Souffle acide du vent, larmes brulantes du ciel. Le monde ne ressemble plus aux paysages d'autrefois. Les cataclysmes ont frappé, des colonnes de flammes et de fumées se sont élevées sur l'horizon. La guerre. La guerre des hommes. Et nous, les loups n'avons eu d'autres choix que de fuir. Nombreux furent nos congénères emportés. Nous traversâmes les plaines cabossées, les forêts de cendres, poursuivis par la faim, traqués par la mort.
Notre salut, nous le devions malheureusement à ceux qui avaient provoqué notre malheur.
Ce jour-là, trois scientifiques entrèrent dans le long couloir sombre où les cages des loups sont entreposés. Chacun d'entre eux se placèrent devant une cage, du côté des mâles. Avant d'ouvrir les cages, les Hommes vêtus d'une combinaison et d'un masque, firent passer un bâton où se trouve une corde en boucle au bout et passèrent cette boucle autour du cou des loups. Les maintenant contre les barreaux, ils éjectèrent une puissante drogue à l'aide de leur seringue dans le sang des trois loups : Palladium, Daante et Tybalt. Attendant que la drogue fasse son effet, ils ouvrirent les cages avec précaution et, passèrent une muselière à la gueule des trois prédateurs avant de les faire sortir de force. Maintenant part la corde accroché au bâton, ils amenèrent les trois loups blessés dans une autre pièce …
Arrivant dans le bloc, chacun des trois scientifiques prirent place devant une table, faisant grimper les loups dessus avant de les immobiliser, couché. Une sangle les maintenant au niveau de la gorge, une autre au niveau du ventre.
Le scientifique s'occupant de Palladium lui retire sa muselière avant de l'inspecter, lui relevant les babines pour observer sa dentition et ses gencives avant de prendre note. Ouvrant grand l’œil du Sekmet, il passa une petite lampe devant avant de l'éteindre. Se tournant vers une petite table blanche près de lui, il saisit quelques ustensile avant de s'intéresser à l'épaule meurtrie du mâle. Nettoyant et désinfectant sa blessure, le scientifique injecta un autre liquide dans le sang de Palladium.
Du côté de Daante, le scientifique ausculte également le loup, lui retirant la muselière pour vérifiant dentition, oreilles et yeux avant de prendre des notes. Partant près d'une petite table blanche, il revient avec divers produits et ustensile et commence à soigner le flanc du loup noir.
Le scientifique s'occupant de Tybalt prend plus de précaution et, lui laisse sa muselière, lui injectant un tranquillisant pour le maintenir tranquille. S'occupe de ses blessures près des yeux, il applique un produit ayant pour effet de piquer mais, servent à désinfecter. Avec précaution, il retire la sangle qui maintient la gorge du loup tricolore pour avoir un meilleur accès à ses blessures au niveau de la tête eu du cou …
Vous êtes actuellement drogué. Vous ne pouvez pas bouger ou seulement légèrement mais, êtes conscient de ce qu'il se passe autour de vous. Tybalt, tu as été doublement drogué et ne peut en aucun cas bouger pour le moment. Les soins effectués par les scientifiques vous font gagner un niveau de santé.
––––––––––––––––––
Pas d'ordre de passage.
Participants : Palladium ; Daante ; Tybalt
Tybalt
Mange Lumière
Fiche de personnage force: (105/100) agilité: (105/100) endurance: (105/100)
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Points :
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Âge Personnage :
8 ans
Rang :
Guerrier
Niveau Rang :
Leader
Maladie :
Blessure :
Détails blessures :
Pas de Blessure
Détails maladie :
Pas de Symptôme
Bonus Force :
+4
Bonus Agilité :
+4
Bonus Endurance :
+4
Bonus score de chasse :
Score de chasse : +8
Nombre de lancers quotidien :
Nombre de Chasse : 6
Bonus Santé :
Bonus Santé : 0
Bonus/Malus Autres :
BONUS COMBAT (Trait de faction)
– Réduit la gravité des Blessures reçues
– Augmente la gravité des Blessures de l'adversaire
BONUS CHASSE (Trait de faction)
– 2 proies au lieu d'une seule lors d'un 18 au dé
– 1 Lancer de dé de chasse supplémentaire
– +3 aux résultats du dé de chasse
Compétence d'élite :
Sam 7 Nov - 2:31
L'ange de la mort
Force: 100 Agilité: 100 Endurance: 100
Il dormait quand quelque chose passa autour de son coup. Les yeux du loup s'ouvrirent grandement, il poussa un grognement. Il fut plaquer contre les barreaux quand une chose vint piquer sa chaire. Il sentit un liquide déferler dans son sang. Il sentit ses membres alors subitement s'engourdir. Il fut vulgairement traîner de sa cage. Aussi dur que cela soit il devait obéir. Pour ne pas mourir. Obéir tant qu'on ne lui faisait pas de mal. Il suivit l'homme de noir tant bien que mal. A ses cotés deux loups: Daante et Palladium. Décidément ce dernier ne l'accompagnait que dans les pires moments. Une fois tandis qu'il avaient manquer de crevé, une fois à une guerre, une fois à une autre et aujourd'hui ici. Où allaient-il? Qu-y avait-il derrière ces portes d'où venaient les hommes? Allaient-il mourir ou être sombré dans l'enfers de l'arène une deuxième fois. Non il n'avait pas envie, il avait trop de blessure pour se battre, il allait mourir. Il pris appuie sur ses quatre pattes en refusant d'avancer, mais l'homme tira, une fois, deux fois. Ce fil fin lui faisait mal au cou. Alors grognant, il avança. Les portes s'ouvrirent; Une lumière éblouissante d'abords le força à plisser les yeux mais bientôt il finis par s'y habituer. On l'attira prêt d'une table. Ce lieu puait la mort et une odeur étrange qu'il ne pouvait pas définir. On le porta avec difficulté et le posa sur une table avant d'élever celle-ci. On l'attacha à des sangles. Il montra les crocs et laissa échapper un puissant grondement. Il était attacher, il ne supportait pas ça, il ne pouvait plus bouger alors qu'il y avait du danger autour. Il commença à remuer brutalement en faisant claquer ses mâchoires autant que lui permettait sa muselière. L'homme pris une seringue, Tybalt la fixa avec effroi. Cette chose était un véritable poison! ça les piquait, ça leur injectait quelque chose dans le sang. Il tenta de le mordre, rien. C'était horrible, un cauchemars bien plus atroce que celui de l'arène car ici il ne semblait avoir aucun échappatoire. Aucun. Il avait espoir au début, mais maintenant il allait peu être crevé et il ne pouvait pas bouger ni se défendre et la panique monta en lui. Il sentit la seringue se planter dans sa chair. Il poussa un grondement puissant mélange de rage et d'angoisse. Mais bientôt tout son corps ne voulut plus lui répondre. Le mouvement frénétique de son corps ralentis, le bruit des sangles qui le retenait fermement et de la table qui se secouait diminua. Bientôt il ne bougea plus, il ne pouvait plus bouger. Il observa l'homme verser du produit sur une chose blanche avant de le déposer prêt de ses yeux, il poussa un grondement sourd. Ça piquait, il n'aimait pas ça, il ne pouvait pas bouger. Puis on détacha sa sangle au niveau du cou, mais il n'était toujours pas libre de ses mouvements. Son oeil droit, condamner à voir flou à vie suivit du regards l'homme vêtue de noir.
Un jour de plus dans ce sordide décor de cauchemar. Ce décor dont on ne sait pas s'il est réellement notre prison ou si ce sont nos esprits qui nous retiennent prisonniers. Prisonniers de la peur, prisonniers de nos espoirs, de nos cauchemars. Une chose était néanmoins sure, nous étions bel et bien prisonniers. Dans ce lieu, nulle lumière naturelle. Point de soleil, point de lune, point de vent, point de beauté seulement de la crasse et l'horreur. Je suis un épicurien j'ai toujours aimé les belles choses qu'il s'agisse de louves ou de paysages alors autant vous dire que cette prison me tapait sur les nerfs et sapait lentement mais surement ma résistance psychologique. Qu'est ce qu'aime le plus mon espèce ? Je dirais la liberté et les grands espaces. Nous ne sommes pas de vulgaires clébards. La liberté coule dans nos gènes et ce lieu n'était pas qu'une privation de liberté. Il était bien plus que cela. Bien pire que cela. Malgré ce terrible constat, les mots de Tybalt ne cessaient de tourner en boucle dans mon esprit et me permettais de tenir. Ca et le souvenir des miens et des Navniks qui m'avaient accueillis en leur sein sans me juger pour mon passé sanglant et trouble. Bon, je ne l'avais pas gueulé sur tout les toits non plus mais Djall n'avait pas été reboutée par mon histoire. C'était un bon indicateur à mes yeux. Je remerciais silencieusement l'ami de mon frère de m'aider à tenir. Notre alpha semblait complètement hors de lui à cause de la situation mais que pouvions nous faire à part attendre sans attirer l'attention. Un jour peut être, l'occasion se présenterait. Ou alors, les autres finiraient par nous retrouver. Je ne mourrais pas ici, j'en étais intimement persuadé. Quand on a déjà traversé un enfer. En traverser un autre est certes toujours aussi désagréable mais bien moins éprouvant.
Mais rien ne se passa comme d'habitude en ce jour particulièrement lugubre ou tout le monde se la fermait. Les hommes masqués ou les spectres comme j'ai pris l'habitude de les surnommer arrivèrent par trois. Sombre trinité qui était là pour nous. Mais lesquels d'entre nous ? Ils injectèrent des choses au Sekmet qu'avait connu Ebène puis dans Tybalt avant de réitérer l'opération sur ma personne. Je voulus protester, leur dire de dégager ou d'aller martyriser quelqu'un d'autre mais trop tard. Tout en me maintenant contre les barreaux, la seringue se ficha dans mon corps meurtri. La substance fit bien vite effet et mes membres s'engourdirent. Le peu de force qu'il me restait m'abandonnèrent et je fus incapable de résister à nos geôliers. Ils attachèrent des bâtons à nos colliers et nous trainèrent jusqu'aux portes de l'enfer. Le fond de la pièce celle la même par laquelle ils émergent inlassablement chaque jour. Cette fois, je m'animai. Non ! Non, je ne peux pas les suivre. Je ne veux pas mourir. Une peur de l'inconnu et une résistance bien futile puisque comme les autres je fus emmené dans une pièce étrange. Les spectres nous firent grimper sur des tables sur lesquelles ils nous sanglèrent solidement afin de nous emprisonner. J'essaye de jeter un coup d'œil à mon frère de meute mais je ne peux absolument pas bouger. Alors, j'abandonne car cela ne fait aucun doute que l'on nous a emmené ici pour nous torturer avant de nous tuer. Mais, tandis que mon rythme cardiaque s'accélère à l'approche du bipède masqué. Je me rends compte que ma mort n'est pas pour l'immédiat alors je retrouve peu à peu mon calme.
Le spectre retira ma muselière et observa mes crocs, je fus tenté de lui bouffer la main là tout de suite mais la vérité c'est que je n'en avais ni la force ni la latitude alors je le laisse m'occulter sous toutes les coutures. Après ma dentition, le masqué s'intéressa au reste de mon visage. Une attitude bien médicale que celle ci, j'aurais pu prendre la même pour vérifier la santé d'un membre de ma meute. Le spectre fit des mouvements sur son objet inoffensif avant de reporter son attention sur moi. Soudain, je sens que le masqué s'occupe de mon flanc ensanglanté. Je ne sais absolument pas ce qu'il fait mais je m'en moque. Je ferme les yeux dans l'espoir de quitter cet endroit mais quand je les ouvre de nouveau. Je suis toujours cloué sur cette table alors j'attends impassible.
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Jeu 12 Nov - 18:56
“ things are going worst „
[EVENT] Laboratoire
F. 100 | A. 100 | E. 100
On les avait piqués, sortis, emmenés de force dans une salle où des néons blafards diffusaient une lumière fantomatique sur les trois loups qu’ils avaient « sélectionnés ». Pourquoi eux ? Palladium baignait dans un bain de surdité où tout se brouillait : il entendait à peine les bruits, pouvait à peine ressentir les différentes sensations que lui procurait le toucher des pattes des scientifiques sur sa fourrure. Ce n’était pas une sensation désagréable, mais il était trop ailleurs pour pouvoir réellement l’apprécier. On le hissa sur une surface lisse et froide, et on l’y fixa à l’aide de grandes sangles, trop solides pour être brisées. De toute façon, il était bien trop faible et trop amorphe pour se débattre. Que diable avait-on bien pu lui injecter ?! On lui avait cloué la gueule grâce à une de ces cages pour museaux, le réduisant le plus totalement à l’état de légume. Lorsque le fantôme s’approcha de lui, Palladium eut un mouvement de recul, mais bien que l’ordre envoyé par son cerveau fût clair, aucun de ses membres ne répondit. Ils demeuraient obstinément figés dans une posture plutôt humiliante, sur cette table froide. Allait-on réellement le buter comme ça, sans qu’il ait pu même faire au moins semblant de se défendre ? Il voulu gronder, mais aucun son ne sortit de sa gorge qui était comme embourbée dans des kilos de vase. Il demeurait donc là, l’œil fixe et hagard, contemplant impuissamment ce que ce monstre allait faire de lui. Il ne regardait que lui, ne faisant pas attention au Navnik, ni à Tybalt qui subissaient probablement le même traitement sur les tables voisines.
Ses doigts sales s’immiscèrent dans sa gueule, lui relevant les babines dans un rictus humiliant. Cette main si proche de lui, qu’il aurait pu trancher d’un coup de dents, c’était tellement frustrant. Il lui aurait suffit d’ouvrir la gueule. Mais il ne pouvait pas, il était totalement paralysé. Ensuite, il attrapa l’une de ses paupières et une lumière blanche l’aveugla soudainement. C’était pire que s’il avait regardé le soleil en pleine face. La lumière ne tarda pas à s’éteindre, et Palladium lança – ou crut lancer ? – un regard mauvais à son bourreau. Qu’allait-il faire ensuite ? Il s’approcha de sa blessure à l’épaule, et à nouveau le cerveau de Palladium hurla à son corps de s’éloigner de cette menace ambulante, mais rien ne se passa. Il sentit qu’on tripotait ses chairs à vif, mais étrangement cela ne lui procurait aucune douleur : simplement la sensation étrange qu’on vous charcute sans pour autant avoir mal. On le piqua à nouveau, sensation de ce dard qui s’enfonce dans sa peau puis… plus rien. On se désintéressa de sa petite personne, subitement. Pourquoi faisait-il tout ça ? Que lui avait-on volé ? Du sang, des muscles, de la chair ? Palladium était incapable de comprendre ce qu’il se passait, et ce que ces Bipèdes lui voulaient.
Après vous avoir soigné, les trois scientifiques se réunirent pour parler entre eux dans ce jargon incompréhensible à vos oreilles. De quoi parlent-ils ? Que vous ont-ils fait ? Vous ont-ils soignés ? Mais pourquoi ? Ils lancent par moment un regard dans votre direction avant de se remettre à parler entre eux puis, ils prirent chacun quelque chose sur une table. Une aiguille ainsi que quelques petits flacons qu'ils firent glisser dans leur poche. Chacun reprend place face à vous et plante l'aiguille dans votre chaire après avoir cherché une veine. Installant le flacon ensuite, ils vous prélèvent du sang. Un flacon, deux flacons, trois … Ils rangèrent le tout, retirent leur aiguille en exerçant une légère pression à l'endroit où vous avez été piqué puis, au bout de quelques petites minutes, se reculent. Les trois bipèdes parlent de nouveau entre eux et donnèrent tous les flacons à l'un des trois Hommes en blanc qui quitta la pièce.
Les deux scientifiques continuent de parler, prenant en main les blocs sur lequel ils ont griffonné des choses en vous auscultant. Donnant tout au second Homme blanc, celui-ci quitta la pièce à son tour, laissant seul le dernier scientifique.
Ce dernier s'approche de Tybalt, s'assurant que le loup soit encore bien drogué et resserrant davantage sa muselière, plus rien n'entravant sa gorge hormis la sangle au niveau de son ventre. Il s'approche ensuite de Daante dont la muselière avait été retiré et l'observe un moment. Il passa ensuite vers son propre patient, Palladium. Nul muselière sur sa gueule, l'Homme s'assure de l'état du loup mais, également, regarde si les sangles sont bien attaché avant de reculer pour s'installer sur un petit bureau présent, laissant tranquille les trois captifs en attendant ses collègues …
Tybalt, la drogue fait toujours effet dans ton organisme. Ta muselière a été resserré mais la sangle autour de ton cou a été détaché. Celle de ton ventre te maintient bien. Daante, la drogue fait toujours effet mais se dissipe tout doucement. Tu n'as plus de muselière et, visiblement, la sangle qui serre ton cou a été mal vérifié. Celle de ton ventre te maintient bien. Palladium, la drogue fait toujours effet mais se dissipe tout doucement. Tu n'as plus de muselière mais tu es toujours bien maintenu par la sangle au niveau de ton cou et de ton ventre.
–––––––––––––––––– Pas d'ordre de passage.
Participants : Palladium ; Daante ; Tybalt
Tybalt
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Compétence d'élite :
Lun 16 Nov - 18:24
L'ange de la mort
Force: 105 | Agilité: 105 | Endurance: 105
Ils le laissèrent enfin. Au yeux du guerrier Navnik ce fut le moment parfait pour se relever d'une traite et partir. L'autre monta au cerveau, ses muscles se crispèrent mais son corps ne bougea pas d'un poil. Que ce passait-il? QU'es qu'ils lui avait foutus dans le sang bordel? Il tenta de grogner mais aucun son ne sortirent de sa gorge? Il tenta par tout les moyens de bouger mais rien. Rien. voilà, ça ne servait à rien. Les yeux légèrement clos le mâle observa les humains discuter plus loin entre eux. Il ne rêvait que d'arracher leur foutue langue pour que plus aucun son ne sortent de leur bouche si ce n'était que celui de cris étouffés par le sang. L'homme de tout à l'heure s'approcha à nouveau. Il sorti trois flacons distincts. Me touche pas avec tes salles pattes dégueulasses. Tenta t-il d'articuler, mais à nouveau sa bouche resta cloué. Les aiguilles se plantèrent dans sa chaire puis dans se veines. Tybalt vit son sang se faire drainer pour remplir un par un les flacons. Puis l'homme se détourna après avoir appuyer l'espace de quelques minutes sur l'emplacement de la prise de sang. Qu'allait-il foutre avec ce liquide? Peu-être qu'au fond Tybalt ne voulait pas savoir. Ils quittèrent la pièce, tous sauf un. Celui-ci s'approcha de lui. Reculer. Tel fut l'ordre mais pas de réponse. Alors il ne bougea pas, se contentant de suivre du regards tandis que l'humain resserrait d'avantage sa muselière, ça faisait mal c'te merde bordel. La sangle de son cou détacher il lui paraissait plus facile de respirer. Mais il ne pouvait toujours rien faire, cloué à cette fichu table. C'était horrible de se sentir aussi impuissant. Rectification, il était impuissant. Il lui était impossible de bouger, de se débattre, de parler, de tourner la tête, de remuer la queue. Rien, il ne pouvait absolument rien faire. Bordel, c'était lâche de faire ça, de ne pas laisser une seul chance à l'autre de s'en sortir...Enfin après de tel pensé venant de lui...ça ne tenait pas la route. N'était-il pas le loup qu'i s'attaquait aux louveteaux sans aucune raison et impunément qui plus est? Si, si. Celui qui s'attaquait à des loups bien moins forts que lui, malades ou vieux ou encore handicapé. Oui. Mais il s'attaquer bien à plus fort que lui ou à niveau égale alors ça équilibrait la chose non? Enfin au fond qu'es qui nous donne le droit de tuer? Question bien philosophique...Mais c'était pas l'heure. Toute la souffrance du monde viens de l'incompétence de chaque individu, et bien là ça venait d'un putain de Navnik qui les avait trahit. Mais surtout des Esobeks, des Sekmets et des Mercenaires pour les avoir attaquer! Sales bâtards. Bande d'incapables. Il ne rêvait que de se faire les crocs sur leur trachée, leur arracher la peau. Mais au finale, quedal, il pouvait pas bouger. Alors impuissant il décida d'attendre, il n'avait pas le choix de toute manière.
GALLINEA (c)
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Dim 22 Nov - 22:24
Force : 64 Endurance : 59 Endurance : 52
Une fois leur manège terminé, les trois spectres se rassemblèrent et se mirent à déblatérer. En tout cas, j'imagine que c'est ce qu'ils faisaient puisque je ne comprenais pas le moindre son sortant de leur masques nacrés. Je supposais qu'ils parlaient de nous. Logique après tout de nous emmener ici et de parler de nous après nous avoir traité comme des spécimens à étudier, des bêtes de foire. Non, ils n'allaient pas nous emmener ici pour parler de leurs foutus masques absolument abominables. Quoi que avec les bipèdes, on ne sait jamais à quoi s'attendre. Ouais, ils sont surement complètements barjos tous autant qu'ils sont. Comment expliquez vous le chaos que représente le monde extérieur sans la folie des hommes. Enfin bref, ce n'est pas le moment de disserter sur nos geôliers. Les spectres jettent quelques regards dans notre direction. Puis, ils approchèrent et l'un d'entre eux me planta quelque chose de pointu dans une veine. Sentant que je perdais du sang, je commence à m'agiter sur la table à laquelle j'étais sanglé mais rien n'y fait alors je laisse faire impuissant. J'entends les gouttes de sang s'écouler lentement dans les flacons de verre. Cela m'inquiète quelque peu. Pourquoi veulent ils notre sang ? Enfin, le mien et celui de Tybalt le Sekmet pouvait bien crever en se faisant vider jusqu'à la moindre goutte que je n'en aurais absolument rien secouer. Oh contraire cela embellirait ce foutu cauchemar. L'un des spectres confia les flacons à un autre qui quitta la pièce d'un pas assuré. Un deuxième bipède masqué quitta la pièce dans la foulée nous laissant ainsi sous la surveillance d'un seul masqué. Le dernier spectre s'approcha de chacun de nous et effectua diverses manipulations. Puis, il alla s'assoir un peu plus loin. Mes membres sont toujours engourdis mais je sens que je récupère peu à peu les sensations dans mes pattes. Mon museau et ma gueule sont libres de tout mouvement car je n'ai plus cette saleté de muselière. La sangle qui serre mon cou est foireuse puisque je peux remuer la gueule à peu près comme je le désire. Néanmoins, mon ventre est coincé par la dernière sangle qui elle est fermement attachée à la table. Je profite de ma liberté partielle pour faire une seule chose jeter un coup d'œil vers mon frère de meute. Il semble complètement coincé sous ses sangles et bien affecté par ce que lui ont injecté les bipèdes. Je sens pourtant sa rage et sa colère. Nul doute que le guerrier bouillonne de l'intérieur. Je cherche à attirer son attention sans attirer celle du masqué un peu plus loin. Nos regards se croisent finalement et je l'exhorte du regard à tenir bon. Nous trouverons le bon moment pour se tirer d'ici. Mais, malgré le fait que je semble plus libre de mouvement que les deux autres captifs. Je préfère ne rien tenter car je n'ai aucune chance de parvenir à m'échapper seul. Et, je ne compte pas me barrer d'ici sans les membres de la meute. Pour finir, hors de question de fournir une chance de tenter quoi que ce soit à une pourriture de Sekmet. Qu'il crève ici au fin fond de l'enfer, c'est là qu'est sa place légitime.
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Lun 23 Nov - 19:15
“ things are going worst „
[EVENT] Laboratoire
F. 100 | A. 100 | E. 100
Et voilà qu’à présent, on leur plantait des petits bâtons dans les veines. Du coin de l’œil, Palladium voyait son sang extrait de son corps pour être mis dans des petits tubes transparents. Qu’est-ce qu’Ils allaient bien pouvoir faire avec ça ? Peut-être allaient-Ils le boire ? Cette idée le fit frissonner. Et là, surprise ! Il sentit le frisson parcourir son corps, de la base de sa nuque jusqu’à celle de sa queue. Etrange. Il ne pouvait rien sentir, il ne pouvait pas bouger il y a quelques minutes à peine et voilà qu’à présent, il ressentait le frisson. Intéressant… Discrètement, il tenta de remuer une de ses pattes. Ses coussinets bougèrent faiblement, simple geste qui lui était tout simplement impossible de réaliser auparavant. Les Bipèdes fantomatiques quittèrent la pièce un à un, laissant seul l’un d’entre eux face aux trois loups sanglés. Qu’il aurait été dangereux pour lui de se trouver dans une situation pareille, en d’autres circonstances… Mais Tybalt ne pouvait pas bouger, lui non plus. Sinon, il aurait certainement fait un véritable carnage. L’Homme s’approche de lui, et Palladium retient un mouvement de recul : qui sait s’Il ne va pas encore le paralyser s’Il voit qu’il peut de nouveau bouger ! On lui a ôté la grille de métal qui obstruait ses mâchoires. Le fantôme passe, tout près de lui : il aurait pu tendre le cou et attraper un de ses membres entre ses mâchoires, mais il passe trop vite, et Palladium n’a pas le temps de réagir. De toute manière, il est plus tétanisé par la peur que par les sangles qui le maintiennent cloué à cette table. L’avantage, dans toute cette merde, c’est qu’au moins Tybalt ne lui fait plus peur. Le fantôme blanc assis dans un coin par contre, c’est encore autre chose… Palladium a arrêté de se poser des questions à Leur sujet. Ils sont bien trop mystérieux pour espérer deviner quoi que ce soit sur ce qu’Ils comptent faire d’eux. Il attend donc patiemment – du moins, en apparence – que ses sens lui reviennent pleinement. Il demeure évidemment parfaitement immobile, mimant l’attitude du loup complètement amorphe qu’il était encore quelques minutes auparavant. Il fallait qu’ils se tirent d’ici. Ou du moins, qu’il se tire d’ici. Les deux autres ? Aucun remords à les laisser dans ce sale trou. L'occasion pour se débarrasser de Tybalt était bien trop belle pour qu'il tente de le sauver.
Les bipèdes vous laissent tranquille quelques minutes avant que l'un des deux bipèdes ayant quitté la pièce ne reviennent. Celui assit sur la chaise se lève et se dirige vers son collègue. Les deux se mettent à parler entre eux tout en jetant plusieurs regards dans votre direction ou, plutôt, dans la direction de Palladium.
Les deux Hommes finissent par se rapprocher du Sekmet pour l'étudier tout en continuant de parler dans leur dialecte étrange et incompréhensible. L'Homme fraichement revenu sort alors une nouvelle seringue ainsi qu'une fiole. Perçant la fiole de son aiguille, il y aspire son contenu. Passant doucement sa main dans le pelage du prédateur, il plante l'aiguille pour y injecter un produit avant de masser la zone pour faire pénétrer davantage le liquide. Il se tourne de nouveau vers son collègue puis, repasse la corde lié à ce bâton avec lequel vous avez été tiré jusqu'ici.
Serrant le corde sur la gorge du mâle Sekmet, l'un des bipèdes retire les sangles qui maintient le loup avant de faire descendre la table. Le bipède en blanc tenant le bâton se mit à tirer dessus pour forcer Palladium à descendre de la table. Les deux Hommes continuent de parler. L'Homme tira pour forcer le loup à le suivre afin de sortir de la pièce mais, où l'amène-t-il ?
Tybalt, tu es toujours complètement shooté. Daante, la drogue fait moins effet. Palladium, l'injection qu'ils t'ont fait te permet de redescendre au premier palier de l'épidémie. Ta santé s'améliore ! La drogue fait moins effet et, te voilà désormais tenu par un morceau de corde qui serre sa gorge et un bâton se trouvant dans la main du scientifique. Le Scientifique t'amène en direction de la Quarantaine, te laisseras-tu faire ?
–––––––––––––––––– Pas d'ordre de passage.
Participants : Palladium ; Daante ; Tybalt
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Lun 30 Nov - 19:10
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[EVENT] Laboratoire
F. 100 | A. 100 | E. 100
Un des deux Bipèdes revient. Palladium suit ses moindres mouvements d’un œil méfiant, en faisant bien attention toutefois à ne pas bouger d’un centimètre. Mieux valait qu’Ils le croient encore endormi, au cas où l’occasion se présenterait de s’enfuir… Ils semblent échanger des informations, dans ce dialecte étrange qui leur est propre. Le loup brun ne les quitte pas des yeux : il a même oublié la présence des deux Navniks. Les deux sbires s’approchent soudain de lui, et quelque chose de doux passe dans sa fourrure épaisse. C’est agréable, trop agréable pour provenir directement des Bipèdes. Les Bipèdes n’infligent que la mort, la destruction et la souffrance. Puis, brutalement, quelque chose le pique, lui arrachant un sursaut qui semble cependant passer presque inaperçu. Ce qui ressemblait quelques instants plus tôt à une caresse devient soudain plus rude : le Bipède le touche avec ses pattes immondes. Puis, tout s’enchaîne très vite pour le Pantin : on lui repasse cet étrangloir atroce avec le bâton au bout, on le détache, on le fait descendre de sa table rapidement. On le tire en avant, sans vergogne. On le contraint à avancer, par lui-même. Palladium s’arrête net, pris d’un doute affreux. Que faut-il faire ? Faut-il continuer de jouer au mouton stupide et bien docile, et suivre ce Bipède, qui va certainement en finir avec lui ? Le Pantin aurait aimé lui expliquer que le plus mauvais d’eux trois, c’était certainement Tybalt, et que la bonne action aurait résidé dans le fait de le tuer lui, en premier. Mais il ne peut rien dire. Ses pattes tremblent légèrement. Il sait qu’il peut tenter de se rebeller : ses forces lui reviennent peu à peu, et ses sens également. Mais fait-il réellement le poids face à ces deux Bipèdes ? Qu’est-ce qui serait le plus sage ? Attendre, et prendre le risque qu’on le crève comme un vulgaire chien, ou tout tenter maintenant, au risque d’avancer l’issue fatidique ? Le crâne du loup brun surchauffe sous cet amas de questions, et il faut qu’il se décide rapidement. Demeurer figé de la sorte risque de fortement déplaire à ses geôliers. Alors, il cède à la pression, faisant mine de les suivre docilement. Toutefois, il titube encore un peu. Il n’est clairement pas apte à se dresser contre un Bipède, alors contre deux… Il fait quelques pas, sans broncher. Ils arrivent près de l’entrée de cette salle étrange. Va-t-on le ramener dans sa cage ? Va-t-on l’emmener à l’abattoir ? Brutalement, le loup brun se laisse choir. Son corps se heurte dans un bruit mou sur le sol lisse et froid, une légère douleur se répand dans son épaule droite. Il demeure, sur le sol, amorphe, comme sans vie. Mais à l’intérieur, son sang bouillonne, ses neurones s’activent. Il faut gagner du temps, par la ruse s’il le faut. Il lui faut une garantie, quelque chose qui lui prouve qu’on n’ira pas le tuer, pas maintenant. Faire le mort, voilà une excellente manière de gagner du temps. Il sait les Bipèdes trop intelligents pour le croire mort, mais il espérait qu’ils le penseraient trop faible, trop malade ou Dieu seul sait quoi. Qu’Ils croient ce qu’Ils veulent, tant qu’Ils ne le tuaient pas.
BY ACCIDENTALE
Tybalt
Mange Lumière
Fiche de personnage force: (105/100) agilité: (105/100) endurance: (105/100)
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Messages :
1610
Points :
6
Âge Personnage :
8 ans
Rang :
Guerrier
Niveau Rang :
Leader
Maladie :
Blessure :
Détails blessures :
Pas de Blessure
Détails maladie :
Pas de Symptôme
Bonus Force :
+4
Bonus Agilité :
+4
Bonus Endurance :
+4
Bonus score de chasse :
Score de chasse : +8
Nombre de lancers quotidien :
Nombre de Chasse : 6
Bonus Santé :
Bonus Santé : 0
Bonus/Malus Autres :
BONUS COMBAT (Trait de faction)
– Réduit la gravité des Blessures reçues
– Augmente la gravité des Blessures de l'adversaire
BONUS CHASSE (Trait de faction)
– 2 proies au lieu d'une seule lors d'un 18 au dé
– 1 Lancer de dé de chasse supplémentaire
– +3 aux résultats du dé de chasse
Compétence d'élite :
Mer 2 Déc - 13:10
L'ange de la mort.
Force: 20 | Agilité: 28 | Endurance: 22
Complétant dans les vapes Tybalt peinait de plus en plus à avoir conscience de ce qu'il se passait autour de lui. Le mâle sentait juste qu'à nouveaux les spectres étaient rentré dans la pièce et qu'il semblait s'attarder sur l'un d'entre eux. Il espérait que ce n'était pas le Navnik, il n'était pas question qu'on touche aux Navniks. Helya sa compagne allait-elle bien? Et leur enfants? Althéa, Belphegor et Ragnar'k? La dernière fois qu'il avait rencontré Bel, celui-ci avait attraper le sang des cauchemars. Parfois les couleurs ternes autour de lui se faisaient flou, parfois était-elle net. Il pouvait voir de dos le mâle tricolore, Daante c'est ça? Alors était-es Palladium le sujet de leur inspection? Un bruit mat, celui du loup qui se laisse lourdement tomber de la table. Un silence. Puis il put apercevoir du coin de l’œil le Sekmet se faire traîner en dehors de la pièce. Allait-ils le tuer? Tant mieux, il ne souhaitait que ça, que ce chien crève. Mais allait-ils s'en prendre à eux par la suite. Paf, un bruit sec. Il vis avec énormément de difficulté le corps de Palladium au sol plus loin. Les spectres avait-il arracher la vie au pantin? Peu lui importait, mais c'était la peur de subir un tel sors qui gagna son esprit. Dite ce que vous souhaitez, on as tous peur de mourir.
Lorsque Palladium s'effondre soudainement sur le sol, l'Homme s'arrête. Surpris, il se baisse vers le loup brun, passant sa main au niveau du poitrail du loup, vérifiant sa respiration ainsi que l'état de son épaule. Il jette un coup d’œil à son collègue, intrigué. Visiblement, il ne comprend pas pourquoi le Sekmet s'est ainsi effondré. L'autre Homme en blanc se rapproche à son tour pour analyser le loup brun. Secouant la tête, il aida son collègue à prendre le loup dans leur bras pour chercher à le transporter jusqu'à la table où il était installé.
Le troisième Homme revient. Échange des paroles avec ses collègues affairés à s'occuper du Sekmet puis, s'approche pour saisir l'un des bâtons qui leur sert à bouger les loups d'un endroit à un autre. Il passe la corde au cou de Daante pour l'emprisonner et, fait sauter ses sangles avant de le forcer à descendre de la table. L'Homme en blanc se dirige ensuite vers la porte en tirant sur la laisse provisoire du Navnik.
Tybalt, ton état ne change pas énormément pour le moment. Daante, tu es attaché au bout du bâton. L'Homme veut te ramener jusqu'à ta cage, le suivras-tu docilement ? Palladium, tu te fais porter par les deux autres Hommes pour être remit sur la table. Que comptes-tu faire désormais ?
–––––––––––––––––– Pas d'ordre de passage.
Participants : Palladium ; Daante ; Tybalt
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Ven 4 Déc - 19:34
“ things are going worst „
[EVENT] Laboratoire
F. 100 | A. 100 | E. 100
La pression autour de sa gorge se relâche, et la patte immonde du Bipède s’approche de son poitrail. Le Pantin contient un mouvement de recul qui l’aurait trahi, et se retient aussi d’allonger la tête pour attraper ce bras qu’il aurait pu arracher sans mal. Faire le mort, il faut faire le mort. Alors, un second Bipède arrive et, à deux, ils le soulèvent de terre. Palladium fait son possible pour demeurer aussi mou que possible, mais la Peur commence à se répandre dans son corps. Sa stratégie a échoué, Ils vont l’emmener là où Ils avaient prévu, même s’il fallait le porter ! L’œil vide, la langue pendante, le Pantin ne bouge cependant toujours pas, bien que les battements de son cœur s’accélèrent. Il cherche une solution. Mais, par chance, les deux Bipèdes font demi-tour et le reposent sur sa table. Cette table, qu’il a fini par affectionner au final, puisqu’elle était devenu une sorte de gage de sécurité. Au moins, là-dessus, Ils ne lui feraient rien. Il avait réussi, il avait gagné son temps. Cette fois-ci, cependant, Ils ne l’attachent pas. Ils semblent perplexes. Palladium mime toujours le loup mort à la perfection, l’œil fixé sur un point qui n’existe pas, vide de toute émotion. Et, chose encore plus réconfortante pour le Sekmet, les Bipèdes attrapent le bâton qui permet de bouger les loups pour s’emparer du Navnik, à sa place. Il aurait eu envie de lâcher un soupir de soulagement, mais sa vie dépend de sa capacité à demeurer sans vie. Alors, il demeure parfaitement immobile, encore un peu plus longtemps. Tout allait dépendre de ce que ferait le Navnik. Soit, il était assez intelligent pour comprendre que se rebeller à cet instant serait bénéfique pour eux trois, étant donné que Palladium était parfaitement libre de tous mouvements, soit il se laisserait sagement mener à la baguette par ces fantômes et ils risquaient fort de tous y passer. Le Pantin suivait donc avec grand intérêt ses moindres faits et gestes. Il suffisait que le Navnik fasse un geste, un seul mouvement agressif, et Palladium était prêt à bondir sur ces choses infâmes.
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Tybalt
Mange Lumière
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Ven 4 Déc - 20:10
L'ange de la mort.
Force: 20 | Agilité: 28 | Endurance: 22
Toujours chouté, Tybalt ne bougeait pas, il se contenter d’examiner la situation comme il pouvait. Il entendis qu'on ramena le Sekmet à sa table. Pourquoi? Pourquoi ramener un vulgaire cadavre ici? Après tout le dévoreur de lumière ne pouvait pas savoir que le pantin mimait, déjà à peine conscient il ne pouvait pas non plus avoir les yeux derrière son dos. On vint saisirent le Navnik. Les yeux de Tybalts reflétèrent la rage mais il ne bougea pas. Il aurait sauter sur ce connard s'il avait put. Mais il en était incapable. Allaient-il donc crevé comme ça un par un? Pourquoi? Il refusait de mourir aussi pitoyablement, son cadavre devait se trouver sur un champ de bataille, pas sur une table froide entouré d'humain et nul part ailleurs. Mais il était impuissant et son cerveau livrait une lutte acharné contre le produit qui coulait dans ses veines.
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Dim 6 Déc - 19:58
Force : 64 Endurance : 59 Endurance : 52
Les évènements se succèdent les uns après les autres sans que j'y porte une attention particulière. Non, toute mon attention n'est focalisée que sur une seule chose les probabilités. La probabilité que Tybalt soit moins assommé par le poison des bipèdes, la probabilité pour que je parvienne à m'échapper si je tente quelque chose. La probabilité pour que je me fasse descendre si je tente quelque chose, la probabilité que ces saletés de deux pattes soient bien plus débiles que je ne l'imagine et me facilite le travail. Mon esprit n'est plus qu'un ensemble de variables à analyser. Je suis complètement ailleurs pendant que les démons masqués reviennent dans la pièce. La présence des bipèdes a pour effet immédiat de me faire émerger de mes pensées. Je ne peux pas me permettre de ne pas rester sur mes gardes en leur présence. Durant un instant, je revois le visage de tous les membres de ma meute de naissance criblés de balles, ou taillés en pièces par des nuées de clébards. Je revis ces instants atroces durant lesquels je n'ai rien pu faire ou du moins trop peu. Durant une poignée de secondes, les souvenirs défilent dans mon esprit comme un poison brulant se déversant dans mes veines et me brulant de l'intérieur. Mes yeux sont dans le vague et l'espace de quelques secondes, je cède à la panique la plus complète et me recroqueville sur la table sur laquelle je suis sanglé. Mais, soudain les deux pattes s'intéressèrent au Sekmet et le calme me revint peu à peu. Après, quelques secondes d'observation j'étais de nouveau parfaitement maitre de moi même. Un sourire mauvais étira mes babines lorsque les hommes passèrent la laisse au cou du male Sekmet. Qu'ils le tuent ou non, je m'en moque. La présence d'un frère de meute me suffit. Si je dois mourir dans cette pièce qu'il en soit ainsi mais au moins, je mourrais au coté d'un camarade et pas d'une ordure de Sekmet. Mais, le male se laissa tomber sur le flanc et fit mine d'ètre atteint par je ne sais quoi. Ces abrutis de masqués tombèrent les deux pieds dans le plat et gobèrent le simulacre du loup. Non, mais c'est pas vrai. Quels bandes de débiles. D'une, j'entends son pouls d'ici et de deux ce plongeon n'avait rien de naturel. Mais, je me rappelle soudain que les sens des hommes sont faibles. Les masqués saisirent le Sekmet et le posèrent sur la table sans le sangler. J'eus envie de leur dire que ce Sekmet faisait semblant mais d'une ils ne me comprendraient pas et de deux je n'étais pas sur de vouloir sa mort. Il pouvait toujours ètre utile. Avant de se diriger vers moi et de réitérer le manège de la laisse avec moi. Lâchez moi bandes de débiles ! Muselé et tenu en laisse, j'étais en train de me faire tirer vers la sortie par l'un des masqués lorsque je décide de saisir ma chance. Je ne vous laisserais pas seul avec Tybalt. Je savais pertinemment que l'autre plongeuse de Sekmet était détaché et parfaitement libre de ses mouvements alors je tire fermement sur la laisse dans l'optique de donner du fil à retordre à ces deux pattes et leur faire comprendre que je ne bougerais pas d'ici sans Tybalt. Je tire furieusement sur la laisse et tente de déséquilibrer l'homme en me secouant furieusement dans tout les sens. Il va ètre occupé à essayer de me maitriser. Si le Sekmet voulait bien se donner la peine de se remuer le derrière. Peut ètre que l'on pourrait je ne sais pas moi découper du bipède.
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Mar 8 Déc - 17:47
“ things are going worst „
[EVENT] Laboratoire
F. 100 | A. 100 | E. 100
Les yeux mi-clos, Palladium épiait chacun des mouvements du Navnik avec intérêt. Il le voyait se faire traîner vers cette porte, porteuse d’inconnu et donc de mort, en traînant les pattes. Ils allaient le sortir, et il allait gentiment se laisser faire !? Brutalement, le déclic que le Pantin attendait se produit. Le Navnik se braque soudain contre ses liens, tirant de toutes ses forces et entraînant le Bipède vers le sol. Être sur deux pattes semble visiblement moins stable que d’être sur quatre, et le fantôme est déstabilisé, ses bras gigotent dans les airs et se raccrochent sur la laisse du loup gris. Quelque chose se produit alors en Palladium. Une sorte de bouffée d’adrénaline, qui rend chacun de ses membres fébriles. Comme à chaque fois qu’il doit se battre, la Peur s’empare de son estomac et le comprime. Quelques secondes s’écoulent avant qu’il ne se redresse avec violence. Il est debout, sur cette table glissante et instable, le poil hérissé et l’œil flamboyant. Quelque chose vient de se retourner dans son être, quelque chose vient de prendre possession de tout son corps, de toute son âme. L’instinct de survie gangrène chaque parcelle de sa chair, le faisant vibrer d’un grondement rageur. Les Bipèdes ne triompheront pas, cette fois. Laissant le Navnik aux prises avec son fantôme attitré, Palladium se propulse d’un bond puissant, faisant trembler son piédestal, sur le second Bipède, demeuré non loin de lui. Ses pattes heurtent les épaules du monstre, tandis qu’il l’entraîne dans sa chute en tombant à la renverse. Les pattes nues de l’Homme s’accrochent à ses poils, enfonçant ses doigts dépourvus de griffes dans sa fourrure épaisse. Les claquent pleuvent sur son museau tandis qu’il tente d’atteindre la gorge, si facile à déchirer. Les crocs du Pantin fouille la toison blanche, ignorant les coups, mais cette matière est bien étrange. Palladium n’y a jamais enfoncé ses dents. La face du Bipède est dure et lisse, tout comme la table qui le retenait prisonnier. Impossible d’y aventurer ses mâchoires, au risque de se les briser. Et, malgré la force du loup brun, le Bipède se démène et le repousse. Palladium s’écarte d’un bond leste : hors de question qu’ils l’attrapent de nouveau. Il faut qu'il trouve une autre issue, tout en continuant de Leur échapper ; il galope un peu partout dans la salle, esquivant le troisième fantôme, bondissant sur les tables, renversant tout sur son passage : des fioles se brisent, des feuilles volent. La salle entière est sans dessus dessous. Dans la panique, le Pantin se heurte à la table de Tybalt, qui tangue dangereusement, puis finit par s'écraser au sol dans un fracas épouvantable. L'épaule meurtrie par ce choc imprévu, le loup brun termine sa course près de la porte, là où ils ont essayé de le traîner, ses yeux jaunes défiant les deux animaux qui lui font face. Il a pertinemment compris qu’il s’agissait de la seule issue de cette grotte aux parois lisses, et les Bipèdes mourront avant d’avoir pu passer cette porte. Ses poils se hérissent sur son échine, et ses crocs baveux se dévoilent dans un grondement bestial. Approchez, tas de vermine. Approchez, vous verrez ce dont la Chose est capable.
Alors qu'ils pensaient le Sekmet dans un état second et, le Navnik docile, ce dernier se rebelle. Le scientifique qui le maintien peine à le maîtriser, forçant pour ne pas se laisser entraîner, essayant de se camper sur ses deux jambes pour le maintenir. A plusieurs reprises, il manque de lâcher prise et, cela n'est l'instant que de quelques minutes avant qu'il ne finisse par lâcher le bâton ...
Du côté de Palladium, ses mouvements attirent les deux autres Hommes avant qu'ils ne soient surpris. L'un se prend le Sekmet et tente de se débattre pour ne pas se faire mordre, le troisième, quant à lui, tenter de trouver quelque chose pour les tirer de là. Alors que le Sekmet finit par lâcher le scientifique et se met à courir dans tous les sens en saccageant tout sur son passage, l'Homme se relève et se précipite dans un coin de la pièce avant d'appuyer sur un gros bouton d'où un son horrible est en train de retentir. Une alarme ! Le bruit résonne dans la tête des loups et, tandis que l'un cherche à maîtriser le Navnik, les deux autres cherchent à maîtriser le Sekmet en s'emparant de bâton où des fils pendent. Ils s'approchent du loup brun en essayant de ne pas se laisser impressionner mais les membres de l'un des deux tremblent.
Au bout d'un moment, de l'autre côté de la porte, du brouhaha se fait entendre et la poignet commence à s'abaisser pour laisser entrer un autre Homme mais, celui-ci armé.
Que comptez-vous faire désormais ?
Tybalt, la drogue commence à se dissiper doucement mais tu es toujours cloué sur la table.. Daante, l'Homme qui te tient est sur le point de lâcher prise. Palladium, tu es désormais encerclé par trois Hommes, deux ayant leur bâton en guise de laisse et l'autre, derrière toi, avec une arme à feu.
–––––––––––––––––– Pas d'ordre de passage.
Participants : Palladium ; Daante ; Tybalt
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Mer 9 Déc - 19:54
HRP: J'avais zappé que Daante n'avait plus de muselière depuis tout à l'heure
Force : 64 Endurance : 59 Agilité : 52
Les évènements s'enchainent à toute vitesse et le Sekmet fait sa part du job en s'en prenant aux deux autres spectres. Quant à moi, je sens encore la pression de la laisse autour de mon cou mais je sens que le bipède ou peut importe ce que cette chose puisse ètre est sur le point de lâcher prise. Je m'acharne de plus en plus, remue dans tous les sens. Plus que quelques efforts et je serais libre. Libre comme il convient à un membre de mon espèce. Nous ne sommes pas des clébards ! Pour combien de temps voilà la vraie question. Cela importe peu car si je crève aujourd'hui. Je mourrais debout avec du sang de bipède dans la gueule. La plus belle mort qu'un loup comme moi puisse espérer. Mais ne soyons pas pessimiste. Tout peut arriver, le meilleur comme le pire. Vu l'enfer dans lequel nous nous trouvons, il y a de grandes chances pour que ce soit le pire. Mais bon qui ne tente rien n'a rien. Je fais claquer mes mâchoires sur le cordon de cuir et le masqué lâche finalement prise. Si j'avais le temps, je pousserais un hurlement de satisfaction mais vous conviendrez que ce n'est ni le moment ni le lieu idéal pour cela. Je tourne la tète vers le Sekmet au prise avec les deux masqués. Mais, je reporte bien vite mon attention sur le spectre devant moi. Je m'élance et le percute à toute allure lui fauchant les pattes dans la foulée. La masse de la chose heurte durement le sol mais je ne perds pas de temps et balaie le corps du regard. Mon premier réflexe serait de lui bouffer littéralement le visage mais le truc qu'il a sur le visage me briserait les crocs alors je jette finalement mon dévolu sur ses pattes. Je sens la fourrure de bottes à ses pieds alors je plante durement mes crocs dans l'une des pattes et secoue furieusement la gueule dans tous les sens. Puis, sans me préoccuper de l'état du bipède masqué. Car, tout ce qui saigne est humain. Ces choses ne sont rien de plus que des hommes ! Je m'éloigne d'un bond et me précipite vers la table renversé de Tybalt. Mes crocs cherchent les sangles. Une fois dessus ils s'échinent à les tailler en pièce. Je m'attaque à chaque sangle l'une après l'autre, crachant du cuir entre deux opérations. Un bruit de porte attire mon attention et je redouble la cadence afin de libérer mon frère de meute qui me parait se trouver dans un état second. Allez réveille toi ! J'ai peine à croire que le loup devant moi est l'un des pires représentants de mon espèce tant il me semble dans les vapes. Je bondis en arrière, m'élance et percute la table de toutes mes forces. Ce qui la tourne de quelques centimètres puis je m'abrite derrière la table, attendant que le loup brun se bouge et que l'autre homme entre dans la pièce. Mon cœur bat à cent à l'heure et j'attends griffes et crocs à découvert.
Tybalt
Mange Lumière
Fiche de personnage force: (105/100) agilité: (105/100) endurance: (105/100)
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Sam 12 Déc - 16:47
L'ange de la mort.
Force: 20 | Agilité: 28 | Endurance: 22
Des cris et des bruits de fracas. Il les entendait de plus en plus fort et de plus en plus net. Ses yeux à moitié fermé s'ouvrir un peu plus. Légèrement. Le dévoreur de lumière pouvait sentir des petits picotements au bout de ses pattes. La drogue se dissipait-elle? Un bruit mat, sa table fut renversé. Le puissant mâle brun laissa échapper un petit grognement à peine perceptible. Quelque chose bondit à ses côtés tandis qu'il prenait peu à peu conséquence des événements. Un bruit insupportable retentit tandis qu'il vis Daante s'acharner sur ses sangles. Son cerveau lui hurla de se réveiller, de se redresser, vite. Le bout de ses membres remuait légèrement tandis que ses crocs se dévoilaient petit à petit. Il se trouvait déjà extrêmement reconnaissant envers le Navnik don la loyauté n'était pas à remettre en jeux. La fourrure dressé il continuait de livrer une lutte acharné pour se réveiller plus vite.
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Sam 12 Déc - 17:54
“ things are going worst „
[EVENT] Laboratoire
F. 100 | A. 100 | E. 100
Les choses se corsent. Du coin de l’œil, Palladium voit le Navnik se démener contre son geôlier et il parvient à le mettre à terre. Tandis qu’il s’acharne sur les pattes du fantôme, le troisième Bipède s’approche de lui avec une démarche prudente, mais menaçante. Les crocs du Pantin sont toujours à découvert et il grogne agressivement, mais son attention est déportée vers sa précédente victime qui galope à l’autre bout de la pièce. D’une patte maladroite, elle actionne un mécanisme, et un hurlement strident résonne dans toute la pièce, vrillant les tympans sensibles du loup brun. L’Homme se rapproche ensuite de lui avec son acolyte. Ils l’encerclent, face à la porte devant laquelle il se tient. Se sentant acculé, le loup brun panique : la Peur vrille encore davantage son estomac lorsque, derrière lui, le bruit d’une course humaine se fait entendre. Les pas claquent sur le sol derrière la porte. Le loup est véritablement encerclé de toutes parts. Même s’il ne perd pas la face, il commence à perdre foi en son plan d’évasion. Ajoutant encore à son désespoir, il avise le Navnik qui se détache de sa proie pour courir couper les liens de Tybalt. Ahuri, Palladium regarde le loup gris s’acharner sur les liens. Mais se rend-il compte qu’il leur fait perdre un temps précieux ? Au diable Tybalt ! De toute façon, il est bien trop sonné pour leur servir à quoi que ce soit ! C’était visiblement chacun pour sa peau : ou du moins, la solidarité Navnik ne semblait pas fonctionner avec le mental Sekmet. Palladium n’avait aucune envie de s’associer à ses deux ennemis, mais il fallait user d’un peu de jugeote et de bon sens pour comprendre que s’ils ne le faisaient pas, ils n’allaient pas survivre bien longtemps ! Abandonnant l’idée que l’autre volerait à son secours, le Pantin fonce droit dans les pattes d’un des Bipèdes, se coulant de force entre ses deux pattes, manquant de le faire chuter. Les mains tentent de l’agripper au passage, sans succès : il leur aurait fallu des griffes, pour cela. Il n’allait certainement pas attendre bien sagement que la porte s’ouvre et qu’on le tue sans autre forme de procès. Palladium bondit par-dessus la table derrière laquelle le loup gris s’est terré, manquant de se réceptionner sur lui. Il marque un arrêt, le temps de retrouver son équilibre, hésite. Faut-il réellement se coller à ce Navnik et profiter de l’abri précaire que forme cette table ? Palladium s’apprête à sacrifier son amour-propre pour quelques secondes de répit, lorsqu’il avise un grand objet, collé contre la paroi lisse de cette grotte infâme. Il n’est pas bien large, mais très haut et massif. Le genre de truc qu’on ne fait pas tomber comme ça. Le loup brun se rue vers l’objet, situé au fond de la grotte. Il se cache derrière l’armoire, se collant au sol au maximum. Il y a un espace entre ce truc et le sol, mais il est bien trop gros pour pouvoir s’y terrer. Alors, il se contente d’observer par-dessous la porte, et le dos des deux Navniks. Tybalt est toujours étendu sur le flanc, l’œil vide. Il semble commencer à se réveiller. Le cœur du loup brun bat la chamade et, lorsque la porte s’ouvre, il se colle encore davantage contre le mur, tentant de camoufler sa masse imposante dans ce minuscule renfoncement.