A la poursuite [Defi - Entraînement continue]

Ven 18 Mar - 10:39

A la poursuite
(Défis)

Abysse Δ

Force : 10 | Agilité : 10 | Endurance : 11

Tous ses muscles étaient endoloris par la folle course poursuite que la louve menait depuis déjà une bonne demi-heure ce matin. Elle poursuivait une Lynx au travers de la forêt, elle était la seule et unique proie que la solitaire avait réussis à dénicher ses derniers jours alors non elle ne voulait pas le laisser filer, il en était hors de question ! Courant au travers les branchages de la forêt, elle ne regardait pas jusqu’où cette course pouvait l’emmener, mais elle devait l’attraper qu’importe l’endroit, qu’importe le danger pouvant la menacée. Prise d’une folie meurtrière et sanglante, elle avait faim. Sautant sur un tronc d’arbre que le félin venait d’esquiver, elle tenait en drôle d’équilibre sur ce morceau de bois suspendue, avant de sauter sur une pierre prenant appuie et rattrapant l’animal de prêt. Se glissant sous un tronc effondré par la suite, cela les emmena jusqu’à la fête foraine. Un de ses terrains favoris que ce soit pour l’entraînement où pour s’y reposer. Même si ses dernières semaines des lames de foudre manque de tomber à tout instant, la femelle y a trouver un magnifique repère sous des vieux manège, l’ayant fait de sa tanière protégé des foudres. D’ailleurs elle remarqua pendant sa chasse que le ciel était noire et manquerait d’éclater à tout instant. Abysse devait vite en finir.

Passant au-dessus d’un vieux wagons d’un saut en longueur, elle n’était plus qu’a quelques centimètres derrière le pauvre animal qui finirait entre ses crocs, passant sur la barre en fer de la roue, sautant sur le toit d’une vieille boutique, elle passait en hauteur afin de tendre une embuscade au félin qui été essoufflé. A première vue, il s’agissait d’une jeune femelle. Encore petite, sans doute égaré de sa mère. Une occasion en or pour le canidé. Sautant sur une nouvelle surface elle bondit sur le sol se retrouvant face à sa proie. Les dents dévoilés en avant, grognant mauvaise, s’approchant petit à petit. Oui il s’agissait d’un bébé qui reculait la queue entre les pattes, apeurée par la grande femelle menaçante. Alors que cette dernière s’apprêtait à en finir avec elle, le ciel gronda violemment faisant trembler le sol, une barre de fer glissa manquant d’écraser le lynx, prise d’une détermination sans nom, Abysse oublia sa haine, le statut de chasseur et de proie, sautant pour attraper le petit animal entre ses babines sans mal et s’éloigna de peu de l’accident. Tombant sur le sol boueux, les crocs toujours refermé sur sa prise qui se débattait. Essoufflé et à bout de force la louve reposa l’animal au sol mais la coinça entre ses pattes. Le regardant de ses yeux vert. « Tu m’as l’air bien petit… Si faible que je pourrais te tuer d’un coup en te tordant la nuque… » Bien sûr l’animal n’eut aucune réponse que des gémissements de secours. Faisant sourire la demoiselle.

« Tu me rappelles moi il y a quelques années… J’étais si petite, si faible. Puis un loup m’a épargné, m’a prise sous son aile… S’il n’avait pas été là je serais morte tu sais. » Oui elle parlait, une véritable conversation avec son petit déjeuner. « Mais moi je fus incapable d’être présente pour Darius quand il est mort… Même si je ne l’appréciais pas beaucoup, il n’était pas méchant, il prenait soin de moi du moins à sa manière. » En repensant au vieux loup, une vague de nostalgie empara la demoiselle qui perdait toute faim sur le moment. Son cœur serrer en deux, elle regardait le lynx qui semblait maintenant calmer et à l’écoute de la pauvre solitaire qui en avait beaucoup sur le cœur. Le regard vide, attristé, elle posa sa tête sur ses pattes soupirantes. « Il me manque parfois, j’aimerais revoir sa vieille tête de loup gris fatigué, toujours ronchon. Il était dur avec moi, me faisant courir pendant des heures entières, toujours sur mon dos, me faisant des reproches. Mais il le faisait pour mon bien, il voulait que je devienne plus forte. Que je ne montre pas mes faiblesses. Que je sois une tueuse. Sans lui j’aurais été tué par la première bête venue. » Souriant faiblement, elle vint mettre une léchouille au petit animal. Prise d’affection pour ce dernier, c’était un drôle de moment pour Abysse qui n’en avait pas l’habitude. Mais elle avait été charmée par la faiblesse de sa proie, de voir à quel point elle fut aussi faible qu’elle il y a une époque de cela. Heureusement c’était loin derrière elle.

« Il a fait preuve de pitié et ne m’a pas tué. Alors qu’il aurait put le faire, comme je pourrais le faire avec toi maintenant tu sais… » Elle vint lui mettre une autre léchouille sur le pelage faisant miauler le petit être. Elle devait le tuer, oui au fond la solitaire le savait, mais elle en était tout simplement incapable. Se redressant, attrapant le petit animal par la peau du coup comme le ferait une louve avec ses louveteaux et l’emporta vers sa tanière non loin de là. Une fois cacher, elle reposa l’animal entre ses pattes avec grande délicatesse continuant de lui faire un petit brin de toilette. Elle le regardait avec tendresse, les oreilles en avant. La fatigue commençant à la gagner, un bâillement sortit d’entre ses crocs. Son choix était donc fait, elle épargnerait la vie de ce petit animal fragile. Elle y était trop liée de toute façon pour lui faire du mal. « Maintenant essaye de dormir… Tu es si petit et fragile que tu as besoin de sommeil, moi aussi. »

Ven 18 Mar - 14:52

A la poursuite
(Entraînement n°1 18 Mars)

Abysse Δ

Force : 10 | Agilité : 10 | Endurance : 11

Après cette drôle de rencontre avec le petit lynx, la louve c’était réveillé et l’animal avait complètement disparue. Tout de suite, notre solitaire c’était senti idiote, imbécile et trop sentimentale alors qu’elle se montrait habituellement sans pitié, sadique, sanguinaire, mais pas cette fois-ci, elle avait fait preuve de pitié et de compassion pour le petit félin qui aurait put lui remplir l’estomac. Soupirant longuement malgré tout, elle se redressa sur ses hautes pattes ébrouant tout ses poils noirs de part d’autres. L’endroit où elle dormait était une petite cabane anciennement boutique de la fête foraine, bon certes peu douillet, froid et humide mais il lui plaisait beaucoup ! Elle y transportait ses rares proies, elle s’y reposait et avait une vue dégagée sur les vieux manèges abandonnés. Puis le lieux était abandonné et cacher de tout danger de pluie, oui elle y était chez elle tranquille. En plus de ça, vivre au bord de l’ancien parc était une aubaine pour la solitaire qui s’entraînait souvent : et c’était le bon moment pour une petite séance.

Trottinant à l’extérieur, la pluie c’était arrêté rapidement mais le sol été terriblement glissant à ce moment là. Levant la truffe, un brin de vent frais lui fit un bien fous, secouant de nouveau sa tête soudainement elle bondit dans une nouvelle course. Slalomant entre les débris étalé sur le sol. Objets coupants, ordures, saleté ou flaque d’eau elle évitait tout. Elle ne jouait pas sur sa vitesse, mais sur sa façon d’évité des obstacles. Un coup à gauche contournant un wagon de train fantôme, un coup à droite pour passer à côté de chaise anciennement des chaises volantes. Sautant par-dessus un amas de pierre qui était autre fois un mur de pierre, faisant attention à son atterrissage. Courant toujours plus vite, son souffle court, ses membres tendus. Elle repoussait ses limites le plus loin que possible. S’aventurant dans une ancienne attraction appelait le palais des glaces, tout les miroirs cassé néanmoins reflétant la femelle, elle se repérait à l’odorat la sortie. Sautant au-dessus d’une vitre brisée qui aurait put la coupé finement. La sortie de l’attraction était complètement bloqué et un seul un trou lui permettait de s’y glisser, avec quelques coups de griffes sur le sol fait de terre et de plantes mortes, elle glissa sous, tordant son corps déchiré par l’effort physique.

Ses pattes taper le sol de vitesse, elle tentait de faire preuve de vitesse, de légèreté. Passant sur les rails d’une ancienne montagne russe assez petite, la louve prit de la hauteur sur des morceaux de bois peu solide manquant de s’effondrer à tout instant. Tout cela tenait d’un équilibre parfait. Avançant avec détermination, au petit trot, survolant les obstacles devant elle. Oui la fête foraine abandonnée était un lieu magique et performant pour ses entraînements, tout comme la ville en ruine. Elle en avait quelques souvenirs comme sa gamelle ou ça rencontre avec le solitaire insolent. Toujours entrain de prendre de la hauteur, elle sauta pourtant sur le toit d’un ancien petit cabaret, effectuant des spectacles de marionnettes, laissant ses griffes accroché aux gouttières. Ses muscles lui hurler d’arrêter ses efforts, mais son esprit lui murmurer de poussé l’expérience plus loin. Elle avait besoin de force, d’endurance et d’agilité face aux ennemis ou aux proies. Elle devait être toujours plus forte quoi qu’il arrive.

Dim 20 Mar - 10:45

A la poursuite
(Défis)

Abysse Δ

Force : 10 | Agilité : 15 | Endurance : 13

Après avoir parcourus de manière désespéré toute la plaine de cendre jusqu'au moindre terrier de rat pour y dénicher quelques choses, Abysse avait reprit le chemin de sa première tanière non loin de fête foraine. Elle était perdue dans ses pensés profonde qui n'était néanmoins pas très glorieuse c'était la moins que l'on puisse dire. Comment allait-elle pouvoir trouver quelques choses quand toutes la faunes semblaient avoir soudainement disparue sous leurs pattes, son ventre criait famine, mais elle n'était pas une égoïste. Depuis qu'elle avait intégré la horde de Kobalt, elle avait crut comprendre qu'ils auraient besoin d'aide pour la chasse. Alors elle chassait pour elle-même, mais également pour eux. Elle savait que le mâle au pelage noir n'avait semblait-il aucune difficulté à propos de la chasse, mais la plus jeune été encore novice se qui avait presque le don d'énervé la jeune femelle qui aurait aimer pouvoir compter sur d'autre, mais elle n'en faisait visiblement pas partie. Grognant et traînant des pattes au travers des arbres, la solitaire avancer fulminante de ne rien trouver ses derniers jours triste.

Foulant la terre non loin de la fête foraine, un bruit venant d'une petite cabane lui fit redresser les oreilles. Y avait-il quelqu'un prêt de son ancienne tanière dont elle aimait revenir par moment s'y reposer pour être seule ? Les oreilles soudainement plaquer en arrière, discrètement elle s'approcha de l'ancien cabaret de poupée. Prudente et aux aguets, si un inconnu été ici, elle serait prête à lui sauter au cou pour le tuer et peut-être même le dévorer, car oui, quand la faim vous tirailles depuis des lunes, vous seriez prêt à mettre n'importe quoi sous vos crocs et c'était bien le cas de la femelle agacé. Mais non, l'odeur émanant n'était certainement pas celle d'un canin. Elle eut même un drôle de sursaut quand une petite souris au pelage gris sortit de la cabane de bois avec semblait-il un morceau de... quelques choses pourrit entre les dents.

Bien qu'elle n'avait pas l'habitude de chasser de si petite proie, la louve décida qu'aujourd'hui cette souris été seulement et simplement pour elle ! Mais il ne fallait pas prendre le rongeur par la force, mais avec intelligence, rapidité et surtout une grande discrétion à toutes épreuves sinon, l'animal fuirait et s'en serait finit pour sa chasse tant attendue ! Approchant alors d'une lenteur, plaquant tout son flanc au sol poussiéreux, rampant vers sa proie et son futur dîner. Seul le vent de la forêt et sifflant dans les barreaux des anciens manèges siffler dans l'air. Par chance, le vent était dans le sens inverse de la louve, ne pouvant donc pas être détecter à l'odorat si fin du petit rongeur. Bondissant une fois assez proche sur la proie, la petite souris fila néanmoins rapidement vers les jeux, marquant le début d'une folle course poursuite entre elle et la louve qui s'acharnait à la coincer.

Passant sous des débris, c'est au moment d'être dans l'ancienne maison hanté qu'elle attrapa avec fierté entre ses crocs l'animal qui tentait de ce débattre, mais qui finalement fut tué sans la moindre pitié d'un croc de pattes qui la fit taper dans les décors. Le choc l'avait tué sur le coup. Ressortant victorieuse, déposant son butin à ses pattes qui été désormais mort. Se léchant les babines, le premier coup de croc s'apprêtait à être placer et d'avaler sa souris tout rond, qu'un oiseau, une buse assez petite chipa sous les yeux d'Abysse qui vit alors rouge. L'oiseau aller regretté d'avoir passé son chemin de chasseur sous la truffe de la femelle. Il se posa plus loin sur les barres métallique du manège, loin d'elle en hauteur, les serres toujours encerclant la proie voler.

Se perchant sur les toits des anciens manèges, il y avait encore une sacrée hauteur entre les deux prédateurs, puis la buse avait des ailes, la louve non. Pourtant, elle n'avait pas froid aux yeux et par n'importe quel moyen récupérait cette souris. Elle était la seule proie dénicher par la solitaire depuis des jours, alors non, elle ne se laisserait certainement pas abattre par un stupide volatile. Commençant à grimper sur les barres métallique tout en trottinant, évitant les quelques débris. Elle se demandait comme, elle pourrait monter au tant et vite avant que la bestiole ne s'envole. Manquant de tomber sur une des poutres glissantes. Elle vint sauter sur une autre plate-forme encore plus étroites, zigzaguant dessus, évitant les dangers potentiels. Passant même sous un morceaux de fer, son souffle été court, essayant de ne jamais regarder en bas, car oui, plus son chemin ce traçait plus la hauteur été très importante.

Le bruit d'un coup d'ailes fit relever la tête à la femelle. S'envolant, l'animal passa prêt d'elle qui gronda furieuse et bondit soudainement des rails sur le toit des auto-tamponneuse, pourchassant cette fois-ci à la course le charognard. Courant sur la plate forme assez importante, elle se rapprochait doucement. Bondissant au-dessus d'un trou, évitant des troncs déchirant la plate-forme. Elle arrivée au bout. Une seule idée en tête qu'elle ne devait certainement pas louper. C'était fou et dangereux, mais elle devait essayer. D'un saut spectaculaire elle attrapa le charognard au niveau de l'aile l'emportant dans sa chute assez violente sur le sol. Roulant à plusieurs mètres par terres, tout ses os hurler de douleur mais elle en fit abstraction. Se redressant, les membres tremblant, le pelage sale, la respiration haletante. Au moins, le saut ne l'avait pas tuer. La buse été elle-même au sol, prise de frayeur par la canidé qui approchait au petit trot pour le faire fuir, repartit bredouille.

Abysse fut emplie d'une fierté.
Attrapant de nouveau son butin entre ses crocs, elle tenta de repartir en direction de chez Kobalt, boitant légèrement dut à sa chute, mais au moins, elle avait réussit.

Dim 27 Mar - 10:26

A la poursuite
(Entraînement n°2 27 Mars)

Abysse Δ

Force : 12 | Agilité : 22 | Endurance : 20

Trottinant prêt de la fête foraine, la louve était d'une certaine bonne humeur, c'était plutôt rare ses temps-ci, mais là elle se sentait bien. En se levant de la tanière, elle était aller premièrement prêt de la plaine des cendres pour y chasser comme à son habitude, mais comme à son habitude également, elle n'y avait rien trouvé. La terre ne semblait pas mise de son côté, mais contre, face à la nature destructrice, aux armes des hommes, la louve n'avait pas put combattre, alors elle avait fait demi-tour sur ses pas. Trottinant donc jusqu'à son ancienne tanière tranquillement, elle avait prévus de s'entraîner, d'échauffer ses muscles pour de la force, de la vitesse et tout se qui va avec pour progresser. Repensant régulièrement à l'entraînement fait avec Kobalt, la solitaire en avait prit de la graine. Il lui avait montrer beaucoup de choses, plusieurs points positifs, mais qu'elle devait néanmoins améliorer, comme les négatifs qu'elle devait retravailler. Alors qu'elle arriva enfin devant la roue complètement délabré décroché de son socle, un sourire sur ses babines s'étira lentement. Secouant la tête alors que le vent se lève, son museau tendu vers le ciel les yeux fermés. Elle profite avec douceur de cette brise légère avant de commencer les entraînements.

Sautant d'un coup sur le sol, elle fit taper ses pattes avec acharnement sur la terre rêche volant sur ses coussinets et ses griffes, les oreilles plaqués sur l'arrière du crâne, les yeux fixe sur l’horizon, venant évité un premier obstacle sur sa route : la roue de ferraille plus ou moins éventré. Elle trottina sur les barres de fer en équilibre, faisant passer avec minutie ses pattes l'une après l'autre. Elle saute sur le toit d'une boutique prenant quelques hauteurs. Parcourant les toits, elle saute sur le toit de l'ancienne maison hantée. Elle fait attention, délabré, la cabane pourrait s'effondré sous son poids. Mais heureusement, elle savait se rendre légère, ses griffes touchant avec délicatesses les tuiles glissantes, elle passa par l'entrée faite naturellement par la nature : un trou béant dans le bois. Se glissant, accrochant un peu ses poils, elle se retrouva dans la manoir, secouant la tête. Le lieux était sombre, sa vue dus s'adapter à ce changement soudain de luminosité.

Elle se remise à courir dans les allés du manège, sautant par-dessus des wagons, glissant son corps sous les décors écrasé lamentablement dans la poussière. Son souffle était plus ou moins court, mais elle s'en fichait éperdument. La sensation de chaleur dans son corps, la respiration rauque, le coeur battant la chamade, elle adorait cette sensation ne s'en passant pour rien au monde. Bondissant de nouveau sur un décor qui bascula sous son poids, elle le fit tomber au sol alors qu'elle propulsait ses pattes vers l'avant, atterrissant lourdement au sol, elle continua sa course. Venant effectuer des virages serré, faisant demi-tour. Travaillant sa vue, mais aussi son odorat, elle devait se débrouiller pour retrouver la sortie de l'endroit qui était difficile. Mais elle l'avait déjà fait plus d'une fois. Son nez partout, elle évita également de peu le morceau d'un mur effondré au sol. Un sourire toujours dessinée, bondissant sur le côté, venant prendre appuie sur une poutre usé, elle se propulsa, donnant à ses pattes et son corps un élancement fait de vitesse et de force.

Une petite lumière lui fit plisser les yeux, accélérant le mouvement de ses muscles. Mais si la sortie était si simple se serait beau. barré de planches cloués, elle n'avait pas moyens de passer par ici, dressant les oreilles. une petite brèche était clairement visible. Elle voulait passer par là bien que l'opération soit plus ou moins risqué pour elle, mais c'était sa seule chance de sortir. Elle bondit sur un wagon renversé, faisant office de tremplin, elle laisse son corps s'élancé. Accrochant ses griffes aux planches, grimpant elle faufile son corps, déchiré des petits points sortant, sa peau mutilé, elle grogna de douleur avant de passer de l'autre côté. Venant bondir au sol, le souffle court.

Lun 28 Mar - 14:58

A la poursuite
(Entraînement n°3 28 Mars)

Abysse Δ

Force : 13 | Agilité : 24 | Endurance : 24

Se réveillant sous une douce chaleur bien agréable, le soleil est présent pour une rare fois dans le ciel dégagé, encore plus rare ses derniers jours, aucun nuage noir ou gris à l'horizon rendant un peu de bonne humeur dans cette nature parfois déserte. S'étirant les pattes en avant les oreilles dressés sur le haut de son crâne, regardant autour d'elle, attentive au moindre bruit ou à la moindre odeur suspecte des alentours. Elle n'est pas beaucoup retourné à la tanière de Kobalt dernièrement, elle y fait quelques petit tours mais retourne souvent prêt de ses terres pour y chercher différentes choses, ou chasser. Cela dépend des jours et des humeurs qui la contiennent. Aujourd'hui elle avait décidé de faire une nouvelle parade d'entraînement, prenant une grande inspiration, les yeux fixant la hauteur de la montagne russe, elle avait bien envie de se rendre sur cette haute plate-forme, mais cela serait des plus compliqués pour en redescendre.

Faisant tendre ses muscles, elle regarde les points d’appuis existants autour d'elle. Analyser l'environnement. S'adapter au terrain de chasse, au terrain de combat. Se mémorisant, tournant toute ses pensés sur les paroles coulante du loup noir qu'elle avait vus il y a peu. Effectuant un bond en largeur, elle se retrouve sur le haut d'un wagon mort, effectue un nouveau saut venant se mettre sur une auto-tamponneuse. Sautant d'obstacle en obstacle, faisant tendre ses muscles, travailler ses pattes antérieurs, griffant un peu la ferraille des vieux véhicules d'attraction. Venant grimper à coup de pattes sur un mur de bois, tirant son poids vers l'avant, pour faire passer son flanc au-dessus, debout sur la plate-forme en équilibre, manquant de tomber à chaque seconde. Le vent faisant trembler la barrière de bois, qui commence à violemment tanguer vers l'avant, elle saute une fois encore sur le toit d'un petit commerce.

Courant sur les toits fait de taules, de tissue déchiré manquant de la faire basculer à tout moment. Passant par dessus l'écart de deux bâtiments. Bondissant sur un poteau haut, elle prend appuie pour se propulser sur une nouvelle bâtisse abandonné se situation à l'opposé, fait plus en hauteur. Elle fixe l'horizon, regardant toujours ce point de hauteur qu'elle souhaite accédé. Évitant une morceau d'arbre en plein milieu du champ. Elle arrive au bord du toit, mais l'écart est trop important pour qu'elle se permette un saut. Regardant autour d'elle, cherchant une faille, une astuce. Une colonne de bois se situe là, juste sous ses yeux. Elle s'approche et commence à le pousser vers l'avant, cherchant à la faire tomber pour créé un petit pont. La langue pendante, les muscles en sueur, échauffé par la force donner. C'était lourd, très lourd ou même beaucoup trop lourd pour les pauvres forces maigres de la jeune femelle.

Tournant dos à lui, commençant a taper des pattes arrières sur le bois, le faisant s'ébranler, elle commence à tanguer, il ne manque rien pour la faire s'échapper de son socle. Soufflant longuement, son souffle chaud saccadé, douloureux elle force de nouveau ses points d'appuis. Remettant sur ses quatre pattes, elle trottine plus loin, prenant un élan et une fois assez éloigné elle court de toute vitesse vers son objectif, bondissant les quatre pattes elle prend l’appui dessus gagnant enfin la bataille. Elle s'écrase sur les pauvre morceau de ferraille fait de la montagne russe. Des craquements, des crissements firent dresser les poils et les oreilles de la jeune demoiselle, mais elle avait réussit. Sautant sur le rondin de bis, elle avance doucement manquant de glisser. Tout est fin, c'est un équilibre, un jeux dangereux. Une patte ripe sur le côté, faisant chuter la louve qui s'accroche de ses griffes.

Elle gronde de douleur quand ses côtes lui deviennent douloureuse avec le choc, les pattes arrières pendantes dans le vide. Son corps balance dangereusement, le souffle court. Faisant balancier de son corps, elle tente un appui sur ses épaules qui est un échec, manquant de la faire tomber. Ses griffes glissent doucement sur le bois, la langue pendante, une sueur froide parcours son dos. Une forte énergie grimpe de manière mystérieuse en elle, réussissant à jouer de la balance et revenir sur ses pattes allongé. Décidant de finir la parcours allongé, rampant. Une fois ses quatre pattes touchant les rails froide et métallique, un soulagement se fait gagner dans l'esprit de la louve.

Secouant la tête, elle regarde en arrière sur le rondin de bois, un sourire sur les babines. Elle reprend tout en trottinant son petit chemin. À Quelques mètres de son objectifs. Bondissant de rail en rail, passant au-dessus faisant voler son corps au-dessus des obstacles ou au-dessus du vide. Les oreilles plaquer en arrière. Il ne manque plus que quelques mètres, mais c'est une parcelle de rails horizontale qui lui fait face. Abysse ne peut s'empêcher de souffler longuement et de grogner frustrée. Elle doit de nouveau faire appel à sa force, a ses muscles déjà durement échauffé. Est-ce une bonne idée ? N'est-ce pas un peu trop dangereux. Soufflant de nouveau longuement elle commence à faire demi-tour.

Un éclaire passe dans son esprit alors qu'elle est a quelques mètres, tournant tout son corps et commence à enchaîner des longues foulés, ses pattes déchirant le crissement du vent, elle bondit sur une planche venant planter ses griffes dans le bois, prenant appuie de ses pattes arrières sur le froid métallique, elle se propulse en avant. Grimpant encore et encore. Elle passe le dernier bout de planche, se laissant tomber sur la dernière plate-forme totalement plate qui lui permet de retrouver un équilibre. Se relevant les membres tremblants, elle s'assoit regardant l'horizon offrant une vue magnifique. L'ensemble des terres.

Sam 2 Avr - 10:02

A la poursuite
(Entraînement n°4 02 Avril)

Abysse Δ

Force : 28 | Agilité : 29 | Endurance : 30

Assise sur le métal de la grande roue effondré depuis déjà bien des années, les oreilles dressé vers l’avant, les yeux mi-ouvert regardant autour d’elle alors que le vent levé devient de plus en plus fort. Inspirant une grande bouchée d’air, la louve s’ébroue de quelques peu. Il n’y a pas un seul bruit dans les alentours, tout est calme. Le ciel gris ne semble pas menaçant ou porteur d’orage, pluie d’acide ou autre. Non ils se sont éloignés depuis quelques temps déjà, au grand bonheur de la femelle noir. Elle ne s’est pas entraînée depuis un petit moment, il est temps pour elle de reprendre l’exercice rapidement pour pouvoir étendre ses muscles encore quelques peu endoloris par les combats récents. D’ailleurs, son ventre portera une magnifique cicatrice de son face à face avec la louve blanche, mais qu’importe. Elle compte préparer une vengeance de toute manière face à cette imbécile. Relevant son arrière train du métal, s’étirant de tout son long. Cette fois elle veut s’attaquer à de l’agilité et de l’endurance plus que de la force, pour ça, elle a choisit de prendre la promenade en bateau qui est dans le fond de ce parc maintenant abandonné. Sautant sur le sol, trottinant jusqu’à l’entré du lieux. Une vieille barque est là, flottant a moitié, beaucoup d’ouverture dans sa carapace de bois et bien sûr retourné sur le ventre. Tournant un peu sa tête pour faire craquer ses articulations, prenant un grand bol d’air frais. La louve saute alors bandant tout ses muscles vers l’avant pour utiliser cette barque en tremplin, pour atterrir de l’autre côté. Sur un décor un plastique représentant par avant une sorte de signe blanc avec le cou désormais cassé, la tête flottant dans l’eau. Tenant sur l’équilibre de ses quatre pattes, elle saute de nouveau en avant.

Sautant de décor en décor, elle avance, manquant a chaque fois de faire déraper une de ses griffes sur le bois instable, manquant de tomber sur le poids de la louve. Elle réussit à rejoindre l’intérieur de l’attraction sans trop de mal, venant poser ses quatre pattes sur le sol fait de plastiques, de cartons. Ayant autre fois une belle couleur vert pétante, elle n’a désormais qu’une couleur… Pâle, poussiéreuse faisant même éternuer la femelle. Secouant encore une fois ses poils, elle reprend son parcours. Venant glisser son flanc sous un décor pour passer de l’autre côté. Zigzaguant entre les différents objets et figurines présents. Elle évite de peu un morceau du paysage qui s’écroule sur le sol, un nuage semble t-il accroché au plafond. Soupirant doucement soulagé de ne pas avoir été écrasé. Il y a très peu de luminosité, les seuls traits de lumière sont les étroites fenêtre de chaque côté de l’attraction. Elle court de nouveau, sautant dans l’eau même. Bon elle n’est pas des plus propres c’est le moins que l’on puisse dire, et pas très chaude, faisant frémir tout les poils de la jeune solitaire qui serre des dents et fait taper ses pattes sous le liquide pour avancer. Régulant son souffle, plongeant parfois la tête, tapant de ses pattes sur le sol pour donner une impulsion vive. Elle remonte néanmoins la berge de l’autre côté. Elle ne fait pas attention à son poil trempé et continue sa course. Regardant autour d’elle, admirant.

Les humains ont malgré tout de drôle d’idée se dit-elle. Une sorte de bascule pour enfant est plus loin, souriant elle fonce vers l’objet d’enfant avant de sauter sur le côté de la bascule remontée, qui la fait donc descendre et au même moment elle bondit sur la seconde qui était au sol, se retrouvant dans les airs. Elle ne lui laisse pas le temps de retomber qu’elle bondit de nouveau pour atterrir en hauteur. La paroi d’un mur très fin qui lui demande de la concentration sur là où se pose ses pattes. Pourtant elle trottine a l’aise dans se lieux. Elle ne compte plus le nombre de fois où est-ce qu’elle a put s’aventurer ici. Elle aime découvrir et regarder les œuvres humaines, bien qu’elle déteste ses derniers. Arrivée au bout de son chemin, elle cherche un nouveau point d’appuie. Là un nuage sur élevé droit devant elle, mais le câble le maintenant semble assez fragilisé. Haussant des épaules, la louve bondit dessus, sous la vitesse et le poids, le nuage se mets à faire la balance faisant perdre l’équilibre à la demoiselle, qui doit se replier et s’accrocher à ce dernier. Grondant un peu, elle finit par lâcher après avoir vérifier qu’il s’agit bien d’une épaisse masse d’eau sous ses pattes arrières suspendus dans l’eau. L’atterrissage n’est pas des plus doux, grondant de nouveau se retrouvant trempé. Elle remarque un sceau de lumière important. La sortie. Elle se décide donc de finir le parcours au niveau de l’eau. Nageant de nouveau avec vivacité, elle se doit d’éviter : barques traînantes, décors tombés dans l’eau. Objets coupants ou dangereux pour elle. Arrivée à la sortie du manège, un craquement se fit entendre juste au-dessus de sa tête.

Relevant le museau, les quelques planches de bois accroché pour maintenir une partie du manège s’effondre soudainement obligeant Abysse a finir sous l’eau et se dégager rapidement. Problème : la sortie est bloqué et le chemin inverse serait trop long à faire. Remontant à la surface, elle regarde en hauteur, il y a quand même une brèche, mais assez fine qui lui demande de la souplesse. Mais oui, elle sait parfaitement qu’elle peut le faire ! Nageant jusqu’aux début des planches, ses deux antérieurs s’appuie sur la surface de bois, accrochant ses griffes, elle pousse sur ses dernières pour propulser son corps vers l’avant. Manquant de tomber encore une fois, elle accroche ses deux pattes avants a la faille présente, grognant encore une fois de plus elle tire sur ses muscles endormis sous le froid de l’eau. Mais elle force dessus, utilisant toute sa force pour faire bascule et se traîne a l’extérieur. Bien sûr la chute est de nouveau faite dans de l’eau, mais au moins elle est passée.

Sam 2 Avr - 13:48

A la poursuite
(Entraînement n°4 02 Avril)

Abysse Δ

Force : 28 | Agilité : 29 | Endurance : 30

Après s’être ressortis de cet entraînement, ses muscles un peu trop endormis au goût de la louve, cette dernière tapa violemment des pattes sur le sol tout en bondissant vers l’avant pour se dégourdir rapidement, prenant une course folle sur un petit sentier situé prêt du parc, menant droit vers le village des hommes, mais bien sûr la louve noir évité le plus possible de s’approcher de cet endroit un peu répugnant ou seul l’odeur bipède est présente, avec quelques hommes par ici ou par là de temps en temps. Mais c’est assez rare néanmoins ses derniers temps avec la guerre qui se faufile dans les environs, même certains animaux préfèrent migrer vers des terres ailleurs. Pourquoi ne le ferait-elle pas également ? Parce qu’elle n’en sent pas l’envie du tout. Elle se sent bien ici, même avec les menaces présentes. Courant toujours donc sur le long sentier, sautant par-dessus les panneaux bas de publicité pour beaucoup écrasé, déchiré avec les vents, les pluies également. Mais un panneau se dresse sur son chemin : trop imposant pour être enjamber, plaquant ses oreilles sur l’arrières de son crâne, une fois non loin de l’obstacle elle laisse glisser tout son corps sous le bois en question, faisant érafler son ventre sur la terre toujours humide.

Un sourire sur les babines, elle remarque un panneau d’indication situant le village à quelques dizaines de mètres, mais avant de l’atteindre la solitaire prend un violent virage en épingle manquant de glisser mais se raccrochant au sol de ses griffes. Zigzaguant avec plaisir dans les allées remplies d’embûches différentes. Arrivant prêt d’un parc humain, elle saute sur le toit de la petite maison, passe sur le pont appeler : pont de singe, tanguant manquant de craquer sous le poids de la louve qui se rend pourtant aussi légère qu’une plume. Griffant le bois du pont, se dernier finit par lâcher d’un coup et la solitaire se propulse avec puissance sur la terre ferme avant de s’écraser violemment dans un bruit assourdissant faisant trembler les oreilles de la femelle. Elle continue cependant son parcours du combattant. Sautant sur des poteaux, continuant de sauter les uns après les autres avant de se laisser glisser sur une grande barre de métal. Commençant à être essoufflé, son cœur bat la chamade. Les oreilles toujours sur son crâne, elle reprend a nouveau le chemin de la fête foraine.

Trottinant un peu, pour reprendre son souffle, elle se tapit dans la boue fixant le point à l’horizon, regardant les rails de la montagne russe dépassant dans le paysage, lui donnant un point de repaire. Ses muscles se tendent violemment, s’élançant encore une fois dans une folle course. Ses pattes font voler la boue, le sol, les feuilles, mais rien ne semble venir empêcher l’envie physique de la jeune louve solitaire. Sautant par-dessus de nouveaux obstacles, tout en évitant des flaques d’acidité qui mange le sol. Le langue pendante, inspirant et expirant aussi rapidement que possible, ses muscles la brûle de douleur, lui suppliant d’arrêter ses exercices. Mais non, elle refuse ! Voulant devenir plus forte, plus endurante. Le panneau d’entrée apparaît au loin, mais elle tourne de nouveau sur un nouveau chemin de goudron. Se rendant sur le parking du parc d’attraction. Stoppant toute sa course après bondit sur le capot d’une voiture, elle ferme ses yeux profitant de l’air frais qui viens faire redescendre son rythme cardiaque. Secouant tout son corps pour faire voler la poussière accumulé. Elle toise le champ du regard, et elle rejoint le sol.

Se promenant entre les véhicules morts, elle s’aventure dans un des gros camions, venant mettre son nez dans un des cartons renversé, peut-être qu’un humain aura oublié quelques choses.

Sam 2 Avr - 13:48

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'Dé de recherche' : 12, 5

Dim 3 Avr - 11:20

A la poursuite
(Entraînement n°6 03 Avril)

Abysse Δ

Force : 31 | Agilité : 36 | Endurance : 34

Ressortant de leur nouvelle tanière, la jeune louve s'ébroua doucement. Elle ne se sentait pas au meilleur de sa forme depuis hier soir ,mais bon se n'était pas une raison suffisante a ses yeux pour se pavaner de feignasse, il était temps pour elle de faire ses entraînements quotidien dans son champ préféré : la fête foraine et ses multiples attractions diverse qui lui permette de renforcer ses muscles. Trottinant doucement dans le champ chaotique, tout en regardant autour d'elle. Ses deux oreilles dressés prête à reprendre la course pour une nouvelle journée. Cherchant du regard un endroit qui lui permettrait d'étendre ses capacités au maximum. Ses yeux rencontrèrent le petit manège appeler train. Des wagons de métal et de bois stationnant sur une gare, puis un chemin fait de rail et de terre passant sous la terre. Secouant la tête, elle fit alors taper ses pattes rapidement sur le sol partant a foulé douce. Ne pas commencer trop vif, trop rapide au risque de se faire mal. Puis ses muscles encore endormis de son repos trop long, ne pourrait supporter un claquement si vif. Sautant par-dessus un premier obstacle, elle suivit ensuite le chemin de fer qui passa sous le sol.

Ses pattes glissant, accrochèrent vivement les morceaux de bois pour ralentir un peu son allure avec la côte assez pointu qu'elle franchissait. Sautant pardessus une grosse barrière indiquant la fermeture du lieux, elle retrouve un sol plat et ferme, mais dans une caverne des plus sombre. Heureusement sa vue nocturne ne lui empêche pas de s'entraîner au tant qu'elle le souhaite. Reprenant sa course, elle accélère le mouvement de ses pattes, plaquant ses oreilles sur l'arrière de son crâne, régulant son souffle devenant donc court. Plus son corps était en mouvement, plus elle donnait des puissantes impulsions à ses pattes arrières pour propulser son corps vers l'avant et augmenter sa vitesse. La langue pendante un peu, respiration saccadé, elle ne lâchait rien. Elle put voir une énorme pierre sur son chemin qu'elle évita en passant sur sa droite, puis elle évita des débris sur la gauche. Zigzaguant a chaque obstacle, s'était sans doute les décombres suite aux tempêtes de guerre mené par les hommes. Elle vit au loin un sceau de lumière, mais c'était sans compter la montagne de planche tomber devant. Accélérant ses foulés, elle fit alors glisser son corps sur le sol, éraflant son ventre pour se glisser agilement dans une petite faille.

Une fois de l'autre côté, elle reprit sa course. Elle était arrivé sur une petite île, entouré d'une crevasse où de l'eau était bien présente avant, mais maintenant vide. Sur cette île, une montagne artificielle où le train passe et repasse a l'intérieur, plusieurs grottes sombres. Bref, un petit terrain de jeux satisfaisant les attentes de la louve. Reprenant donc ses foulés, elle grimpa sur une première pierre imposante et fit tendre ses pattes pour se propulser vers l'avant et atterrir sur une seconde pierre plus en hauteur. Bondissant de pierre en pierre, de décor en décor. Elle évita de justesse la chute également en sautant sur une planche de bois. Retrouvant le sol plat, la louve avait une vue imprenable sur l'horizon devant-elle. Le vent siffla dans ses oreilles, elle redressa la tête regardant, admirant cette vue. Les terres étaient a découverte. Un faucon passa prêt de sa tête, mais l'envie de l'attaquer n'était pas là. Une fois qu'elle eut profité de cette petite pause mérité, elle bondit de nouveau sur les rails glissantes de l'attraction, et laissa son corps glisser jusqu'au sol pour rejoindre une nouvelle galerie.

Courant sans plus s'arrêter, les oreilles plaquer sur son crâne, le souffle court. Tendant ses pattes a chacun de ses pas foulant le sol, la terre. Elle vint éviter un nouvel obstacle en le contournant lui, puis un second suivant, puis un troisième. Elle ne comptait plus le nombre de roche effondrer sur le sol. Passant en-dessous en glissant son corps, ou bien sautant par-dessus. Rejoignant rapidement l'extérieur ainsi que son point de départ. Sautant sur le toit de l'entré de cette attraction. Elle reprit son souffle, tournant la tête en arrière pour admirer le trajet qu'elle venait de faire. Elle avait apprécié cette petite île, ses galeries. Oui elle comptait bien y revenir pour s'entraîner de nouveau.

Dim 3 Avr - 11:21

A la poursuite
(Entraînement n°7 03 Avril)

Abysse Δ

Force : 31 | Agilité : 36 | Endurance : 34

Quand elle fut ressortit de ce tunnel nommé petit train chez les humains, ses pattes trottiner doucement, reprenant calmement son souffle jusqu'à une sorte de petit château effondrer et craqué de partout suite aux bombardements, aux tempêtes, aux pluies d'acides. Bref, son état &tait des plus déplorables. La louve avait déjà entendu parler de ce genre d'endroit dans les parcs à thèmes. Cela servait surtout à acheter des objets humains appeler des souvenirs de vacances, mais il arrivait d'y avoir également des attractions. Donc ce petit châteaux était parfait pour deux choses : Chercher des objets pour la tanière, mais également s'y entraîner et c'est bien se que la louve comptait faire pour aujourd'hui. Elle aimait s'attaquer a des nouveaux lieux, la fête foraine est un endroit parfait pour ça ! Regorgeant toute sorte de cadeaux surprises, de manège a découvrir en tout genre bref. Elle était loin à plaindre et si Abysse faisait le compte des manèges et des stands déjà explorer, elle se rendrait compte qu'elle n'en a pas fait énormément finalement mais bref passons.

Assise face à la bâtisse, elle releva son arrière train du sol poussiéreux, elle visait déjà un endroit à atteindre : le haut du palais. C'était facile, du moins c'est se qu'elle pensait. Se mettant a courir de nouveau sur le petit pont, elle saute sur le rebord de ce dernier et bondit une fois encore en direction des parois du châteaux où des pierres semble ressortir donnant des points d’appuis pour la femelle qui comptait rejoindre les tuiles du toit et accédé à la plus haute tour par les toits. Une fois sur la première pierre, elle se rendit compte que la seconde était un peu plus haut et qu'elle risquait la chute à tout instant. Surtout ne pas regarder en bas, surtout ne pas regarder en bas se dit la femelle, qui fit un nouveau bond peut assurer et ses griffes vinrent accrocher la pierre. Jouant de la balance, elle réussit à remonter son corps sur la petite plate-forme, qui fragile manquer de s'écraser sous le poids de la femelle qui ne tarda pas a bondir de nouveau sur les tuiles du toit au-dessus de sa tête. Soupirant un peu soulager, reprenant sa course aussi tôt sur les tuiles glissantes manquant de faire tomber la louve. Elle zigzaguait entre les trous béant du toit, sautant par moment au-dessus des débris, sa course n'était pas aussi rapide qu'ordinaire, le lieux était plus fragiles que les autres et le toit manque de lui échapper sous les pattes à tout instant.

Relevant la tête et s'arrêtant pour observer la nouvelle parcelle en hauteur difficile d’accès. Comment allait-elle pouvoir y parvenir ? Il y avait bien cette tour avec les quelques fenêtres, mais n'était ce pas un peu risqué ? Et elle risquait de se couper les coussinets avec ses morceaux de verres traînants. Grondant un peu frustrée de ne pas trouver de solution, elle fit soudainement demi-tour sur ses pattes pour trottiner plus loin. Une fois à une distance raisonnable a ses yeux, elle fixa intensément la fenêtre en hauteur, puis se mise à courir. Donnant une nouvelle portée de puissance à ses pattes arrières, les oreilles plaquer, le vent sifflant sur son dos. Elle prépara ses pattes arrières tendue a bond spectaculaire qui la propulsa vers l'avant. Ses griffes s’accrochant dans le rebord de la fenêtre, ses pattes arrières appuyer au mur. Elle poussa sur ses derniers pour se remonter. Sauf qu'elle n'avait pas prévu l'éclatement de la pierre...

Détaché de son socle, elle fit une chute assez impressionnantes sur les tuiles qui elles mêmes s'ouvrir sous le poids de la louve, cette dernière planta alors ses griffes de-dans afin de se ralentir et de ne pas tomber dans le vide béant. Il y avait une bonne hauteur et un mauvais rattrapage pourrait la tuer sur le coup, cependant elle trouva à quelques mètres d'elle en-dessous de ses pattes un vieux lustre en ruine toujours accroché solidement par des chaînes de fer qui lui ferait l'affaire. Mais pour le rejoindre, elle devait balancer suffisamment son corps et sauter pour se rattraper au métal pendant. Aurait-elle cependant le courage de lâcher ? Déglutissant peu sûre d'elle, néanmoins la louve noire ne recula pas face à cette nouvelle difficulté. Elle gronda donc et finit par relâcher après avoir fait basculer son corps en arrières, rattrapant de justesse le lustre sur lequel elle se dépêcha de grimper soufflant soulager de ne pas s'être écrasé au sol. Maintenant, comment allait-elle le rejoindre ?

Le château était fait sur deux étages, le lustre été suspendus par le plafond, mais elle pouvait tenter de sauter de se dernier jusqu'à l'autre étage qui se situe à la même hauteur, mais un écart important les sépare. Elle prise alors de l'élan et se mise à courir jusqu'au bord du luminaire et fit un bond pour atterrir violemment de l'autre côté, faisant des galipettes, et tapant dans le mur remplissant encore plus son pelage noir de poussière, secouant la tête et éternuant. Elle redressa toute sa masse et leva la tête vers le trou qui donnait sur l'extérieur, frustré de ne pas avoir réussis son objectifs elle gronda et vint donner un coup de pattes sur une petite pierre qui traînait à la portée de ses pattes avant de redescendre par la rampe en faisant glisser son corps jusqu'au rez-de-chaussé là où de nombreux magasin humain était a sa disposition pour plus ample recherche,

Dim 3 Avr - 11:21

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'Dé de recherche' : 1, 12

Lun 4 Avr - 9:59

A la poursuite
(Entraînement n°8 04 Avril)

Abysse Δ

Force : 32 | Agilité : 38 | Endurance : 33

Sa blessure au niveau de sa patte arrière droite lui faisait toujours autant souffrir, puis les autres blessures que le chien du nom de Kaito lui avait infligé n'arranger pas son état, avançant en grondant un peu douloureusement elle se trouvait assise sur la ferraille du manège nommer grande roue des humains, elle voulait faire des nouveaux entraînements bien que ce soit assez difficile, mais la solitaire ne devait pas relâcher ses efforts, elle devait continuer de ce battre pour s'améliorer encore et encore. Apprendre des nouvelles techniques de combats pour cette fois faire face aux prochains obstacles, aux prochains ennemis qui lui feront face. Une petite pensé pour l'animal d'hier soir.Le kaito...Comment avait-elle put se laisser avoir si facilement. Elle ne c'était jamais laisser prendre dans les filées d'un adversaire si facilement, au moins se fut une épreuve renforçant le caractère de méfiance en la louve noir. Relevant son arrière train, elle sauta en avant pour atterrir sur le sol et commença a faire des longues foulés sur le sol de poussière. Reprenant le petit chemin qu'elle avait déjà emprunté une première fois, il y a déjà quelques jours, prenant le tournant en direction du parking après avoir bondit par-dessus une pancarte publicitaire.

Elle atterrir douloureusement mais ne se recule pas devant cela, elle reprend encore une fois ses foulés, faisant tendre ses muscles en avant. Sa respiration saccadé, elle essaye de régulé son souffle. Les oreilles plaqué sur son crâne, les yeux mi-ouvert. Saute par-dessus une flaque de boue manquant donc de faire glisser ses griffes. Prenant un nouveau virage en épingle, une carcasse de ferraille se fait voir au loin devant elle, accélérant ses mouvements de muscles, elle prend appuie sur une petite pierre a quelques mètres, elle tend de nouveau ses antérieur dans toute sa force possible et passe par-dessus la ferraille. La respiration lourde, elle continue sans aucun arrêt. Elle court sans vouloir s'arrêter. Elle ne veut pas. Donnant tout se qu'elle peut, puisant dans ses dernières forces. Arrivant sur la longue allé de places blanches, le parking des hommes. Il y a plusieurs carcasses de voiture, également des bus de touristes éventré. Quelques objets par-ci par-là. Elle grimpe sur le toit d'un véhicule et se propulse en avant pour venir sur le toit du bus. Elle trottine sur la hauteur et retourne au sol commençant à tourner à gauche, puis a droite entre les véhicules.

Venant s'aventurer dans un autre bus tomber sur le côté, elle passe entre les carreaux, sautant sur un des sièges renversé. Elle remonte par un trou ouvert dans la carapace de fer, appuyant sur ses pattes avant pour s'extirper de là. Bondissant sur un panneau de bois, prenant plusieurs appuies pour tenir en équilibre. Reprenant quelques secondes son souffle. Elle retourne sur le sol. Faisant des nouvelles foulés sur des longues distances. Plus le vent siffle, plus elle accélère encore et encore. Parcourant chaque recoin, tout en reprenant le terrain de terre pour reprendre la route en direction de la fête foraine. Cette fois, elle fait glisser son corps sous le panneau publicitaire. Une fois la roue en vue, elle ralentit la cadence, pour finir au pas. Ses oreilles dressés sur l'avant, son corps la fait souffrir, mais elle n'en a pas encore finis.

Lun 4 Avr - 9:59

A la poursuite
(Entraînement n°9 03 Avril)

Abysse Δ

Force : 32 | Agilité : 38 | Endurance : 33

Il y avait cette drôle d'attraction qui intriguer fortement la louve noir qui trottina jusqu'à ce dernier, venant renifler l'entré de ce dernier. Un tapis roulant était là devant, il ne marchait plus bien sûr, l’électricité ayant été coupé depuis déjà un long moment. Ses oreilles en avant, elle regardait l'endroit avec intrigue, tapant une patte sur le sol un peu glissant et sauta dessus, trottinant. Haussant des épaules et vraiment intrigué, elle décide de repartir en courant vers l'inconnu de l'attraction. Cela ressemble a un de ses parcs, nommé parcours du combattant fait pour les enfants. Elle se retrouve après quelques minutes coincer dans des drôles de lianes abîmés, de couleur rouge, vert, bleu ou encore jaune. Ils sont par dizaines. Des enfants humains s'y amuseraient, mais la louve elle doit faire preuve d'agilité pour se faufiler entre. Passant en dessous des cordes trop en hauteur, puis elle saute par-dessus certaines. Voulant évité de se prendre les pattes de-dans. Elle se contorsionne, sa patte arrière prend un coup douloureux. Mais elle continue. Une fois enfin passé de l'autre côté, quelques peu essoufflé elle reprend son chemin avec hâte. Voulant découvrir les autres épreuves.

Elle court de nouveau dans les couloirs, prenant un virage serré vers la gauche mais le sol se faufile sur ses griffes et elle atterrit au milieu d'une drôle de piscine... Il y a des petites sphère de plastiques encore une fois toutes les couleurs, c'est amusant car de l'intérieur, l'attraction ne semble pas être si abîmé mais de l'extérieur tout est mort. Effondré. Elle tente de battre des pattes, mais se n'est pas comme dans une petite rivière, non, les boules sont a hauteur de gorge. Grondant un peu frustrée, elle continue d'avancer en tentant de repousser ses sphère, poussant sur ses muscles. Attrapant certaine dans sa gueule pour les envoyer plus loin. Tout ça est plus physique qu'une course car à ses yeux, la plate-forme lui semble plus éloigné que jamais. Arrêtant quelques instants, elle reprend sa respiration rapidement, se ventilant les poumons. Elle donne un long bond plantant ses griffes sur la plate forme et tente de se redresser, de se ramper pour se sortir de cette petite épreuve. Une fois dessus, elle reste couché et reprend sa respiration avant de se relever et repartir en courant.

Continuant son petit parcours, cette fois elle est face à des formes plaqué de chaque mur, arrondis tous plus ou moins à la même hauteur. Mais trop haut pour être sauté, essayant de prendre d'abord son élan pour passer au-dessus mais en voyant qu'elle glisse et que ses griffes n'accroche pas a cette matière plastifié, elle décide de se glisser de nouveau en-dessous. Plaquant son ventre au sol, elle rampe pendant des longs moments, par moment se retournant sur le dos pour appuyer ses pattes arrières sur la plastique et se propulse en avant. Une fois sortit de cet endroit, sa respiration et encore plus lourde et saccadé. Elle avance en trottinant ne semblant plus réussir à pousser sur ses pattes pour des courses. Elle aperçoit une sortie, un point de lumière. Prenant appuie sur ses antérieurs elle se fait voler d'une force, reprenant ses foulés mais voilà qu'une nouvelle épreuve lui fait face. Stoppant ses pattes, un tunnel très sombre se dresse devant ses yeux. Haussant les oreilles, approchant son museau. Un courant d'air agréable la fit dresser un peu les poils, avançant une patte, le plastique la fit glisser en avant et la voilà qui dévale le long du tuyau et se ramasse après quelques minutes dans la poussière, le museau par terre.

Éternuant un peu, elle regarde en arrière, n'ayant vraiment rien compris. Elle hausse les épaules et avance se retrouvant ensuite dans l'intérieur d'une ancienne petite boutique de souvenir humaine. Venant gratter le sol, faisant tomber une armoire, bondissant sur les meubles, elle cherche encore et toujours des objets qui lui serait utile.

Lun 4 Avr - 9:59

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'Dé de recherche' : 3, 9

Mar 5 Avr - 8:26

A la poursuite
(Entraînement n°10 05 Avril)

Abysse Δ

Force : 32 | Agilité : 38 | Endurance : 33

La petite louve noir avait prit l’habitude faire une petite balade sur le même sentier tout les matins. Elle connaissait la route par cœur, chaque recoin, chaque obstacle. Il n’y avait plus grand-chose à découvrir, mais elle aimait toujours y faire ses rondes habituelles. Elle pouvait faire travailler ses muscles à l’endurance, courir toujours plus vite. Alors encore une fois, elle se retrouvait là, devant la pancarte d’entrée de la fête foraine, assise là. Entrain de regarder les oreilles bien dressées la route qui s’étalait devant elle, vers l’infini semblait-il. S’accroupissant sur le sol, fermant les yeux calmement, attendant, tout en écoutant le vent sifflé dans ses oreilles. Rouvrant soudainement les yeux, la louve bondit en propulsant et bandant ses pattes arrières vers l’avant, balançant son corps à grande vitesse vers l’avant, accrochant ses griffes dans la terre humide afin d’avoir un meilleur appuie sur le sol toujours aussi glissant des pluies récentes. Le souffle court régulé au rythme des battements de son coeur, qui lui s’emballe a chaque nouvelle foulée que la louve exécute. Elle vient prendre appuie sur une petite pierre et bondit au-dessus d’un premier panneau. Elle zigzague entre les flaques de boues, n’hésitant pas à les contourner en prenant des virages serré sur la gauche, puis un autre coup sur la droite, elle n’hésites pas à tendre ses muscles sur chaque mouvement, prenant, puisant toute l’énergie et toute la force qui lui reste dans l’exercice. Bondissant sur le panneau, prenant l’équilibre, se propulsant de ses pattes arrière, griffant un peu l’objet de bois qui crissent sous son poids manquant de chuter vers l’avant. D’un sourire sur le coin des babines, elle continue sa course.

Glissant sous un obstacle, un espèce de chariot élévateur est perdue au milieu de la route, montant dessus pour se laisse retomber dans un nouveau saut. Alors qu’elle entrevoit au loin le même panneau indiquant la direction du village, elle saute de nouveau dessus, fait un demi tour sur elle-même et saute au sol. Son souffle saccadé indique qu’elle commence à être véritablement essoufflé et a bout d’effort. Mais elle continue. La solitaire aime sentir la force de ses pattes s’épuisés pour repartir encore plus forte dans ses mouvements. Tirant toujours plus sur ses muscles. Reprenant un nouveau virage vers la droite, puis vers la gauche, tournant un petit peu vers la droite. Bondissant sur un bout de bois, puis sur une pierre. Elle arrive au terrain de jeux des enfants. Des petits bipèdes. Sautant sur le toit de la cabane, elle grimpe en s’aidant de ses griffes. Venant bondir sur une des barre métallique, glissant, manquant de faire chuter la femelle au sol. Bondissant elle reprend un nouveau chemin de terre qu’elle ne connaissait pas, qu’elle n’avait jamais exploré. Arrivant devant une grosse pierre, elle la contourne. Saute par-dessus des débris. Ses muscles commencent à la faire souffrir, mais elle continue. Suffoquant presque du manque d’air. Arrivant au pied d’une petite marre où des bancs sont disposé un peu partout, avec des vélos abandonné et d’autres objets humains. Bondissant a l’aide de ses antérieurs sur le haut d’un banc et se laisse bondir encore une fois pour venir dans l’eau.

Plongeant la tête la première, ses pattes avant et arrière attaque l’eau à coup sec, avançant petit a petit jusqu’à l’autre rive. Elle relève la tête prenant une grande inspiration, continuant de se débattre dans l’eau assez propre, qui pour une rare fois sur les terres, ne semble pas totalement pollué. Une fois de l’autre côté de la rive, secouant ses poils elle repart en courant. Elle peut apercevoir de son pas de course le haut de la montagne russe. Elle est donc entrain de rejoindre la fête foraine par une autre issue, fortement intéressant en cas de fuite face à des ennemis ! Surtout depuis leur arrivé ici, avec Kobalt et les autres loups du groupe, il fallait prévoir un échappatoire en cas d’attaque et Abysse venait sans doute de tomber dessus. Quoi de mieux ? Courant toujours les oreilles plaquées sur le sommet de son crâne, le souffle rapide. Elle se retrouve devant un immense mur de béton, bon, c’est l’entré bloquer. Il faut trouver un moyen de passer au-dessus ou bien en dessous. Cherchant une erreur dans la construction, elle vit alors du grillage complètement ouvert sur le côté amenant dans un buisson de ronce. Elle n’avait pas trop le choix. Venant creuser un peu avec ses pattes dans la terre, envoyant tout sur les côtés, puis elle vient se contorsionner sous, griffant son pelage et son dos, la faisant grimacer quelques peu puis la voila derrière la maison hanté. Un énorme trou béant dans le sol, les oreilles en avant elle saute dans se dernier et trottine intriguer.

Mar 5 Avr - 8:27

A la poursuite
(Entraînement n°11 05 Avril)

Abysse Δ

Force : 32 | Agilité : 38 | Endurance : 343

La femelle avait prit le chemin de se qu’il appelait communément les humains, un restaurant. Car oui, à la fête foraine il y en avait un petit. Une sorte de petite maison faite de brique rouge, des dessins de personnage animé dessiné de partout mais maintenant effacé ou très abîmé avec les temps de guerre courant. Elle s’y était aventurée pour s’entraîner au saut principalement. Il y avait plusieurs objets humains également qui traînait sur ce terrain, de quoi ravir encore plus la jeune louve. On y trouvait des tables pour que les hommes puissent manger, puis il y avait des chaises, des meubles tous bien différents. Dans l’arrière pièce une grande cuisine permettant faire des glissade, des cascades en tout genre, bref de quoi ravoir la solitaire qui trottina jusqu’à l’endroit, mais l’entrée n’était pas cette grande porte de bois complètement effondré et barricadé par des débris divers. Mais il y avait cette petite ouverture sur le toit, qui donné accès directement aux cuisines de l’établissement. Sautant sur une poubelle qui manqua de vaciller en arrière, la louve grimpa d’un nouveau saut sur le toit et d’un petit trot se laissa glisser dans l’ouverture pour atterrir sur se qu’il servait au par avant de réfrigérateur aux hommes. Un garde manger produisant du froid apparemment. Sautant sur les meubles, elle se mise a courir sur la longueur de ses derniers, passant d’un bout à l’autre d’un saut sur les autres lignes. Elle fit un nouveau bond sur une petite fenêtre pour passer dans la partie plus communément appelé salle a manger chez les hommes.

Il y avait disposé une dizaine de tables avec des chaises. L’intérieur était encore très propre, mais très sombre également, les lumières ne fonctionnent plus et la plus part des fenêtre sont barricadé, rendant l’endroit lugubre, limite effrayant, mais passez pour faire fuir la chasseuse qui recommença son petit manège. Bondissant sur une première table, elle s’amusa a bondir de table en table, faisant attention à ne pas tomber quand ses dernières se mettaient a craqueler sous ses griffes. Bondissant sur les dossiers de chaise qui tomba violemment au sol, la louve utilisa l’appuie de ses pattes pour bondir de nouveau sur le mur prenant appuie et se propulsa en avant pour venir se mettre sur un grand buffet semble t-il libre. Ou libre service. Elle trottine dessus, faisant attention à ne pas se couper les pattes avec les morceaux de verres traînant, elle saute ensuite sur le bar assez haut et manque même de tomber encore une fois. Griffant le bois déjà abîmé, elle se tire vers le haut. Secouant sa tête une fois dessus, elle reprend sa course et ses petits sauts de mouton sur tous les meubles à disposition dans la pièce. Revenant sur le sol, elle court toujours, zigzaguant avec rapidité et agilité entre les tables, certaines se renversent a son passage. Quelques chaises sont au sol également et elle saute par dessus. Après quelques longues minutes d’entraînements intensifs, la louve se stoppe, secouant de nouveau son corps, la langue pendante.

Bon c’est bien de s’entraîner mais il est temps de cherche se dit-elle alors. Elle trottine jusqu’à une petite pièce refermée assez sombre où plusieurs babioles d’humains traînent au sol. Venant sentir et gratter, elle fouille a la recherche d’un objet qui lui serait utile pour la tanière.

Mar 5 Avr - 8:27

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'Dé de recherche' : 11, 7

Mer 6 Avr - 8:25

A la poursuite
(Entraînement n°12 03 Avril)

Abysse Δ

Force : 35 | Agilité : 46 | Endurance : 38

Ses oreilles plaqués, ses pattes fouettées avec vigueur le sol de terre qui s’étalait devant ses yeux. Comme tout les matins, la louve aux poils noirs était partit en trombe sur le chemin de terre. Elle se sentait horriblement énervé, agacé par tout se qui pouvait l’entouré. Elle se sentait a la fois seule et a la fois entouré. Elle ne comprenait pas ses états d’âmes. Un jour tout allait très bien, mais le lendemain, ou même la demie heure, tout était un cataclysme. Elle était lunatique ses derniers temps. Alors pour dépenser cette colère instable, elle était sortie en courant de la tanière, avait sauté agilement sur la ferraille de cette roue effondré, et avait atterrit les quatre pattes au sol sur la terre humide, accélérant ses foulés sur le long chemin dont elle avait l’habitude. L’endroit où elle effectuée tout les jours son petit jogging finalement. Donc la voila, battant des pattes, tapant des griffes sur le sol boueux et glissant. Elle se laissa glisser sous un panneau publicitaire, salissant son pelage. Bondissant par-dessus des pancartes d’affiches. Elle continuait encore et toujours, sans jamais se retourner une seule fois. Peut-être était-ce les aveux de Yamaska qui la perturbait terriblement Car oui. Depuis que la jeune femelle du groupe lui avait dit ses mots, Abysse tournait en rond. Elle se remettait en question, s’inquiétait de tout et de rien à la fois. Elle se montrait plus agressive qu’à ses habitudes, mais surtout, elle évitait Kobalt.

Oui, elle devait lui dire, mais comment ? Elle n’en avait pas la moindre idée et la réaction de son ami compagnon, l’inquiétait énormément. Elle l’avait déjà vu déchiqueté un chien en lambeau, alors que ferait-il avec la solitaire une fois qu’il apprendrait ça ? Rien qu’à ses pensés, une vague d’énervement s’empara de nouveau d’elle, et la louve bondit rageusement sur le sol manquant de glisser, accélérant, bandant ses pattes, ses muscles au maximum. Les yeux fermés par moment, puis les oreilles plaquées sur l’arrière de son crâne la langue pendante. Elle voulait courir jusqu’à oublier cette nouvelle qui vint lui chambouler ses habitudes si calmes, ses moments doux, parce que oui, tout allait changer prochainement, mais elle n’y était pas préparé. Les pattes bondissant de pierre en pierre sur une parcelle de terre, venant passer dessous, puis au-dessus des différents panneaux de l’endroit. Elle tournait en rond. Faisant des aller retour, le plus rapidement possible. Augmentant à chaque fois d’une forte dose son adrénaline.

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Mer 6 Avr - 8:26

A la poursuite
(Entraînement n°13 06 Avril)

Abysse Δ

Force : 35 | Agilité : 46 | Endurance : 38

Après avoir au tant courus, la petite femelle avait de nouveau filé en direction des petites machines, à des petites voitures humaines, mais pour bambin assez étrange d’ailleurs. C’était un assez bon terrain d’entraînement également. Foulant le sol avec rapidité, agilité. Elle bondissait par-dessus les obstacles comme-ci rien ne pouvait lui barrer la route et c’était le cas. Elle se donnait a fond dans son entraînement, un peu douloureux pour ses membres qui commençaient a s’épuisé douloureusement, mais non, il était hors de question d’arrêter maintenant ! Elle ne voulait pas faire preuve de faiblesse, elle devait s’améliorer au plus vite, pour prouver aux autres, qu’elle aussi peut avoir des grandes valeurs et se défendre seule. Puis avec ses sans doute, louveteaux, qu’arrivent, il faudra bien quelqu’un pour les protégés non ses petits ? Et Abysse n’est pas très sûre de pouvoir compter sur son cher compagnon. Prenant un violent virage en épingle pour tourner, elle accrocha ses griffes dans la terre et propulsa ses antérieurs, bondissant avec force et elle vint retrouver le sol rapidement, non plus gadoueux, mais bien une sorte de piste en béton un peu glissante et craquelé de par et d’autre. Levant la truffe, un vent frais s’installe dans ses oreilles. Le temps n’était pas des plus joyeux. Un ciel gris foudroyant par moment, grondant de colère. Elle ferma les yeux, mais quand elle rouvrit ses derniers, elle s’élança.

Zigzaguant entre les machines de ferrailles, bondissant sur le capot de ses derniers pour venir se mettre sur le second. D’un côté, elle s’amusait. Elle dépensait se surplus d’humeur. Secouant la tête, grondant presque de satisfaction. Elle sauta de nouveau, prenant appuie sur un morceau de poutre effondré, pour s’élancer en avant. L’atterrissage était parfois douloureux, tapant sans répit sur ses pattes. Mais cette sensation était si plaisante qu’elle ne voulait l’échanger pour rien au monde. Elle bondit de nouveau sur les côtés, Venant ensuite passer sous un morceau de mur effondré, n’hésitant pas à creuser. Venant mettre la truffe dans la petite galerie former sous cet endroit, elle s’y glissa sans trop de mal avant de remonter, encore une fois, elle n’hésita pas à contorsionner tout son corps même venant se griffer une partie du dos. Grondant encore et encore, elle s’en sortit en prenant appui de ses pattes avant sur le béton dur. Une fois sortie de là, elle reprit alors la course. Mais elle se mise au bout de l’endroit, le regardant avec attention. La louve avait une petite idée d’exercice. Elle avait interdiction de bondir par-dessus, mais devait les évités. Certains étaient très proches, l’obligeant donc à faire des virages serrés. Elle prit appuie et s’élança vers l’avant courant de toute ses forces. Son premier instinct fut de vouloir passer par-dessus le premier, secouant la tête, elle plaqua de nouveau ses oreilles et contourna le premier, facile. Puis le second sur la gauche. Mais en voila un troisième plus grand et renversé. Elle dut se laisser presque glisser lors de son virage et enchaîner avec un second. Bien sûr ses griffes accrochant le sol lui empêcher de glisser, mais elle manquait néanmoins à plusieurs reprises de tomber.

Elle recommença plusieurs fois l’exercice. Accélérant toujours sa vitesse. Puis après des longues minutes elle s’arrêta et décida d’explorer maintenant de l’intérieur les machines de fer, pour peut-être trouver quelques choses d’intéressants.

Mer 6 Avr - 8:26

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