A la poursuite [Defi - Entraînement continue]

Jeu 7 Avr - 7:22

A la poursuite
(Entraînement n°13 06 Avril)

Abysse Δ

Force : 35 | Agilité : 46 | Endurance : 38

Ce matin là, il pleuvait des cordes dehors. Puis très honnêtement, Abysse n’avait pas envie de courir, mais de faire des nouveaux exercices pour changer de ses habitudes, puis elle devait travailler bien d’autres muscles de son corps que ses pattes. Elle devait aussi voir sa force et pour ça elle avait une petite idée. Ils étaient venus vivre sous la maison hanté, mais cette maison en question possède plusieurs atouts d’entraînements. Se levant durement, ses muscles encore endormis de cette nuit quelques peu douloureuse pour la femelle, qui avait beaucoup de mal à trouver le sommeil ses derniers jours. Elle était pensive sur cette nouvelle terrible qui lui ronger l’estomac. Car elle avait pensé à d’autres choses perturbante. Une fois sa gestation bien avancée, elle ne pourrait plus faire tout ça. Ses entraînements, ses chasses. De quoi bien l’agacer et rester en arrière, rester faible aux yeux des autres. Les poils de cette dernière étaient entrain de s’hérisser le long de sa croupe. Elle ne voulait pas et ne pourrait pas rester effacé, être la bonne mémère qui reste a la tanière attendant que le temps passe ! Non il en serait tout simplement hors de question. S’étirant toute ses pattes en baillant longuement, elle sortit de la tanière tout en trottinant jusqu’à l’étage au-dessus. Se rendant dans la maison hanté.

Passant par le trou béant, devant tordre son corps qui fut griffé sur le dos à quelques endroits par les morceaux de planches aiguisé comme des couteaux ressortant. Se secouant de toute cette poussière, elle commença a courir sur les allés de la maison, cherchant un objet qui pourrait lui faire office de proie, d’ennemi à attaquer pour travailler le force de ses dents. Quelques choses de lourd, de dur, qui ne céderait pas aussi facilement. Elle bandait ses muscles, les tendant à chaque foulé qu’elle faisait rapide. Tournant la tête de droite à gauche, quand enfin elle vit se dont elle avait tant besoin, stoppant brusquement sa couse, elle prit un virage à gauche, trottinant. Un mannequin. Ressemblant aux hommes et assez solide, de quoi attiser la rage, la haine, puisant la force de ses humeurs. Grognant comme face à un véritable ennemi, elle se mise de nouveau à courir. Bondit sur une espèce de décor en carton et vint donner un violent coup d’épaule dans le buste de l’objet qui tomba, violemment et dans un bruit assourdissant sur le sol. Elle ne tarda pas à bondir dessus, les crocs dégarnissent, attrapant un bras entre ses crocs et tirant de toutes ses forces. Le plastique lui abîmer les crocs, mais elle s’en fichait. Tirant, prenant appuie sur ses pattes arrière, c’était assez lourd, mais cela lui plaisait. Elle fit même un bond en arrière en tapant ses pattes avant sur le corps, se propulsant vers l’arrière. Un premier bras arraché. Elle sauta par-dessus, aboyant comme s’il s’agissait d’une véritable menace et recommença la même chose. Elle s’acharnait dessus.

Elle y mettait toute sa force, attrapant entre ses crocs les membres du mannequin, tirant, secouant la tête énergiquement. Grognant de colère, tapant ses griffes sur l’homme de plastiques, elle se faisait drôlement plaisir à détruire l’objet. Elle donna un coup de patte dans se dernier qui valdingua sur le côté, mais elle ressauta dessus tout en prenant de l’élan pour courir rapidement. Elle s’attaqua à la tête maintenant. Venant prendre l’espèce de gorge découverte, venant mordre avec férocité, donnant aussi des coups de griffes sur le ventre, laissant des traces, ouvrant a sang l’homme qui serait déjà mort en réalité. Un voile de folie sanguinaire peut se lire dans ses yeux. Mais elle relâcha l’objet rapidement, la langue pendante épuisé.

Jeu 7 Avr - 7:22

A la poursuite
(Entraînement n°14 06 Avril)

Abysse Δ

Force : 35 | Agilité : 46 | Endurance : 38

Après avoir attaqué se pauvre mannequin qui n’avait finalement rien demandé que de pourrir en paix, la louve c’était promené dans les décombres de l’attraction. Tout était si sombre, si lugubre et mort. Il n’y avait pas un chat dans les parages, soupirant un peu déprimé de voir un tel spectacle qu’elle remonta rapidement jusqu’à l’extérieur, assise sous l’ouverture du manège, couchant peu après son corps, ses pattes un peu tremblantes des efforts fournis. Regardant le paysage pluvieux, orageux. Les oreilles dressées en avant, un petit vent assez frais se faufila entre les poils noirs de la femelle qui ferma les yeux pour profité de cette ambiance calme qu’elle trouvait incroyablement relaxante. Entendre le clapotis des gouttes d’eaux venir sur le sol, lui plaisait énormément oui. Elle se sentait seule, relaxé, vidant son esprit de tous les problèmes. La tête posé sur ses pattes, elle pourrait presque se rendormir dans cet endroit là au calme sans aucun autre loup de la petite meute pour venir la dérangé. Mais se n’est pas un loup qui vint perturber son sommeil léger, mais bien l’odeur de deux animaux plus tôt in désirer sur leurs terres. Des chiens errants. Relevant assez vivement la tête les yeux grand ouvert elle chercha. Et elle ne tarda pas à repéré les deux intrus sur leurs territoires. Ils venaient de s’aventurer dans le palais de glace, une chance pour la femelle qui le connaît par cœur. Se relevant de sa place et se mettant à courir en direction de l’attraction, elle bondit sur un carton s’accrocha au mur et vint se mettre sur le toit pour arriver sur une entré faite dans un trou. Bondissant dans ce dernier, elle haussa les oreilles à l’affût.

Les miroirs étaient très perturbant, entouré par des nombreuses vitres reflétant son reflet de part et d’autres, il devenait compliqué de se repérer ici, alors elle devait se fier à son odorat mais également à son ouïe. Fermant doucement les yeux, se concentrant de toute sa force. Elle put entendre les griffes d’un des canins venant racler sur le sol, le bruit acide de leurs bouches, faisant grogner la femelle, qui rouvrit les yeux et se mise à trottiner. Passant derrière un miroir, ses pas se firent alors discret. Prenant a gauche, puis a droite. Manquant de se prendre un miroir dans la truffe au passage, quand elle les vit, elle fut de dos. Se tapissant sur le sol, rampant doucement, elle prépara la force de ses antérieurs, fixant le plus petit des deux. Elle se mise alors à aboyer alertant les deux canins et elle bondit pour sauter à la gorge du premier. Il se débattait comme un fou, venant claquer ses griffes contre le ventre de la louve qui attrapa entre ses crocs le museau de ce dernier, secouant de droite à gauche, faisant gicler le sang, craquer les os entres ses dents. Elle essayait de lui briser pour lui empêcher de mordre en guise de défense. Le second chien abandonna son ami en filant à l’anglaise parmi les galeries de glaces, couinant la queue entre les pattes.

Elle plaqua ses griffes contre le ventre du canin sous elle, le surplombant de sa hauteur, laissant son poids l’étouffer et vint lui labourer violemment l’estomac. Répandant le sang de cet animal répugnant sur le sol, dans un grondement sourd, elle réussit néanmoins à se rouler sur le côté, et vint donner un coup dans les pattes de la jeune solitaire qui manqua de tomber, il profita de cet instant pour se relever et tenta une fuite, mais il fut poursuivit par la femelle, qui était bien décidé a en finir avec lui. Ses entraînements étaient donc mis a l’épreuve. Elle attaqua cette course avec un galop fait de grande foulée très rapide, venant éviter les miroirs, utilisant ses cinq sens pour ne pas le perdre à la trace. Il commença à se diriger vers la sortie, mais elle ne le suivit pas. Retournant prêt du trou béant, elle prit appuie sur une vitre et s’aida de ses pattes pour remonter. Elle coura le long des tuiles puis en arrivant à la fin, elle bondit en visant le chien qui venait tout juste lui-même de sortir. Lui atterrissant violemment dessus, ils allèrent l’un et l’autre valdinguer sur tous les côtés. Mais la douleur de la chute elle l’ignora, se redressant pour venir de nouveau attaquer le canin, attrapant une oreille entre ses dents qu’elle mordait et déchiquetait énergiquement qu’elle céda, arrachant un hurlement de douleur au chien. Elle attrapa son épaule entre ses crocs et donna un coup de patte dans les jambes de ce dernier, le balayant avec violence et le plaquant au sol.

La louve ne voulait plus s’amuser avec lui, attrapant sa gorge dans toute sa gueule elle fit un violent mouvement de tête vers la gauche, venant torde sans pitié sa tête. Il laissa un dernier couinement faufiler à travers le paysage, se couchant essoufflé, elle regarda autour d’elle, regardant le second lupin fuir dans la forêt.

Jeu 7 Avr - 7:22

Le membre 'Abysse' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Dé de recherche' : 7, 8

Ven 8 Avr - 11:07

A la poursuite
(Entraînement n°15 08 Avril)

Abysse Δ

Force : 35 | Agilité : 46 | Endurance : 38

Son cœur battait avec acharnement dans sa poitrine. Elle courrait, comme toujours, sur le même chemin, mais cette fois dans une autre situation. Elle était pourchassé par un ours, une maman ours qui ne semblait pas très contente parce que la jeune femelle c’était approché semble-t-il un peu trop proche de sa tanière remplie de deux petits. Elle n’avait pas la force nécessaire pour se battre avec l’ursidé, mais elle l’avait volontairement attiré vers son terrain de jeux favoris. Le chemin de terre d’entré de la fête foraine, elle connaissait par cœur. Elle le parcourrait tous les jours, tous les matins donc ce n’était pas vraiment pour lui mettre des bâtons dans les roues. Sautant par-dessus les panneaux publicitaires alors que l’animal ralentit devait les évité dans des virages, la louve regardait de temps à autre en arrière. Plus amusé qu’effrayé par la menace qui se profile au loin derrière elle. Un sourire en coin sur les babines, elle avançait à grande foulé, voulant distancer l’animal. Mais voulant également s’amuser d’elle, elle s’arrêtait, trottiner parfois, pour lui laisser prendre un peu de terrain avant de repartir aussi vite qu’un lièvre. La faisant rire. Si Kobalt avait été là, le grand loup noir l’aurait certainement engueulé comme quoi elle ne connaît pas les principes de survies. Et alors se dit-elle, il n’y aucun mal de jouer un peu avec ses futurs déjeuner après tout ? Elle évita en passant sur la gauche des débris, puis elle passa sur la droite évitant une flaque d’eau. A gauche à droite. Elle évitait en passant entre les obstacles. Parfois elle faisait des bonds, elle passa également entre deux poteaux de bois effondré en croix. Glissant son corps sous les morceaux de pancartes tombant, se décrochant. Elle commençait à connaître tout les petits trucs et astuces de ses lieux, qui ne préservaient plus de secret pour la femelle.

Regardant encore une fois en arrière, l’ours semblait bien avancé et déterminé à attaquer la louve qui eut un nouveau sourire sur les babines. S’asseyant sur le sol l’attendant. Elle voulait mener l’animal au terrain de jeux pour enfant situé derrière la fête foraine, une fois là bas, le terrain à son avantage elle pourrait mettre à terre cette sale bête. Elle qui ose penser pouvoir tuer de ses griffes la louve ? Bon bien sûr si cette dernière ce laisse attraper, elle y laissera quelques touffes de poils c’est certain. Mais elle ne compte pas se laisser faire, hors de question. Une fois que cette bête fut non loin de sa hauteur, d’un sourire moqueur elle se remise à courir, bandant ses muscles, prête au virage. Tournant soudainement a gauche d’un virage en épingle, l’animal eut du mal à la suivre, s’obligeant à marcher pour reprendre les trottinements. Mais Abysse arriva avec de l’avance sur le terrain de jeux. Bondissant sur le toit, puis dans les jeux, elle se tapissa derrière une barrière de bois troué et tenta de se cacher. Regardant par les petits trous, cherchant l’ours des yeux. Quand cette dernière arriva enfin dans son champ de vision, grondant de colère, se mettant debout sur ses pattes. La louve profita de ce moment pour bondir hors de sa cachette, elle vint foncer dans le ventre de la femelle qui surprise tomba a la renverse. Tentant de se relever, la louve bondit de nouveau au-dessus, venant pincer de ses crocs la chair de l’ours qui couina de douleur et gronda énervé tentant de se relever difficilement sur ses pattes. Abysse en profiter grandement pour lui tourner autour venant la pincer aux pattes, la faisant retomber au sol.

Puis elle s’écarta vivement pour éviter un coup de griffe. Elle se remise à courir, passant entre les deux vieilles balançoires. Alors que son poursuivant voulut faire la même chose, ce dernier coinça sa tête dans les chaînes de fer et s’emmêla les pattes. Abysse eut un sourire satisfait, elle salua l’animal de manière arrogante tout en repartant à grande foulé vers la tanière.

Ven 8 Avr - 11:22

UC entraînement 08.04

Ven 8 Avr - 11:22

Le membre 'Abysse' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Dé de recherche' : 8, 12

Sam 9 Avr - 8:29

A la poursuite
(Entraînement n°17 09 Avril)

Abysse Δ

Force : 38 | Agilité : 48 | Endurance : 43

La louve avait quand même besoin d’exercice, alors malgré sa lourde fatigue et ses muscles un peu engourdis, elle ne voulait pas se relâcher, se ne serait pas bon que se soit physiquement ou bien mentalement bien sûr. Se levant aux aurores aussi difficilement soit-il, elle s’étira longuement les pattes avant de traîner son corps relâché jusqu’à l’extérieur. Passant donc par le sous-sol de la maison hanté, puis en se faufilant a travers le trou griffant comme souvent son pelage noir, s’ébrouant pour disperser la poussière de son corps, elle regarda autour d’elle en s’asseyant. Qu’allait-elle pouvoir trouver pour s’entraîner ? La louve solitaire avait déjà fouillé les endroits de partout. Elle avait été en hauteur dans le château, dans le bas fond des sous-sols, les attractions ici et là. Soupirant, regardant autour d’elle. Puis son regard croisa son chemin de course habituel, mais non pas maintenant. Elle ne voulait pas courir, enfin pas le même chemin qu’à ses habitudes, baillant doucement. Elle se mise a trottiner en direction des montagnes russes. Cela faisait longtemps non qu’elle n’y fût pas aller après tout. Sautant sur le toit d’un ancien kiosque, la louve noire, fixa amèrement le sommet. Tapant un peu de ses pattes sur le toit manquant de s’effondré sous ses pattes elle se mise à détaler comme un lièvre sur les toits des anciens kiosques. Tendant ses muscles à chaque petite foulée, elle regardait bien droit devant elle. Les oreilles habituellement droites sur son crâne sont cette fois-ci bien plaquée sur le haut de son crâne. Régulant son souffle, chaque inspiration était faite par son museau, mais elle expirer par la bouche en laissant sa gueule légèrement entre ouverte. Continuant de faire souffrir ses os encore et encore, ses pattes arrières utilisé la force, celle de l’avant utilisé la vitesse. Repliant ses pattes pour venir les bander en avant à chaque mouvement, la faisant parcourir à une folle vitesse son champs de course. En arrivant au bout du dernier kiosque situé sur la ligne face aux rails en hauteur de l’attraction à sensation forte. Elle accéléra la cadence sur les cinq ou six derniers petits mètres la séparant du vide. Quand elle se retrouva a quelques centimètre du bord, elle vint prendre appuie sur ses arrières train, venant faire un système de ressort vers l’avant. Ses pattes avant bien tendu, elle écorcha de vif le bois des montagnes russes quand elle fit son atterrissage qui n’était fait de douceur. Elle remonta son corps avec un système de balancement, puis passa par-dessus l’attraction. Ne prenant pas le temps de se retourner pour voir la distance sauter, elle se mise à courir sur les rails. Répétant inlassablement les mêmes mouvements de pattes.

L’intérêt de l’exercice appliqué est le suivant, sur cette attraction beaucoup de débris lui barre le chemin. Des wagons de l’attraction abandonnée en plein milieu de la piste. Ainsi que des morceaux de fer, de bois effondré en plein centre. Il y a également des importants fossés de créer naturellement avec les tempêtes de la guerre. Alors non, là la louve n’était pas là pour entraîner ses pattes à pour courir, mais bien pour entraîner ses sauts. Elle avait remarqué, qu’elle avait du mal à effectuer des sauts sur grandes longueurs. Donc aujourd’hui, elle c’était décidé à changer la donne. Tout en courant, elle remarqua le premier obstacle. Un trou bien sûr. Il était assez petit, elle n’aurait aucun mal à sauter par-dessus, c’était simple, peut-être trop aux yeux de la solitaire qui savait ce montrer quelques peu imbus d’elle-même sur certains exercice. Enfin bref. Accélérant encore et encore ses pattes sur le terrain, fixant d’une flamme dans les yeux son obstacle. Arrivé à sa porte elle recommença le même système. Elle prit appuie sur ses pattes arrières et vint mettre toute sa puissance, bondissant de l’autre côté. Le bois se mit à craquer sous son arrivé bruyante, mais elle ne fit guère attention à se détail et repartit tel une fusée dans la course. Sur son chemin elle passa a de nombreuses reprises par-dessus des objets. Elle rencontra un fameux wagon abandonné, mais cette fois c’était du niveau qu’elle souhaité dès le départ. Il était fait en longueur de trois voitures. Son but était de réussir à passer au-dessus des trois, sans toucher une seule d’entres-elles. Venant plaqué ses oreilles contre son crâne, elle monta malgré sur le capot de la première voiture, puis elle s’aida de la vitre comme tremplin pour se propulser en hauteur et en longueur. Mais son saut fut un échec à ses yeux. Elle se ramassa lourdement quand une de ses pattes vint taper l’arrière d’une des petites voitures, la faisant perdre son équilibre et sa concentration tombant sur le bois qui en plus de ça se mit à craquer de nouveau dangereusement sous son poids. L’attraction était abîmée et Abysse aurait mieux fait d’y faire plus attention. Il céda finalement sous son poids, la faisant de nouveau chuter, elle attrapa de ses griffes le bois, le lacérant avec force pour retenir son corps de tomber en arrière. Ses pattes arrières balançant dans le vide dangereusement. Son cœur ne fit qu’un bond en regardant le bas. Si elle lâchait elle se ferait tuer par la chute mortelle. Son souffle rapide. Devant vite, très vite trouver une solution.

Un nouveau bruit vint inquiété dangereusement la femelle, qui redressa les oreilles et regarda au-dessus d’elle. La faille venant de se créer avait penché légèrement les rails vers l’arrière, en direction de l’ouverture, en direction d’Abysse. Et le train en question, sur roue se mit alors à glisser dangereusement vers la louve qui prise de panique se mit à battre des pattes. Perdant toute notion de sécurité. Il approchait rapidement. Tournant la tête de droite à gauche, elle remarqua un morceau de fer dépasser du trou de l’autre côté, elle devait l’attraper entre ses crocs pour s’aider à remonté. Mais le temps lui était plus ou moins compter, alors il valait mieux pour elle, qu’elle se dépêche si elle ne voulait pas se retrouver écrasé. Se décalant intimidé et apeurée par la hauteur sur le droite, les roues crissant du wagon lui indiquait qu’il était très proche. Un coin de regard sur la barre, un coin de regard sur l’attraction. Grognant de frustration. Elle fit un saut sur le côté, attrapant alors entre ses crocs le fameux morceau dépassant, ses griffes venant de nouveau se planter dans le bois et elle tira de toutes ses forces pour faire basculer son corps vers l’avant. Ses griffes glissaient, mais elles restaient planté, écorchant le vieux manège sans aucune pitié. Ses pattes arrière vinrent trouver un appui de bois et elle poussa sur ses dernières pour propulser son corps vers l’avant. Une fois le flanc à moitié en sûreté, elle tira encore plus, se faisant griffer de partout, un échauffement se formant au ventre la faisant gronder de colère puis elle utilisa son poids pour se tirer un dernier coup. Elle se laissa tomber sur la forme plate, essoufflé, la tête venant se posé au creux de ses pattes. Le wagon finit par tomber et le bruit assourdissant se fit retentir en bas ébranlant le manège qui bougea. Faisant paniquer Abysse qui sauta immédiatement sur le haut de ses quatre coussinets et détala à vitesse grand V de l’endroit. Sautant sur les morceaux de bois plus bas, évitant les objets de sa route. Bondissant de manière hasardeuse sur le toit des kiosques. Se tournant en direction de l’attraction qui avait cesser de bougé. Elle soupira presque de soulagement.

Sam 9 Avr - 8:29

Sam 9 Avr - 8:29

Le membre 'Abysse' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Dé de recherche' : 9, 5

Dim 10 Avr - 19:45

A la poursuite
(Entraînement n°17 09 Avril)

Abysse Δ

Force : 38 | Agilité : 48 | Endurance : 43

Comment c'était-elle retrouver dans cette situation qui pourtant ressemblait fortement a se qu'elle avait déjà vécut avec le loup noir dans un certain bâtiment en effondrement dans la ville en ruine. Abysse c'était aventuré dans le parcours à eaux des amoureux pour une nouvelle fois, sautant par-dessus l’eau a plusieurs reprises pour passer de plate-forme en plate-forme. Accrochant ses griffes de partout, forçant sur ses muscles faisant levier afin de la faire passer par-dessus des obstacles. Glissant également son corps sous de nombreux objets de décor fait de cartons, bref elle c'était amusé comme une véritable folle jusqu'à la secousse la surprenant au plus haut au point. Elle ne pourrait pas dire si cette secousse était naturelle ou non, était-ce a cause des hommes et de leur guerre. Oui était-ce un véritable séisme naturel. Mais qu'importe, alors qu'elle était debout sur un décor assez fin utilisant son équilibre, le tremblement la fit tomber, devant se rattraper plantant ses griffes dans le décor pour ne pas se retrouver au sol écrasé. Mais voilà que cette secousse assez violente et rapide fit tout ébranler le terrain d'entraînement de la femelle qui commençait à s'effondrer. Son décor lâcha sous ses pattes et elle dut le lâcher rapidement, tombant sur le sol. Même si elle ressentit une petite douleur dans le dos, la louve dut se mettre à roulé sur le côté évitant le décor qui s'effondrer prête à l'écraser. Se redressant sur ses pattes rapidement, la jeune louve dut faire un demi tour et se mettre à courir.

Tout était entrain de s'effondrer sur sa tête. Les décors suspendue a des fils lâchèrent, si fragile et tombèrent. Virant sur la gauche un coup sec pour évité le décor du ciel, elle dut prendre un second virage sur la droite pour cette fois évité une structure tombant vers l'avant. Elle sentit la terre se dérobé soudainement sous ses pattes, tombant, le décor était entrain de pencher dangereusement vers une faille. Le sol c'était ouvert et bien sûr sous le manège aspiré dans un gouffre. Relevant ses pattes, les griffes accroché au sol, elle glissait. Mais non, elle ne devait pas se laisser engloutir par le décor. Des objets glisser dans sa direction manquant de se faire écraser de nouveau. Ses yeux en panique était entrain de chercher une idée, une solution. Quand elle vit se fil de fer pendre prêt de son museau. L'attrapant de ses dents elle tira, appuyant ses pattes sur la plate forme verticale. Utilisant la force de sa mâchoire pour se tirer de là. Une fois droite sur ses pattes, elle s'élança dans une course de nouveau. Bandant ses muscles au maximum, ses foulés rapide parcourrait le décor. Utilisant principalement la technique d’esquive des obstacles. Venant esquiver, zigzaguer entre les différents danger, elle bondit sur une des barques pour se retrouvé dans l'eau et elle nagea, se retrouvant enfin a l'extérieur. Un regard vers l'arrière elle rejoignit la berge soulager de s'être sortit d'ici rapidement.