Bon, un peu de motivation, on va la trouver cette proie! et cette fois-ci une grosse! comme ça et bien je leur montrerais moi. D'un petit trot gracieux je me mit en route. C'est alors que je remarqua des petites tâche écarlate sur le sol de cendre. Je les renifla et observa avec bonheur qu'elle sentait le lapin. Y'avais t-il un lapin non loin? Je suivie les traces, les remontant une à une. je faisais tout de même attention de ne pas me perdre mais maintenant je conaissais très bien cette forêt. Passant un coup de langue sur mon museau je finis par entendre des petits couinements déséspéré. Alors je m'approcha de la source de ce bruit que je trouvais si grisant et exitant. cela éveillait-il un instinc bestiale et sadique en moi que je ne conaissais pas? Certainement. Car quand j'atteint enfin la bête elle était là, blesser, le regard terrifier et suppliant. Je m'assis alors, l'observant. Puis après plusieurs minutes je me mit enfin à jouer avec lui. Ben c'est vraie c'est drôle! enfin pour moi. Les corbeaux croissèrent. à non! pas question qu'on prenne mon lapin! je lui sauta à la gorge, mordant le plus fort possible comme m'avais raconter maman, puis je le traina avec difficulter vers la tanière.
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Plus tards dans la journée je décida de repartir chasser. Mais cette fois-ci j’espérais qu'il y est un peu plus d'action! Alors au petit trot je foula ma terre natale. Je sentais de délicieuses odeurs un peu partout, ça se mélanger! les oiseaux dans les arbres était hélas inaccessible. Quel dommage! Mais bon, fallais continuer de chercher non? Alors je continua ma route tranquillement. Puis là un petit truc passa sous ma truffe: Un écureuil? ouais! toi tu est à moi. En poussant un petit grognement joueur elle s'élança à sa poursuite. Là se fut un véritable parcours du combattant. L'animal passa par dessus un tronc et je fut obliger de faire de même. Mais qu'importe, je tenais bon. Je devais surtout compter sur mon endurance! surtout au moment ou je passa au milieu des ronciers. Mais la queue de l'animal roux s'accrocha aux épines, alors je put l'atteindre et planter mes crocs dans sa nuque. Je l'avais attraper! toute seul! et dieu sais à quelle point j'étais fier.
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