solo | un combat de tout les jours.

Dim 1 Nov - 19:59

Lancers du jour !

Wamblee a gagné un lancer de dé grâce à sa jauge d'Endurance (25)

codage de whatsername.

Dim 1 Nov - 19:59

Le membre 'Wamblee' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Dé de chasse' : 7, 2, 7

Dim 1 Nov - 20:17

Le monde à l'envers (défi)

F50, A35, E29

Le Loup, allongé sur un tronc d'arbre mort, attendait patiemment que le Soleil disparaisse à l'horizon. Il avait passé la majorité de sa journée à errer sans but, dans le territoire neutre. Pour lui, il était un Sans-meute, alors que son identité était encore relié aux Navniks. Une meute qui ne valait pas la peine d'être défendu. Sa traîtrise, il l'assumait entièrement et se montrait très fier d'avoir agi ainsi, durant la Guerre, malgré les représailles auxquelles il eut droit. À sa place, qu'auriez-vous fait ? Auriez-vous attaquer sans réfléchir votre ex compagne pour qui vous avez encore des sentiments et que vous croyiez jusqu'à lors décédée ? Je ne crois pas. C'est ce que le Guerrier pensait également. N'importe qui à sa place aurait réagi de la même manière. Ils auraient préférés protéger les leurs que les attaquer bêtement. Leurs vies valaient plus que la leurs. C'est ce qu'il ressentait également vis à vis d'Eesia. Il se préférait mort et elle en vie que l'inverse.

Lentement, la dernière lumière solaire s'éteignit, plongeant le monde dans la pénombre. D'un bond, le prédateur descendit de son promontoire, profita d'un court instant pour s'étirer et mit enfin en route. Son regard brun se balançait rapidement dans chaque recoin de la forêt, où les petits animaux avaient l'habitude de se réfugier. Il se mit à chercher une piste, flairant le sol avec un certain sérieux non dissimulé. Ne perdant pas de temps, son odorat repéra une odeur animalière. Ou devrais-je dire plusieurs. De gros cervidés semblaient être passés ici, il y a quelques heures tout au plus. L'ébène était convaincu qu'il pouvait tomber sur eux en suivant le chemin qu'il avait emprunté. Sans attendre, il se mit à trottiner, nez contre le sol, en direction de ses potentiels proies. Sa queue était basse et relâchée, son encolure tendu et ses sens en alerte.

Évitant d'éveiller les soupçons, le Loup prit garde à ne pas faire de bruits inutiles. Comme un bruissement de feuillages. Par malchance, l'Automne battait son plein sur le territoire et le lieu dans lequel il se trouvait n'était pas le meilleur. Des milliers de feuilles mortes gisaient sur le sol, idéales pour éviter de marcher silencieusement. Heureusement, les cerfs avant lui avaient éloignés les végétaux, assez pour qu'il puisse s'insérer à l'intérieur de leurs pas. Attentif, son ouïe décela enfin un son.

Stoppant radicalement ses mouvements, le noiraud s'immobilisa. Les cervidés semblaient s'être arrêter eux-aussi pour brouter quelques brins d'herbes à travers le sol couvert. À pas de velours, le Navnik s'avança, les babines retroussées. La faim grognait à l'intérieur de lui, il ne voulait plus attendre. Rapidement, il vit une biche isolée. Le troupeau était à peine à quelques mètres d'elle, mais elle était suffisamment en retrait pour qu'il puisse agir sans provoquer un mouvement de panique. À travers les buissons, il se faufila près d'elle.

Il attendit le bon moment. Puis il attaqua. Se propulsant avec ses pattes arrières, il sauta au cou de la biche qui se trouva immédiatement paralysée. Le regardant de ses yeux apeurés, elle ne savait pas quoi faire. Il planta aisément ses griffes dans sa peau et ses crocs près de sa jugulaire. Le sang ne tarda pas à faire son apparition, laissant la femelle s'écrouler de tout son poids sur la terre. Dans sa chute, elle ne fit aucun bruit. Satisfait, le Guerrier s'avança à nouveau vers, cette fois-ci, le cerf. Là où il se trouvait, il était trop à découvert et si le Loup sautait près de lui, il lui permettrait de fuir et ainsi gâcher toutes ses chances d'avoir une deuxième proie.

Décidant de lâcher l'idée d'avoir un deuxième cervidé, il s'éloigna vers sa première victime, qu'il prit dans sa gueule. Linceul des Âmes la traîna sur plusieurs mètres avant que sa vue ne fut alerter par un mouvement étrange, à quelques mètres de lui. Intrigué, il posa sa proie, observant de plus près ce qui avait causé un si vif geste. Il flaira vite qu'un mulot s'était aventuré dans un des buissons qui ornait l'arbre qu'il venait de passer. Se tapissant contre le sol, il attendit que le mammifère sorte de son abri pour l'attraper. Ce qu'il fit quelques secondes après. Allongeant son cou, il stoppa la course du mulot en imposant son museau devant lui. Son corps rejoignit bientôt le reste et il posa violemment une patte derrière lui, l'empêchant ainsi de s'enfuir. Bloqué, le prédateur l'attrapa et fit craquer son frêle cou entre ses dents. Et de deux.

Ravi, il garda le mulot dans sa gueule pour rejoindre sa biche.

www

résultat des dés:

codage de whatsername.

Lun 2 Nov - 11:23

Lancers du jour !

codage de whatsername.

Lun 2 Nov - 11:23

Le membre 'Wamblee' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Dé de chasse' : 12, 1, 9

Lun 2 Nov - 11:51

Hélas pour vous!

F50, A35, E29

Le Loup, allongé sur un tronc d'arbre mort, attendait patiemment que le Soleil disparaisse à l'horizon. Il avait passé la majorité de sa journée à errer sans but, dans le territoire neutre. Pour lui, il était un Sans-meute, alors que son identité était encore relié aux Navniks. Une meute qui ne valait pas la peine d'être défendu. Sa traîtrise, il l'assumait entièrement et se montrait très fier d'avoir agi ainsi, durant la Guerre, malgré les représailles auxquelles il eut droit. À sa place, qu'auriez-vous fait ? Auriez-vous attaquer sans réfléchir votre ex compagne pour qui vous avez encore des sentiments et que vous croyiez jusqu'à lors décédée ? Je ne crois pas. C'est ce que le Guerrier pensait également. N'importe qui à sa place aurait réagi de la même manière. Ils auraient préférés protéger les leurs que les attaquer bêtement. Leurs vies valaient plus que la leurs. C'est ce qu'il ressentait également vis à vis d'Eesia. Il se préférait mort et elle en vie que l'inverse.

Lentement, la dernière lumière solaire s'éteignit, plongeant le monde dans la pénombre. D'un bond, le prédateur descendit de son promontoire, profita d'un court instant pour s'étirer et mit enfin en route. Son regard brun se balançait rapidement dans chaque recoin de la forêt, où les petits animaux avaient l'habitude de se réfugier. Il se mit à chercher une piste, flairant le sol avec un certain sérieux non dissimulé. Ne perdant pas de temps, son odorat repéra une odeur animalière. Ou devrais-je dire plusieurs. De gros cervidés semblaient être passés ici, il y a quelques heures tout au plus. L'ébène était convaincu qu'il pouvait tomber sur eux en suivant le chemin qu'il avait emprunté. Sans attendre, il se mit à trottiner, nez contre le sol, en direction de ses potentiels proies. Sa queue était basse et relâchée, son encolure tendu et ses sens en alerte.

Évitant d'éveiller les soupçons, le Loup prit garde à ne pas faire de bruits inutiles. Comme un bruissement de feuillages. Par malchance, l'Automne battait son plein sur le territoire et le lieu dans lequel il se trouvait n'était pas le meilleur. Des milliers de feuilles mortes gisaient sur le sol, idéales pour éviter de marcher silencieusement. Heureusement, les cerfs avant lui avaient éloignés les végétaux, assez pour qu'il puisse s'insérer à l'intérieur de leurs pas. Attentif, son ouïe décela enfin un son.

Stoppant radicalement ses mouvements, le noiraud s'immobilisa. Les cervidés semblaient s'être arrêter eux-aussi pour brouter quelques brins d'herbes à travers le sol couvert. À pas de velours, le Navnik s'avança, les babines retroussées. La faim grognait à l'intérieur de lui, il ne voulait plus attendre. Rapidement, il vit une biche isolée. Le troupeau était à peine à quelques mètres d'elle, mais elle était suffisamment en retrait pour qu'il puisse agir sans provoquer un mouvement de panique. À travers les buissons, il se faufila près d'elle.

Il attendit le bon moment. Puis il attaqua. Se propulsant avec ses pattes arrières, il sauta au cou de la biche qui se trouva immédiatement paralysée. Le regardant de ses yeux apeurés, elle ne savait pas quoi faire. Il planta aisément ses griffes dans sa peau et ses crocs près de sa jugulaire. Le sang ne tarda pas à faire son apparition, laissant la femelle s'écrouler de tout son poids sur la terre. Dans sa chute, elle ne fit aucun bruit. Satisfait, le Guerrier s'avança à nouveau vers, cette fois-ci, le cerf. Là où il se trouvait, il était trop à découvert et si le Loup sautait près de lui, il lui permettrait de fuir et ainsi gâcher toutes ses chances d'avoir une deuxième proie.

Décidant de lâcher l'idée d'avoir un deuxième cervidé, il s'éloigna vers sa première victime, qu'il prit dans sa gueule. Linceul des Âmes la traîna sur plusieurs mètres avant que sa vue ne fut alerter par un mouvement étrange, à quelques mètres de lui. Intrigué, il posa sa proie, observant de plus près ce qui avait causé un si vif geste. Il flaira vite qu'un mulot s'était aventuré dans un des buissons qui ornait l'arbre qu'il venait de passer. Se tapissant contre le sol, il attendit que le mammifère sorte de son abri pour l'attraper. Ce qu'il fit quelques secondes après. Allongeant son cou, il stoppa la course du mulot en imposant son museau devant lui. Son corps rejoignit bientôt le reste et il posa violemment une patte derrière lui, l'empêchant ainsi de s'enfuir. Bloqué, le prédateur l'attrapa et fit craquer son frêle cou entre ses dents. Et de deux.

Ravi, il garda le mulot dans sa gueule pour rejoindre sa biche.

www

résultat des dés:

codage de whatsername.

Mer 4 Nov - 11:51

Lancers du jour !

codage de whatsername.

Mer 4 Nov - 11:51

Le membre 'Wamblee' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Dé de chasse' : 2, 1, 11

Mer 4 Nov - 12:08

Une de perdue...

F53, A36, E30

Les jours précédents, le Loup avait eu de bonnes chasses ou lorsqu'il n'avait pas eu de chances, les jours qui suivaient, il réussissait à trouver des grosses proies. Il était très en veines et appréciait d'avoir de quoi manger pour sa meute. Ou devrais-je pour les autres loups, puisque dans son cœur, il était déjà Solitaire. Il les avait trahi après le peu d'intérêt qu'il lui manifestait, c'était normal qu'il soit considéré comme exclu de la fratrie. En y réfléchissant, il n'avait jamais eu l'esprit Navnik. Son cœur avait toujours appartenu aux Sekmets. Ce qui s'avérait encore vrai aujourd'hui.

Il sortit enfin de sa tanière. Le Navnik préférait de loin chasser en pleine nuit, l'obscurité qui y régnait jouer en sa faveur. C'est naturellement qu'il s'était dirigé vers la forêt, lorsque la nuit fut bien entamée. Débarquant dans un silence de plomb, on entendait à peine ses pas effleuraient le sol. Il tentait avec minutie de répandre le moins de bruits possibles pour ne pas empêcher ses proies de dormir. Ce serait bien trop facile et ça lui gâcherait le plaisir de la traque. Sereinement, il parcourut la vaste étendue boiser.

Jusqu'à tomber nez-à-nez avec un raton laveur. Ses couleurs clairs reflétaient à la lumière lunaire, ce qui avait permis à Wamblee de repérer l'animal. Il réprima un rebroussement de babines. Ses dents pourraient le trahir. Un instant à peine après l'avoir découvert, le Loup fondit sur lui. D'un coup de pattes, il l'arracha à sa rêverie, prenant le dessus sur lui avec son poids. Immobilisé et paniqué, l'animal ouvrit brièvement les yeux avant de plonger à nouveau dans un profond sommeil. Au moins, il lui avait épargné la tâche de devoir courir après lui.

Le cachant dans un buisson légèrement creusé, le noiraud reprit sa quête. Les heures avaient défilés à vive allure avant qu'il ne trouve de nouvelles proies. Après avoir rebroussé chemin, il avait aperçu un groupe de souris se baladant au clair de lune. Idiots rongeurs, avait alors penser le prédateur. Par habitude, celui-ci ne perdit pas de temps avant de bondir au milieu d'elles, les prenant en course. Se dirigeant vers l'endroit où le plus de souris s'enfuyaient, il allongea son galop pour tenter d'en attraper au moins une. La poursuite dura plusieurs avant que l'ébène, essoufflée, ne finisse par lâcher l'affaire.

www

résultat des dés:

codage de whatsername.

Jeu 5 Nov - 11:33

Lancers du jour !

Coup du sort - La guerre n'a pas été facile, d'autant plus que tu te trouves dans une position délicate.. Heureusement, la chance te souries ! Tu découvres un cadavre de chien, prêt à être dégusté ! Pas très alléchant, mais bon appétit !

codage de whatsername.

Jeu 5 Nov - 11:33

Le membre 'Wamblee' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Dé de chasse' : 9, 12, 7

Jeu 5 Nov - 12:28

Ne joues pas avec la nourriture !

F53, A36, E30

Le corps fléchi sous le poids de ses muscles, les prunelles fixées vers une direction bien définie, le Loup était là. Le Soleil déjà haut dans le Ciel, bien que masqué, il avait changé ses plans. Le froid s'engouffrait dans ses poils ténébreux inlassablement, lui laissant des baisers glacials sur sa peau noire. Sur son visage, deux marques bien encrées dans sa peau, sur un de ses œils, s'amusaient à jouer avec ses expressions, renforçant son côté guerrier. Il n'était pas là pour s'amuser. Ne bougeant plus d'un poil depuis plusieurs minutes déjà, il observait. Les babines retroussées, il attendait le bon moment pour agir. Mais sur quoi ?

Devant lui, à quelques mètres, dissimulé derrière un étalage de buissons verts, des animaux jouissaient paisiblement des bienfaits de la nature environnante et des quelques végétaux encore verts qui ne tarderaient pas à bientôt disparaître, laissant place à l'Hiver. Des obstacles séparaient ses proies de là où il se trouvait. Mais il s'en fichait. Le noiraud se savait suffisamment entraîné pour les franchir d'une traite, le moment venu. Il réprima plusieurs grondements qui montèrent dans sa gorge sèche. Le Loup était loin d'être maigre grâce aux fruits de sa chasse, même si celle-ci était toujours partagée.

D'un coup, il prit appuie sur ses pattes postérieures, prenant de l'élan pour se mettre à galoper. Il gravit plusieurs troncs entassés les uns sur les autres, ce qui ralentit considérablement son allure. Les griffes bien plantés dans le bois pour éviter de glisser, il parvint jusqu'au sommet avant de devoir descendre. Au lieu de se laisser glisser, le Loup se mit à bondir vers le sol ferme, ce qui lui fit rattraper son retard. Les yeux rivés en face de lui, il slaloma entre plusieurs arbres avant de parvenir enfin là où il voulait. Le dernier arbre franchi, il débarqua dans une zone dégagée, en forme de cercle. Les animaux qu'il traquait depuis plusieurs heures déjà se mirent à criailler, répandant l'alerte. Mais c'était trop tard. Linceul des Âmes avait déjà bondi sur un des leurs, sa mâchoire positionnée au niveau de son cou fin qu'il ne tarda pas à faire craquer sous sa langue.

Laissant sa proie gisait ainsi, il prit en poursuite un deuxième animal. Qu'il rattrapa sans difficultés. Pour l'empêcher de s'éloigner à nouveau de lui, le prédateur balança ses antérieures vers celui-ci, chopant sa queue au passage, ce qui le freina immédiatement. Il monta sur son dos et exécuta la même technique que le premier. Celui-ci s'avéra tout de même plus virulent. Posant bientôt son regard sur les alentours, le Loup remarqua qu'il n'y avait plus aucun animal autour de lui. Il se contenta d'hausser les épaules. Deux faisans, c'était déjà bien.

Posant ses proies à l'abri sous un buisson, il partit à nouveau à la conquête, pas encore rassasié. Il voulait voir jusqu'où il irait aujourd'hui. Traînant dans le bois plusieurs minutes, son ouïe détecta bientôt un bruit nouveau, suivi par son odorat qui lui signala qu'une proie était là, juste à côté de lui, derrière un arbre. Il se posa contre le sol, contourna le conifère avant de poser son regard sur sa nouvelle proie. Elle était si petite qu'elle pouvait passer inaperçue à travers les feuillages. Mais pas pour un prédateur aussi avisé que lui. L'opportunité de lui sauter dessus se fit assez rapidement, donnant l'occasion à l'ébène de ne pas perdre de temps. Posant bientôt ses pattes sur l'animal, il l'écrasa de son poids puis engouffra ses dents contre ses poils, les enfonçant profondément. Et de trois.

Satisfait, il rebroussa chemin avec la belette dans sa gueule. Au passage, il prit les faisans sur son dos et se mit en marche jusqu'aux terres Navniks. Mais c'était loin d'être terminé.

En chemin, le Loup repéra un cadavre. S'approchant de plus près, celui-ci sembla intacte. Il devait profiter de cette opportunité. Trop occupé à trouver une solution pour ramener toutes ses proies, il ne remarqua pas que c'était un cadavre de chien.

www

résultat des dés:

codage de whatsername.

Sam 7 Nov - 12:07

Lancers du jour !

codage de whatsername.

Sam 7 Nov - 12:07

Le membre 'Wamblee' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Dé de chasse' : 12, 4, 7

Sam 7 Nov - 12:42

Toujours mieux que rien !

F58, A40, E34

Nouveau jour, nouvelle sortie pour le prédateur qui commençait à prendre un réel goût pour la chasse. Il commençait à se demander s'il n'aurait pas dû choisir ce rang au lieu de celui de Guerrier, vu qu'il occupait une grande partie de son temps en traque plus qu'en combat. Quoi qu'il en soit, il était là pour une nouvelle poursuite qu'il espérait aussi riche que les précédentes. Il s'était habitué à revenir victorieux de ses chasses et si jamais un jour il ne parvenait pas à avoir une seule proie, la rage monterait certainement envers lui, mais aussi envers quiconque croiserait son chemin. Mais l'heure n'était pas aux défaites. S'avançant aisément vers les terres nordiques, le loup rêvassait : quelles proies ramèneraient-ils aujourd'hui ? Une grosse, une petite, une moyenne ? Il ne tarderait pas à le savoir.

Ses pattes foulèrent bientôt le sol du bois aux pendus dans lequel il s'était rendu depuis plusieurs jours déjà. Il aimait particulièrement ce lieu qui lui offrait à la fois abondance de proies et cachettes. Un lieu idéal pour la traque. Il en connaissait désormais les moindres recoins et savait aussi où les animaux aimaient flâner. C'est là où il se dirigea en premier.

À petits pas, il arriva près d'un gros arbre centenaire. S'appuyant contre son tronc, il dégagea sa tête de celui-ci pour voir ce qu'il y avait de l'autre côté. Ses pupilles entrèrent en contact avec une forme animalière plus grande que lui, mais plus fine également. Sur son visage apparut rapidement une sorte de sourire. L'animal semblait seul, mais loin d'être égaré. C'était bien la première fois que le noiraud apercevait un daim seul, sans son troupeau. Qu'est-ce qu'il l'avait amené ici, loin de tout, en plein milieu d'une forêt ? Nul ne le saurait. Les minutes qui suivirent parurent longues pour le canidé.

Il brisa l'attente en se mettant à courir dans un galop rapide et soutenu. Son arrivée imprévue surprit l'animal qui se mit aussi tôt à fuir. Le loup se savait plus rusé et habile. Ne prenant pas le chemin derrière le daim, il prit celui-ci qui se situait sur sa droite. Une sorte de raccourci qui menait droit sur celui de l'animal. À une différence près : sur le sien, il y avait des obstacles. L'ébène franchit bientôt le premier sans difficultés : un tronc d'arbres renversé dont un saut suffit à l'enjamber. Les autres, c'était des buissons pas assez denses pour stopper leur traversée, mais assez pour pouvoir le freiner. Il les gravit sans aucun mal, connaissant le chemin à éviter pour ne pas s'écorcher. Sortant des buissons aussi vite qu'il pouvait, il accéléra de nouveau son allure. Avant d'arriver près du daim. En contrebas, l'animal continuait de courir sans savoir où aller.

D'un coup, Wamblee bondit sur son dos, l'empêchant de courir. Il l'aplatit avec son poids et empoigna bientôt son cou avec ses crocs, le blessant. Remontant vers sa jugulaire, le prédateur enfonça à nouveau sa mâchoire à l'intérieur, la coupant net. L'encolure du daim tomba lourdement au sol, rejoignant son corps. Satisfait, le loup le traîna sur plusieurs mètres avant qu'un son ne vienne perturber son retour.

Plus haut, un rongeur sautillait doucement, provoquant un bruit de feuilles à chacun de ses pas. Il n'avait pas encore vu le loup si on en jugeait la tranquillité qu'il dégageait. Pas de chance pour lui. Linceul des Âmes lâcha sa proie pour s'approcher de lui silencieusement. Il n'avait pas besoin de courir ou trottiner pour parcourir les quelques mètres qui les séparaient. Une fois que l'animal s'arrêta, le prédateur s'attaqua à lui, le chopant aussi tôt par le cou. Il le décolla du sol et le secoua dans tout le sens. La vitesse étourdit le rongeur qui perdit connaissance. Il en profita pour faire craquer ses os sous sa mâchoire.

Le Navnik rentra avec ses deux victimes sur le territoire de sa meute.

www

résultat des dés:

codage de whatsername.

Dim 8 Nov - 18:39

Lancers du jour

codage de whatsername.

Dim 8 Nov - 18:39

Le membre 'Wamblee' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Dé de chasse' : 4, 4, 12

Dim 8 Nov - 18:51

Un bilan mitigé.

force: 58, agilité: 40, endurance: 34

La nuit venait de tomber sur le bois lorsque le prédateur ouvrit les yeux enfin. Il avait attendu ce moment toute la journée, posé paisiblement sur le sol boueux, à l'abri sous un chêne. La chanson de la pluie avait rythmée son sommeil et apaisée son cœur. Lui, un grand loup de son espèce. Mais pour pas longtemps puisque désormais, la rage faisait battre l'adrénaline dans ses veines. Il marchait tel un rôdeur, l'encolure basse et les pupilles en alertes, tout comme ses oreilles. Rien ne pouvait lui échapper à présent.

Un petit groupe de lièvres surgit soudain devant lui, sans le prévenir. Un canidé peu avisé aurait eu un mouvement de sursaut. Pas lui. Se rapprochant près du sol, il observait ses proies. Avant que l'une d'elle ne le repère. Affolé, la pauvre bête alerta les autres, les faisant détaler aussi tôt. Pas de chance pour le noiraud qui se contenta d'hausser les épaules avant de continuer son chemin.

À peine quelques minutes s'étaient écoulées lorsque Linceul des Âmes vit de nouveaux animaux. Des écureuils pour être exact. Grignotant des glands tombés au sol, les animaux étaient trop occupés pour remarquer la menace qui planait au dessus de leur tête. Profitant de leur insouciance, il bondit au milieu du groupe, sur l'un d'eux. Coinçant sa queue sous une de ses pattes postérieures, il mit tout son poids dessus pour empêcher sa proie de s'enfuir. Les autres détalèrent, mais il s'en fichait pas mal. Le loup se retourna vivement sur l'écureuil, faisant monter doucement son museau contre son poil chaud. Tétanisé, sa victime ne pouvait pas bouger. Le prédateur mit rapidement fin à sa vie, n'étant pas d'humeur à jouer avec elle aujourd'hui.

Ainsi, il rentra au bercail pour offrir sa proie aux Navniks, faute de la donner aux Sekmets.

www

résultats des dés:

electric bird.