur le sol, le temps de me remettre une nouvelle fois. C'est difficile à endurer, mais c'est en souffrant qu'on devient plus fort, j'imagine.
Mes pattes sont endoloris, mais je suis satisfait.

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Entrainement solo 4.2

Force → 63 Agilité →71 Endurance →68

Je reprenais lentement mon souffle, les yeux clos, tranquille. Mon cœur battait encore à tout rompre après cette course. Mes pattes sont toujours douloureuses, tremblantes. Je gronde légèrement, alors qu'une odeur vient me perturber légèrement. les oreilles dressées, je me relève sur mes 4 pattes, apercevant l'ombre d'un chien, sans doute errant. Sans attendre, je m'élance dans sa direction, crocs découverts. Je défends ce territoire.
Grondant, je lui bondis dessus, mordant son dos avec force. dans mon élan, je le traîne au sol, lui donnant des coups de griffe au niveau des flancs. Il pousse un couinement, se retournant dans ma direction, plantant ses crocs dans ma peau, au niveau de mon poitrail. Je garde mon grondement entre mes crocs, alors que je recule rapidement pour échapper à sa prise. Il se redresse, me fonçant dessus. Je pousse un nouveau grondement, encaissant son attaque. Je prend son oreille, et lui ma joue. Je la déchire, alors que lui mâchonne ma chair, la douleur se propageant dans mon corps.
J'attaque son crâne, lui perçant alors les yeux. Il hurle cette fois, me donnant un puissant coup de tête pour me faire reculer. La queue entre les jambes, il fuit, à toute vitesse.
Et je lui cours après, colérique. Je veux l'achever! Mais la douleur dans mes pattes me fait m'arrêter au bout de nombreux mètres, alors que je laisse pendre ma langue. Je lèche mes blessures rapidement pour les désinfecter, et éviter de trop inquiéter Mambo, puis je fais demi-tour. Si je le recroise, celui-là... Je le tue.

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Entrainement solo 5.1

Force → 63 Agilité →71 Endurance →68

Je terminais ma ronde, comme d'habitude. Les choses étaient claires pour moi, il fallait que je continue à devenir plus fort. L'odeur du chien errant de veille flottait encore dans l'air. Grondant, je prends appuie sur mes pattes, m'élançant en courant rapidement autour du territoire. Est-ce l'odeur des femelles, qui les attiraient de cette manière? Je n'espère pas... Car sinon, je devrais trouver un moyen de couper court à cette odeur et rapidement. Je pousse un long soupire, alors que je le voix en train de renifler le sol, à la recherche quelque chose. La leçon d'hier ne t'a pas suffit? Il sent ma présence, se tourne en grondant, malgré sa queue entre ses jambes. Quoi? Tu pensais que j'allais te laisser tranquillement? Je lui saute dessus dans un profond grondement, attaquant sa gêne son épaule que j'avais déjà éprouvé la veille. Je pousse sur mes pattes pour rendre ma morsure encore plus profonde dans sa chair, son sang coulant le long de mes crocs. Il me mord à l'épaule à son tour, tirant sur le côté, agitant la tête pour le faire chuter. Je le mine pour presque, tentant moi aussi de le mettre au sol? Le premier à terre sera le perdant, de toute manière. Je tire sur mes muscles, penchant le poids de mon corps en équilibre sur mes pattes, et lui tire de même, m'infligeant une douleur lancinante dans l'épaule. De rage, je tire un dernier coup sec, violent, arrachant une bonne partie de sa chair et de ses poils entre mes crocs. Mon crâne heurte solidement le sien, alors que je recule de la masse de poil couinante sous mon regard imperturbable. Il recule, et tente de fuir une nouvelle fois à toute patte. Sauf que cette fois, je ne le laisserais pas filer. Je prend mon élan à mon tour, courant à pleine vitesse. C'est pour ça que je m'entraîne, et que je me bat. Je pousse un puissant grondement, alors que je le rattrape, lui handicapé par sa nouvelle blessure que je venais de lui infliger. Dans un sourire presque malsain, j'arrive à sa hauteur, claquant mes crocs sur sa cuisse gauche, à ma porté. Il tombe alors sur le sol, pathétique, alors que je lui grimpe dessus. Mes crocs se perdent sur sa nuque, alors que je sers avec force. Il se débat, puis soudain l'os craque, et il tombe au sol. Je lui ai brisé la nuque, et le sang éclate dans la gorge. Bien.
Je me redresse, couvrant la cadavre de terre pour éviter d'attirer d'autres charognards. Je souhaitais ne pas avoir à me battre tous les jours non plus à cause de quelques imprudents.

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Entrainement solo 5.2

Force → 63 Agilité →71 Endurance →68

Le chien errant était mort, je pouvais me concentrer sur mes entrainements. Je trouvais une sorte de bascule, non loin de là. Montant sur cette dernière, je tenais en équilibre, avançant alors d'un bout à l'autre de cette dernière. Au début lentement, pour prendre le pas, j'accélérais peu à peu mon rythme, manquant de tomber plus d'une fois. Finalement, alors que je commençais à être habitué à l'exercice de faire des allées et des retours, je commençais à m'entrainer autrement. Faisant monter la bascule au plus haut du côté opposé, je la bloquais avec une pierre, avant de rejoindre le sol. Prenant mon élan alors, je sautais, atterrissant alors direction sur la partie la plus haute, la pierre la maintenant en contre poids. Au début, je ne sautais pas assez haut, atteignant seulement du bout du museau, et encore. Je recommençais une nouvelle fois, prenant de l'élan, campant sur mes pattes, avant de bondir une nouvelle fois. Cette fois-ci, je l'atteignais presque, il ne me manquait sans doute que quelques centimètres. Et encore, je restais à l'arrêt pour sauter. Avec de l'élan, ça serait trop simple. Je me campais une nouvelle fois, bandant chacun de mes muscles, avant de bondir, allongeant ma détente, arrivant enfin à attraper la bascule de mes crocs. Suspendu, je tentais de tirer dans ma direction, mes pattes touchant presque le sol. Pesant de tout mon poids vers le bas, je la sentais se soulever doucement malgré la pierre qui servait de contre poids. Mes quatre pattes finirent pas toucher le sol, alors que je relâchais la bascule, qui remontait à nouveau. Je bondissais une nouvelle fois, répétant l'exercice une heure durant, jusqu'à avoir la mâchoire endoloris.

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Entrainement solo 6.1

Force → 74 Agilité →84 Endurance →83

Je me levais tôt aujourd'hui. Je fouillais dans la structure de métal, alors que je tombais sur une sorte de toile, plutôt lourde. Je la tire, elle est pleine de morceau de ferraille. J'en prend alors un bout, faisant rapidement le tour pour former sur sorte de sachet, facilitant son transport. Finalement, les deux extrémités dans ma gueule, je tire vers l'arrière. Les muscles gonflés, je tire sans trop de peine mon paquetage en direction d'une petite cote que je dois dépasser. Soupirant, je bande mes muscles, mettant tout mon poids sur mes pattes arrière. La pente est assez raide, et je raffermi la prise de mes crocs sur le sac de toile, le poil s'hérissant sous l'effort. Je tire sur mes pattes, reculant pas à pas, au fur et à mesure. La toile manque de se déchirer entre mes crocs. Je pousse un grondement rauque, essayant d'aller plus vite. Entrainement à la noix!
Oui, je suis de mauvaise humeur ce matin. Agacé, je tire un peu plus fort, et la toile se déchire. Je vois la ferraille s'étaler sur la moitié de la montée. Je claque des mâchoire, frustré. Je redescend en pas, à la recherche de quelque chose pour évacuer. Là, le carroussel. Je bondis sur un des chevaux de bois, plantant mes crocs dans le bois de sa patte. Il craque sous ma prise, alors que je tire en arrière, commençant à en arracher un peau morceau. La peinture s'effrite sur ma langue, alors que je tire, je pousse, jusqu'à ce que le morceau de bois craque. je recule, secoue la tête pour briser le morceau de bois entre mes crocs, avant de la cracher au sol. Je recommence, avec une autre patte. Je tire, brutalement, furieusement, jusqu'à en arracher un nouveau morceau. La batte de fer qui retient le cheval m'empêche de l'arracher entièrement, mais rapidement, je saute sur son dos, commençant à frappe avec mes pattes au niveau de l'encolure pour lui briser la nuque. Un coup, deux coups, un troisième. Finalement, le bois craque sous mon poids, et tombe au sol. Je bondis dessus, mordant à l'intérieur. Le bois part en miette entre mes crocs, avant que je le jette un peu plus loin.
Je laisse le calme revenir en moins, alors que je lâche un juron. Je commençais à perdre les pédales... Voilà que ça recommençait, une nouvelle fois...
Je plaquais mes oreilles en arrière, faisant demi-tour. Je devais prendre l'air, plus loin, laissant le cheval de bois en morceaux derrière moi.

#fk.016 pour kobalt

Entrainement solo 6.2

Force → 74 Agilité →84 Endurance →83

Je m'étais calmé, ayant couru un petit peu. Il fallait que je me ressaisisse. Que je me concentre. Et je savais quoi faire pour ça. Je me dirigeais vers une sorte de tremplin en plastique et métal, le tirant avec mes crocs pour le mettre en position. Il était assez abimé, grinçant, mais il devrait faire l'affaire. Je bondis dessus, alors que je rebondis sur ce dernier. Je saute sur place, prenant un peu d'élan. C'est amusant, d'une certaine manière. Je laisse peser mon poids sur mes pattes arrières, avant de me projeter en avant, montant sur le toit d'une ancienne attraction, à moitié effondrée. Rapidement, je commence à courir sur le toit, sautant sur celui du voisin, légèrement en pente. Je me laisse glisser sur mes pattes, avant de bondir sur un autre toit. Prenant encore plus d'élan, je bondis sur une barre de métal qui fait la jointure entre deux bâtiments. A peine plus large que mes deux pattes, je cours sur celle-ci, essayant de garder l'équilibre, bien que manquant de tomber. J'accélère, avant de sauter entre les chaines de ce qui semblait être des chaises volantes, en hauteur. J'atterris sur une d'entre elles, avant d'utiliser le balancier de cette dernière pour franchir le vide.
Finalement, je glisse le long d'une taule, pour rejoindre le sol, continuant ma course à toute allure. Je bondis par dessus des cartons, des tas de déchets. Je saute sur le toit d'un véhicule, avant de retoucher le sol avec souplesse.
Je me glisse sous un lampadaire couché sans ralentir ma course. Et j'avance, je bondis encore, et je cours; et je bondis encore. Jusqu'à ce que je soit épuisé. J'ai besoin de me vider la tête. J'ai besoin d'oublier, d'expulser tout ça. Je saute contre un mur à ma droite, puis celui à ma gauche, m'entrainant à me réceptionner. Un parcours, voilà ce que c'était. Un parcours. Je bondissais au dessus d'une sorte de baril ouvert, creux et vide. Je laisse pendre ma langue, sautant encore par dessus une vielle poussette détruite, grondant entre mes crocs.
Fatigué, je fis demi-tour vers le local pour me reposer.

#fk.016 pour kobalt

Entrainement solo 7.1

Force → 74 Agilité →84 Endurance →83

Je me sentais mieux, depuis quelques jours. J'avais enfin réussi à décompresser un peu. Je trottinais une fois de plus sur mon terrain d'entrainement préféré, bien que je commençais un petit peu à en faire le tour. Aujourd'hui, je m'attaquais à un titan: la grande roue couchée. J'approchais de la structure en métal rouillant à pas rapide, assez impatient en fait. Je bondis rapidement vers une des barre de fer, me glissant en dessous. Devant moi se dressait une toile de morceau métallique rouillée dans tous les sens. Le sourire aux babines, je prend mon élan, avant de commencer à courir à allure plutôt modéré. Je jongle sur chacune de mes pattes, levant l'une, puis l'autre, les deux avant, les deux arrières. Je bondis entre les fils roux du temps, glissant avec souplesse et vitesse.
Je tombe sur le sol, me pliant de tout mon long pour glisser sous une barre assez basse, avant d'allonger les muscles de mes pattes pour sauter au dessus du suivant. La roue commence à monter légèrement. Je bondis sur une des barres, avant de prendre appuie sur cette dernière pour me propulser sur une partie un peu plus large que le reste de la structure. Elle grince sous mon poids, alors que je commence à courir sur cette piste étroite, chacun de mes muscles en mouvement.
Je bondis pour esquiver un trou dans la structure, me réceptionnant agilement avant de prendre le virage de la roue, commençant alors à faire le tour par la descente. Je retombe entre mes barreaux de métal, me faufilant à droite, puis à gauche, sautant au dessus, me couchant, sautant à nouveau au dessus.
Je pousse une nouvelle fois sur mes pattes pour atteindre la base renversé de la roue tombée, regardant autour de moi rapidement. Le souffle court, le cœur palpitant, je reprends mon souffle après cette course folle, vidé.

#fk.016 pour kobalt

Entrainement solo 7.2

Force → 74 Agilité →84 Endurance →83

J'avais terminé mon parcours sur la grande roue, regardant les horizons, reprenant mon souffle lentement. Je me retournais vers ma droite, entamant de descendre lentement de là, lorsque ma patte se posa sur une des branches de métal qui craqua sous mon poids. Je commençais à tomber, avant de mordre par réflexe un des barreaux se trouvant devant moi. Fermant solidement les crocs sur ce dernier, je jetais un coup d’œil vers le bas. La chute n'aurait pas été mortel, mais j'aurais pu me percer la peau avec les morceaux de ferraille qui traînent. Je crois que ça aurait été une sentence bien pire que la mort. Tenant toujours la barre entre mes crocs, le corps pendant dans le vide, je basculais mes pattes d'avant en arrière, dans un mouvement de balancier, me contorsionnant et mobilisant tout mon poids pour m’aider à remonter. Je pousse, serrant les crocs pour ne pas perdre ma prise. Enfin, mes pattes arrières touchent la structure par le dessous, et je prends mon élan pour remonter.
Mais ce n'est pas suffisant, et je me rate. La barre de métal glisse entre mes crocs, alors que ma mâchoire commence à être douloureuse. Je ferme les yeux, me concentrant sur la pression de mes crocs. Je ne devais pas lâcher, malgré le goût de rouille répugnant dans ma gueule. Je reprend un mouvement de balancier, contractant chacun de mes muscles pour m'aider un peu plus à remonter. Mais encore une fois, c'était un échec. Je soupire, regardant vers le bas. Non, je n'allais pas finir empalé là. Je regardais rapidement autour, dans la mesure du possible. Je ne pouvais pas bouger la tête à cause de ma prise sur la barre avec mes crocs que je resserrais, commençant à fatiguer. Je remarque une sorte de tas d'ordure, un peu plus loin en bas, proche du tas de ferraille. Je déglutis légèrement. De toute manière, je n'ai pas le choix. Je me balance une nouvelle fois, prenant le plus d'élan possible. Je balance devant, basculant mes pattes arrières, pour ensuite retourner derrière, avant de donner une nouvelle impulsion, lâchant la barre, libérant mes crocs. Je sens mon corps qui flotte, passant au dessus de la ferraille. Je regarde le sol, puis le ciel, tournant sur moi-même, avant de tomber dans les ordures. Un choc de douleur me parcourt, alors que mon souffle se coupe à moitié.
Je roule, tentant de me redresser, ayant du mal à retrouver mes repaires. Bon sang... Amusant, mais dangereux à la fois. Je grondais entre mes crocs, m'ébrouant pour retirer les saletés qui s'accrochaient à mon pelage.
J'avais une petite douleur à l'épaule et dans le dos, sans doute des bleus qui viendront demain matin, rien de bien grave en sommes.

#fk.016 pour kobalt

Entrainement solo 8.1

Force → 86 Agilité →94 Endurance →93

Je trottais dans la fête foraine, quelques foulées. Aujourd'hui, j'allais être de repos, d'une certaine manière. Une chose pas trop difficile, physique mais pas épuisante non plus. Je pousse sur mes pattes pour commencer à courir au milieu des différentes allées. Je fais un bref demi-tour, maintenant mon allure, laissant mes pattes déraper pour reprendre ma course plus facilement. Je crois que j'ai déjà pris ce chemin. Oui, je m'en souviens. C'était lors de ma première rencontre avec Belphegor. Je courais, accélérant. Je me force à sauter au dessus des obstacle, même s'ils sont trop haut. Je me réceptionne dessus, je pousse sur mes pattes avant puis arrière pour bondir une nouvelle fois et toucher au le sol.
Je poursuis ma course, sans m'arrêter, ralentissant quand même un peu pour reprendre mon souffle. Je tourne la tête en direction du chemin de bois, commençant à courir sur ce dernier rapidement, reprenant une allure plus grande. Le chemin de bois s'élève, alors que mes pattes font trembler le bois. Je bondis au dessus d'un morceau de rail détruit, me réceptionnant avant de sauter une nouvelle fois. Mes pattes s'accroche à ma montée plutôt raide qui se trouve devant moi, alors que je pousse sur mes pattes arrières pour grimper, presque à la verticale. C'était plus simple qu'avant. Oui, bien plus simple qu'avant. Le sourire sur mes babines, je continuais de grimper jusqu'à atteindre le sommet du chemin de bois, regardant l'ensemble de la fête foraine depuis les hauteurs. Je commençais alors à redescendre, vivement, contrôlant quand même ma vitesse dans cette pense plutôt raide à son tour. Le souffle court, le cœur battant, j'attaque une seconde montée, recommençant mon même manège, grimpant avec mes pattes, mobilisant chacun de mes muscles. Je grimpe en haut de ma montée puis je redescend une nouvelle fois à vive allure. Le parcours s'arrête, alors que je continue de courir, sautant au dessus des tas de déchets, augmentant un peu plus ma vitesse. Je pique un sprint, les pattes douloureuses. Je pousse à fond, à toute allure, à m'en faire éclater le cœur s'il le faut.
Quand je sens mon souffle qui commence à se couper, je ralentis, les pattes tremblantes. Je m'écroule à moitié sur le flanc, le souffle court, la respiration sifflante. Je ferme les yeux, fatigué. Qui avait dit que je voulais y aller moins fort cette fois-ci? Ah oui, moi, c'est vrai...

#fk.016 pour kobalt