NOM : Delirium Tremens.
AGE : 5 ans.
SEXE : Mâle.
MEUTE : Navnik.
RANG : Guerrier.
AUTRES INFORMATIONS : Il est fous. Il a perdu la tête. Des voix dans la tête, des hallucinations. Faîtes attention à ce que vous buvez si vous ne voulez pas finir comme moi.

JAUGES :
Force : 10.
Agilité : 5.
Endurance : 5.


CARACTÈRE :
Il n'a plus toute sa tête. Il disjoncte complètement. Sa réalité est bien différente de celle des autres. Des voix qui murmurent, il en parle souvent. Personne ne le prend au sérieux. On le dit fous ou cinglé. On le fuit comme la peste, le juge sans le connaitre, l'ignore comme un paria. Il se sent seul avec ses amis invisibles, inexistants. Il ne sourit plus, ne rit plus. Son habitude reste de marbre. Il s'y est fait avec le temps. Il n'a pas d'amis. Il n'est pas méchant, il n'est pas gentil non plus. Il est cet animal sympathique que quand il n'est pas perturbé, dérangé par autrui. Le noireau ne supporte pas qu'on se moque ouvertement de lui, ça le rend fous. Cela déclenche en lui une rage folle. Il devient incontrôlable dans ces moments-là. Il devient une bête sanguinaire prête à broyer des cranes, briser des os, manger de la chair. Est-il fidèle ? Difficile à dire. S'il ne l'est pas, ce n'est pas de cette façon. Les hallucinations dont il est victime lui cause pas mal de problèmes. En effet, il peut discuter bien gentiment avec un autre loup, puis soudain, ce dernier semble prendre une autre forme devenant un fantôme de passée. Fantôme que le noir se voit d’exécuter sans prévenir. Il bondit, tel un lion sur sa proie. De nouveau, un mot doit vous venir en tête, fuir. Il est inutile de le résonner, il ne vous écoutera pas. Ne le blâmez pas, ce n'est pas de sa faute. Il n'est qu'une victime d'un poison abjecte.

PHYSIQUE :
Le mâle est fait tout en muscle, une carrure imposante. Un pelage d'ébène rappelant le plumage d'un corbeau, oiseau se mauvais augure. Des crocs blancs semblables à la neige d'un parfait jour d'hiver. Des griffes aiguisées comme il le faut, un instinct de chausseur bien entretenu. Un corps entrainé régulièrement. Il n'y a pas de place pour les faibles dans ce monde qui se fane. La couleur de ses iris n'ont rien avoir avec ceux de ses congénères. En effet, leur teinte est grise légèrement bleuté. Il doit cette particularité à ses expositions aux armes radioactives lors des essais par les bipèdes (cf. histoire).

HISTOIRE :
Il ne se souvient pas de grand-chose dû à sa maladie. Il ne se rappelle que de brides de souvenirs. Il n'a pas grandit au prêt de sa mère. Il l'a quitté quand son père a jugé qu'il a été bon de le faire. Il ne peut pas dire de quelle couleur était son pelage, si il était doux, agréable. Non, il ne le peut pas. Son père s'est occupé de lui du mieux qu'il pouvait. Bien sûr, c'était sans compter sur le fait que Delirium aimait s’aventurer dans des endroits dangereux tels que des champs où les êtres humains faisaient des essais d'armes radioactives. Il restait là, à observer ce qui se passait autour de lui, subissant les effets néfastes de son exposition. Son géniteur lui a souvent répété mainte fois de ne pas aller se balader dans des endroits tels que celui-ci mais, rien n'y fait. Le petit est têtu. Quelques mois plus tard, ses iris ont prit une autre teinte de couleur. Le noireau appréciait ce petit plus que les autres ne possédaient pas. Les jours passèrent et tous se ressemblaient. Plus tard, le père partit en promettant à son fils de ramener son frère. Il fut quelque peu troublé par cette nouvelle. Il avait un frère ? manque de peau, il n'a jamais eu la chance de le connaitre. Son père n'est jamais revenu. Ne sachant plus trop quoi faire, il est partit voyagé à travers ce vaste monde. Inconsciemment, au cours de son voyage, il a bu un liquide étrange provoquant un grave problème neurologique. L'ignorant totalement, il a poursuit sa vie ainsi, sans se soucier du reste. Il a rejoint une petite meute afin d'avoir de l'aide. La vie en communauté n'est pas évidente surtout quand on est malade.

MON PARRAIN / MA MARRAINE : Aucun.