Suite à mon intrusion lors de la discussion des hauts gradés et l'étrange chien, j'étais revenu au campement afin de m'entrainer d'avantage. Je comprenais que les nombreux loups autour de moi étaient tous très fort et que si je voulais les aider d'avantage, je devais encore et encore travailler mon corps. D'ailleurs, je savais que mon amie allait me permettre d'y parvenir. Pour cela j'ai appris que je pouvais m'améliorer de bien d'autre façon que en simplement m'épuiser jusqu'à pas pouvoir. Du sport régulier et de courtes durées ou remplis de pauses pouvaient tout aussi marcher! J'ai alors su que explorer en ramenant quelques petites choses à la meute, me permettait d'aiguiser mes sens, dont surtout la vue. J'allais pour sur améliorer mon observation, ma lucidité et mon endurance. Le fait de déterrer des choses coincées aller me durcir en souplesse tout comme en puissance. Je me suis dit également, que en allant chercher tout ça dans les terres neutres se seraient plus judicieux. Notamment à l'Ouest là ou il y avait trace des Hommes même si cela pouvait encore déplaire à Eira, je ferai toujours ce qui m'enchante!

Force : 21 - Agilité : 26 - Endurance : 37

Je m'arrêtai de marcher quand j'atteins l'autoroute ou du moins ce qui en restait. Ici, il y avait tout un tas de voitures, de trucks qui appartenaient aux bipèdes, il était donc logique que mes trouvailles y seraient riches! Mais le temps de faire ferraille sur ferraille, et le temps défilera vite. De toute manière je pouvais bien perdre mon temps sur ça, j'avais aussi un ultime défis à réussir avant de passer un stade plus haut de mon apprentissage. J'étais donc libre d'errer et de voir ce que je pourrai bien faire valider à Opium pour devenir un genre d’intéressé apprenti, oui ça doit être ça le titre suivant. Je foulais sans crainte le lieu sachant que j'avais pu jusque là éviter les lames de foudre. J'approchai enfin de ma première bagnole écrabouillée et le seul endroit à fouiner se trouvait vers l'arrière ou je ne pouvais qu'enfiler mon museau à l'intérieur ou essayer d'apercevoir avec mon œil le fin fond de la crevasse de tôle. Le fait que ce matériel se retrouva contre mon pelage, ma peau et particulièrement ma joue, me fit rappeler que mes blessures étaient presque cicatrisées mais que en attendant j'avais encore quelques marques, les même sur chaque joue. Vivement que ça parte, j'avais l'impression d'être un clown!

Dès de recherche X2

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'Dé de recherche' : 11, 7

F : 3 | A : 10 | E : 7

Te ne te lassais jamais de ces promenades d'exploration, ou bien de n'importe quel genre que tu faisais si souvent. Tu adorais marcher sans prêter attention à ce qui pouvait apparaître à tout moment. Que tes pas te mènent où ils veulent. Après tout, ton chez toi c'est partout. Tu n'as pas vraiment de lieu fixe, car après tout, pour toi ton territoire c'est partout, enfin, partout sauf là où se trouvent les hommes et les meutes. Tu ne te risquerais pas d'aller là bas. Tu es peut-être innocente, mais tu n'es pas bête, y aller serait risquer ta vie. Quoi qu'en ces derniers temps tu pouvais perdre la vie en tout moment avec tout ce qui se passait. Tu déglutis en sentant l'odeur de rouille. Mais que faisais-tu sur l'autoroute éventrée bon sang?! Tu fis une affreuse mine de dégoût sans pour autant faire demi-tour, tu voulais continuer, après tout tu finiras bien par trouver quelque chose d'intéressent par là! Enfin, il faudrait que tu mettes un peu du tient, mais tu trouveras, c'est obligé.

Chose qui te gênait aussi ces derniers temps : cette odeur que tu ne connaissais que trop bien qui te collait à la peau, mais aussi se sang qui s'écoulait de tes parties intimes. Que tu haïssais ces moments là! Depuis près de 2 ans maintenant tu vivais ça assez souvent, mais jamais encore tu ne t'y étais habituée. Et en cette période tu détestais tout particulièrement te promener pour éviter de croiser des mâles acharnés, et pourtant, tu te disais que pour une fois ça ne serait pas comme les autres, que tu ne croiseras aucun foutu mâle, que tu te baladeras simplement, croisant potentiellement quelques femelles, peut-être même ta meilleure amie. Quelle belle erreur! Tu lâchais un petit couinement en sentant soudainement l'odeur d'un loup. Il ne te fallut pas très longtemps pour savoir qu'il s'agissait d'un Sekmet, et encore moins pour découvrir qu'il s'agissait d'un mâle. Tu n'avais pas non plus besoin de faire des pas en plus, tu pouvais voir son corps avec la tête enfouie dans l'un de ces monstres de ferrailles. Tu tressaillis alors que ton visage affichait une mine déconcertée. Que faire? S'enfuir comme une...fuyarde? Ou bien rester et voir si ce mâle résisterait à...la tentation. Il ne t'avais pas encore remarqué, tu pouvais t'en aller comme si tu n'étais pas venue, bien que ton odeur "alléchante" serait forcément présente, après tout elle te suivait à la trace celle-là. Mais tu décidais finalement de ne pas bouger, tu n'étais pas dans une position de soumission, mais tellement tu étais petite on pourrait le croire, que tu étais aplatie.

Citation :

Tu découvres : Un klaxon que tu as coincé d’un coup de tête et qui te fait profiter de sa « douce » mélodie
Tu découvres : Une valise éventrée pleine de sous-vêtements

Mes oreilles bourdonnent, je n'entends plus rien pendant quelques secondes suite à un bruit strident ayant raisonné tout contre ma tête. Sous l'effet de surprise j'avais même tapé mon crane à l'intérieur de la tôle et mettant fait atrocement mal. Entre douleurs et peur j'avais forcément couiné comme un pauvre louveteau, mais uniquement parce que je me croyais seul! Sinon j'aurai eu plus de retenu, bien entendu. Je reculai de cette voiture avec difficulté sachant qu'à mon sens il n'y avait rien d’intéressant la dedans. J'avais au passage quelque chose de léger qui s'était posé autour de mon museau et le reste pendait. J'avançai vers le cœur de la route tout en m'éloignant de la première voiture avec le truck sur moi. J'avais l'oreille qui pendait sur le côté instinctivement, le bruit me gênait encore, je finis par fermer les yeux et à secouer ma tête, ce qui fit tomber le drôle de tissu. J'aperçus alors au loin la présence d'un loup. S'était la première fois que je tombais sur quelqu'un dont je ne connaissais pas, était-ce un solitaire?

EUH... BONJOUR!! JE CHERCHE AUCUN MAL.

Dis-je en m'approchant un peu plus jusqu'à ce que je me rende compte qu'il s'agissait d'une femelle. Je ne savais pas du temps que j'étais entrain de crier, je parlai avec un ton assez suffisant pour que je puisse entendre ma propre voix. Puis petit à petit l'effet assourdissant disparu et je pensais avoir retrouver mon ouïe. Mais c'est mon odorat qui semblait soudainement me faire défaut. Une odeur nouvelle vint jusqu'à ma truffe et elle paraissait appétissante comme si la viande était juste là sous mes pattes, mais il n'y avait qu'une louve sans proie! Mais pas que, s'était bien du sang que je sentais, mais je ne connaissais pas la provenance, et ça venait de la louve. Pourtant je connais quand un loup saigne, je sais ce que ça sent, là s'était différent. Ne sachant pas encore si elle était sans danger ou pas, je n'osais pas m'approcher d'avantage et je sautais sur une voiture pour atteindre une autre à côté et ainsi m'éloigner de la blanchâtre. Je ne pus m'empêcher de la questionner cependant.

L'odeur de sang vient de vous n'est-ce pas, vous allez bien?

Dis-je en cherchant son regard. Elle avait des yeux vairons comme Opium mais de couleur différente. Décidément s'était bien attrayant tout ça! Restant sur mes arrières, je me permis néanmoins de recommencer une nouvelle recherche, en entrant cette fois ci dans le véhicule, sachant que les portes étaient à terre.

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'Dé de recherche' : 7, 9

Un bruit strident retentit alors que tu aplatis brutalement tes oreilles avant de te laisser tomber au sol, effrayée par le son affreux qui se répercute, encore et encore, dans ta petite tête de louve à l'apparence de louvette. Tu te relèves après quelques minutes et secoues énergiquement ta tête afin d'arrêter de bruit aigue qui résonne constamment dans ta tête. Tu l'as déjà entendu une fois, lorsqu'un coup de feu des bâtons des hommes avait retentit bien trop près de ta trogne. Tu lâches un grognement désabusé alors que le son semble peu à peu s'atténuer. Quel...! Aucune insultes possibles traversent ta cervelle. Tu n'as jamais insultée qui que ce soit, et ce n'est pas aujourd'hui que ça allait commencer. Le loup était sortit en hâte de la voiture en lâchant un couinement qui t'amusais. Il avait un bout de tissus sur ses lippes, il ne pouvait donc ni te voir ni te sentir. Il te restais donc encore une chance de partir, mais tu n'en fis rien. Tu restais là, muette à le voir, l'une des ses oreilles baissée, probablement celle qui se trouvait la plus près du couinement intempestif. Il secoua alors sa tête faisant ainsi tomber le tissu abimé au sol. Tu le regardas tomber avec attention, il semblait danser dans les airs, et ça te fascinait. Tu sursautais ensuite en entendant un hurlement qui exorbita tes yeux de frayeur.

- EUH... BONJOUR!! JE CHERCHE AUCUN MAL.

Il devait probablement avoir encore le bruit aigue dans les oreilles, celui qui empêche de savoir si tu parles correctement ou bien même si tu criais. Après peur, tu lâchais un petit rire innocent par rapport à la situation qui te plaisait. Et puis, apparemment il ne cherchait aucun mal, mais tu te méfiais tout de même. Il n'était pas question de finir par te faire tuer par confiance accordée trop rapidement.

- Tant mieux, moi aussi je ne cherche aucun mal.

Lâchais-tu dans ton sourire hésitant et timide. Tu le regardas alors s'avancer un peu, sans un mot. Il sembla alors surpris, ou peut-être bien déconcerté. Il devait probablement s'être rendu compte qu'elle avait ses chaleurs. Mais quelque chose te disait que ce loup n'en connaissais rien, qu'il ne savait pas ce qu'était tout ça. Il était bien jeune, sa voix le montrait, mais il avait forcément un an, ou du moins dans les environs, pour faire des expressions qui montraient qu'il se questionnait sur ce que tu avais. Tu le regardas s'éloigner et passer dans une autre voiture. Tu le suivais, tu voulais savoir ce qui allait se passer par la suite, après tout, tu pourrais très bien, par cette occasion, te faire un nouveau copain.

- L'odeur de sang vient de vous n'est-ce pas, vous allez bien?

Tu baissais les oreilles dans une posture, mais aussi une expression gênée. Ta tête se baissa aussi, montrant en même temps à quel point que tu ne savais pas réellement comment répondre à cette question. Après avoir réfléchi quelques secondes, tu lâchais tes mots.

- Oui, cela vient de moi, mais je vais très bien, ne t'en fais pas.

Cette question te prouvait, te donnait un indice en plus comme quoi ce loup ne devait absolument rien connaître de ce qu'était les chaleurs, et donc les conséquences qu'elles auront sur les hormones masculines, et sexuelles, du loup. Et en quelque sorte, tu savais d'avance que tu allais devoir lui expliquer tout ça.

Un tissu doré et blanc hyper doux toucha le bout de ma truffe. Je le pris en gueule et le déposa à terre un instant puis je replongeai au fin fond de la voiture jusqu'à récupérer une chose toute ronde également jaune, et assez moelleuse en gueule tout en étant dur pour les crocs. Je ne sais pourquoi mais j'eus la sensation que ce truck allait plaire aux louveteaux dont je n'étais plus et que j'allais ramener ça dans ma tanière secrète! Je pris le tout en gueule, je grimpai sur la voiture dont je venais de fouiller puis je sautai vers une autre, celle que j'allais fouillé. Mais, en me rapprochant de la louve au passage l'odeur me bloqua subitement, m'empêchant de faire ce que j'avais envie de faire. C'est simple, mon désir me poussait à aller vers elle, et lutter me faisait tout un tas de chose agréable comme désagréable. Je n'arrivai pas à comprendre.

CHAZ vous intéresse che truck là?

Dis-je en baisant le volume de ma voix quand je fis plus proche d'elle, bien plus que tout à l'heure en lui mettant à ses pattes le tissu doux assez mignon mais dont j'en voyais pas l'utilité. Je posai aussi la balle à côté tout en souriant.

Je prends l'autre pour moi.

Puis je me rendis compte que tout à l'heure elle m'avait tutoyé alors cela voulait dire que je pouvais le faire aussi. Je regardai ses beaux yeux qui m'intriguaient et l'odeur de sang me revint aux narines, comme si, comme si je devais chercher à en retrouver la source, que je n'avais pas le choix. S'était si étrange comme sensation. Je finis par me lécher les babines en détournant mon regard de son corps que je feuilletais de tout les recoins. Je ne le faisais pas exprès, s'était comme instinctif, s'était bon et je devais en même temps calmer mon stress. Mais pourquoi étais-je nerveux?

Je m’appelle Toxic, je suis là pour m'amuser un peu avec tout ça, mais aussi pour être plus souple. Et toi? Çà te dit de chercher avec moi?

N'y tenant plus je repris ma marche en avançant au lieu de retourner vers les véhicules morts et je tournai pour passer derrière elle. L'odeur était bien plus fort à cet instant là. Je fis le tour assez vite pour pas qu'elle se retourne, mais je n'avais pas le temps de bien chercher ou sinon elle me verrait entrain de chercher... J'avalais ma salive et je ne pus m'empêcher de rire un instant quand je me retrouvai à nouveau à ses côtés mais de sa droite à présent. Alors elle saignait du popotin? Je n'ai rien vu! Pourvu qu'elle m'accompagne dans les fouilles, je pourrai alors la regarder de plus prêt...

Tu remarques que le jeune loup ressort sa truffe avec un tissu de la couleur de ton œil droit et aussi blanc. Aussitôt que tu le vois tu ne peux empêcher tes yeux de pétiller. Tu t'approches et te place face au loup. Il bondissait sur les voitures, et tu espérais qu'il ne finisse pas par tomber. Après tout, tu ne voulais pas vraiment devoir le ramasser. Et pourtant, tu t'inquiétais plus qu'autre chose. Tu n'avais pas envie de voir ta nouvelle rencontre tomber et se faire mal. Et pourtant, même toi tu montais sur les voitures. Mais il y avait une différence de taille. De poids aussi. Et tu te rendis compte à quel point il paressait grand, auprès de toi, alors qu'il était clairement plus jeune. Tu tentes une drôle de grimace, assez gênée de cette minuscule taille qui te rend pourtant si unique. Tu le vis déposer le tissu à tes pattes alors qu'il tenait dans la gueule une sorte de balle en plastique. Tu devais en avoir un dans ta tanière.

- CHAZ vous intéresse che truck là?

Tu regardas à tes pieds et saisis le tissu. Tu fus surprise par la douceur et tu ne pus t'empêcher de te frotter contre avec un jolie sourire, les yeux fermés.

- Je prends l'autre pour moi.

Tu ne l'écoutais qu'à moitié. Comme hypnotisée par le tissue que tu prendras à coup sûr. Tu plissais le museau en ouvrant les yeux avant de répondre, t'intéressant à nouveau au tissue qui semblait quand même assez grand pour que tu puisses te glisser en dessous.

- Je vais garder ça, si ça ne te gène pas.

Tu l'avais tutoyé dès le départ. Tu n'aimais pas du tout que l'on te vouvoie, tu avais l'impression d'être une mamie en ayant à peine 3 ans. C'est pourquoi tu mettais immédiatement les loups à l'aise en les tutoyant, ou bien en leur donnant ton nom. Tu rougis subitement de honte, toi qui prêtais le plus souvent attention aux détails, tu avais complétement oublié de te présenter, mais le jeune loup te devança. Tu pris un air désolé, faisant la moue boudeuse.

- Je m’appelle Toxic, je suis là pour m'amuser un peu avec tout ça, mais aussi pour être plus souple. Et toi? Çà te dit de chercher avec moi?

Tu l'écoutas, lui montrant un réel intérêt sur sa présence ici. Tu lui répondis alors avec un ton enjoué.

- Colibri. Je venais au départ pour me changer les idées, mais ça serait avec plaisir de chercher des trucs qui pourraient être intéressants.

Tu posas à contre cœur le tissue au sol avant de rentrer dans une voiture dont le passage était étroit. Toxic n'aurait pas pu rentrer, mais toi oui, c'est pourquoi tu te glissas à l'intérieur à la recherche d'objets. Tu sursautais en remarquant que le loup t'avais contourné. Peut-être bien pour voir la source de l'odeur. Tu fronças le museau mais ne dis rien. A quoi bon, c'était quelque chose d'irrésistiblement attirant pour les mâles.

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'Dé de recherche' : 10

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'Dé de recherche' : 5

Sans un mot, je continuai d'observer la femelle qui s'était faufilée dans le creux d'une voiture. J'étais bien content qu'elle se prête autant au jeu. Cette dernière semblait même préoccupée par une trouvaille dont je me demandai ce que cela pouvait être. Je me permis alors de repasser derrière elle tout en m'approchant, afin d'apercevoir au dessus de ses épaules ou sous son ventre, ce que ça pouvait bien être. A cet instant une goutte de sang me tomba sur le museau, j'étais hyper gêné et je me reculais d'elle en essayant d'avec une de mes pattes avant d'effacer ça mais à part étaler plus qu'autre chose la tâche, je pense pas avoir réussi ce que je voulais faire. Je sentais alors un truck chaud se coller en plein dans mes poils du museau longeant jusque ma truffe et je ne tarda pas à m'en rendre compte quand je vis mon reflet à travers la tôle. L'odeur était alors totalement constante et ça me faisait de sacré boum en bas du ventre, je décidai alors de fuir me cacher dans une autre voiture, pour tenter de récupérer mes esprits et qu'elle ne voit pas ce qui s'était passé. Je voulais bouffer du loup ou quoi s'était quoi ce qui m'arrivait, j'allais devenir cannibale ou quoi?

En attendant je, je... j'vais aussi fouiller une autre voiture, tu viens m'aider si j'trouve un truck, ok?

Un vent commença alors à se lever, il ne durerait surement pas longtemps, mais il était présent et sans doute qu'il allait nous jouer des tours à tout les deux. Zut, y avait rien dans ce véhicule, je partis donc rejoindre Colibri sans un mot, et cette brise m’amenait ses fluides corporelles, son popotin était encore en avant, et elle la gueule à l'intérieur, sans pouvoir faire demi tour, mais juste reculer. Je vis alors d’où vins enfin le sang. La sensation de tout à l'heure me revint, elle était puissante, j'étais saisi d'une envie de me jeter sur elle, pourquoi étais-je agressif? J'aurai aimé pouvoir mais de toute manière il n'y avait pas assez de place pour moi. Je me mis alors à respirer fort, je n'avais plus envie de partir, je voulais rester là et la réceptionner dans sa descente. Pour faire quoi? Aucune idée mais, j'avais envie de la grimper et j'étais loin d'avoir l'esprit sage. Elle était coincée. Peu à peu mes pas m’amenèrent jusqu’à ce que ma truffe frôle son derrière. Elle n'allait pas tarder à comprendre que je lui en voulais, mais tant qu'elle ne me disait rien, je continuerai mon exploration. Je me sentais à nouveau très lourd, j'avais chaud, et j'avais comme envie de faire pipi.

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'Dé de recherche' : 4, 2

Tu n'étais décidément vraiment pas très douée petit oiseau. En voulant entrer dans un endroit que peu d'autres personnes peuvent accéder, tu t'étais toi-même coincée. Tu t'étais surestimée ma grande. A force de vouloir jouer avec le feu, on se brule les ailes. Tu lâchais un couinement alors que tu trouvais quelque chose, cependant, tu ne voyais absolument pas ce que c'était tellement il faisait noir, mais surtout que la différence entre jour-nuit était forte, et tes yeux n'étaient pas encore habitués à l'obscurité. Tu eu alors la bonne idée de le saisir en t'avançant encore. Mauvaise idée petite louve, tu ne t'étais coincée qu'un peu plus, cependant, tu ne paniquais pas. Tu gardais ton calme, de toute façon l'autre loup n'allait rien te faire. N'est-ce pas? Et puis, il n'avait pas l'air méchant, mais mieux encore, il pourrait t'aider à te sortir de là!

- En attendant je, je... j'vais aussi fouiller une autre voiture, tu viens m'aider si j'trouve un truck, ok?

Tes traits se déforment en une grimace, et personne n'est là pour la voir. Le jeune loup s'en est allé, et puis, toi tu restes coincée la comme une imbécile alors que l'autre joue les timides ou tu ne sais quoi alors que tu tentais de t'extirper de là en prenant appuie sur le rebord du véhicule et poussant avec tes pattes arrières. Mais tu était vraiment coincée, et ce n'était pas avec ta force de louve maladroite que tu allais t'en sortir. Tu secouais ta queue en tentant d'attirer l'attention du loup, mais tu avais peur que ta voix se déforme à cause du milieu qui te semblait soudainement pire qu'hostile.

Soudain, tout ton corps frémit alors que tu sentis quelque choses frôler tes parties intimes. Naaaan, le jeune loup n'allait tout de même par profiter du fait qu'elle soit coincée pour profiter de sa faiblesse? Si? Tu lâchais un faible grognement alors que tu glissais. Tu ne ressentais plus ta force, c'est que tu étais très sensible à cet endroit là, tu le savais, après tout tu avais déjà essayé auparavant avec un solitaire. Mais là avec ce loupiot qui profitait de la situation, ça te rendait navrée. Quelle belle imbécile tu étais petit oiseau.

- Euh...tu pourrais m'aider à sortir?

Que tu lâches, tentant de calmer ta voix sensibilisée par le geste qu'avait effectué plus tôt Toxic. Tu tournais la tête d'un coin à l'autre à la recherche d'un moyen de sortir. Sans perdre l'objet aussi.

(Colibri, pour m'excuser du long retard, je t'autorise si tu le souhaites, à inviter Kobalt comme convenu dans le topic).

Je finis par sortir ma langue tant la chaleur était étouffante, et je haletais bêtement, tout en laissant vaguer ma truffe aux abords de son derrière. Je n'avais jamais été aussi bien, et à la fois aussi nerveux de ma vie. Une sensation totalement étrange! Il semblerait que la femelle avait lâché un grognement, mais en rien cela m'avait fait fuir, même que, j'étais comme pris d'élan d'aller plus loin, comme si, plus rien ne comptait à part mon propre désir. Mais quel plaisir y pouvait y avoir à être excité comme ça pour un popotin en sang, non mais sérieusement? La louve ne le voyait peut être pas, mais ma tête exprimait vraiment mon incrédibilité face à l'incompréhension de tout ceci! Puis la femelle se met à parler, m'incitant à la toucher, enfin euh non, à l'aider je voulais dire. J'avalais ma salive, et lâchai une petite phrase remplit de tonalité tremblante, hésitante, et pas rassurante du tout, autant pour elle, que pour moi. De plus, je ne savais pas du tout comment la faire descendre de là! Par contre, je visualisai bien comment la grimper...

Une plainte eut lieu, la mienne. Je gémis un instant, après m'avoir mordu la babine inférieure. Je n'allais vraiment pas bien dut tout! Il était temps d'agir, sous la douleur, mes esprits étaient revenus. Je pris appuis sur mes membres de devant, pour finir par tomber sur son dos, ou presque puisque une de mes pattes touchèrent la paroi de la voiture extérieur, m’empêchant alors de l'écraser sous mon poids, mais j'étais suffisamment prêt pour que nos pelages se frottent. Hola! Un coup de jus! Je glissais sur elle, mais me ressaisit comme je pouvais, et malencontreusement, une chose en suivant une autre.. Je sentis ma partie intime se coller contre son arrière train. Pourquoi? Pourquoi était-ce si magnétisé? Je tentai de me re appuyer contre la voiture, mais au lieu de ça, je ne faisais que avancer, rater, reculer, avancer, et étrangement, ça me chauffer encore plus, jusqu'à ce que mes crocs se délivrèrent, et j'étais comme hors de moi! Je grondai comme jamais, je la saisi violemment par le plus haut de sa peau visible, et attrapable, et je pris dans ma gueule une bonne grosse touffe de poils avec autant de chair que je pouvais, et je tirai un fort coup en arrière, tout en luttant pour ne pas avancer sur elle, mais bien reculer, et quand j'avais l'impression qu'elle reculait vraiment, je ne voulais plus la lâcher, comme si je voulais qu'elle m'appartienne. Mes crocs se plantèrent d'ailleurs un peu plus fort dans la chair, au point de pincer.

Tu entends ce bruit, il a sorti sa langue pour mieux respirer, Toxic. Tu t'inquiètes, coincée comme telle, tu es absolument incapable de te défendre. Et même en dehors, tu serais incapable. Son museau frôle tes postérieurs, tu lâches une râle qui s'étouffe dans l'ours en peluche que tu tiens entre tes minuscules crocs. Tu as parlé, il t'a répondu quelque chose de totalement incompréhensible. Tes billes de différentes couleurs ce sont habituées à l'obscurité. Tu trouves un petit appuie, tu tentes de t'extirper de ce lieu oppressant, mais toujours rien. Tu restes bloquée, impuissante. Tu t'en veux d'être aussi maladroite. Tu le sens, nerveux. Tu sens son incompréhension, mais surtout, son excitation. C'est un jeune mâle, et tu sais que tu t'es bien glissée dans la merde en t'engouffrant là-dedans, bien que tu aies trouvé quelque chose de marrant et que tu garderas. Tu frémis en entendant la plainte du jeune. Impatient. Il profite de la situation et toi tu te sens juste débile. Je sens soudainement qu'il monte, ou du moins grimpe pour tenter de voir la situation, apparemment, puisque vos fourrures se frôlent à peine. Puis d'un coup il tombe sur ton dos. Un craquement sourd et une douleur te traverses furtivement le dos avant que tu ne comprennes ce qui se passe. Tes faibles postérieurs soutiennent vos deux poids. Puis tu sens ton derrière s'enflammer, ou plutôt tu te rends compte qu'il te monte plus qu'il n'essaye de t'aider. Tu grognes, tentes de le faire descendre. Il grogne alors sauvagement, t'effrayant plus qu'autres chose. Puis tu couines, alors que tu sens sa mâchoire se fermer sur ta croupe, il te pince, presque comme s'il voulait te marquer. Tu te sens tellement impuissante que tu voudrais juste t'effondrer ou encore ne pas avoir été là. Puis tu te sens soudainement reculer. Te débloquer, doucement mais sûrement. C'est alors que tu te rends compte que le loup essayer réellement de te sortir de là, quoi qu'en se faisant un peu plaisir au passage, mais il te sortait de là.

- Petit, tu t'y assez prends mal... Ton père ne t'a jamais expliqué comment faire?

Tu te bloques, un autre mâle ? Oh non, ce n'était absolument pas le moment qu'un autre vienne se joindre à eux alors que tu es encore en chaleur. D'autant plus que le jeune ne semblait pas vouloir te lâcher de sitôt. Tu lâches un couinement, intimant ainsi la pitié.

- Colibri...

Tu ne lâches pas le nounours, mais tu as peur de sortir de là, tu as juste envie de retourner te planquer dans la voiture petite, là où seuls les louveteaux pourraient y aller. Une douleur te saisit au niveau de ta croupe alors que tu te doutes bien que le sang y coule. Le poids sur ton dos n'est plus. Tu as peur que l'autre mâle tente quelque chose. Et brusquement, au même endroit, d'autre crocs viennent s'y enfoncer pour te tirer violemment d'un coup en arrière. Tu te retrouves en un seul mouvement à l'extérieur. Tu es aveuglée par la lumière du soleil, tu fermes donc brutalement tes yeux, couinant en lâchant la peluche qui tombe à tes pattes. Après quelques secondes, tu ouvres un œil et te risques à découvrir l'autre mâle. Tu rencontres deux pupilles bleus. Tu retournes soudainement en enfance, ouvrant ton seconde œil pour détaille le loup.

- Akabé...

Que tu murmures sans vraiment t'en rendre compte.

Kobalt fait attention à ton power gaming, tu n'as pas à m'imposer que tu arrives une attaque sur mon personnage. Comme je te réponds, je passe pour cette fois.
Force : 21 - Agilité : 26 - Endurance : 37

Une gène m'envahit, il y avait un autre loup présent, et il semble avoir tout vu. Mes oreilles se placèrent plus en arrière, de honte sans trop comprendre ce qu'il voulait dire par le fait que je m'y prenais mal. Mal pour la faire dégager de là ou pour autre chose qui m'échappait actuellement? Et pourquoi parlait-il de mon père, qu'avait-il avoir dans le fait de sortir quelqu'un? Dès lors qu'il avait prononcé sa phrase j'avais enlever ma gueule du pelage de la femelle, là rendant alors un peu libre qu'elle ne l'était avant même si elle était toujours coincée. Voyant le mâle se diriger vers moi, j'allais pour me retirer totalement de la louve, car au final la position était assez gênante et elle faisait en moi des choses que je ne comprenais toujours pas. Mais son regard vira en une seconde dans une aura très agressive et je n'eus le temps de réagir que je fus chopé par la nuque et envoyé valser en arrière, comme une sombre merde. Sous la peur j'avais relevé mes babines et un éclair de haine m'envahit. Je me relevai et observai l'intrus s'en prendre à la femelle pour lui faire exactement la même chose, quoique, elle ne fut pas jetée. Mon sang ne fit qu'un tour et je courus à ses côtés pour la protéger l'air menaçant. Colibri lâcha alors un mot, un nom, comme si ce mâle lui disait quelqu'un.

Tu vas bien Colibri? Tu le connais?

Lui dis-je d'une voix douce parsemée de nervosité. Puis je portais mon regard vers le noirâtre.

Ton père ne t'a jamais expliqué à respecter tes voisins?

J'avançais alors d'un pas, pour marquer que la femelle ne devait pas en souffrir et que j'en prenais le risque.

Ne lui fait aucun mal et ne me touches plus de la sorte, t'as compris!?

Uniquement s'il faisait preuve de renoncement à quelconque violence supplémentaire, alors je redeviendrai le gentil mâle que j'étais, et si je voyais en Colibri plus de peur, je reculerai pour la laisser maitresse de sa survie même si je resterai pas loin, au cas ou. Comment pouvait-il se permettre d'agir ainsi, en moi bouillonnait l'envie de le tuer, littéralement, pour avoir osé de me traiter de la sorte. Mais je n'étais pas stupide, je n'étais pas chez les miens, et il semblait plus fort que moi, en apparence en tout cas.

Tant de temps a passé...

Force → 26 Agilité →41 Endurance →31

Je plantais mon regard dans celui de la louve, enfin dégagé. C'est alors que je su. Un frisson me parcouru l'échine, alors que mes poils s'hérissaient naturellement. C'était bien elle, Colibri... Ma sœur. Le nom qu'elle prononça me fit comme un électrochoc mental, alors que je reculais d'un demi-pas. Le mâle revint vers moi. Se plaçant entre cette louve et moi. Entre ma sœur et moi. Je grondais à son encontre, les oreilles en arrière. Je n'avais pas envie, ni même la tête à faire des politesses.

- Pourquoi ferais-je du mal à ma sœur, petit?

Grondais-je lentement entre mes crocs, le toisant d'un regard noir. Au passage, il avait profité de sa position de faiblesse pour la "sortir" de là. Je crois qu'on avait facilement compris mon sarcasme dans cette pensée. Je grattais lentement le sol d'une patte, perturbé. Je ne pensais pas la revoir ici. Ni même la revoir dans de pareilles circonstances.
Mon regard se posa à nouveau sur elle, calme. Ces retrouvailles avaient un arrière goût amère dans ma gueule, alors que j'inclinais la tête sur le côté.

- Je ne pensais pas te retrouver ici... Notre père te cherchait aussi...

Je redressais lentement les oreilles, perdant mon attitude agressive un court instant. Je finissais par ignorer complétement la présence de l'autre loup. Qu'est-ce que j'en avais à faire? J'invitais lentement Colibri à me rejoindre, d'un mouvement de museau. Si le loup me voyait approcher, il risquait de m'attaquer. Il fallait qu'elle vienne à moi.

#fk.016 pour kobalt

[Ah, désolée... Comme ça n'a jamais posé problème en RP jusqu'à maintenant avec les autres, je pensais que ça irait, comme je te blesse pas :/]