[Juste pour info, Yroen a été contaminée par la maladie qui s’est répandue sur les terre de AFF, d’où sa forme qui n’est pas au top et ses éventuelles hallucinations à venir ]

La journée avait été longue pour Yroen. La louve avait accompagné un groupe de chasseurs jusqu’à la frontière nord de leur territoire. Les Esobeks avaient eut beau chercher, flairer et marcher encore et encore, ils n’avaient pas réussi à trouver la piste d’un quelconque gibier. Après de longues heures de traque, la troupe avait finalement décidé de faire demi-tour et était rentrée l’estomac vide.

Lorsque les loups Esobeks arrivèrent enfin dans les ruines de l’ancienne ferme humaine, la nuit était tombée, et la lune rependait sur les environs un pâle halo de lumière. Yroen s’était attardée quelques instants pour boire de longues gorgées d’eau au petit ru qui coulait non loin de leur repère. La louve se sentait lasse et épuisée. Son corps était de temps à autres parcouru de petits tremblements comme si elle venait de courir sur une longue distante. Yroen sourit pour elle-même. Encore une fois elle avait sans doute surestimé ses forces. Une bonne nuit de sommeil lui ferait le plus grand bien et demain, elle repartirait chasser, mais en solitaire cette fois. Yroen se dirigea vers le petit tunnel qui menait à la cave en ruine. Là, la louve s’allongea le long d’un mur de pierre et s’assoupit presque aussitôt.

Cette nuit là, ses songes furent agités et sombre. Une ombre ailée allait et venait sans cesse, rependant dans son sillage une un étrange pressentiment. Yroen se réveilla en sursaut plusieurs heures après le lever du soleil. Le cœur battant, la louve observa avec stupeur les alentours avant de finalement reconnaitre le repère des Esobeks. Yroen reposa son museau sur les longues pattes couleurs fauve étendues devant elle. Tout en essayant de retrouver son calme, elle essayait de se souvenir de son cauchemar et de ce qui venait de la réveiller,  mais en vain.

Après plusieurs minutes passées à contempler la paroi rocheuse de la cave, Yroen se redressa et bailla longuement. Elle avait eu beau dormir de longues heures, il lui semblait qu’elle venait à peine de fermer les yeux et ses pattes continuaient à flageoler légèrement. La louve secoua la tête de droite à gauche pour se réveiller et décida d’aller prendre l’air. Décidément il faisait aujourd’hui une chaleur étouffante dans la cave. C’est alors qu’un bruit de pas résonna dans le tunnel qui menait à la sortie et qu’une louve au pelage blanc surgit.

Yroen ne pu réprimer sa surprise. Les Sekmets avaient-ils décidé de passer à l’attaque ? Non, son odeur n’était pas celle du clan du brasier blanc. Tout laissait à penser qu’il s’agissait d’une solitaire. L’intruse ignorait sans doute qu’elle était là dans le repère d’un clan. Son erreur aurait pu lui couter la vie si elle n’était pu eu la chance de tomber sur l’héritière Esobek. Cependant, bien qu’étant d’une nature réfléchit, Yroen ne pouvait tolérer plus longtemps que l’on viole ainsi l’endroit le plus privé de son clan. C’était ici même que les réserves de nourritures étaient entre posées et que les louveteaux étaient gardé en sécurité. Il était donc hors de question de laisser une étrangère y rester plus longtemps.

Yroen s’avança vers l’étrangère d’un pas lent, le regard noir et laissant échapper un grondement sourd. Elle déclara alors d’une voix glaciale :
-  Tu n’as rien à faire dans le repère des Esobeks étrangère. Fais immédiatement demi-tour où alors je serais obligée de te chasser par la force.

Si cette louve avait un temps soi peu de jugeote, elle comprendrait immédiatement son erreur. Mais après tout, peut-être que son intrusion était volontaire et qu’elle savait parfaitement ce qu’elle faisait. Dans ce cas là, Yroen n’aurait pas d’autres choix que de défendre son territoire au prix de son propre sang s’il le fallait …

[EDITION : un petit oubli ^^ F=25 / A=27 / E=27)

(aucun problème, j'avais vu qu'elle était contaminée)

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feat Naïa & Yroen

Alors, j'attendais, en fait, je bloquais, un peu la sortie. Cependant, l'odeur que j'y avais perçue était celle d'une louve, mais elle avait également, une odeur de maladie. J'espérais que cela n'était pas contagieux, je venais d'arriver ici et j'étais perdue et ce n'était pas le temps de tomber dans la maladie. Alors, je reculais, pour me protéger de la maladie. Ensuite, je remarquais que la silhouette était en train de se mouvoir. Je l'entendis se lever et se diriger vers moi ou encore vers la sortie. La louve ne semblait pas très heureuse de me voir là. Et vu qu'elle s'était rapprochée, elle sentait encore davantage la maladie. Au départ, elle avait été surprise de me trouver là et après, elle me regarda avec un regard mauvais et me grondait dessus.  

Elle me dit que je n'avais pas affaire à être là, mais je voulais rejoindre une meute. Elle me demandait de faire immédiatement demi-tour ou sinon, elle me ferait sortir par la force. Alors, je me reculais, un peu pour m'éloigner de la maladie. Je durcis un peu mon regard.

"Si je le désire, je sortirais, mais vous me disiez que vous vouliez me sortir par la force, mais ce n'est pas par méchanceté, mais votre santé ne semble pas super bonne. Vous sentez la maladie à plein nez."

Je me redressais et la regardait et lui dit.

"Cependant, je vais faire demi-tour, mais ce n'est pas pour vous faire plaisir. "

Alors, je reculais puis revint où la pente douce et je la grimpais à nouveau et ensuite, je m'assis et je regardais la louve en avant de moi, qui se révélait être une louve grise aux pattes fauves. Elle était tout de même imposante, mais en même temps elle ne me faisait pas peur. Alors, je la fixais de mon regard orangé comme les couchers de soleil.

"Je viens d'arriver sur ce territoire et je vous avoue que je me sens un peu perdue et je me cherche une meute. J'aimerais y trouver l'alpha des Esobeks, j'avais entendu des trucs ici et là, sur ce coin de pays, en faisant le chemin, jusqu'ici. Je sais, qu'il y avait deux meutes et j'aimerais entrer dans celle des Esobeks, en tant qu'espionne."

Je continuais de fixer la louve malade de mon regard orangé. J'attendais qu'elle me réponde. Ensuite, je regardais la louve en avant de moi et je lui dis mes deux noms.

"Je suis Naïa, mais on m'appelle aussi Lueur de Nuit, je réponds aux deux noms."

Ensuite, je regardais le paysage et de nouveau la louve grise.

"Et vous?"

Il ne me restait qu'à attendre la suite des choses.

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Yroen leva les yeux au ciel. Pourquoi ses congénères voulaient-ils toujours donner l'illusion de contrôler la situation. "Je ne sors pas pour vous faire plaisir" * ... Bien-sûr que non, petite solitaire ... tu sorts pour assurer ta survie, voilà tout ...*. En effet, Yroen avait beau ne pas très en forme ces derniers jours, elle ne doutais cependant pas un instant pouvoir rivaliser avec l'intruse en combat singulier. D'autant plus qu'en plein territoire Esobek, il lui suffisait d'un seul hurlement pour voir arriver des renforts.

Yroen regarda d'un œil noir la solitaire faire demi-tour et remonter le tunnel. L'Esobek lui emboita le pas pour s'assurer qu'elle quittait bien les lieux. Arrivée à l’extérieur, Yroen pressa la louve pour l'éloigner de l'entrée de la caverne. Une fois qu'une distance raisonnable était enfin instaurée entre la solitaire et l'entrée de la cave, l'Esobek rompit le silence.

-Comme tu sembles nouvelle dans le coin, nous en resterons là, mais un petit conseil : ne t'avises plus de remettre une pattes dans notre repère. Tu risquerais de le regretter amèrement. D'autres Esobeks n'ont pas ma ... diplomatie dirons nous. Quittes également notre territoire au plus vite si tu ne veux pas avoir plus d'ennuis.

Yroen jeta un dernier regard à la louve avant de faire demi-tour. Il était inutile de se montrer agressive pour si peu. D'autant plus qu'à cet instant précis, l'Esobek ne rêver que d'une chose, retourner s'allonger dans la cave en espérant dormir encore un peu. C'est alors que la voix de l'intruse résonna à nouveau à ses oreilles. Yroen se stoppa et fit volte face. Ainsi, elle cherchait donc à intégrer une meute ... intéressant.

- Il n'y a plus d'Alpha Esobek depuis plusieurs lunes, mais étant l'une des héritière de la meute, tu peux m'adresser ta requête ... Je me nomme Yroen. Tu dis donc vouloir intégrer notre meute ? Voici donc la raison de ton imprudence. Je dis bien imprudence, mais qui laisse deviner un certain cran ... Pourquoi vouloir intégrer nos rangs et non pas ceux des Sekmets ? Qui me dis que tu n'es pas l'un de leurs espions ? Ni vois là aucune malice, ... mais en ce bas monde, on apprend à se méfier de tout le monde ...

[Navrée, j'ai du mal à aligner deux mots :s Dans ma prochaine réponse, je proposerai à ta louve une petite épreuve pour savoir si Naïa est apte à intégrer la meute ]

(aucun problème)

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Je continuais de regarder la louve grise aux pattes fauves. J'attendais la suite des évènements, la louve si je n'aurai pas voulu intégrer sa meute, m'aurait laissé une chance de partir et de ne pas revenir. Mais mon but, si j'étais venu jusqu'à pénétrer dans la grotte, c'était parce que je voulais entrer dans cette meute et oui j'avoue que j'avais eu du cran. Elle disait que j'avais été chanceuse de tomber sur elle, car d'autres loups n'auraient pas été aussi diplomates avec moi.

"Je vois, mais comme je disais, si j'ai osé pénétrer presque dans la grotte, c'était pour demander quelque chose."

Ensuite, la louve fit demi-tour, mais elle avait entendu la dernière phrase que j'avais dit avant. Ensuite, la louve revint vers moi et me regardait. Cependant, elle ne semblait pas me croire que je veux bien entrer dans sa meute. Alors, je léchais mon portail et j'attendais qu'elle parle. Elle m'apprit donc qu'il n'y a plus d'alpha esobek, depuis plusieurs lunes et c'est exactement ce que j'avais entendu et ce n'était pas pour avoir le rôle d'alpha. Elle me dit qu'elle était une héritière de la meute et je pouvais lui adresser ma requête, je fis un signe de tête, signe que j'avais compris. Ensuite, la louve me donna son nom, elle s'appelait Yroen. Elle semblait surprise de savoir que je voulais intégrer sa meute, je n'étais pas venu ici et j'avais presque pénétré dans la grotte, ce n'était pas pour rien, car je voulais me joindre à eux. Elle disait que c'était la raison de mon imprudence, c'était effectivement le cas.

Elle ajoutait qu'elle disait imprudence, mais que j'avais du cran, eh oui j'en avais. Parce que, je trouvais que la meute Esobek semblait mieux. Puis, je crois que les paysages du territoire des Esobeks est plus beau que celui de l'autre meute. J'allais lui dire pourquoi, j'avais décidé ça, quand elle aurait terminé de me parler. Elle se mit même à croire que j'étais une de leurs espionnes, mais pas du tout, comment je pouvais l'être, je venais d'arriver aujourd'hui même, j'avais quitté mes montagnes enneigées, il y a un bon moment, maintenant. Elle ajoutait que je ne devais y voir aucune malice, mais qu'il fallait se méfier de tout le monde. Très bien, alors j'allais lui expliquer pourquoi.

"Enchantée de vous rencontrer.  Parce que, je crois que les lieux du territoire Esobek sont plus beaux que celui de l'autre meute. Je trouvais également, que cela semblait être la meute qui me correspondait le mieux. Je n'ai pas croisé bien des loups, mais je voulais intégrer une meute, car j'ai toujours vécu dans une meute et j'ai décidé de me joindre à cette meute, car je trouvais que cela semblait beaucoup mieux. Vous croyez vraiment que je serai une de leurs espionnes? J'ai mes valeurs et quand je décide à qui je veux donner ma loyauté, rien ne peut changer ça.

Puis, je ne peux pas être une de leurs espionnes, je viens d'arriver ici, juste avant de vous croiser. Cela fait plusieurs jours que j'ai quitté mes montagnes enneigées et j'ai beaucoup marcher pour me rendre ici. Je peux comprendre, car oui, il faut se méfier beaucoup aujourd'hui, mais vous n'avez pas à vous en faire, je ne suis pas une de leurs espionnes, je ne connais aucun loup de cette meute et eux non plus. Vous pouvez être assurée, je ne fais pas partie de leur meute. Je suis prête à vous le prouver si vous le désirez."

Ensuite, je continuais de regarder la louve grise de mon regard de braise orangée. J'attendais toujours, je ne savais pas, si elle allait me soumettre à une épreuve, mais si c'était le cas, j'étais prête à la relever.

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Yroen observait la louve blanche du coin de l’œil. Leurs terres plus belles que celles de Sekmets ? Cette affirmation était bien amusante ... L'Esobek sourit amèrement et après une courte pause répondit d'une voix cinglante :

- J'ai beau avoir grandi sur ce territoire, je n'y ai jamais trouvé quoique ce soit "beau". Que ce soit ici ou chez les Sekmets. Ici, tout n'est que mort et désolation ... La vie y est rude et notre existence est un combat de chaque instant... Personnellement, si j'avais la chance d'être une solitaire comme toi, je passerai mon chemin pour tenter de trouver une terre plus ... hospitalière. Mais soit, admettons que tu dises la vérité.

Yroen fit une courte pause. D'ordinaire joviale et bienveillante, elle souhaitait montrer à cette jeune louve que les Esobeks n'étaient pas pour autant une meute naïve et ouverte à n'importe qui. La décision d'intégrer un nouveau membre n'était pas à prendre à la légère. Si cette louve devenait Esobek, elle aurait accès aux stocks de nourriture et à la nurserie. Les deux choses les plus importantes et vitales pour la meute. Naïa avait beau ne pas appartenir aux Sekmets, ses paroles n’étaient que du vent. Rien ne pouvait prouver dans l’immédiat si la louve mentait ou non … Seul le temps prouverait la loyauté de la louve …

- Notre meute n’accepte pas les nouveaux membres si facilement. Tu dois tout d’abord nous prouver que tu ne seras pas un poids mort ou un handicape pour nous. Comme tu le sais, il est difficile de nourrir un clan. Nous devons assurer notre propre survie, ainsi que celle des plus jeunes et des plus anciens incapables de chasser. C’est pourquoi nous ne pouvons accepter un nouveau membre qui serait incapable de survenir à ses besoins. Prouves moi que tu es une bonne chasseuse en me rapportant une proie ici même avant le crépuscule. Si tu y arrives, je considérerais ta requête avec plus de sérieux. En revanche, si tu échoues inutile de revenir. Nous te chasserons de notre territoire sans aucune pitié…

[Je te laisse répondre jusqu'à ce que tu attrapes une proie J'espère que tu auras de la chance avec tes lancés de dé ]

[Tiens, tu trouveras tout ce qu'il te faut sur le lancé de dé de chasse juste ici : https://neworld.forumpro.fr/t3-systeme-de-jeu . Postes autant de messages que nécessaire pour attraper quelque chose. Une proie est suffisante pour convaincre Yroen. Mais si tu veux en attraper plusieurs fais comme tu le sens Ca remplira un peu les réserves du clan car nous sommes proche de la famine ]

Yroen écouta la louve blanche avec attention. Elle semblait déterminée et sûre d'elle. Deux qualités de grandes valeurs ...

- Chasses où bon te semble ... du moment que tu arrives à trouver quelques chose. Je te conseille juste d'éviter le territoire des Sekmet. Ils n'apprécient guère les voleurs de gibier ... N'oublies pas, reviens avant le crépuscule. Si tu réussis nous verrons ce que nous pourrons faire de toi ... Maintenant vas. Le temps t'es compté.

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Je continuais de regarder la louve grise aux pattes fauves, j'attendais qu'elle réponde à ma question, avant de partir en chasse. Peu de temps, après, la louve me répondit que je pouvais chasser où Est-ce que je voulais, mais que je devais éviter le territoire des Sekmets, car ils n'appréciaient guère les voleurs de gibiers, je m'en doutais. J'hochais la tête, puis par ailleurs, je n'allais pas chasser dans ce coin-là, ils étaient près de la ville et des hommes, j'avais moins de chance de trouver quelque chose. J'allais chasser dans les alentours. Elle me rappelait également, que j'avais juste qu'au crépuscule pour trouver une proie et la ramener ici.

Elle ajoutait que si je réussissais, elle regardait ce qu'on pourrait faire de moi. Cela m'insulta un peu, je n'étais pas une chose et je n'étais pas un handicap non plus, je le savais et j'étais une bonne chasseuse aussi. Je ne dis rien, je restais normale et neutre, mais j'étais déterminée. Pour terminer, elle me disait d'y aller, car le temps m'était compté. J'acquiesçais et je regardais le ciel, j'avais quelques heures devant moi, quelques unes, j'en avais à peu près 2h30, j'espérais que j'en aurais assez pour lui montrer ma bonne foi.

"Très bien, alors je pars maintenant."

Ensuite, je fis un signe d'au revoir et je me dirigeais vers le bosquet que j'avais vu en arrivant. Je pris le pas, puis je partis dans cette direction-là. J'espérais trouver quelque chose et j'espérais en ramener au moins deux. Comme ça, Yroen pouvait savoir que je n'étais pas un poids mort et que je pourrai aider à la survie de la meute. En marchant un moment, je vis les limites du bosquet en avant de moi. Alors, j'accélérais puis j'entrais dans le bosquet. Je me mis à humer l'air et je me mis à regarder autour de moi et sur le sol pour trouver des proies. J'arrivais dans le bosquet et je lui trouvais un air sinistre et terne, tout était mort ou presque, quelques petites pousses d'arbres étaient en train de pousser, mais je me demandais si je pouvais trouver quelque chose ici. C'était clair, qu'il devait avoir des terriers d'animaux, cela j'en étais sûre. Je marchais encore dans le bosquet, quand je crus entendre des petits grattements.

Alors, je m'arrêtais et gardait tout mes sens aux aguets. Je pris mon mal en patience, je devais attendre. Alors, je trouvais un buisson fort touffu qui était près des grattements que j'avais entendu et je me cachais derrière, je me tapis carrément sur le sol. J'attendais, je ne savais pas combien de temps, j'allais devoir attendre, mais je le ferai. Quelques temps, plus tard, je vis un lapin sortir de son terrier, à sa vue, je me mis à saliver, mais je ne le mangerai pas pour l'attraper, je devais le ramener à la meute. Alors, je m'approchais doucement de la proie en rampant sur le sol, puis je me préparais à bondir.

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'Dé de chasse' : 11

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Alors, après avoir entendu quelques instants, j'avais vu le lapin et j'avais bondi dessus. Le lapin n'avait même pas eu le temps de fuir. Alors, en étant sur son dos, je lui brisais le cou. Le lapin gisait mort maintenant et moi j'étais toute sale, à cause du sang, mais j'avais réussi et c'était ça qui comptait. Cependant, je ne voulais pas revenir à la tanière, juste avec un petit lapin, je savais que je pouvais ramener quelque chose de mieux. Alors, même si mon estomac, avait envie de se faire remplir par le lapin, que je venais de tuer, je décidais que je devais attendre. J'allais continuer de chasser pour ramener quelque chose, d'un peu plus gros. Pour ne pas me faire voler ma proie par des solitaires, je creusais un trou et j'y mis mon lapin mort. J'allais me souvenir de son emplacement. Je le déposais dans la fosse que j'avais creusée assez profondément, puis ensuite à l'aide mes pattes arrières, je l'enterrais de nouveau. Il ne fallait pas qu'un autre loup tombe sur mon lapin. Quand, j'eus fini de l'enterrer, je marchais dessus plusieurs fois pour bien taper la terre, comme si il n'y aurait jamais eu de trou ici.

Après, mon travail, je reculais et j'observais mon œuvre, cela ne paraissait pas du tout qu'un trou venait de se faire recouvrir. Cependant, je devais trouver quelque chose, pour masquer le sang frais. Je m'assis et je me mis à réfléchir. Après, un petit temps de réflexion, je me rappelais avoir vu des fougères non loin, alors, je partis et en arracha avec mes dents et je revins près de mon lieu de chasse et je me mis à balayer le sang avec ma fougère. Cela avait enlevé un peu le sang, mais cela paraissait encore un peu, alors je me mis à recouvrir cela de terre. Quand je fus satisfaite, je repartis à la chasse et je me dirigeais vers une autre forêt que j'avais aperçu en m'en venant ici. Ce n'était pas sur le territoire des Sekmets, mais sur les territoires neutres. J'observais le ciel, le temps continuait à filer, alors, ne voulant pas manquer de temps, je partis à la course vers la forêt des pendus. J'avais au moins, déjà pris une heure pour ça et il m'en restait 1heure30 même un peu moins, car je devais revenir à la tanière avant le crépuscule.

Alors, je continuais de courir pour me rendre à la forêt des pendus. Après, une bonne quinzaine de minutes, j'étais à l'entrée de la forêt puis ensuite, j'y pénétrais. Cette forêt aussi était sinistre, mais il devait avoir sans doute des chevreuils qui vivaient ici. Mon autre proie que je voulais ramener c'était une biche, les femelles étaient assez faciles à chasser contrairement aux mâles et même les petits c'était encore mieux. Je voulais ramener soit une biche ou un faon. Je me mis à me promener dans la forêt les sens aux aguets puis je surveillais les sentiers de terre battue. Je marchais tranquillement, quand je sentis l'odeur des chevreuils. Alors, je m'approchais doucement et je me cachais, oui en avant de moi, il y avait un petit troupeau de chevreuils. C'était surtout des biches, mais à les voir, au niveau des mamelles, elles leur semblaient pleines, car il y avait une odeur de lactée. Alors, les faons devaient être cachés non loin. Alors, tout en restant cachée, je me désintéressa des adultes et je me mis à chercher les faons.

Leurs mères les cachaient, en attendant qu'elles aillent manger et elles revenaient pour aller les allaiter. Alors, en restant cachée derrière un conifère assez fourni, je surveillais les femelles aller et venir. Je savais que je devais être patiente, mais j'espérais qu'une d'entre elles iraient bientôt allaiter son bébé. Alors, une bonne demi-heure passait, il me restait un peu moins d'une heure pour revenir à la tanière. Une femelle se détacha du troupeau et se dirigeait vers la gauche dans la forêt, alors je la suivis discrètement. Je n'ai pas eu à marcher bien longtemps, que la mère me montra l'endroit où elle avait caché son faon. Je souris et elle ne m'avait toujours pas perçu. Le vent était sur mon bord. Elle l'allaita et ensuite, elle regardait partout pour voir s'il n'y avait pas de prédateurs et elle partit quand elle se sentit rassurée. J'attendis qu'elle disparaisse de ma vision et quand ce fut fait, je sortis de ma cachette et allait bondir sur le faon...

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'Dé de chasse' : 5

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Cependant, quand j'allais bondir, le mâle du troupeau arriva de nulle part et vint défendre le petit faon, j'ai dû me battre contre lui, je grondais très mécontente, puis j'essayais du moins de le blesser, mais je réussis à quelques reprises puis je continuais de me battre contre lui. Il me blessait avec ses bois et ses sabots, je gémis, je m'étais fait avoir, je n'avais pas vu le cerf, alors, il avait senti le danger que le petit courait. Je le blessais à plusieurs endroits, dont la gorge, mais je n'avais pas atteint la jugulaire, alors, il allait survivre, mais moi il continuait de me frapper et je continuais de gronder et je feintais, mais ses coups étaient plus forts et comme j'étais toute seule. Je décidais de reculer, je le fixais d'un regard mauvais puis je me mis à gronder. Je disparus de sa vision et je revins vers les biches, mais le mâle avait bramé et les femelles allaient chercher leurs petits et le suivirent dans son sillage avec les faons.

"Raté j'étais si près de l'avoir."

Je grondais, j'étais fâchée contre moi, bien sûr, j'avais mon lapin, mais je devais trouver autre chose. Alors, je m'assis puis regardait le ciel, l'heure avançait, il me restait à peu près 50 minutes. Je devais faire vite, alors je décidais de retourner vers la tanière et j'espérais trouver quelque chose en revenant. Je marchais, et je boitais légèrement de la patte arrière droite, le cerf m'avait envoyé dans les airs avec ses bois et j'avais mal tombé sur ma patte. Elle n'était pas cassée, mais je crois que je me suis tordue la patte et cela me faisait mal. Il m'avait également envoyé un coup de sabot au niveau du flanc, me coupant légèrement. Je me léchais la plaie quelques minutes et je repartis vers le territoire. Tout en revenant vers le territoire, je vis sur ma gauche, du mouvement, alors je me tournais et regardait, je vis une silhouette grise, avec un masque noir et des rayures noires sur la queue. Alors, je souris, j'avais peut-être une chance de l'attraper, malgré ma patte blessée.

Il filait rapidement, mais je fis pareil, même si ma patte me faisait souffrir, je n'allais pas laisser s'échapper cette proie. Le raton-laveur avait été vu à mi-chemin entre la forêt et la tanière. Je partis à sa suite et je remarquais des roches non loin et je savais qu'il allait passer devant, alors je le laissais courir et prit une autre direction, alors, le raton-laveur s'était arrêté sans doute, il pensait que j'avais abandonné la chasse à cause de ma patte. Il s'arrêta en plein devant un rocher qui le surplombait, alors je grimpais dessus et allait lui sauter dessus...

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'Dé de chasse' : 7

(Jauge: Force: 10 Agilité: 9 Endurance: 9)

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feat Naïa & Yroen

Je bondis sur le raton-laveur mais celui-ci m'échappa, alors je grondais, je me mis à le poursuivre, il allait sans doute vers son terrier, malgré ma patte qui me faisait affreusement souffrir je continuais de lui courir après. J'allais l'attraper, je ne voulais pas revenir avec un seul lapin. Alors, je me donnais de nouveau du courage, j'allais y arriver, malgré que ma patte me faisait vraiment mal et la blessure de mon flanc aussi. Je savais qu'après cela, j'allais devoir me reposer, pour faire guérir ma patte. Je continuais de courir après lui, il se dirigeait vers notre tanière. Je me rapprochais vraiment de lui et j'étais où j'avais laissé mon lapin. Alors, je réussis à la rejoindre et je bondis de nouveau sur lui, j'allais l'avoir c'était certain.

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'Dé de chasse' : 4

(Jauge: Force: 10 Agilité: 9 Endurance: 9)

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Je le manquais de nouveau et je me laissais choir sur le sol pour reprendre mon souffle, ma patte n'était plus capable de me porter et le raton laveur avait entré dans son terrier. J'étais découragée, j'avais réussi qu'à attraper un lapin.

"Ce n'est pas mon jour de chance, surtout pas avec une patte maganée."

Je restais allongée quelques minutes et je regardais le ciel. Il fallait que je retourne au terrier, bientôt ce serait le crépuscule. Alors, je me levais et allait déterrer mon lapin qui était toujours là. Alors, je le pris dans ma gueule, le secouant un peu, pour retirer la terre et je pris le chemin vers la tanière en boitant et ma plaie avait cessé de saigner, mais c'était une vilaine plaie, la coupure était nette et précise. Alors, je traversais le bosquet au ralenti et je vis les collines au loin qui se rapprochaient davantage puis après quelques temps, j'étais arrivée et je pris la direction du terrier, alors je m'assis devant et déposa mon lapin au sol. Alors, je levais ma tête et hurla à Yroen que j'étais de retour avec quelque chose.

Puis, j'attendis qu'elle arrive. Je bougeais un peu et je laissais échapper un gémissement au niveau de ma patte et je me mis à la lécher de nouveau puis j'attendais, en plus, mon ventre grondait famine. Alors, je me couchais tranquillement et je continuais d'attendre en somnolant. Au moins, j'avais réussi à relever mon défi, elle voulait que je ramène une proie et j'en avais ramené une. J'aurai aimé en ramener davantage mais aujourd'hui n'avait pas aidé. Si ma blessure à la patte n'aurait pas été causé par ce cerf, j'aurai sans doute réussi à attraper ce raton-laveur.

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(up)

Yroen avait regardé la louve solitaire s’éloigner en trottinant. La princesse ne savait pas bien quoi penser de cette nouvelle candidate. Quel étrange volonté de chercher à s’installer sur des terres si pauvres et désolées ? Mais après tout, qu’importe. La dénommée Naïa avait sans aucun doute ses raisons. Si elle voulait intégrer la meute des Esobeks, et bien soit. Mais avant cela, elle devrait revenir victorieuse de sa chasse.

En attendant le retour de Naïa, Yroen était retournée se reposer dans la tanière. Elle avait dormi plusieurs heures, mais d’un sommeil agité et délirant. Elle fut réveillée en sursaut pas un hurlement doux et serein. Elle ne l’avait encore jamais entendu, ce n’était donc pas celui d’un Esobek. Il ne pouvait s’agir que de Naïa. Quel autre loup n’appartenant pas à sa meute prendrait le risque de hurler à deux pas de la tanière de la meute ?

Yroen se releva avec quelques difficultés. Sa tête tourna quelques secondes, puis sa vision se stabilisa. La louve pris une profonde inspiration et s’engouffra dans le petit tunnel qui menait vers l’extérieur. La solitaire se tenait là, droite et fière, son pelage blanc maculé du sang de sa victime : une petite boule de poils ensanglantée posée le long de ses pattes avants. Yroen s’avança elle d’un pas lent et tranquille. Ce qu’elle avait d’abord pris pour le sang du lapin était en réalité celui de la louve. Une fine plaie maculait l’une de ses pattes et laissait échapper un mince filet de sang. Yroen ne fit pas de commentaire et ne prêta pas d’attention particulière à la blessure. Elle s’assit face à la louve, le visage impassible, dénué d’une quelconque expression. Le lapin qui gisait entre les deux louves était une maigre proie, mais c’était toujours mieux que rien. En ces temps de pénuries, il était même remarquable que la louve ai réussi à dénicher du gibier en si peu de temps.

- Je vois que tu as réussi l’épreuve, même si tu sembles avoir rencontré quelques difficultés…  Bien, très bien ….  Un loup qui n’est pas natif de la meute des Esobeks et qui souhaite nous rejoindre doit être capable de subvenir au moins  à ses propres besoins et mieux encore à ceux de la meute si possible. Néanmoins, avant de te permettre de nous rejoindre, je dois en savoir plus sur toi. Ton passé, ton voyage jusqu’ici, tes ambitions …  Je conçois que le passé et le passé et que nous avons tous le droit  de prendre à nouveaux départ quelque soient les fautes que nous avons bien pu connaitre. Cependant, je dois en savoir un peu plus sur toi avant de t’autoriser à intégrer la meute. Enfin, comme tu t’en doutes, chaque membre de la meute doit remplir une fonction. Cette organisation est essentielle pour notre survie. Les chasseurs, les sentinelles, les nourrices, … chacun de ces rôles a une grande importante. Que penses-tu donc pouvoir apporter à notre meute ?

Yroen continuait de fixer la louve de son regard doré. Attendant patiemment que la solitaire réplique.

[Navrée pour le délai, je n'ai pas beaucoup de temps en ce moment. Cependant, sache que je ne t'oublie pas Je me suis permise de rapporter ta chasse dans notre garde manger étant donné que le décompte du mois a lieu demain et que nous sommes proche de la famine. Ce serait dommage de ne pas compter ton lapin.]