Souffle acide du vent, larmes brulantes du ciel. Le monde ne ressemble plus aux paysages d'autrefois. Les cataclysmes ont frappé, des colonnes de flammes et de fumées se sont élevées sur l'horizon. La guerre. La guerre des hommes. Et nous, les loups n'avons eu d'autres choix que de fuir. Nombreux furent nos congénères emportés. Nous traversâmes les plaines cabossées, les forêts de cendres, poursuivis par la faim, traqués par la mort.
Notre salut, nous le devions malheureusement à ceux qui avaient provoqué notre malheur.
Un groupe de scientifique entre à nouveau par la porte macabre. Une marche rythmée comme celle des soldats, mélodie mortelle qui résonne à vos oreilles. Déjà trois d'entre vous ont été emporté, ce n'était pas notre dernière rafle. Les hommes vêtus de blanc agissent vite et efficacement, la substance injectée dans la matinée vous a rendu complètement amorphe et inoffensif, incapable de bouger le moindre muscle. L'apparence diminuée d'une peluche vivante ne semble pas désagréable pour les masques fantomatiques. On ouvre vos cages. Quatre mains se chargent de vous saisir pour vous transporter. Sans plus de précautions que cela mais vu le cocktail que vous avez reçu ce n'est pas réellement étonnant. La manœuvre se fait rapidement, ne laissant pas le temps aux autres prisonniers de réagir.
Pour la dernière louve concerné. Le traitement est différent... Elle n'a pas reçut le fameux produit bleuté. Un homme la vise d'une étrange arme à feu. Un tire. Bruit assourdissant qui fait que la jolie louve s'effondre en quelques secondes. Un sommeil de plomb. Hybride est ainsi transportée en compagnie d'Athos, Gallya et Delirium vers un autre secteur.
Secteur de quarantaine, Jour 1.
Mise en isolement des sujets. Les scientifiques s'activent et s'affairent autour des loups concernés. Un à un, ils sont déposé sur une table de métal. Elle est froide. Elle est dur. Inconfortable mais vous ne pouvez rien y faire. Alors enfin l'on vous retire votre muselière, l'on prélève sur vous divers échantillons. De la salive. Du sang. Des poils. De l'urine... Autour de vous s'agitent des mains tenant des cisailles, des seringues, des instruments que vous ne connaissez même pas digne des plus grand film d'horreur. L'avantage de cette situation, vous ne ressentez strictement rien.
Le premier loup à être examiné Delirium Tremens, l'inconscience de l'animal inquiète et il est rapidement ausculté. Les mains caoutchouteuse agrippant le pelage s'attèlent à vérifier les fonctions vitales du loups. Des petits ronds de plastiques lui sont posé sur la peau une fois le poils rasé aux endroits définis. Le tout le reliant à une machine silencieuse où une batterie de lignes à différentes variations se dessinent. Des donnés. Des chiffres. L'homme prenant ces notes est toujours là, toujours présent. Il griffonne. Il acquiesce. Puis le loup est finalement transporté dans une cage avec l'appareil auquel il est relié ainsi qu'une drôle de poche d'où un liquide s'écoule jusque dans le cou de l'animal.
Le second loup que l'on dépose sur la table n'est autre que Gallya. Un pelage blanc s'harmonisant avec les tenues des hommes. Plusieurs prélèvement de sang lui sont fait. La louve est traitée avec douceur. L'on contrôle la dilatation de ces pupilles. Son poids. L'on finit par soigner et panser ces quelques blessures. La louve serait à l'abri des infections concernant ces plaies. Finalement, les hommes la dépose soigneusement dans sa cage mitoyenne de celle de l'autre loup. Elle a à sa disposition de l'eau comme chacun des prisonniers transporté ici.
Le troisième loup... Athos. On lui prélève son sang à lui aussi toujours sans la moindre douleur. Il est lui aussi branché à un drôle d'appareil où apparait son rythme cardiaque, après validation de l'homme au stylo les électrodes lui sont retirés. Il note. De cette action il ne reste que les trous de poils où la peau rosée apparait. Dernière vérification pour le quadrupède, une petite injection dans le muscle fessier antérieur droit. Indolore pour le moment, rien de spécial à noter. Avant de te mettre dans la cage en face de celle de Gallya, l'on se concentre sur tes blessures pour ne pas aggraver ton cas.
Concernant la dernière louve, celle endormie. Hybride. Les scientifiques s'y attarde beaucoup moins. Ils désinfectent les quelques blessures. La bande. Pour la conduire dans sa cage à coté d'Athos face à Delirium. La louve semble être épargnée pour le moment.
Les cages closent. Les lumières s'éteignant ne laissant plus que des veilleuses donnant à la pièce lugubre une ambiance plus tamisée et douce. Les pas des scientifique s'éloignent peu à peu pour disparaitre comme un écho lointain. Ils se retrouvent seuls.
Les effets du liquide bleuté se dissipe peu à peu vous redonnant votre tonus musculaire, Hybride ne tardera pas à se réveiller elle aussi malgré la drogue injectée. Récupération d'un niveau de santé concernant vos blessures physique, cela n'affecte en rien votre santé quand à l'épidémie qui vous contamine. N'oubliez pas de vérifier votre pallier et de jouer en conséquence vos symptômes.
_____________________
Pas d'ordre de passage.
Participants: Athos, Gallya, Hybride et Delirium.
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Mer 11 Nov - 10:56
Perdre espoir
Feat
Gallya avait vécu tout ce qu'il lui était arrivé. Elle avait tout vu, tout subit, sans pouvoir rien dire. Et, au final, ils n'avaient pas été si méchant avec elle, bien au contraire. Ils avaient fait certaines choses sur son corps qu'elle n'avait pas compris, mais ils l'avaient soigné, ça,elle l'avait senti, compris, et apprécié. Elle était sortie d'affaire, avec ses blessures. C'est un regard doux qu'elle avait lancé a ses géôliers, lorsqu'ils l'avaient reposé dans sa boite en fer.
Progressivement, la drogue avait rendu son droit à la louve. Ses membres étaient à nouveau à elle. Venant laper un peu l'eau dans la gamelle, elle jetait un coup d'oeil partout autour d'elle, reprenant place au centre de sa cage. Tête sur ses pattes avant. Son plan de faire la morte, ou la louve terriblement faible, semblait marcher. Les humains avaient été doux avec elle. Elle allait continuer sur cette lancée, peut-être allaient-ils lui réserver un traitement de faveur, qui lui permettrait peut-être de pouvoir rejoindre Torka. Oh son Torka lui manquait terriblement...
- Voyons le bon côté des choses ... Ils ne semblent pas nous vouloir du mal.
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– Réduit la gravité des Blessures reçues
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Jeu 12 Nov - 16:35
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" Eh, mais qu'est ce que tu fais. Ne pars pas. Je voulais te dire une chose. Tu es spéciale, tu m'attires, je ne sais pas comment te dire ça. On se voit, on se croise. Pourtant je ne te veux rien et tu ne me dois rien. Mais je voulais te le dire. Tu m'intrigues ; tu me fais vibrer quand je t'approche. Tu sais ce que je suis, tu le connais plus que ce que je ne te connais. Tu te méfies, je le vois, tu me fuis presque mais je le sens; tu te rapprochés irrésistiblement. Ne m'en veut pas pour ce que je suis. Je suis tel que je suis et je ne pourrai jamais changer. J'aime la vie; je me suis promis de jamais lui refuser quoi que ce soit. Je veux profiter de la vie, je veux accomplir ce que j'ai toujours voulu accomplir. Je veux devenir ce que j'ai toujours voulu devenir. Un maître qui ne se laisse dominer par personne. Je ne veux dominer plutôt que d'être dominé. J'ai des défauts; comme toi. Ne m'en veut pas d'être ce que je suis. Mais je ne changerai jamais. Je ne peux pas. Et je ne pense pas le vouloir."
Cette nuit là, il avait beaucoup déliré, il lui semblait avoir un essaim d'abeilles dans la tête, et il avait rêvé; cette nuit. Il avait vu cette louve partir. Mais au réveil; il ne se souvenait déjà plus de rien. Ni de la louve ni du reste. Ses paupières commencèrent à s'ouvrir et il se redressa doucement pour que ce ne soit pas douloureux. Ça pouvait aller mais il n'était pas dupe, il n'allait pas bien. Les Hommes n'y étaient pas pour grand chose, au contraire; ils semblaient l'avoir un peu soulagé. Ou peut-être pas finalement. A côté de lui, des plaintes. Il les entendait, légères, timides et tristes. Il reconnut la voix de Gallya. Il plissa un peu les yeux. C'était bien elle, a se lamenter encore et encore. Déjà quand ils étaient dans l'autre pièce, il avait été à deux doigts d'exploser de ras le bol à entendre ses plaintes. Enfin pour une fois, elle lança une remarque un peu optimiste, quoi que faussement. On en sentait la tristesse dans chaque syllabe.
Il chercha des yeux autour de lui; mais il ne connaissait personne d'autre que Gallya. Il grimaça en voyant que Anya n'était plus là. Il se surprit lui même à espérer qu'elle aille bien. Puis, il repensa à Sageeth et se mit à grogner. Si ils sortaient tous deux de cette galère vivants, il le tuerait. Il fallait qu'il le tue. Il était à l'origine de tous ses problèmes, à l'origine du départ de sa soeur; de son meilleur ami, sa traîtrise avait permis à Atom de fonder sa meute et de partir en toute impunité. Elle aussi, il la tuerait de ses Crocs. Il voulait lui arracher la gorge. Il sourit en songeant aux balafres qu'il avait infligés à Sageeth. Quelle jouissance d'avoir sentit son sang dans sa gorge. Athos sourit encore. Puis il regarda Gallya. Il hésita entre l'engueuler et la rassurer. Finalement, il songea qu'ils étaient dans une situation assez difficile comme ça. Il dit à Gallya:
" Ça m'arrache la gorge de le dire, mais je crois que Tybalt à ...raison. Si on se fait remarquer, ils nous tueront. Il n'est pas utile d'être bien futé pour le deviner. Concentre toi Gallya. Penses à ta fille. Soit forte pour elle. Nous allons trouver un moyen de nous casser d'ici. Regarde ces cages. Elles semblent bloquées par un loquet."
Athos songea à son tour à Alkaine, son apprentie. C'était une gamine forte et pleine d'entrain. Il plaçait beaucoup d'espoirs en elle.
La pièce est plus exigüe que la première, tout aussi froide et dénuée d'espoir. Des murs épais de bétons gris, des cages aux barreaux métallique, des tuyaux formant un véritable labyrinthe. Pas d'ouverture si ce n'est que cette lourde porte à hublot. Elle grince. Un son strident comme un cri provenant de l'enfer. Deux homme vêtus de blanc entre. Leurs masques toujours devant leur visage, ils s'approchent en silence. Seuls leurs pas résonnent entre ces murs. Ils n'ont pas d'armes à première vue, juste une énorme table à roulette sur laquelle trône différents tubes contenant des liquides vermeilles et diverses seringues. L'un des deux scientifiques tient fermement contre lui la petite planchette de bois sur laquelle il griffonne régulièrement. Le crayon gratte la feuille dans un son particulier qui lui est propre.
Chacun des loups présent à son importance capitale. Les deux hommes semble communiquer entre eux. Ils échangent. Ils se regardent. D'un hochement de tête commun ils se dirigent vers la première cage.
Secteur de quarantaine, Jour 2.
Après observations des sujets isolés, les scientifiques ont remarqué leur dégradation de santé. Ils ont passé leur temps à aller et venir pour les regarder sans un mot. Répertorier les symptômes étaient la première étape. Ils cherchent encore. Leurs masques inexpressifs n'ont rien de rassurant, l'angoisse est palpable. Néanmoins, les loups présents manquent de force et sont de plus en plus diminués. Il est temps d'agir. Il est temps de les soulager.
Delirium Tremens , son état étant le plus inquiétant, il est le premier à être visité par les deux scientifiques qui pénètrent la cage. Le loup ne semble pas réagir. Ils s'accroupissent. Prennent quelques notes. L'un d'eux sort de la cage, s'empare d'une énorme seringue contenant un liquide jaunâtre. L'aiguille loin d'être fine, s'enfonce dans le cou du loup inerte. Rien de plus rien de moins. Les deux scientifique sortent de la cage pour la refermer soigneusement. Pas de précautions particulières prisent au vue de son inconscience.
Près de la table à roulette les deux fantômes semant la peur et l'angoisse, se concertent à nouveau. Ils n'ont pas l'air d'accord. L'un d'eux s'approche de la cellule d'Athos, agité par ces délires, des mesures sont prisent pour le calmer. Un petit pistolet pointé dessus au travers des barreaux, un cliquetis sec et une fléchette tranquillisante. Effet presque immédiat. L'animal se détend, demeurant incapable de remuer tellement la force lui manque. Il est maintenu au sol par une main de fer visant à minimiser toutes tentatives de résistance. Le second semeur de mort se joint à eux dans l'étroite cage pour injecter le sérum violacé dans le cou de ce loup combatif. Après avoir mit de quoi manger et boire à sa disposition, après l'avoir enchaîné à sa cellule aux quatre pattes, ils s'éloignent en vérifiant que tout est bien fermé.
Quand à la petite louve blanche. Docile d'apparence. Les deux scientifiques optent pour une autre méthode d'injection. A distance. Désireux de lui épargner un sédatif et méfiant quand à ces possibles réactions, ils sortent le fusil et y glissent la seringue. Gallya ne devrait pas trop souffrir avec cette méthode, une piqûre rien de plus. Elle serait assez grande pour retirer la seringue. Il la vise. Elle reste immobile couchée au fond de sa prison. Le coup part et le liquide ocre se déploie en elle. Elle le sent se diffuser par une légère chaleur. Nourrit et abreuvé, les scientifiques la laissent en paix.
Quand à Hybride, elle demeure ici. Rien de plus. Rien de moins. Elle est elle aussi nourrit et abreuvée. Ce que les scientifiques nomme le témoin zéro, ne semble pas les intéresser pour le moment.
Délirium Tremens a reçut une injection diminuant les effets de l'épidémie, il recouvre le second pallier. Néanmoins, le sérum n'étant pas encore au point il est plongé dans un profond coma dont il ne peut se réveiller pour le moment. Sa santé monte d'un cran. Athos est quand à lui stabilisé au second pallier et en proie à de profond délires et illusion. Il ne discerne plus la réalité et vit dans ces songes refoulés. Attaché par précaution pour limiter les agitations dues à sa folie. Sa santé monte d'un cran. Gallya est prise de tremblement musculaire très douloureux, forte fièvre. État de faiblesse. Pas d'amélioration concernant l'épidémie mais cela n'empire pas non plus pour le moment. Sa santé monte d'un cran. Hybride étant le témoin zéro. Elle est seulement en séjour d'observation.
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Athos
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Il n'avait plus rien compris sur le moment. Il n'avait rien senti non plus. Il se sentait vidé de toute vie et de tout sens. Il s'était réveillé doucement; après une nuit terriblement douloureuse. Pas pour son corps mais pour son esprit. Il avait délire toute la nuit, de tout et de rien, vraiment il était perdu. Il essayait de regarder autour; il commença se lever, la bouche pâteuse. Mais que se passait il?
Les Hommes faisaient des choses bizarres que le loup ne comprenait pas. Il regarda autour de lui, cherchant quelqu'un du regard. Il ne savait pas qui il cherchait. Mais il cherchait.
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Mer 2 Déc - 19:21
Perdre espoir
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Gallya fixait Athos. Bien tranquillement dans sa cage. Oh certes, elle n'oubliait pas les loups qu'elle laissait derrière elle. Bien au contraire. Que penserait-il, s'il s'avait qu'elle pensait déjà à de nombreuses façons de pouvoir s'échapper en douce ? La première avait été de se faire passer pour morte. Mais fallait-il croire que les bipèdes ne se laissaient pas duper si facilement. S'approchant d'une des gamelles, elle lapa l'eau en continuant de fixer son camarade Sekmet.
Sa seconde idée était bien plus risquée. Mais non des moins audacieuses. Chercher à s'approcher des humains. Rester gentils avec eux. C'était déjà payant, en somme, étant donné qu'ils avaient, semble-t-il, fait de leur mieux pour ne pas lui faire de mal. Et ils avaient plutôt bien réussit. Quoi qu'il en soit. Eux ne lui faisaient pas de mal. Mais son corps lui, hurlait à tout rompre. Elle tâchait simplement de ne rien montrer aux autres. Même si, malgré elle, quelques mimiques des si nombreuses douleurs que chaque muscle de son être lui provoquaient, se laissaient voir, elle cherchait à garder la tête haute, en digne compagne du Prince.
Redressant la tête, elle offrit un regard doux, à son camarade de meute.
- Oh mais tu sais. Je n'oublis jamais. Je ne perd jamais espoir. Il faudrait m'arracher la vie, pour que j'arrête d'espérer. Je compte bien sortir d'ici. Et le plus vite sera le mieux. Comme tu le fais si bien remarquer, je laisse beaucoup trop de choses derrières moi.
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Ven 4 Déc - 19:01
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Hommes et Prisonniers✧ Athos
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Athos allait un peu mieux, les maux des têtes se calmaient et il n'avait plus aucun saignement, ses plaies semblaient se refermer à merveille, même si ce n'était pas vraiment cela qui le préoccupait. Il semblait bel et bien qu'il avait été contaminé à son tour. Quel idiot de s'être cru invincible, bien trop fort pour être abattu par une simple et stupide maladie! C'est toujours comme ça! On se croit loin du pire jusqu'à ce que cela nous arrive. Pourtant, il allait mieux, et il savait pourquoi. Les Hommes. Ils l'avaient guéri, du moins en partie. Il avait encore quelques délires, mais son état de santé s'était grandement amélioré et il le savait.
Gallya, après un petit moment de silence, avait répondu à ses paroles d'une manière très calme qui avait étonné Athos. Pourtant, lorsqu'ils étaient avec les autres, Gallya semblait presque perdre la tête de se retrouver loin de celui qu'elle aime. Mais là, elle avait l'air revigoré, elle semblait avoir repris du courage si bien qu'on aurait dit qu'elle était vraiment forte, ce qu'il n'avait jamais vu d'elle jusque là. Dans la meute, il la voyait toujours comme une louve un peu précieuse, qui voit la vie en rose et qui s'accroche à la patte de son amant sans arrêt. Bref, le genre de filles qu'il n'aimerait pas avoir dans sa tanière. Et, même si elle ne l'intéressait toujours pas physiquement, il percevait à présent sa mentalité différemment. Il commençait à avoir de l'estime pour elle. Et venant d'Athos, ce n'était pas courant. Il n'y avait que quelques personnes qu'il estimait vraiment, qu'on pouvait compter sur les griffes de la patte.
Il rigola un peu à ses paroles, parce qu'on aurait presque dit une scène toute jouée; où l’héroïne s'apprête à donner des coups de pattes dans les barreaux jusqu'à ce qu'elle explose. C'était drôle, mais il ne fallait pas s'arrêter là, il fallait sortir. Les cages n'étaient pas toutes fermées par des cadenas, mais les cadenas ne sont pas indestructibles. Seulement, ce ne sont pas avec leurs malheureux crocs et griffes qu'ils feraient quoi que ce soit. Peut être qu'en balançant la cage?
"Regarde autour de nous, j'ai l'impression que les cadenas sont trop solides pour les briser, et nos cages ne sont pas toutes fermées avec des loquets qui sont déjà plus faciles à ouvrir, il suffirait de pousser doucement du museau ces derniers. Mais cela pourrait prendre du temps et il faut faire vite et sans trop de bruit. Peut être qu'en forcant à deux sur le même barreaux, vu que nos cages sont mitoyennes? Ou alors même essayer de faire pencher ma cage puisqu'il n'y en a aucune de mon côté?"
Aussitôt dis, aussitôt fait, après avoir regardé brièvement le loquet, et il tenta de l'ouvrir doucement avec son museau. Plusieurs fois, il échoua, mais pourtant un moment il crut presque y arriver mais le petit cran de sécurité impliquait qu'on y mette plus de force, ce qui était difficile dans sa position. Les barreaux? Plutôt solides, mais ça pourrait être jouable... Faire pencher la cage était la meilleure solution. Les barreaux ne semblaient pas enfoncés dans ce tapis gris et dur qui recouvrait le sol. Peut être qu'en appuyant dans le même sens, avec leurs forces combinées... Il voulait tout essayer, tout imaginer, tout plutôt que de moisir ici. Et discrètement avec les Hommes ne s'en rendent compte. Sans bruit, sans rien casser. Il fallait faire attention. Athos était téméraire, mais pas stupide. Même s'il n'avait jamais vraiment été confronté à eux, il se doutait très bien qu'ils pouvaient se transformer du meilleur bienfaiteur ou pire malfaiteur...
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Ven 4 Déc - 20:45
Perdre espoir
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La louve blanche avait gardé son regard encré sur Athos, tandis qu'il parlait, elle ne pouvait que l'écouter. Au fond, l'idée du mâle n'était pas si stupide, mais la louve immaculée n'aurait jamais réussit à trouver la force nécessaire afin de faire flancher ne serait-ce qu'un seul côté de sa cage, alors la faire se renverser c'était perdu d'avance.
Le visage crispé de douleur, elle regardait son compagnon d'emprisonnement s'acharner sur sa cage, tentant chaque idée qu'il avait. C'était audacieux, elle devait se l'avouer, mais il allait s'épuiser, et des forces, ils en avaient besoin, dans leur condition. Elle ferma les yeux, prise de tremblement. La douleur se faisait de plus en plus forte, jusqu'à ce qu'elle mâchouille quelques mises en garde à son ami.
- Athos... calme toi je... je ne me sens réellement pas bien... Garde ton calme ... au cas où ... les humains reviennent ...
A peine ces quelques paroles terminées, la louve se mit à tousser. Comme si ses poumons cherchaient à fuir son corps. Flanchant, ses deux pattes avant n’arrivèrent pas à la garder dresser au dessus du sol lors de sa crise de toux. Une fois celle-ci passée, elle redressa le museau, les yeux fatigués. La fourrure autour de sa gueule, d'ordinaire si blanche, avait laissé place à de nombreuses tâches écarlates... Ainsi qu'une flaque de sang au sol.
- Ils faut... qu'on sorte d'ici ... profite de mon état... s'ils n’emmènent ... tu pourras essayer tes idées pour t'enfuir Athos... Fais profil bas et... agis dans l'ombre. Si on ne peut pas tous fuir ... sois celui qui le fasse. Pour prévenir les autres...
Son regard trahissait sa douleur. Et une pointe de peur. Mais il flambait aussi de détermination. Elle savait très bien que, si elle sortait d'ici, elle périrait rapidement. D'ailleurs, elle n'était pas du tout dans l'état de sortir. De bouger... Cherchant à se redresser, elle lâcha un grondement en s'écrasant à nouveau au sol. Râlant.
- Quel ... déshonneur de ... me montrer si faible... S'en est rageant...
Les jours passent et se ressemble. Les scientifiques entrent prenne des prélèvements de sang et injectent aux prisonniers diverses substances. Les résultats sont notoires, différents et variables selon le spécimen. Mais ils reviennent toujours et encore. Eux les fantômes de la mort, une ombre parmi les autres prêtes à vous tuer au moindre écart. Ils se font cependant moins violent. Vous êtes nourrit et abreuvé convenablement. Les règles sont respectés et chacun devrait s'en sortir. Oui. Chacun devrait trouver son compte dans ce lot d'expérience. Le but, vous ne le connaissez pas mais il y en a bien un. Vous n'êtes que des cobaye dont la perte ou la souffrance n'est pas un soucis pour ces hommes masqués. De la marchandise gratuite pour tester ce qui les intéresse sans éprouver le moindre remord. Du bétail de laboratoire.
Secteur de quarantaine, Jour 11.
Les hommes arrivent. Vous les entendez de loin. Ils sont plusieurs. Toujours vêtu de cette étrange façon, ils ont en leur possession plusieurs seringue identique. La première fois qu'elle le sont. Un des hommes continu de prendre des notes, griffonnant rapidement. Ils se préparent à vous injecter à chacun ce liquide. Muni d'un fusil à fléchette qu'on utilise généralement pour endormir les bêtes sauvages, ils s'apprêtent à faire feu.
La jeune louve dont l'état s'est détérioré, reçoit la première seringue à distance. La louve plutôt calme et docile, est la cible la plus facile pour le coup. Une sorte de récompense pour sa sagesse. Elle est en mauvaise posture. Faible. Fatiguée. Les hommes lui offre de la nourriture supplémentaire et de l'eau dans l'espoir qu'elle récupère.
Athos, le loup le moins calme pour le moment est visé sans être prévenu. Profitant que son attention soit focalisé sur autre chose pour lui injecter le sérum. Une détonation. La fléchette se plante dans son train arrière et il est déjà trop tard pour qu'il réagisse. L'injection est faites.
Les deux autres loups reçoivent cette même injection. Rapide. Une fois les cadenas, serrures vérifiées de toutes les cages, les hommes se retirent. Silencieux.
Secteur de quarantaine, Jour 15.
Les loups vont mieux. Tous. Sans exceptions. Le dernier sérum injecté semble avoir neutralisé l'infection dont ils étaient victimes. Ils ont pu récupérer, reprendre des forces, retrouver l'appétit. Visiblement hors de danger, les hommes ont décidé de les déplacer. Ils vont retrouver les autres loups avec lesquelles on les avait enfermé au départ. Lors de ce transfert, les cages roulant bruyamment dans les couloirs. Ils passèrent devant une porte entre-ouverte où ils virent deux loups en cage. Deux loups ne faisant pas partis de la première prise. Vous passez rapidement mais leur odeur est bien présente. La porte claque se refermant brusquement...
Délirium Tremens, Athos et Gallya ont reçut une injection les guérissant de leur état. La maladie n'est plus. Ils sont hors de danger. Hybride étant le témoin zéro. Elle est reçoit l'injection en guise de vaccin, les effets n'étant pas encore viable concernant le vaccin et n'ayant pu être observé, personne n'en connait l'efficacité ou non. Les quatre loups sont transférés vers le sujet initial, sur le chemin ils aperçoivent deux autres loups et les sentent, Eesia et Zwey.
Un silence de mort planait quand j'ouvrit les yeux. Ou étais-je ?... Cet endroit ne ressemblait guère à ma tanière dans le camp Esobek... Et alors, je me souvient. Je me trouvais dans un lieu d'homme, et avant de me réveiller ici j'étais dans un autre endroit ou les hommes m'avais tirer dessus. Est-ce l'enfer ? Non, je suis bien consciente. Je découvre une gamelle avec de la nourriture d'homme dedans. Je suis dégoûtée, mais je doit manger quelque chose. Je goûte. Répugnant. Je me force à avaler et je bois un peu pour passer le goût. Puis je me rendort.
Les jours passaient et se ressemblaient. Les hommes venaient régulièrement. Dès que je les voyais, je grognait et reculais. Près de moi, deux loups parlaient. Mais aujourd'hui, les hommes firent rouler les cages pour nous déplacer. C'est pas trop tôt ! Seulement, une odeur familière attira mon attention. Trop familière, même...
- Zwey !
Je me mis à gémir. Pourquoi ces hommes avaient capturés Zwey ? Ils faisaient des piqûres bizarre et en plus ils emprisonnaient d'autre loups ? Je grogna sur l'homme qui poussait la cage. Je dis la, car elle n'est pas mienne. Vivre là-dedans me dégoûte déjà beaucoup. Nous reprenons les places d'avant. Minuit ! Cela fait longtemps que je ne l'ai pas vu. Mais combien de temps ? Et comment lui expliquer qu'un de nos camarade s'est fait capturé ? Je rentre ma tête, attrister. Je devrais trouver la force de lui dire. Mais pas maintenant.