J'avais trouver une habitude à la chasse tous les matins, pourquoi ? pour garder la forme, après tous je ne fais rien de mes journée, donc je consacre mes matinées à la chasse de petite proie. Je retourne a mon lieu favoris, près de la cabane du chasseur ou je cherche comme tous les jours, une odeur me permettant de trouver une proie.
Le corps baissé, le museau au sol, frolant la terre, je renifle, tous en continuant d'avancer, pas après pas, pour trouver quelque chose. C'est sur un feuillage, qu'une odeur me vint, le sol n'est pas très himide et l'air pas trop sec. L'odeur qui me vint est un volatille, une poule, une poule d'eau pour être préscis ! J'avance en direction de l'odeur, esperant entendre ses bruits en avancant, il m'a fallut plusieurs pas avant d'entendre le sol craquer. Des branches, son cris, les bruits bien distinct de l'animal.
Je continue, et m'allongea sur le sol, analysant ma proie, je ne comptais pas rester éternellement derrière un buisson a l'attendre. Je bondis donc de ma cachette, et couru en direction de l'animal, celui-ci, m'ayant repérer s'enfuit. Petite course tranquille, jusqu'a ce que je lui fou ma patte sur la tête, je le griffe et le blaque au sol, un coup de croc et l'achève.

Je pris avec moi le volatile, le tenant entre mes crocs, je retourne près d'un arbre, celui ou j'y dépose mes proies pour continuer ma chasse. Je creuse un trou, toujours le même, qui devient plus facile a creuser a force, j'y dépose ma proie et laisse de la terre par dessus pour la cacher. Je me retourne et repart a la recherche d'animal a chasser. Je ne pensais tomber nez à nez avec une belette qui c'était fourrer dans mon trou, je leve la tête, renifle et plante ma gueule dans le trou que je venait de creuser, essayant d'attraper la belette avec mes crocs, je n'y suis pas arriver ...
Elle gigote, et reussis a sortir en creusant un trou de l'autre côté, je la suis doucement, elle ne marche pas très vite, j'ai comme l'impression qu'elle souhaite retourner dans un trou près de l'arbre, le trou étant sur son tronc. J'accélère mon pas et bloque son chemin avec ma patte avant, avec la second patte je m'aproche et l'attrape avec mes crocs, ses poils m'hérissais le nez, mais je fini par la tuer d'un coup de de crocs.

Comme a mon habitude je retourne au pied de l'arbre pour y mettre mes récompenses de chasses. Encore aujourd'hui la chasse est bonne, je suis assez contente de moi. Pourtant il y a toujours des proies trop grosses pour nous ... c'est ce que je remarqua rapidement en me baladant sur ses terres, un petit groupe de sanglier rodant près de la cabane ... je n'était pas en condition de les attrapa et passa mon chemin.

Je m'avance, de plus en plus profond sur ses terres, je venait de croiser une proie trop grosse pour moi, et ce qui m'attend devant n'est pas mieux ... une biche, son odeur me remplis les narines, même si j'ai envie de l'attraper et de savourer sa chair bien fraiche, bien juteuse, je m'épuiserais trop rapidement a lui courir après, encore une fois je l'abandonne et fait demi-tour.

Il n'y avait plus d'eau, et l'atmospere seche se faisait sentir. Les herbes hautes la cachaient, son pelage gris la dissimulait parmis les animaux. Ils cherchaient l'eau, mais il n'y en avait que tres peu. Et les predateurs, comme toujours, cherchaient leurs proies. La louve laissa sa langue pendre hors de sa geule, au dessus de ses crocs, restant silencieuse. Adoptant une motion feline, un pas, rasant le sol de sa potrine, elle sentit les herbes deseschees sur les quelles elle pauser la patte s'incliner et venir caresser son ventre. Le soleil etait bas, mais encore or, et sa lumiere chaude se refletait contre son visage, lui caressant les joues. Elle hesita a s'arreter et sauter sur une roche pour fermer les yeux quelques instants, laisser tomber ses paupieres et se baigner dans les rayons glorieux de magestueux roi du jour. Mais l'instinct de la chasse gagnait toujours la bataille, car elle ne pouvait s'imaginer paresseuse, immobile sur le sol. Et puis, elle sentait la faim gronder dans le creu de son estomact, peu bruyant mais plus intense, agnant en force a chaque vague de chaleur.
Elle baissa la tete un moment, s'assurant de bien marcher et de ne pas faire d'erreur, calculant chaque pas. Puis elle se releva legerement, inclinant la tete vers le coter. Humant l'air, elle detecta l'odeur de gibier. Sans faire sentir son excitation, elle changa de diraction, regardant entre les herbes pales, jaunient. Elle s'aprocha, mesurant les distances. Tout d'abbord elle trouva sa proie, sachant que ca n'etait pas une bonne idee. Une jeune biche, grande et plutot fougeuse. Mais la faim avait gagnee, elle ne retournerai pas sur son choi. La regardant attentivement, elle resta patiente, attendant qu'elle vienne vers elle le plus possible sans quelle ne puisse sentir son odeur. Le vent souflait en sa direction. Elle devrait bientot charger. La gazelle la verrait et sauterai avec surprise, un bon puis elle se mettrai a son tour a courire, cherchant la securitee. Mais quand un predateur rode, nul endroit et sauf...

Et c'est ce qui arriva. Avec un saut hors des haies, Forever suprit la gazelle. A peu de crocs pres elle s'echapa a temps avant une colision. Les deux, proie et predateur, entreprirent une course, longue et difficile sous la chaleure, toutes deux courant pour leurs vie, ou pour leurs morts? La gazelle restai fougeuse pendant un moment de course sans repis. Mais la vielle Forever, suivait, comme elle l'avait toujours fait, bien que moins facilement que ses propres jours de jeunesse. Mais elle avait l'experience, celle qui guidait souvent ses pas pour des virages au quelle elle avait aprit a s'attendre, coupant les coins et ratrappant le gracieu animal. Jamais bien loin.
La cadence se frena alors un peu, l'absence de nourriture et d'eau n'aidait que a ralentir. For' restait tete de mule, comme elle l'avait appris a faire depuis son enfance, jamais, non jamais lacher. La petite queue blanche etait a quelques foulees. Elle sentait son energie s'aspirer a chaque foulee aussi, mais elle l'ignora. Ce n'etait pas la premiere. Meme si elle entendait quelque part une pensee, la voie de la raison, lui ordoner de calmer sa course et arreter, elle n'etait plus de tout jeune age. Elle mordit sa levre inferieure et refusa d'ecouter, comme elle l'avait toujours trop fait, rebelle.
Elle bondit alors, etirant ses muscles, s'etalant pour creuser ses griffes dans la chaire de la cuisse aux poils courts et bronzes par le soleil, dore a point. Elle se crampona et reussit a enfin a les faires tomber a terre, ses griffes toujours dans la chaire tendre; quatre petites rivieres de sang coulairent le long du pelage roux, des lignes noires. Puis la terre, le sol, frait et calme. Un terre revelation qu'a nouveau elle hesita a y rester et reprendre son soufle, seulement quelques instants. Mais elle y renonca et ouvrit ses yeux pour voir que la boche des savannes remuait comme un bou, se debattant. Elle se dirigea vers son cou et se mise a mordre.
Mais tout d'un coup, sans qu'elle ne puisse bouger, elle n'eue que le temps de l'entendre que un sabot vaillant envoya un puissant coup, lui infligant alors une enorme douleure a travers son crane. Elle cria, hurla de douleure, mais cela ne fit qu'empirer le mal. Et encore, un autre, avec une patte avant cette fois cis. Elle ne l'avait meme pas entendu, elle etait sourde. Elle n'entendait que ses respirations paniques, essanyant de se battre elle aussi.
Le sang, un torent de liquide rouge et plus chaud que l'air coula alors le long de son front, son museau fracture, et couvrit alors ses yeux. Elle etait maintenant aveugle. Aupres d'elle, elle sentit l'autre bete, mourante comme elle, son coeur jeune desespere, essayant de se battre, rester animer.

[ +2 F
+ 2 A ]

Le ciel était sombre, je pense qu'il risquais de pleuvoir aujourd'hui, il fallait faire attention. Comme chaque matin, je retourne près de la cabane du chasseur pour aller chasser. Malheureusement, la vu de ce ciel n'a fait sortir personne ...

Je marche, pas par pas, reniflant doucement, la gueule frôlant le sol. La terre était humide et fraiche, soit il avait plu, soit il allais pleuvoir. J’espérais trouver quelque chose avant ... Je me balade donc, espérant trouver, marchant lentement, je ne pouvais courir dans mon état. A force de chercher, une odeur me vint, une odeur intéressante, je la suit doucement, et entend crier une bète, j'ai l'impression qu'un animal est blesser, l'odeur du sang et du fer. Sans doute par l'un des piège du chasseur. Je continue d'avancer, et su que l'animal était là en face de moi, je le lecha les babines et lui sauta dessus, le lapin blesser ne reussi pas a faire un bond et fut attraper dans mes griffes. Je me relève, et l'achève.

[ + 2 A ]