Souffle acide du vent, larmes brulantes du ciel. Le monde ne ressemble plus aux paysages d'autrefois. Les cataclysmes ont frappé, des colonnes de flammes et de fumées se sont élevées sur l'horizon. La guerre. La guerre des hommes. Et nous, les loups n'avons eu d'autres choix que de fuir. Nombreux furent nos congénères emportés. Nous traversâmes les plaines cabossées, les forêts de cendres, poursuivis par la faim, traqués par la mort.

Notre salut, nous le devions malheureusement à ceux qui avaient provoqué notre malheur.


 
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 A la poursuite [Defi - Entraînement continue]

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Destin

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Destin
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Ven 8 Avr - 11:22

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'Dé de recherche' : 8, 12
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Sam 9 Avr - 8:29

A la poursuite
(Entraînement n°17 09 Avril)
Abysse Δ



Force : 38 | Agilité : 48 | Endurance : 43

La louve avait quand même besoin d’exercice, alors malgré sa lourde fatigue et ses muscles un peu engourdis, elle ne voulait pas se relâcher, se ne serait pas bon que se soit physiquement ou bien mentalement bien sûr. Se levant aux aurores aussi difficilement soit-il, elle s’étira longuement les pattes avant de traîner son corps relâché jusqu’à l’extérieur. Passant donc par le sous-sol de la maison hanté, puis en se faufilant a travers le trou griffant comme souvent son pelage noir, s’ébrouant pour disperser la poussière de son corps, elle regarda autour d’elle en s’asseyant. Qu’allait-elle pouvoir trouver pour s’entraîner ? La louve solitaire avait déjà fouillé les endroits de partout. Elle avait été en hauteur dans le château, dans le bas fond des sous-sols, les attractions ici et là. Soupirant, regardant autour d’elle. Puis son regard croisa son chemin de course habituel, mais non pas maintenant. Elle ne voulait pas courir, enfin pas le même chemin qu’à ses habitudes, baillant doucement. Elle se mise a trottiner en direction des montagnes russes. Cela faisait longtemps non qu’elle n’y fût pas aller après tout. Sautant sur le toit d’un ancien kiosque, la louve noire, fixa amèrement le sommet. Tapant un peu de ses pattes sur le toit manquant de s’effondré sous ses pattes elle se mise à détaler comme un lièvre sur les toits des anciens kiosques. Tendant ses muscles à chaque petite foulée, elle regardait bien droit devant elle. Les oreilles habituellement droites sur son crâne sont cette fois-ci bien plaquée sur le haut de son crâne. Régulant son souffle, chaque inspiration était faite par son museau, mais elle expirer par la bouche en laissant sa gueule légèrement entre ouverte. Continuant de faire souffrir ses os encore et encore, ses pattes arrières utilisé la force, celle de l’avant utilisé la vitesse. Repliant ses pattes pour venir les bander en avant à chaque mouvement, la faisant parcourir à une folle vitesse son champs de course. En arrivant au bout du dernier kiosque situé sur la ligne face aux rails en hauteur de l’attraction à sensation forte. Elle accéléra la cadence sur les cinq ou six derniers petits mètres la séparant du vide. Quand elle se retrouva a quelques centimètre du bord, elle vint prendre appuie sur ses arrières train, venant faire un système de ressort vers l’avant. Ses pattes avant bien tendu, elle écorcha de vif le bois des montagnes russes quand elle fit son atterrissage qui n’était fait de douceur. Elle remonta son corps avec un système de balancement, puis passa par-dessus l’attraction. Ne prenant pas le temps de se retourner pour voir la distance sauter, elle se mise à courir sur les rails. Répétant inlassablement les mêmes mouvements de pattes.

L’intérêt de l’exercice appliqué est le suivant, sur cette attraction beaucoup de débris lui barre le chemin. Des wagons de l’attraction abandonnée en plein milieu de la piste. Ainsi que des morceaux de fer, de bois effondré en plein centre. Il y a également des importants fossés de créer naturellement avec les tempêtes de la guerre. Alors non, là la louve n’était pas là pour entraîner ses pattes à pour courir, mais bien pour entraîner ses sauts. Elle avait remarqué, qu’elle avait du mal à effectuer des sauts sur grandes longueurs. Donc aujourd’hui, elle c’était décidé à changer la donne. Tout en courant, elle remarqua le premier obstacle. Un trou bien sûr. Il était assez petit, elle n’aurait aucun mal à sauter par-dessus, c’était simple, peut-être trop aux yeux de la solitaire qui savait ce montrer quelques peu imbus d’elle-même sur certains exercice. Enfin bref. Accélérant encore et encore ses pattes sur le terrain, fixant d’une flamme dans les yeux son obstacle. Arrivé à sa porte elle recommença le même système. Elle prit appuie sur ses pattes arrières et vint mettre toute sa puissance, bondissant de l’autre côté. Le bois se mit à craquer sous son arrivé bruyante, mais elle ne fit guère attention à se détail et repartit tel une fusée dans la course. Sur son chemin elle passa a de nombreuses reprises par-dessus des objets. Elle rencontra un fameux wagon abandonné, mais cette fois c’était du niveau qu’elle souhaité dès le départ. Il était fait en longueur de trois voitures. Son but était de réussir à passer au-dessus des trois, sans toucher une seule d’entres-elles. Venant plaqué ses oreilles contre son crâne, elle monta malgré sur le capot de la première voiture, puis elle s’aida de la vitre comme tremplin pour se propulser en hauteur et en longueur. Mais son saut fut un échec à ses yeux. Elle se ramassa lourdement quand une de ses pattes vint taper l’arrière d’une des petites voitures, la faisant perdre son équilibre et sa concentration tombant sur le bois qui en plus de ça se mit à craquer de nouveau dangereusement sous son poids. L’attraction était abîmée et Abysse aurait mieux fait d’y faire plus attention. Il céda finalement sous son poids, la faisant de nouveau chuter, elle attrapa de ses griffes le bois, le lacérant avec force pour retenir son corps de tomber en arrière. Ses pattes arrières balançant dans le vide dangereusement. Son cœur ne fit qu’un bond en regardant le bas. Si elle lâchait elle se ferait tuer par la chute mortelle. Son souffle rapide. Devant vite, très vite trouver une solution.

Un nouveau bruit vint inquiété dangereusement la femelle, qui redressa les oreilles et regarda au-dessus d’elle. La faille venant de se créer avait penché légèrement les rails vers l’arrière, en direction de l’ouverture, en direction d’Abysse. Et le train en question, sur roue se mit alors à glisser dangereusement vers la louve qui prise de panique se mit à battre des pattes. Perdant toute notion de sécurité. Il approchait rapidement. Tournant la tête de droite à gauche, elle remarqua un morceau de fer dépasser du trou de l’autre côté, elle devait l’attraper entre ses crocs pour s’aider à remonté. Mais le temps lui était plus ou moins compter, alors il valait mieux pour elle, qu’elle se dépêche si elle ne voulait pas se retrouver écrasé. Se décalant intimidé et apeurée par la hauteur sur le droite, les roues crissant du wagon lui indiquait qu’il était très proche. Un coin de regard sur la barre, un coin de regard sur l’attraction. Grognant de frustration. Elle fit un saut sur le côté, attrapant alors entre ses crocs le fameux morceau dépassant, ses griffes venant de nouveau se planter dans le bois et elle tira de toutes ses forces pour faire basculer son corps vers l’avant. Ses griffes glissaient, mais elles restaient planté, écorchant le vieux manège sans aucune pitié. Ses pattes arrière vinrent trouver un appui de bois et elle poussa sur ses dernières pour propulser son corps vers l’avant. Une fois le flanc à moitié en sûreté, elle tira encore plus, se faisant griffer de partout, un échauffement se formant au ventre la faisant gronder de colère puis elle utilisa son poids pour se tirer un dernier coup. Elle se laissa tomber sur la forme plate, essoufflé, la tête venant se posé au creux de ses pattes. Le wagon finit par tomber et le bruit assourdissant se fit retentir en bas ébranlant le manège qui bougea. Faisant paniquer Abysse qui sauta immédiatement sur le haut de ses quatre coussinets et détala à vitesse grand V de l’endroit. Sautant sur les morceaux de bois plus bas, évitant les objets de sa route. Bondissant de manière hasardeuse sur le toit des kiosques. Se tournant en direction de l’attraction qui avait cesser de bougé. Elle soupira presque de soulagement.

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Sam 9 Avr - 8:29

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'Dé de recherche' : 9, 5
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Dim 10 Avr - 19:45

A la poursuite
(Entraînement n°17 09 Avril)
Abysse Δ



Force : 38 | Agilité : 48 | Endurance : 43

Comment c'était-elle retrouver dans cette situation qui pourtant ressemblait fortement a se qu'elle avait déjà vécut avec le loup noir dans un certain bâtiment en effondrement dans la ville en ruine. Abysse c'était aventuré dans le parcours à eaux des amoureux pour une nouvelle fois, sautant par-dessus l’eau a plusieurs reprises pour passer de plate-forme en plate-forme. Accrochant ses griffes de partout, forçant sur ses muscles faisant levier afin de la faire passer par-dessus des obstacles. Glissant également son corps sous de nombreux objets de décor fait de cartons, bref elle c'était amusé comme une véritable folle jusqu'à la secousse la surprenant au plus haut au point. Elle ne pourrait pas dire si cette secousse était naturelle ou non, était-ce a cause des hommes et de leur guerre. Oui était-ce un véritable séisme naturel. Mais qu'importe, alors qu'elle était debout sur un décor assez fin utilisant son équilibre, le tremblement la fit tomber, devant se rattraper plantant ses griffes dans le décor pour ne pas se retrouver au sol écrasé. Mais voilà que cette secousse assez violente et rapide fit tout ébranler le terrain d'entraînement de la femelle qui commençait à s'effondrer. Son décor lâcha sous ses pattes et elle dut le lâcher rapidement, tombant sur le sol. Même si elle ressentit une petite douleur dans le dos, la louve dut se mettre à roulé sur le côté évitant le décor qui s'effondrer prête à l'écraser. Se redressant sur ses pattes rapidement, la jeune louve dut faire un demi tour et se mettre à courir.

Tout était entrain de s'effondrer sur sa tête. Les décors suspendue a des fils lâchèrent, si fragile et tombèrent. Virant sur la gauche un coup sec pour évité le décor du ciel, elle dut prendre un second virage sur la droite pour cette fois évité une structure tombant vers l'avant. Elle sentit la terre se dérobé soudainement sous ses pattes, tombant, le décor était entrain de pencher dangereusement vers une faille. Le sol c'était ouvert et bien sûr sous le manège aspiré dans un gouffre. Relevant ses pattes, les griffes accroché au sol, elle glissait. Mais non, elle ne devait pas se laisser engloutir par le décor. Des objets glisser dans sa direction manquant de se faire écraser de nouveau. Ses yeux en panique était entrain de chercher une idée, une solution. Quand elle vit se fil de fer pendre prêt de son museau. L'attrapant de ses dents elle tira, appuyant ses pattes sur la plate forme verticale. Utilisant la force de sa mâchoire pour se tirer de là. Une fois droite sur ses pattes, elle s'élança dans une course de nouveau. Bandant ses muscles au maximum, ses foulés rapide parcourrait le décor. Utilisant principalement la technique d’esquive des obstacles. Venant esquiver, zigzaguer entre les différents danger, elle bondit sur une des barques pour se retrouvé dans l'eau et elle nagea, se retrouvant enfin a l'extérieur. Un regard vers l'arrière elle rejoignit la berge soulager de s'être sortit d'ici rapidement.

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