Ahhh faut que je chasse ! J'ai faim ! Mais où chasser ? Avec les Lames de Foudre c'est tellement la merde pour chasser ! Tellement frustrant … Je lâche un grondement, faut que je trouve quelque chose à me mettre sous la croc et vite. Je flaire alors la présence d'un animal non loin de moi. Suivant cette piste avec attention, je la remonte jusqu'à apercevoir un putois. Chouette, à manger ! Je me lèche les babines, me faisant le plus petit possible pour rester bien cacher. Je l'observe attentivement et, finit par bondir hors de ma cachette. Je me jette sur l'animal qui lâche un cri sous la panique. Je l'emprisonne entre mes crocs, le secoue dans tous les sens avant qu'il ne m'envoie un truc étrange en pleine gueule et … Bordek … C'est quoi cette odeur ?! Mais c'est infecte ! Je lâche le putois en le balançant, toussant. Mais quelle horreur ! Ça schlingue à mort ! Aaah ! Faut que je me débarrasse de cette maudite odeur et vite !

Je détale d'ici en vitesse, cherchant un point d'eau pour aller me laver. Je finis par en trouver un et, plonge dans l'eau. J'y reste longuement avant d'y sortir finalement mais, l'odeur est toujours présente, bon sang ! Comment m'en séparer ? Je grogne, mécontent. Pourquoi on ne m'a jamais dis qu'un putois sentait aussi mauvais quand ça flippait ?! Si j'avais su ça, je serais rester loin de cette satané bestiole ! Arg l'infection ! Je tousse de nouveau, cherche un autre moyen de me débarrasser de cette odeur. Vite et vite ! Je cours partout en quête d'un endroit où pouvoir me débarrasser de cette infection et, j’aperçois ce qui semble être une étendue de boue. Je cours dans sa direction, me lançant dedans en dérapant et me roule pour que tout mon pelage soit imprégné de cette boue. Je me roule, encore et encore. Je préfère cette odeur plutôt que celle dont m'a infligé ce putois !

Une fois que je pense mettre suffisamment débarrassé de cette odeur, je me redresse, sortant de la boue pour m'ébrouer mais, l'odeur semble tenir encore, pas autant que tout à l'heure mais, elle reste présente. Je lâche un grondement de frustration. Je vais devoir trouver autre chose encore … C'est remplit de boue de la pointe des oreilles aux pattes que je me dirige vers une toute autre sorte de point d'eau, celui des marais de la Griffe Verte … L'eau des marais est différente des autres, plus odorante également mais, bien moins désagréable que celle que je transporte sur moi. Aller me rincer de toute cette boue sur mon pelage me permettra probablement de mettre fin à cette infecte odeur, du moins, espérons-le …

Une fois dans le marais, je galope jusqu'à arriver près de l'eau et me jette dedans. Ressortant la tête, je la secoue pour en dégager l'eau qui aurait pu tenter de s'infiltrer dans mes oreilles et, me met à nager un moment afin de laisser la boue sécher se décrocher et l'odeur se faire remplacer par celle des marais. Je nage un moment en rond dans l'eau avant de finalement en sortir et m'ébroue pour retirer le surplus d'eau. J'hume mon pelage et constate avec joie que l'odeur du putois n'y est plus, victoire ! J'ai plus qu'à retourner à mes occupations maintenant ! Enfin, d'abord, je vais aller faire sécher mon pelage pour être plus tranquille ...

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chasse n°1 : 10 + 2 (bonus) - 4 (malus) = 8 (réussi) - Lièvre
Après le passage de ce maudit putois, je décide de reprendre ce que j'étais venu faire : chasser. Commençant à flairer le sol, je finis par percevoir l'odeur d'un lièvre et, bientôt, sa silhouette. Je l'observe, m'approche, le prend en chasse. Il est rapide et agile, il me met à mal. Il me force à esquiver les arbres, à sauter par-dessus les troncs mort dans lesquelles il s'infiltre. Je prend garde à ne pas déraper sur la mousse et tomber dans l'eau du marais. Je finis par le talonner, j'essaye de l'attraper, lançant ma gueule dans sa direction mais, il réussit à m'esquiver, maudit lièvre ! Je continue ma course poursuite.

Le lièvre finit par entrer dans un petit terrier, je me mis alors à creuser comme un fou furieux. Je creuse et creuse pour agrandir le trou, je creuse pour pouvoir l'atteindre. Je me met de la terre de partout mais je m'en fiche, je continue jusqu'à ce que mes griffes me fassent mal et que j'atteigne enfin ma proie. Je saisis le lièvre, le tire de force avant de le clouer au sol. Je plonge ma gueule dans son frêle corps, le malmène de ma puissante mâchoire, lui donne de violent coup de patte. Je le secoue avant de finalement l'achever. Désormais mort, je commence à le dévorer pour me remplir un peu l'estomac ...

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chasse n°2 : 11 + 2 (bonus) - 4 (malus) = 9 (réussi) - Daim
Une fois mon repas terminé, je passe ma langue sur mes babines, je me redresse, abandonnant la carcasse de mon dernier repas et, me remet en chasse. Maintenant que j'ai pu manger, je n'ai plus qu'à commencer à préparer mes réserves pour être plus tranquille ! Je parcours le marais, fouillant, flairant, je finis par sentir l'odeur d'un daim et, découvre ses empruntes au sol. Remontant la piste, je le trouve près du point d'eau à laper sa surface. M'approchant sans un bruit, je le rejoint, passant derrière lui avant de m'élancer dans sa direction.

Je galope et me jette sur sa croupe. Surpris, le daim prend peur et se jette dans l'eau, moi avec. Remontant à la surface en prenant une grande bouffé d'air, ne m'attendant vraiment pas à finir dans l'eau, je patauge, cherchant où se trouve le daim et le vois chercher à fuir. Grondant, je me met à nager jusqu'à le rejoindre et réussis à faire un petit bond dans l'eau pour lui sauter sur le dos. Je le saisis par l'oreille, le daim se met de nouveau à paniquer. Donnant des coups de sabot dans tous les sens, il fit gicler de l'eau dans mes yeux. Les fermant, j'essaye de ne pas lâcher prise. Le daim continue d'avancer dans l'eau, m'emportant avant lui et, une fois sur le bord, il parvient à me dégager. Je tombe de nouveau dans l'eau mais, la quitte rapidement. M'ébrouant, je cherche du regard le daim en fuite et l'aperçoit. Je m'élance dans sa direction, courant rapidement entre les points d'eau, les buissons et les arbres. Je bondis par dessus les rochers, rétrécissant la distance qui me sépare de lui. Je le talonne bientôt, me plaçant sur sa gauche puis, en me rabattant d'un seul coup sur lui, je le pousse, le déséquilibrant et je me jette à sa gorge.

Enfonçant mes crocs, dans sa chaire, je me met à secouer la gueule, encaissant ses coups de sabot tant bien que mal et, finalement, à force d'exercer une pression toujours plus lourde et douloureuse sur sa gorge, sa nuque finit par craquer et, le daim cessa de se débattre. Relâchant mon emprise, j'halète, la langue pendante, cherchant à me ventiler pour reprendre mon souffle. Une petite pause puis, je saisis de nouveau ma proie pour la traîner au sol jusqu'à ma tanière.

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chasse n°3 : 12 + 2 (bonus) - 4 (malus) = 10 (réussi) - Poisson
Retournant dans le marais pour chasser, je me dirige avant toute chose vers l'un des points d'eau, humant sa surface avant d'y tremper ma langue. Buvant plusieurs gorgés, je finis par dresser les oreilles en voyant quelque chose passer d'un seul coup non loin de moi, sous l'eau. Qu'est-ce ? Un poisson, oui, ça ne peut être qu'un poisson ! Mes babines s'étirent en un sourire. Et si je faisais une petite pêche ? Ça me changera un peu au moins puis, c'est pas trop mauvais, un poisson.

Me léchant les babines, j'entre doucement dans l'eau en essayant de faire le moins d'onde de possible pour ne pas faire fuir les poissons. Une fois bien avancé, je m'immobilise, le regard braqué sur la surface de l'eau verdâtre. J'attends désormais de voir, j'attends qu'un poisson daigne passer. Calme ... Patience ... Là ! Un petit banc de poissons ! Je ne bouge pas, j'attends qu'ils se rapprochent de moi et, une fois suffisamment proche, je lance ma gueule dans l'eau pour tenter dans saisir un. Je crois que je réussis mon coup, je sens le poisson se tortiller dans ma gueule. Le remontant à la surface peut-être un peu trop vite, le poisson réussit à s'extraire de mes crocs et retombe dans l'eau en décampant rapidement, bordel ! J'ai raté mon coup ! Je gronde, pas besoin de tenter de le poursuivre, ça ne servira à rien ! Il est dans son élément, moi non ! Tant pis ! Je me dirige un peu plus loin, me figeant de nouveau en attendant. Un gros poisson passa alors et, lorsqu'il fut suffisamment proche, je plonge la gueule rapidement et réussis à le saisir. Je referme ma mâchoire dessus, serrant plus fort que pour le premier cette fois-ci, du moins, je l'espère.

Ressortant ma gueule hors de l'eau, resserrant davantage ma mâchoire sur le poisson qui se tortille dans tous les sens, je cours autant que possible dans l'eau pour tenter de sortir en vitesse. L'eau me ralentie, je suis obligé de forcer sur mes pattes pour aller plus vite et, une fois sur le borde, je secoue la gueule dans tous les sens, serrant encore et encore jusqu'à ce que je parviens à finalement tuer le poisson.

Content de ma prise, je décide de m'en délecter de ce pas.

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chasse n°1 : 2 + 2 (bonus) - 4 (malus) = 0 (raté)
Dur vie que celle d'un chat, en trouvez-vous pas ? Entouré de tous ces canidés, ces prédateurs sans le moindre scrupule qui ne feront pas cher de ma peau. Ah, je le sais, je les ai déjà affronté ces maudits cabots ! Ils me courent après, tente de m'attraper à chaque fois ! Mais croyez-vous que je me serais laissé faire ? Oh que non ! Je ne suis pas suicidaire, moi, je suis malin, moi. Aucun animal n'a réussi à m'attraper depuis que je suis ici, aucun animal n'a réussi à m'échapper ! Après tout, ne suis-je pas un prédateur, moi aussi ? Souris, rat et mulot, cachez-vous ! Car je guette, non loin de là. Poisson dodue, vous n'échapperez point à mes griffes acérés ! De mon pelage noir, je me fond dans le décor la nuit, nul ne m'échappe mais, j'échappe à tous …

Me promenant, comme à mon habitude, je trottine cette fois-ci dans le marais de la Griffe Verte. Les pluies d'acides ont recommencés, ci et là mais, ne touche pas cette zone, tant mieux ! Elle est suffisamment putride comme ça ! Enfin, maintenant que les pluies ronge cette partie des terres, peut-être que les autres prédateurs se tiendront loin !

Pendant ma balade, je tombe sur une souris, une souris … Comment résister à l'envie de lui courir après, hm ? Moi je n'y arrive pas en tout cas ! Poursuivant alors la souris, je cavale à travers le marais sans me soucier de rien, jusqu'à ce que je sente soudainement la présence d'un plus gros prédateur. Freinant d'un seul coup ma course, mon dos se hérissant, me mettant à feuler, je me retrouver museau à museau face à un jeune loup au pelage sombre. Misère !

Le loup me fixe et, son regard ne me rassure pas du tout mais alors, vraiment pas du tout … Je fais quelques pas en arrière alors qu'il commence à retrousser ses babines après avoir passé sa langue sur ses babines et, je pris mes pattes à mon cou pile au bon moment alors qu'il se jette sur moi. Détalant rapidement, suivit par le jeune loup, je jette par moment quelques regard derrière moi pour voir sa progression mais, c'est qu'il va vite quand même ce satané loup ! Enfin, il ne peut m'avoir, je reste plus rapide et agile que lui en plus d'être petit ! J'accélère le pas de course pour progresser dans le marais mais, je peux sentir qu'il persiste à me suivre, à me talonner. Mais lâches moi ! Je me met à bondir sur un arbre, commençant à grimper, j'essaye de m'échapper par les voies où il n'a pas accès mais, je sens ses crocs se refermer sur ma queue et me tirer d'un coup sec. J'enfonce mes griffes dans le tronc mais, fasse à la puissance de sa mâchoire, je fus forcé de lâcher prise. Projeté au sol, je le vois se jeter sur moi et, je l'esquive en roulant de côté, me redressant rapidement, je me remet à fuir. Il faut que je parte d'ici ! Que je trouve un échappatoire et vite !

Je bondis par-dessus des troncs d'arbres couchés, mon poursuivant faisant de même, esquivant habilement chacun des obstacles que j'essaye de mettre sur son passage en espérant le faire ralentir mais, c'est qu'il persiste et, je ne donne pas cher de ma peau si on continue ainsi ! Aller, je ne dois pas perdre espoir, je vais y arriver ! Je vais réussir à lui échapper ! Puis finalement, je vois mon salut et, m'engouffre à l'intérieur d'un arbre creusé. Le loup s'arrête net, essaye de creuser pour m'atteindre. Il persiste mais, je ne lui donnerais pas le plaisir de m'attraper ! Je jette un coup d’œil au-dessus de moi. En fait, je suis dans une sale situation ! Bon tant pis, je vais devoir rouvrir le chemin !

M'approchant avec précaution, je lui donne un violent coup de griffe sur la truffe, ce qui eut pour effet de le faire sursauter et reculer. Profitant de cet instant, je sors de ma cachette et court rapidement jusqu'à finalement trouver un arbre sur lequel grimper. Avant qu'il ne parvienne à me rejoindre, je me trouvais déjà tout en haut de l'arbre, posé sur une branche, exténué. En dessous, le jeune loup s'excitait, grognait, sautait mais, en vain. Jamais il ne pourra m'atteindre ! Bien fait ! Maintenant, je n'ai plus qu'à attendre qu'il parte ...

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chasse n°2 : 10 + 2 (bonus) - 4 (malus) = 8 (réussi) - castor
Je commence à en avoir sérieusement marre de ce chat qui ne daigne pas descendre de son maudit perchoir ! Bordel ! Sale bête ! Je lâche un dernier grondement avant de finalement abandonné l'idée de tenter de l'avoir. Tant pis ! Qu'il reste en haut de son arbre, j'en ai rien à foutre ! Je pars, partant en quête d'une autre proie à attraper. Flairant, je finis par percevoir l'odeur d'un castor et me met à sa recherche. Je trouve l'animal là, tranquillement occupé à faire son petit pont en bois. Je m'avance, sans un bruit, me camouflant, je progresse, l'observe. Est-ce que ce pont sera-t-il suffisamment solide pour que je puisse sauter dessus sans m'étaler dans l'eau ? On va bien voir ça ...

Je me prépare et, lorsque je me sens enfin prêt, je pris appuie sur mes postérieurs et sauta hors de ma cachette. Courant en direction du castor, je bondis agilement au-dessus de l'eau, atterrissant sur son pont qui se mit à trembler. Sous l'effet de surprise, le castor manque de tomber à l'eau mais, je parviens à l'attraper à temps. Maintenant, plus qu'à dégager d'ici ! J'allais pour prendre appuie afin de sauter mais, un rondin de bois se met à rouler sous ma patte arrière, me faisant perdre l'équilibre. Je chute dans l'eau, tenant fermement ma proie malgré tout. Je tente de remonter à la surface mais, une partie du pond commence à s'effondrer sur moi, cherchant à m'entraîner au fond de l'eau. Commençant à paniquer et à m'agiter, le castor cherchant à se défaire de ma gueule, je resserre mon emprise dessus et tente de sortir de là.

Finalement, à force de me tortiller, de tenter de prendre appuie sur les morceaux de bois, je parviens à remonter à la surface. Malheureusement, en reprenant mon souffle, ma mâchoire se desserre et, le castor commence à s'échapper. Hors de question que tu m'échappes toi ! Je forces sur mes pattes pour essayer de nager, de faire de petits bonds jusqu'à parvenir à l'attraper. Je referme ma gueule dessus, l'emprisonnant. Maintenant, il faut que je quitte les eaux ! Je nage aussi vite que je peux, ma proie en gueule qui tente de se débattre. Une fois sur le bord, je le jette, lui bondis lourdement dessus, l'eau me ralentissant mais, malgré tout, je parviens à le plaquer au sol. Je le bloque, jette ma gueule sur lui et serre sa gorge entre mes puissantes crocs avant de secoue la gueule avec férocité jusqu'à parvenir à le tuer.

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chasse n°3 : 11 + 2 (bonus) - 4 (malus) = 9 (réussi) - chien
Après avoir rapporté le castor non loin de l'endroit où Dalioka dort, je m'éclipse pour retourner dans les marais, là où je pourrais continuer de chasser. Revenant au pas de course, je me mis à esquiver quelques arbres au passage et arbustes, sautant par-dessus les troncs et les rochers jusqu'à finalement m'arrêter près du point d'eau pour boire un coup. Lapant sa surface, mes oreilles pivotèrent en arrière tandis que je détecte un bruit puis, bientôt, une odeur. Je me redresse et me retourne, mes babines se retroussant tandis que j'adopte une posture d'attaque en voyant le chien sortir de sa cachette pour s'approcher de moi, l'air mauvais. Qu'espères-tu mon gros, pouvoir m'avoir aussi facilement ? Tu rêves !

Le chien errant me fonce dessus et je l'esquive habilement sur le côté. Tombant alors dans l'eau, le chien essaye de se reprendre mais, déjà, je lui saute sur le dos. Mes crocs se referme sur sa nuque, secouant férocement la gueule dans tous les sens, j'arrache un couinement de douleur de mon agresseur qui tente de me faire dégager. Finalement, il me fit tomber dans l'eau et se jette sur moi avant que je n'ai le temps de faire quoique ce soit. Je le reçois, plonge mes crocs sur lui, le saisissant au niveau de la gueule avant qu'il ne parvienne à m'attraper à la gorge. De mes pattes je cherche à le faire dégager postant mes postérieurs au niveau de son estomac avant de donner un grand coup à l'intérieur. Réussissant à le faire dégager je me redresse d'un bond.

Quittant l'eau car, se battre dedans est vraiment plus compliqué, j'en profite pour m'ébrouer avant que le chien errant ne m'atteigne mais, cela arriva plus vite que ce que je pensais. Le chien saute sur mon arrière train, je bascule et me retourne d'un seul coup pour lui envoyer ma patte en pleine gueule. Je lui envoie de la boue au passage et me jette de nouveau sur lui mais, cette fois-ci, je le domine et le bloque sous moi. Mes crocs parviennent à le saisir à la gorge et je me met à le secoue dans tous les sens. Après un moment de lutte, de coups de crocs et de coups de pattes, je parviens finalement à le tuer Voilà ! Ici, c'est moi qui domine !

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chasse n°1 : 1 + 2 (bonus) - 4 (malus) = 0 (raté)
Chasser devient difficile et pour cause, les animaux se font rares, la raison ? J'en sais foutrement rien ! Enfin de tout manière j'ai pas envie de manger pour le moment alors ...

Traînant une fois encore dans les marais, je décide de m'entraîner un peu. Me cherchant un parcours à faire, je me met à courir soudainement. Galopant, je slalome entre des arbres proches les uns des autres afin d'augmenter la difficulté. J'essaye de faire cela le plus rapidement possible tout en étant le plus agile également. Je dois être capable d'esquiver de tel obstacle serré pour m'en tirer et n'avoir aucune difficulté. Une fois avoir terminé avec les arbres, je continue d'avancer au pas de course, jouant à saute mouton en bondissant au-dessus de buissons qui ont mauvaises mines pour certains. Je saute, fais demi-tour, re-saute par-dessus en essayant de ne pas m'arrêter une seule fois. Je continue ce petit manège un moment, au moins dix fois. Courir, sauter par dessus les buissons, faire demi-tour, recommencer. Finalement, lorsque j'en eu marre de cet entraîner, je file plus loin sans jamais m'arrêter de courir.

Galopant en essayant de ne pas m'épuiser, je ne cherche pas à aller plus vite qu'il ne le faut, même si je tente d'augmenter le rythme de ma course pour rendre tout cela un peu plus difficile à chaque fois. Je ne veux pas me fatiguer trop rapidement mais, je ne peux pas stagner non plus. Ainsi, je cours à bonne allure afin de ne pas me fatiguer sans pour autant être moue.

Rejoignant mon prochain objectif, je me met à sauter par-dessus des troncs d'arbres couchés sur le sol ainsi que de gros rocher. Dans ce parcours, j'esquive également plusieurs arbres et buissons, sans m'arrêter, courant encore et toujours. J'essaye d'avoir les réflexes suffisamment pour ne pas me louper lors de mes bonds et de mes esquives. J'avance toujours à bonne allure, ne ressentant pas encore la fatigue peser, tant mieux ! Je vais pouvoir continuer !

Finalement, j'opte pour un nouvel exercice une fois avoir terminé mon petit parcours d'esquive afin de foncer en direction d'un gros tronc d'arbre encore en vie. Je galope en y mettant plus de vitesse désormais et, prenant appuie de mes postérieurs, je bondis agilement jusqu'à l'arbre, me réceptionnant de mes pattes pour ensuite me propulser en arrière dans une sorte de salto et retomber au sol. Je me remet ensuite à courir un peu plus loin avant de faire demi-tour et de recommencer. Je cours, bondis en y mettant de la force dans mes postérieurs pour atteindre l'arbre, prenant appuie rapidement dessus et forçant de nouveau sur mes pattes avant de me propulser et de faire un saut en arrière avant d'atterrir de nouveau sur le sol. Je continue ainsi encore quatre ou cinq fois avant de finalement m'arrêter. Je pense que je me suis suffisamment entraîné pour le moment, j'ai bien mérité une petite pause ...

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chasse n°2 : 1 + 2 (bonus) - 4 (malus) = 0 (raté)
Après un bon moment de repos, je décide de retourner m'entraîner mais, cette fois-ci, je travaillerais plus ma force.

Fouillant le marais, je parviens à trouver une grosse branche d'arbre que je saisis dans ma gueule. Celle-ci est lourde et difficile à transporter car encombrante. Je la ramène vers l'un des gros points d'eau et parvient à jeter la branche un peu plus loin dans l'eau. Maintenant, quel meilleur entraînement que celui de faire travailler ses muscles en étant dans de l'eau ? Après tout, l'eau ralentie nos mouvements et nous force à forcer sur nos muscles pour faire quoique ce soit. Ce bâton m'aidera en prime à rajouter de la difficulté !

Bondissant dans l'eau, je nage jusqu'à rejoindre le bâton que je me met à tirer d'un côté à un autre du marais. Nageant au début doucement, j'essaye d'accélérer, nageant plus rapidement afin de rejoindre plus rapidement les berges. Remontant sur l'un des bords, je pris de l'élan et jette de nouveau le bâton aussi loin que possible dans l'eau avant de me jeter dedans, faisant quelques petits bonds hors de l'eau pour avancer plus vite avant de ne plus avoir patte et me mettre à nager aussi vite que possible. Poussant sur mes pattes qui cherchent à avancer tant bien que mal dans cet élément qui n'est pas le mien. Je parviens jusqu'au bâton, le récupère puis ressort de l'autre côté. Tout en le gardant en gueule, je m'ébroua avant de finalement partir en courant à travers le marais, esquivant les arbres de façon à ce que la grosse branche ne se cogne pas dessus. Je bondis par-dessus de petits obstacles tandis que le bâton m'apporte un poids supplémentaire.

Continuant l'entraînement, je ne lâche pas un seul instinct ce bout de bois lourd qui commence à peser dans ma gueule en plus de la fatigue dû à mes petits exercices lors de cette baignade. Mon pelage semble plus lourd que d'habitude, à cause de l'eau qui s'y trouve encore. Je persiste et cours tout en forçant sur mes mâchoires pour ne pas lâcher ce bâton. J'esquive des arbres et des buissons avant de sauter par dessus des troncs mort et des rochers sans jamais lâcher prise ...

Finalement, lorsque la fatigue me tiraille et empêche mes pattes de bouger davantage, je cesse l'entraînement. J'ai bien travaillé pour le moment ...

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chasse n°3 : 10 + 2 (bonus) - 4 (malus) = 8 (réussi) - rat
Après tant d'entraînement, la fin a commencé à se faire sentir et, je décide d'aller chasser de quoi me mettre dans l'estomac !

Parcourant le marais en flairant pour tenter de trouver une piste, mon flaire avait désormais l'habitude de cet endroit remplit d'odeur divers et variés et, ainsi, je perçois l'odeur d'un petit rongeur, un rat. Je m'en serais bien passé mais, manger ce rat me suffira amplement. Ainsi, je pars à sa recherche. Apercevant le gros rat brun, je l'observe, tapis derrière un buisson avant d'en sortir pour lui bondir dessus. Le rat lève le museau et, cherche à détaler en me voyant mais, je retombe au sol, l'une de mes pattes s'abat sur sa longue queue, l'empêchant ainsi de s'enfuir. Directement, le rat se rebiffe et vient mordre ma patte. Enfoiré ! Ça fait mal ! Je me met à gronder après avoir retiré ma patte et part à sa poursuite. Hors de question qu'il me passe entre les pattes ce petit con !

Je bondis par-dessus une arbre mort, couché sur le sol, essayant de garder toujours mes yeux rivés sur ma proie afin de ne pas la perdre de vue. Je galope, ne lâchant rien, j'esquive ce qui se dresse entre moi et ma proie. Le rat continue de fuir, lançant par moment un regard derrière lui pour voir si je suis toujours là. Et oui ! Je suis là, toujours là ! Tu ne peux m'échapper !

J'esquive de justesse un arbre que je n'ai pas vu à force de regarder au sol, me concentrant davantage, je force sur mes postérieurs pour accélérer et, finalement, je saisis le rongeur entre mes crocs. M'arrêtant net, je secoue la gueule dans tous les sens en forçant sur son frêle corps de ma puissante mâchoire jusqu'à ce que, finalement, il périsse entre mes crocs ...

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chasse n°1 : 9 + 2 (bonus) - 4 (malus) = 7 (raté)
Partant en chasse dans les marais, je cherche une proie plus grosse pour durer quelques jours. Fouillant, je perçois une odeur alléchante mais, je n'eus pas l'occasion de l'atteindre que quelque chose se jette sur moi. Un chien ! Un putain de chien errant ! Il me veut quoi celui-ci ?! Je roule au sol, me redresse et montre les crocs, le regard mauvais. Pour qui me prends-tu à te jeter ainsi sur moi ?! Je ne peux pas le tolérer !

Je me jette à la gorge de ce chien galeux. Tous deux, nous roulons sur le sol humide des marais. Il me donne un violent coup de patte dans l'estomac, me forçant à dégager d'au-dessus de lui et se jette immédiatement sur ma gorge. De ses pattes, il m'entour le cou, m'empêchant de pouvoir bouger à ma guise. Loin de vouloir me laisser faire, je me débat, me laisse tomber au sol pour l'écraser, roulant sur le sol, je parviens à m'extraire de ses crocs et me redresse immédiatement. Prenant appuie sur mes postérieurs, je bondis avec force sur lui, le clouant au sol de mon poids et jette ma gueule vers sa gorge. Il parvient à me faire dévier en me donnant un coup de tête sur le côté. Je grogne et, me met à lui labourer le poitrail avant de saisir sa patte entre mes crocs. Je serre, secoue la gueule, je tire, il couine, grogne, m'attaque. Je lui donne un violent coup de patte en pleine gueule lorsqu'il cherche à me mordre à la gueule. Je l'empêche de m'atteindre et parvient à le mordre au museau. Je le tiens, mes dents glisses jusqu'à sa babine que je tire et blesse gravement. Le sang jaillit, sa babine pendouilla et je m'attaque désormais à son oreille que je mutile. Je tire, secoue la gueule, martèle son poitrail de mes postérieurs, le lâche, le saisis à la gorge et serre de toutes mes forces. Mes crocs s'enfoncent, encore et encore, dans sa jugulaire, faisant couler le sang mais, il n'est pas de cette avis et me donne un violent coup de patte dans l'estomac. Je tombe au sol, je roule et, il prit la fuite, gravement blessé. C'est ça, casses toi, de toute manière, tu vas crever ...

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chasse n°2 : 2 + 2 (bonus) - 4 (malus) = 0 (rien)
Ayant besoin de me défouler, je décide d'aller entraîner mon endurance et mon agilité. Parcourant au pas de course le marais, je galope, esquive les arbres et les buissons. Je bondis par dessus les rochers et les troncs mort. Courant, j'observe mon terrain afin de pouvoir me préparer d'avance, d'anticiper les mouvements à faire. Je saute par-dessus un buisson plus grand et plus large que les autres, parvenant de l'autre côté en l'ayant à peine effleuré. Je continue de courir, m'enfonçant dans les bois, je repère un pont de castor et décide de le traverser.

Courant toujours, je travers le pond rapidement, le faisant vaciller sous mon passage. Par endroit, les branches s'affaissent, tombant dans l'eau, manquant de m'entraîner avec eux mais, je parviens à garder mon équilibre et à progresser. Je parviens au bout du pont qui ne va pas totalement de l'autre côté et, prenant appuie dessus, je bondis pour atteindre le bord. Retombant, seul mes pattes arrière touchent l'eau avant que je ne m'en extrais rapidement.

Ma course se continue à travers le marais. Je slalome, tombe sur une carcasse métallique qui devait probablement service de véhicule aux Hommes et grimpe dessus d'un bond agile avant de redescendre. Je fonce en direction d'un arbre, bondis dessus, prenant appuie, je me propulse de nouveau en arrière d'un salto pas totalement parfait et je me remet à courir. Ma course se termina alors lorsque mes muscles commencent à se tendre, me forçant alors à arrêter ...

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chasse n°3 : 11 + 2 (bonus) - 4 (malus) = 9 (réussi) - chevreuil
Traquant un chevreuil que j'ai flairé à mon entrée dans les marais. Je cherche l'animal que je compte bien attraper. L’apercevant non loin de moi, je l'observe, tapis dans les fourrés avant de bondir hors de ma cachette. M'élançant dans sa direction, le chevreuil me repère et prend la fuite. Galopant à sa poursuite, j'esquive les arbres et slalome entre eux pour ne pas me les prendre, essayant de ne pas le perdre de vu tout en continuant de foncer. Je cherche à le talonner, à le rattraper. Je force sur mes postérieurs pour courir plus vite, sautant par-dessus les obstacles qui se dressent devant moi et m'empêche d'avance. Je galope et, lorsque je vis le chevreuil ce jeter à l'eau, je bondis, me mettant à nager aussi vite que je le pouvais pour tenter de le rattraper. Proche de lui, j'essaye de le saisir mais, les crocs glissent sur sa peau mouillé, me faisant lâcher un grondement sourd. Je me remet à nager, forçant sur mes pattes pour accélérer, ne laissant pas l'eau me faire défaut.

Le chevreuil réussit à rejoindre le bord et sort avant de détalé. Hors de question de le laisser filer ! Lorsque je sors, je m'ébroue à peine et fonce à sa poursuite. Je parviens à le rattraper et prend appuie sur mes postérieurs pour bondir. Sautant sur sa croupe, je fais chuter ma proie au sol et m'attaque à son dos. Plantant mes crocs pour lui infliger diverses blessures, je remonte peu à peu alors que le chevreuil tente de me faire lâcher prise en se tortillant dans tous les sens. Je tiens bon, plantant mes crocs dans sa chaire ainsi que mes griffes. Je remonte jusqu'à atteindre sa nuque que je saisis entre mes mâchoires et serre de toutes mes forces avant de secouer la gueule avec violence. Le brutalisant, le chevreuil beugle, cherche à se débarrasser de moi, roule sur le sol en pensant pouvoir me faire lâcher prise, quoiqu'il a presque réussi !

Serrant mes pattes autour de sa gorge, je lâche sa nuque pour chercher sa jugulaire, la saisissant, j'enfonce mes crocs dans sa chaire tout en secouant la gueule jusqu'à ce que, finalement, il cesse de bouger. Voilà une victoire pour le Grand Ragnar'k !

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chasse n°4 : 7 + 2 (bonus) - 4 (malus) = 5 (raté)
Retournant m'entraîner, je perçois non loin de moi un sanglier. Hésitant un moment, je me demande si c'est vraiment judicieux de m'en approcher ... Réfléchissant, je me dis que, au pire, si je vois que je suis en danger, j'aurais qu'à détaler ! Puis bon, c'est là une bonne occasion de voir si je suis apte ou non à me battre face à un pareil gibier !

M'approchant en douce tout en me camouflant dans le décors, je me met à ramper derrière un tronc d'arbre effondré, observant ma proie avant de bondir une fois que le sanglier me tourne le dos. Surgissant hors de ma cachette, je retombe au sol et m'élance dans sa direction avant de lui sauter sur le dos. Il n'eut pas le temps de réagir que, déjà, mes crocs s'enfoncent dans sa chaire. Hurlant, le sanglier se mit à courir alors que je cherche à m'accrocher à son dos pour ne pas tomber. Resserrant ma mâchoire sur la peau de son dos que je maintien de toutes mes forces, mes griffes essayant de se planter dans sa chaire mais, malheureusement, mes griffes ne sont pas aussi aiguisés que celle d'un félin mais bon, c'est mieux que rien !

Le sanglier fonce dans un arbre, espérant ainsi me faire lâcher prise, ce qui faillit arriver soi dit en passant mais, je tiens bon ! Hors de question de me faire dégager comme un mal propre ! Je profite qu'il soit un peu sonné pour grimper davantage sur son dos, le saisissant cette fois-ci à la nuque, ce qui eut pour effet de le rendre fou. Se remettant à courir, cette fois-ci, il se jette au sol pour finir sur le dos, m'écrasant au passage, enfoiré ! Je grogne, forcé de lâcher prise. Il se redresse, prend de la distance tandis que je tente de me redresser et, j'entend ses sabots marteler le sol, annonçant son approche et, bientôt, je me fais décoller du sol, me le prenant de côté. Je lâche un couinement tout en roulant au sol. Cherchant à me redresser rapidement, le sanglier ne me laissa aucun répit et, j'encaisse de nouveau son coup, ramené au sol. Marre ! J'en ai marre ! Cette fois-ci, je bondis sur mes pattes et lui fonce dessus, face à face ! Je me jette dessus, ma gueule allant saisir la sienne. Il devient fou et moi enragé. Il me fait dégager, je roule avant de me faire piétiner et le saisi par la patte. Je le fais chuter au sol, me redressant, j'essaye de le soumettre, de le clouer sous moi mais, d'un violent coup de sabot, il me dégage avant de finalement fuir, me laissant là ...

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