Force : 38 Agilité : 41 Endurance : 39

Je marche d'un pas tranquille à travers les arbres de la foret des pendus. Des hommes morts, c'est là ou est leur place, pendus à la vue de tous. Et, je savoure toute l'ironie de la situation des bipèdes morts pendus à des arbres. L'arbre étant l'un des éléments les plus symboliques de la nature. Il semblerait que les hommes sont parfois punis pour leurs crimes et ce de la plus belle des manières. Il est temps de continuer cela à ma manière. Il est temps de contre attaquer. Je sais ce que vous vous dites. Vous vous dites et voilà il est reparti dans sa vengeance personnelle. Il reprend sa croisade pour expier des évènements ayant eu lieu avant le déluge. Vous auriez à la fois raison et tord. Je reprends ma croisade mais ce n'est pas par vengeance. La vendetta a assez durée. Cela ne m'apporte rien à part de la souffrance. Non, si je le fais ce n'est pas pour honorer la mémoire de mes morts mais pour protéger les vivants qui me tiennent à cœur. Ma famille pour commencer. Les bipèdes sont la plus grande menace pour notre espèce. Les querelles intestines à cette dernière sont des broutilles à coté. Alors, emmerder les bipèdes peut être fait pour une bonne cause. Bon, d'accord peut être que je me cherche juste des excuses pour aller piller. Après tout, rien ne vaut un bon pillage, vengeance ou pas. Je traverse les terres de l'est à toute allure et une fois le village des homme en vue, je peaufine mon plan d'attaque avant d'inspecter discrètement les alentours.

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'Dé de Pillage' : 10

Force : 38 Agilité : 41 Endurance : 39

A l'abri derrière le bâtiment en ruine bordant la lisière du village, j'inspecte les alentours. Je sonde l'air environnant de mon museau acéré de chasseur. Un vent m'apporte une brise du village des hommes. Les informations sont les suivantes, il n'y a ni hommes ni chiens à proximité du bétail. Je jette des coups d'œil avertis afin d'être sur que je ne risque rien et que je ne me trompe pas sur la configuration des lieux. Il est hors de question que je prenne des risques inutiles. L'époque ou je flirtais volontairement avec la faucheuse est bel et bien révolue. Je compte jusqu'à dix tout en me remémorant mon plan d'action avant de bondir hors de ma cachette et de me diriger à toute allure vers l'enclos. Une fois devant la barrière, je bondis par dessus puis une fois au milieu des vaches, dindes et poulets. Je savoure le moment la bave aux lèvres avant de porter mon choix sur une dinde bien grasse qui a le malheur de passer devant moi. Je bondis sur la volaille et lui brise le cou d'une patte avant de l'enfourner dans ma gueule. Je bondis de nouveau par dessus la barrière et refais le même chemin en sens inverse à la même allure. Je m'attends à être poursuivi, à ce que les habitants déboulent et se mettent à hurler au loup mais je traverse le village dans un calme relatif. Alors, je dépose ma victime dans ma cachette et j'hésite entre retenter le coup ou rentrer au bercail. Il semblerait que les bipèdes soient occupés ailleurs. C'est une occasion inespérée.

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'Dé de Pillage' : 4

Force : 38 Agilité : 41 Endurance : 39

J'hésite pourtant pendant de nombreuses minutes. Pesant intérieurement le pour et le contre. Le débat intérieur se termine finalement et le oui semble l'emporter alors après avoir vérifié que ma prise est bien camouflé, je sors prudemment de ma planque improvisé mais au même moment un groupe de bipèdes arrive devant les enclos. Ils ont l'air remontés et armés alors je choisis naturellement l'option la plus sage et je récupère ma proie avant de détaler à toute vitesse.

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#1 'Dé de Pillage' : 3

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#2 'Dé de Pillage' : 9

Force : 38 Agilité : 41 Endurance : 39
9=Pillage réussi

Je m'approche du village des hommes avec prudence. Mon dernier face à face avec mes ennemis a indubitablement tourné à leur avantage mais je compte bien leur rendre la pareille.
Je sais très bien que c'est une idée stupide de venir tenter de piller les hommes chez eux alors que je suis blessé même s'il s'agit d'une blessure légère. Mais peu importe, le bon sens m'abandonne quelque fois, je suppose que celle ci en fait partie. J'observe les environs depuis la lisière des bois. Il n'y a pas grand chose à signaler. Les lieux semblent calmes et la voie est royalement dégagée. J'imagine que la plupart des hommes sont auprès de la citerne sur l'autoroute éventrée, en train de tenter de récupérer le plus d'eau possible. J'ai décidé de ne plus m'approcher de ce camion car ma blessure au flanc me suffit amplement mais je n'ai pas l'intention d'arrêter de leur pourrir la vie. Bon, il n'y a pas trente six mille solutions de piller un garde manger. Je quitte l'orée des bois et m'élance vers les enclos. Je connais leurs emplacements par cœur depuis le temps. Une fois devant, je suis soulagé de ne constater la présence d'aucun bipèdes. Mais, je me méfie car cela me parait presque trop facile. Je balaie mes doutes rapidement et me jette dans l'enclos des volailles. J'aurais préféré massacrer un mouton et me nourrir sur place pour narguer mes ennemis mortels mais la raison me pousse à choisir l'option la plus sage. Je bondis dans l'enclos et me jette sur une poule. Je lui brise le cou d'un coup de patte avant de détaler à toute vitesse avec ma proie entre les crocs.

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#1 'Dé de Pillage' : 10

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#2 'Dé de Pillage' : 12

Force : 38 Agilité : 41 Endurance : 39

Je me remets lentement mais surement de ma blessure qui ne sera bientôt plus qu'un mauvais souvenir. Pour fêter cela, je ne vois pas de meilleure façon qu'en effectuant un beau pillage sans accroc. C'est pourquoi, je me dirige vers le village des hommes en ce début de soirée. Un grand sourire étire mes lèvres car j'ai un bon pressentiment et quand bien même je ne parviendrais pas à mes fins, cela sera tout de même une bonne soirée. Car, l'air frais est plus que le bienvenue en cette saison étouffante. Un léger souffle de vent hérisse mon pelage et je savoure ce rafraichissement. La chaleur commence à devenir vraiment problématique. Heureusement, qu'il n'y a plus de problème météorologique. Les lames de foudre sont ce que je déteste le plus. Ces saletés nous forcent à vivre comme des rongeurs. Finalement, mieux vaut un peu de chaleur que ce fléau. J'arrive finalement aux abords du village des bipèdes. Il ne fait pas encore assez noir pour que je profite de l'obscurité mais je pense qu'ils doivent être occupé car je ne détecte pas beaucoup d'odeurs. La citerne doit être plus compliqué à sauver que prévu. Bon, bien que je sois tenté de foncer dans le tas. Je préfère faire preuve de prudence. Alors, je longe l'allée menant aux enclos du bétail en étant le plus discret possible. Ce qui n'est pas mon point fort puisque je ne suis pas un espion mais les chasseurs manient aussi la furtivité du mieux qu'ils peuvent. Je m'arrête à chaque fois que j'entends un bruit suspect. Puis, je repars toujours aussi lentement, je suis entièrement concentré. Je ne me ferais pas surprendre cette fois ci. Plus que quelques mètres. J'ai assez donné dans la subtilité. Je laisse tomber la furtivité et m'élance à toute vitesse vers la barrière. Je bondis par dessus puis chute au milieu des moutons. Ils sentent ma présence et s'affole. Je me jette sur le mouton le plus proche et plante mes crocs dans son flanc. Je savoure le gout du sang s'écoulant dans ma gueule. Puis, je lui bondis dessus ce qui le plaque au sol. Je lacère sa gorge de mes crocs et me mets à me nourrir le plus vite possible. Je sais pertinemment que je ne pourrais pas le transporter tout seul ou du moins discrètement. J'engloutis le plus de viande possible. Puis, une fois rassasié je me dirige vers l'enclos des dindes et je broie la nuque d'une d'elle de mes crocs. Puis, je prends ma prise entre les crocs alors que les cris des bipèdes rompent le silence et je bondis de nouveau par dessus la barrière et détale à toute allure.

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#1 'Dé de Pillage' : 12

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#2 'Dé de Pillage' : 12

Force : 50 Agilité : 55 Endurance : 49
12=Réussi
12=Réussi

Le village des hommes, cela faisait bien longtemps que je ne m'en étais pas approché. Cette puanteur ne m'avait absolument pas manqué mais j'avais oublié à quel point elle était abjecte. Je suis caché derrière une vieille bâtisse abandonnée en très mauvais état à l'orée du village. Le soleil se couche peu à peu sur le nid des bipèdes mais puisque nous sommes en été la nuit n'arrivera pas avant longtemps. Je ne vais pas pouvoir tenter le diable et ramener un mouton ou au moins des morceaux de moutons. De toute manière, une bonne grosse dinde bien dodue est succulente. Pour le mouton, il va falloir que je me trouve un partenaire de pillage. Je reste dans ma cachette pendant une bonne heure, guettant le moindre bruit suspect, analysant toutes les effluves que le vent a la bonté d'envoyer vers mon museau. Il n'y a aucun bipède mais je sens des odeurs canines. Il doit y avoir un chien ou deux. Ils ont surement du décidé de recourir à des chiens de berger. Cela ne vous sauvera pas vous savez. Si un clébard se dresse sur mon chemin, je l'abattrais sans hésitations. La voie est libre. Je m'élance à toute allure à travers l'artère principale. Je ne croise personne. Il n'y a pas un chat dehors. Une véritable aubaine pour moi. Je redouble d'efforts afin d'arriver le plus vite possible à destination. Destination que j'atteins quelques minutes plus tard. Je bondis par dessus l'enclos et retombe au milieu du poulailler. Les dindes et les poules fuient et courent dans tous les sens à mon approche. Un chien de garde bien rachitique à mes yeux débarque et me charge furieusement. J'esquive sa charge et balaie ses pattes avant de planter mes crocs dans son flanc exposé. J'arrache sa peau et la recrache puis après l'avoir grièvement blessé je me détourne. Seuls les braves méritent une mort rapide. L'agonie du canidé est longue et douloureuse. Quant à moi, je bondis dans un tas de dindes et plante mes crocs dans le cou d'une d'elle, le sang inonde ma gueule. Je brise la nuque de sa voisine d'un revers de la patte. Puis, j'enfourne mes prises dans la gueule et quitte les lieux à toute vitesse.

Dé

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#1 'Dé de Pillage' : 8

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#2 'Dé de Pillage' : 4

Force : 50 Agilité : 55 Endurance : 49
8=Réussi

Le village des hommes est toujours égal à lui même. C'est à dire puant et calme. Le silence des environs me parais pour une fois bien lugubre. D'habitude, je me serais réjoui de ce silence mais pas ce soir. Non, ce soir il m'inquiète. J'ai l'impression qu'il s'agit du calme avant la tempête. C'est surement le cas, les bipèdes se sont montrés assez discrets ces derniers temps. Ils préparent surement quelque chose. Ou alors c'est un piège et ils attendent le premier loup qui sera suffisamment courageux ou stupide pour venir les piller. Ils attendent à l'affut, armés de leurs foutus bâtons de feu prêt à abattre le premier canidé qu'ils verront. Je balaie bien vite toutes ces foutues pensées. Non mais c'est pas vrai ! Je suis en train de devenir paranoïaque ma parole. J'ai envie de me filer des claques là tout de suite. Allez, il est temps de faire ce pourquoi je suis venu. Je quitte mon abri et me précipite à toute allure vers les enclos. Je dois me cacher de temps en temps afin d'éviter une patrouille de bipèdes et arrive à destination bien plus tard que prévu. J'arrive devant l'enclos des volailles et bondis par dessus la barrière. J'atterris au milieu des volatiles qui caquètent en se dispersant dans tous les sens. Je bondis sur la première dinde qui se trouve sur mon passage et l'éventre de mes crocs. Je la saisis entre mes crocs et tourne la tète juste à temps pour apercevoir des bipèdes foncer vers les enclos à toute vitesse. Je crois qu'il est temps de faire ma sortie. Je détale à toute allure. Je cours à en cracher mes poumons et atteins finalement la sortie du village quelques minutes plus tard.

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