Souffle acide du vent, larmes brulantes du ciel. Le monde ne ressemble plus aux paysages d'autrefois. Les cataclysmes ont frappé, des colonnes de flammes et de fumées se sont élevées sur l'horizon. La guerre. La guerre des hommes. Et nous, les loups n'avons eu d'autres choix que de fuir. Nombreux furent nos congénères emportés. Nous traversâmes les plaines cabossées, les forêts de cendres, poursuivis par la faim, traqués par la mort.
Notre salut, nous le devions malheureusement à ceux qui avaient provoqué notre malheur.
J'avais vieillie et cela faisait un moment que maman nous avait amené dans la grotte de la meute. Au grand dam de moi et de mon frère, il n'y avait pas vraiment de louveteau et pour cela, j'étais triste, car on devait jouer seul ou encore jouer ensemble. Nous étions les seuls louveteaux de la meute, maman avait été la première louve à en avoir. Alors, aujourd'hui, sous la belle neige fine, j'étais sortie me déverrouiller les pattes. Je gambadais joyeusement, mais ma mère me laissait sortir, mais je savais toujours qu'elle me surveillait du coin de l'œil, quand elle n'avait pas à partir et comme aujourd'hui, ma mère était à l'orée des collines en train de se reposer tout en me surveillant.
J'étais tannée d'être toujours sous la garde de maman, mais maman me disait qu'il pourrait m'arriver bien des choses, elle avait peur qu'il m'arrive quelque chose. Je soupirais, et je me demandais ce que j'allais faire aujourd'hui, j'avais envie de jouer et de m'amuser. Alors, je me promenais dans les collines, sous l'œil attentif de maman. Je soupirais puis j'essayais de me trouver quelque chose à faire. Alors, je gambadais près de maman qui était en bas d'une colline, puis moi j'avais monté dessus puis je m'amusais tranquillement en sautillant et je décidais d'essayer d'attraper des flocons de neige. Je sautais et je riais toute seule. Maman, me disait de faire attention, car je pouvais dévaler la colline, mais je continuais quand même.
te voilà qui trottait ainsi, tu avait franchi la ligne du territoire des Esobeks, mais tu t'en fouter, après tout n'était tu pas libre de circuler ou tu voulait? et que cela déplaise ou non ce n'était pas un problème. La neige était pour le moment poudreuse et le soleil éclairer ta fourrure brune au différente teinte. Ta grande cicatrice sur la joue gauche te tracer alors un sourire diabolique partant de la commissure des lèvres, alors que pourtant tu ne sourier pas. Tu te balader ainsi sur les colline sans te soucier de rien, un moment de paix. tu t'arrêta alors les oreilles pointer en avant en entendant un bruit: un louveteau trottinait et enquiquiner sa mère. Tant de naïveter dans ces petites créature souvent incapable de se défendre! Mais bon, qu'importe. tu t'assis en haut de la colline et plongea ton regards menaçant dans leurs yeux, un regards froids. Celui du chasseur qui observe sa proie. Tu attendez simplement qu'il réagisse alors, tu attendait ainsi que l'un ou l'autre ais la moindre réaction.
(désolé de ce texte SUPRA MEGA COURT OMFG mais je doit vite faire les bagage pour partir pour noël XD)
Pendant que je jouais tranquillement, seule et pendant que maman me surveillait, je m'amusais tout en jouant tranquillement. Je riais toute seule et ma mère me disait de faire attention, je l'entendais, mais je ne m'en occupais pas vraiment. Je me mis à dévaler la colline de nouveau et à la remonter, mais la dernière fois que je remontais la colline, je tombais presque nez à nez avec un loup, alors je poussais un gémissement et reculait.
"Qui êtes-vous?"
Ensuite, je continuais de regarder en bas puis je glapissais de nouveau, fort, pour me faire entendre de maman, car le loup en avant de moi, n'avait pas l'air très amical.
"Maman, maman, il y a un méchant loup."
Ensuite, je voulais descendre, mais je trébuchais, sur un rond de glace et je dévalais la colline. Je poussais des cris et peu de temps, après, je fus enfin entre les pattes de ma mère, puis je lui montrais du bout du museau le loup.
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Lun 29 Déc - 17:23
Midnightsun-Tybalt
Petite sortie de reconaissance
Tu entender en contre bas des gémissement de peur, tout ça tout ça...Le même train train habituelle des familles qui te croise, puis enfin une louve monta la colline vers toi.
"Comment osez-vous pénétrer sur la terre des Esobek et effrayer ma fille? Qui êtes-vous?"
j'eu un petit ricanement. Toujours les même questions dis-donc.
Pour pourquoi je vient ici c'est parce que j'en est envie. Qui je suis, Mange lumière.
Tu te contenta de donner ton nom de lune pas besoin de plus de pression. tes muscles se tendir, tu ne pouvait plus résister à cet enfin; Tu esquissa un sourire sombre et plongea vers la louve, tu prit de l'élan et sauta sur la femelle blanche, lui mordant le cou. Sentir le sang dans ta bouche voilà quelque chose que tu adorer, tu resserra ta mâchoire et ce le plus que tu pouvait.
(je vais faire jouer Naïa sur le même compte de Midnight, cela va être moins compliqué, mais pour différencier, j'écrirais en couleur pour Naïa)
Petite sortie de reconnaissance
fiche de présentation - blanc frost
J'entendis ma fille japper de peur, alors, je me relevais d'un bond, ma fille semblait être en danger. "Midnight !!"
Alors, j'allais gravir la colline, quand une petite boule de poils noirs, dévalant la colline et en arrivait entre mes pattes, elle tremblait de tout son petit corps. Alors, je la regardais et lui demandait où qu'elle l'avait vue.
"Où ça ma puce?"
Je regardais l'endroit, qu'elle me montrait de son museau. C'était en haut de la colline.Peu de temps, après, je sentis une odeur, que je connaissais, je me mis à gronder, j'avais reconnu l'odeur, c'était celle d'un hordien. Il n'y avait pas affaire à être ici et ensuite, je l'entendis parler. C'était une voix froide et au fond mauvais. Je regardais ma fille puis je lui demandait de rester près de moi, alors, je montais la colline et je vis le loup. Je grondais.
"Comment osez-vous pénétrer sur la terre des Esobek et effrayer ma fille? Qui êtes-vous?"
Quand je prévins maman, je fus rassurée et je restais sous son ventre, j'avais peur de ce loup et je ne savais pas qui il était. Ma mère, m'ordonnait de rester près d'elle et ensuite, je la vis grimper la colline et moi je la suivis timidement, mais je restais loin derrière, pour ne pas que le méchant loup me croque. Alors, je me couchais sur le sol et je mis à gémir doucement. J'espérais que maman, réussirait à faire partir ce méchant loup. Cependant, je savais que si cela s'aggravait, maman m'ordonnerait d'aller à la tanière et d'aller chercher un autre loup, alors, j'attendais, mais j'avais peur.
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Mar 30 Déc - 15:25
Midnightsun-Tybalt
Petite sortie de reconaissance
Tu entender en contre bas des gémissement de peur, tout ça tout ça...Le même train train habituelle des familles qui te croise, puis enfin une louve monta la colline vers toi.
"Comment osez-vous pénétrer sur la terre des Esobek et effrayer ma fille? Qui êtes-vous?"
j'eu un petit ricanement. Toujours les même questions dis-donc.
Pour pourquoi je vient ici c'est parce que j'en est envie. Qui je suis, Mange lumière.
Tu te contenta de donner ton nom de lune pas besoin de plus de pression. tes muscles se tendir, tu ne pouvait plus résister à cet enfin; Tu esquissa un sourire sombre et plongea vers la louve, tu prit de l'élan et sauta sur la femelle blanche, lui mordant le cou. Sentir le sang dans ta bouche voilà quelque chose que tu adorer, tu resserra ta mâchoire et ce le plus que tu pouvait.
(Hors rp: la connerie au lieu de faire un nouveau message j'ai modifier le précédant donc ya répétition j'éspère que le staff comprendra XD)
Alors, je regardais ma mère parler a ce loup, j'étais inquiète pour elle , je ne savais pas qui il était et il ne semblait pas très gentil et en plus, il y avait sur lui, comme une odeur de charogne.
Maman, lui demandait ce qu'il faisait ici et comment pouvait-t-il oser faire peur a moi. Ensuite, le loup dit a maman son nom de lune, que je trouvais bizarre, alors je voyais le loup faire un mouvement, selon ce que je voyais, il allait sauter sur maman.
"Maman fais attention."
Cependant, je me pris trop tard, Mange-lumière sautait sur maman et la prit a ma gorge. Alors, je poussais un cri de frayeur, ce n'était pas un hurlement, car j'étais encore trop petite pour hurler, mais j'avais crier fort pour prévenir quelqu'un, nous n'étions pas loin de la tanière. J'espérais que quelqu'un m'entendrait, je savais que maman, n'était pas guerrière mais espionne, alors je ne crois pas que la bataille était son point fort.
Alors, quant a moi, j'étais toujours devant ce loup pour protéger ma fille et ma meute, je n'étais pas guerrière mais je savais me battre quand même. Je grondais toujours contre lui. Il me disait qu'il avait le droit de se promener ou bon lui semblait.
"Non vous n'avez pas le droit, partez tout de suite ou c'est moi qui vous fera partir."
Grondais-je de plus belle contre ce maudit loup. Ensuite, il répondit a ma question alors, son nom était Mange-lumière, ce n'était pas son vrai nom, mais je savais que c'était son nom de lune, son nom lui convenait, car il semblait le genre a faire ça.
"Moi Lueur de Nuit, je vous chasse de ce territoire."
Ensuite, j'avais cru entendre ma fille me dire de faire attention, mais je n'eus pas eu le temps de répondre, que le loup me sautait a la gorge, me serrant fort. Je sentais le sang couler. Je savais que je n'aurais pas grand chose a faire contre ce loup, il semblait plus fort que moi, en combat. Cependant, je grondais de plus belle puis essayant de me déprendre de son emprise.
Mes pattes griffèrent le loup au poitrail. Je retins un gémissement, cela commençait a faire vraiment mal. J'entendis ma fille crier de tous ses poumons, elle essayait de prévenir quelqu'un. Je me débattis de nouveau et avec de la misère, je finis par me déprendre de ce loup, mais mon cou était salement amoché.
"Partez tout de suite."
Ensuite, je le regardais de nouveau, d'un regard mauvais, mon regard orangé lançait des éclairs.
lle était en train d'errer sur les terres Esobeks, à vrai dire à ce moment là elle avait surtout besoin d'être seule, pour pouvoir réfléchir, savoir si son avenir allait-être positif en restant dans cette meute. Elle savait déjà qu'elle s'y était attachée aux siens, qu'elle ne serait pas capable de les quitter, c'était ça le risque de rejoindre une meute, on s'attachait généralement à ses camarades et l'envie de partir ne se présentait pas, au cas contraire le remord venait les ronger de l'intérieur. Dressant ses oreilles elle avait cru entendre un petit crie au loin, elle se disait que ce n'était qu'un louveteau qui devait jouer dans la tanière, rien de bien grave en soit, enfin du moins elle l'espérait. Se dirigeant tout d'abord lentement vers la provenance du crie, elle accélérait ensuite le pas en entendant le second hurlement qui voulait en dire long. Ses doutes venaient d'être confirmés, elle sentait l'odeur épouvantable d'un Hordien, il était à la tanière des louveteaux, il allait tout simplement payer.
Un grand loup au pelage commun se tenait devant Naïa, le louveteau n'était autre que sa fille Midnight, c’était elle qui avait hurlé. Le loup en question, qu'elle ne connaissait pas d'ailleurs, se jetait alors sur la louve blanche s'attaquant à sa gorge, Plume était encore trop loin pour agir, entendant un nouveau hurlement elle ne réfléchissait pas plus et s'élançait en direction du loup brun. Le percutant de plein fouet elle venait de le mordre au niveau de sa nuque, la crinière, qui n'était autre que la touffe de poils autour du cou du loup, allait le protéger de cette blessure qui aurait été mortelle sur n'importe quel autre animal. Grognant tout en montrant ses crocs elle restait collée à lui, de sorte à ce qu'il ne s'en prenne pas aux deux louves, cette-fois ci, usant de sa force elle cherchait à le faire chuter pour avoir le dessus sur lui, il était costaud, mais les entrainements de la louve rousse avaient payés et elle allait donc avoir la possibilité de prouver qu'elle pouvait-être une redoutable combattante et que s'en prendre aux Esobeks n'était pas la meilleur des idées.
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Mer 31 Déc - 12:44
Midnightsun-Tybalt
Petite sortie de reconaissance
La louve finit par te faire reculer, et grogna à plein poumons:
Partez tout de suite.
tu rigola comme si j’allais partir...pathétic! mais un bruit de course te fit tourner la tête et tu sentit des crocs t'attraper la nuque, dieu sois louée ta fourrure empêcher le coup de grâce. Le loup blanc, car tu ne parvenais pas à le voir continua de me maintenir au sol. Tu finit par donner un coup d'épaule dans sa mâchoire pour le faire reculer, tu te releva, un long grognement rauque dans la gorge. Te voilà dans une bien mauvaise posture, la louve face à toi sembler plus entrainer que toi, mais tu refuser d'utiliser la carte du cinéma une nouvelle fois, tu refuser aussi de fuir ou d'abandonner, alors tu n'avait pas le choix. Pourtant une odeur familière monta à tes narines...une que tu conaisser très bien...Isha?
Sous les flocons qui tombent du ciel, je m'avance en territoire ennemi. Et pas des moindre, parce que je suis sur les terres des Esobeks, les premiers sur notre longue liste de meurtres prévus. Nous avons beaucoup de travail, nous autres membres de la Horde. Cependant, en attendant que les plans machiavéliques de notre Alpha se mettent en place, j'ai pris l'initiative de surveiller régulièrement les allées et venues de mes compatriotes de meute, parce que j'ai remarqué que cette bande d'idiots sadiques avait toujours le chic pour se mettre dans des situations périlleuses. Ils sont méchants mais tout aussi crétins, et j'ai parfois l'impression qu'ils croient avoir toute la puissance sous prétexte qu'ils sont sous les ordres d'une tarée comme eux. Parfois, ils ne valent pas mieux que les Sekmets que je haie tant. En pleine journée, voilà que l'odeur d'un Hordien m'arrive aux narines. décidément, celui-là cherche toujours les ennuis. Reconnaissant l'odeur de Tybalt, je file à travers les bois pour le retrouver rapidement. Les crics de frayeurs d'un louveteau que j'ai ignoré plus tôt n'étaient probablement pas si insignifiants que ça, finalement. Lorsque je débarque sur un monticule de terre et que l'odeur du sang se porte à ma truffe, je retrousse les babines et lance un grondement menaçant. Je reconnais là une jeune louve crème que j'ai déjà croisé à plusieurs reprises. Si nous nous sommes venus en aide la première fois, je l'ai vue affronter des loups que je connaissais il n'y a pas longtemps et me suis battu contre l'un de ses amis afin de porter secours aux miens. Aujourd'hui, je recommence, mais pour m'attaquer à elle. Dans un grondement sourd je me jette dans la mêlée, percutant la jeune femelle de toutes mes forces pour assurer une distance sécuritaire entre Tybalt et elle. Je la toise de mon regard abyssal et montre les dents, mon corps maintenu droit, en travers de son chemin.
- Recules.
Ma voix n'est pas portée sur un ton haut, mais plutôt basse et rauque, menaçante. Je prends le temps de détailler les deux autres protagonistes. Une louve adulte en bien mauvais état qui, je le suppose, est la victime de mon ami, et une toute jeune boule de poils sombre qui se cache comme elle peut dans les pattes de la blessée. Je fronce les sourcils, je n'approuve pas les folies meurtrières des miens mais les plans de Skull sont clairs et je n'ai d'autres choix que de m'y conformer, la survie de ma petite soeur en dépend et ce n'est pas l'existence de tous ces loups qui me fera oublier la protection de Kaya. Plutôt eux tous, qu'elle. Je fixe la combattante dans les yeux, déterminé à lui rendre chaque coup si il lui venait à l'idée de nous en porter, à mon frère de meute ou à moi.
- Ok. T'es seule, ta copine n'est pas en état de combattre. Tu veux tenter, ou on s'en va ?
Je m'attends cependant à ce que la femelle amochée se relève, parce que je sais que l'instinct maternel vaut plus que tout, même lorsque la mère est blessée ou mourante.
Freux avait décidé de quitter tôt, encore une fois et comme toujours la tanière des Esobeks afin de profiter d”une matinée de chasse pour ses camarades. Il avait aussi, plus tôt, réussit à renifler l”odeur d”une de ses amies. Grand bien lui en fasse, une sortie n”était jamais mauvaise à prendre. Surtout que la femelle lui avait dit avoir eu des petits. C”était une bonne chose pour elle, de se dégourdir les pattes et l”esprit.
Tandis que le mâle Grisâtre s”occupait à adopter une position de chasseur. Glissant tout son poids sur ses pattes avant, bandant les muscles de ses pattes arrières. Il fixait un lapin camouflé grâce à sa fourrure dans la neige, à quelques longueurs de queue devant lui. Gueule ouverte sur la rangée de crocs dont il était maître. Tout était prêt pour qu”il termine sa chasse, comme un roi. Mais un hurlement vint faire fuir son gibier.
C”était un hurlement de louveteau. Plissant les yeux, Freux venait de lever son museau vers le ciel. Pourquoi cette boule de poils hurlait-elle à la mort, comme ça ? C”était pas possible ça, impossible de chasser en paix dans cette région du monde ? Cherchant à s”y reprendre en repérant une seconde proie, une odeur métallique vint caresser les sens du Mâle. Anormal.
Faisant demi-tour sur le champ, truffe agitée. Il semblait chercher d”où pouvait bien provenir cette odeur qu”il connaissait et appréciait tant. Tout crocs dehors, Freux cavalait comme un beau diable. Il avait un drôle de sentiment. Quelque chose ne tournait encore pas très rond aujourd”hui. Finalement, il aurait dû s”y attendre. Rien n”était jamais facile à cerner dans ce monde. Rien n”était jamais comme hier, et ne serai jamais comme demain. C”était toujours la merde, et ça, il commençait à en avoir plein le dos. Peut-être se prenait-il aussi la tête pour rien ? Le louveteau pouvait bien avoir marché sur une épine cachée dans la neige, ou tomber et se faire mal. Si ce n”était que ça, Freux aurait paniqué pour rien. Mais au moins, il aurait eu la curiosité de venir voir.
Tandis qu”il montait une petite butte de terre, perché dessus comme un Alpha, il observait en contrebas. Et pour le coup, il tomba sur le cul. Les yeux ronds, il fixait Plume Rousse qui semblait défendre une Naïa couchée au sol, en sacré état. Un louveteau était collé à la femelle. En plissant les yeux, Freux se dit qu”il s”agissait d”un des petits de son amie. Écarquillant les yeux, lentement, il vint observer les deux agresseurs. Leur odeur ne lui disait foutre rien. Des solitaires ? Il ne savait même pas qui ils étaient. Bon sang. Il fallait rester calme ... Serrant les crocs, il vit rouge, lentement. Devait-il laisser Plume Rousse s”en sortir seule ? Après tout, c”était une guerrière très douée.
Il chassa cette idée en moins d”une seconde, dans un fin grondement. Plume Rousse était une des deux louves qui comptait le plus pour lui dans ce monde. Naïa était son amie. Et, plus important encore. Il y avait un louveteau, dans le tas. C”était le futur d”une meute, les petits. Et comment pourrait-il assumer pleinement son rôle de mentor si il devait avoir la mort d”un petit sur la conscience.
Levant le museau vers le Ciel, Freux lâcha un bon hurlement des familles. Vous savez, ce hurlement qui voulait tout dire. Un Appel pur, dur, et simple à un bain de sang gratuit. Mais après tout, ce n”était pas lui, le fautif, dans l”histoire. Pourquoi s”en prendre à ceux qu”il avait juré de protéger, hein ? Haussant la voix suite à son hurlement, il dégaina ses crocs, dans ce qu”il voulait être une mimique sadique. Pour le coup, même sans sang sur sa langue, il avait purement craqué un boulon.
- Vous vous pensez malin. A vous en prendre à une femelle seule avec son petit ? Vous puez la stupidité et la peur. Vous êtes donc si faible que ça pour devoir attaquer des gens qui ne sont pas une menace ? Comme c”est mignon. On voit donc le vrai visage des gens par leur action. Je vois donc, face à moi, deux personnes qui ont le courage d”un nouveau-née et un cœur de renard. Vous êtes sur le territoire Esobek ! Retournez vous et quitter le maintenant !
Il repensa un instant à ses paroles. Fixant le corps de Naïa. Ses griffes crissaient dans la neige. Oh. Et puis pourquoi leur demander délicatement de partir ? Il allait les forcer à partir, lui !
- Mais avant ça. Il faut vous faire comprendre qu”on ne prend pas les Esobeks pour des débiles.
Le mâle fit un petit bond, sautant de son perchoir de fortune. Avant de débouler aux côtés de Plume Rousse. Le museau bas, ses muscles bandés, prêt à l”action. Il toisait durement les deux loups devant lui. Oseraient-ils attaquer, maintenant que leur supériorité numérique n”était plus qu”une fumée déjà oubliée ? Lui, n”hésiterait pas une seconde.
D”un mouvement rapide, il venait de s”approcher du mâle en face. Relevant sa patte droite vers son flanc, il cherchait à lui assener un coup de toutes ses forces. Plus pour le déséquilibrer que pour offrir une véritable blessure importante. Venait-il d”ajouter de l”huile sur le feu ? Possible.
Mais à l”heure actuelle. Il avait totalement perdu la raison.
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Mer 31 Déc - 14:52
Midnightsun-Tybalt
Petite sortie de reconaissance
Tu entendis alors un long grognement, et une voie s'éleva:
Vous vous pensez malin. A vous en prendre à une femelle seule avec son petit ? Vous puez la stupidité et la peur. Vous êtes donc si faible que ça pour devoir attaquer des gens qui ne sont pas une menace ? Comme c”est mignon. On voit donc le vrai visage des gens par leur action. Je vois donc, face à moi, deux personnes qui ont le courage d”un nouveau-née et un cœur de renard. Vous êtes sur le territoire Esobek ! Retournez vous et quitter le maintenant !
tu rigola en ton fort intérieur, tu ne trouver pas ça lâche, en soit oui c'était lâche mais, tu trouver ça opportuniste. Oui tu était un connards, mais tu n'en avait rien à faire de ce que pense les autres de toi. Mais ce qui était sûr c'est que tu aller de battre et ce qu'importe les conséquence.
- Mais avant ça. Il faut vous faire comprendre qu”on ne prend pas les Esobeks pour des débiles
Tu grogna et voyant le mâle foncer vers toi, il leva la patte en l'air et de sa force imposante il te donna un énorme cou, du sang gicla à cause de ces griffes et tu tomba à terre, te yeux fur animé par une lueur de rage, et non sans difficulté tu sauta sur ton adversaire, lui mordant de toute ta force l'épaule. Ce qui aurait était lâche aurait était de fuir le combat. Tu comptait bien, lui laisser une bonne cicatrice.
Alors, maman avait réussi à se déprendre de l'emprise du mâle et elle essayait de le griffer et de le faire partir, mais j'étais inquiète. Ensuite, je sentis une autre odeur de loup maman, m'avait appris à reconnaître les odeurs des loups et des Esobeks, alors j'étais contente, on avait du renfort. "Maman, on a du renfort."
Ensuite, la louve crème s'attaqua à l'autre loup, mais moi j'étais inquiet et maman était blessée, le sang coulait et salissait sa belle fourrure blanche. Alors, je voulais aider, mais ma mère mit sa patte en avant de moi, puis me regardait, me disant que je ne devais pas bouger. Ensuite, peu de temps, après, une autre louve arriva, alors je me reculais et me tapis de nouveau derrière maman. Ensuite, un autre loup, se pointa mais celui-ci était de notre côté, il avait l'odeur des Esobeks, alors j'attendais. Je ne croyais pas que ma mère allait se relever, mais ce qu'elle fit, même si celle-ci était quand même bien blessée.
"Maman, non."
Je croyais que j'étais finie, mais une louve de ma meute, que je ne connaissais pas, apparut et me défendit ainsi que Midnight. J'avais entendue ma fille dire que le renfort était là. Alors, je me sentais soulagée, la louve crème essayait de chasser l'autre loup. Elle l'avait même attaqué, mais l'autre loup semblait encore en forme, malgré la louve semblait avoir plus d'expérience que Mange-Lumière. Alors, tout à coup, quand je pensais que l'autre loup partirait, mais ce fut le contraire, il ne partit pas, et un autre hordien arrivait, mais celui-ci était un loup. Alors, la louve crème, semblait en force moindre.
Alors, je décidais que j'allais combattre, je ne laisserai pas les membres de ma meute dans le trouble et encore moins ma fille. Alors, malgré ma blessure je me relevais, j'entendis le loup dire que la louve crème était seule et que moi je n'étais pas en état de combattre, alors elle demandait si elles se battaient ou que la louve crème laisse tomber. Je me relevais puis mit mon louveteau en sureté un peu plus loin, mais je gardais un œil dessus, ma fille était derrière moi.
"Peu importe que je sois blessée, je ne vous laisserai pas remporter ce combat et encore moins faire du mal à ma fille et aux autres loups de ma meute."
Je demandais à ma fille de ne pas bouger et je m'avançais puis je me mis à gronder, malgré ma blessure et le sang qui coulait. J'allais aider la louve crème, quand un autre loup de la meute arriva. Les cris de ma fille avait attiré du monde et c'était un bon point, on ferait partir ces loups. Je le reconnus à son odeur et je lançais.
"Freux."
Ensuite, il parlait aux autres loups puis moi je restais là, en train de surveiller ma fille, mais j'étais prête à combattre malgré ma blessure, mon poil de collier s'épaissit et mon grondement fut plus puissant.
Freux rêvait, ou l”autre venait de l”attaquer ? Il sentait son sang lentement couler le long de son corps, tandis que les crocs de son attaquant s”étaient glissé profondément dans sa chair. Ce loup s”était jeté sur lui trop vite, sans aucune jugeote. Il venait d”exposer à portée du mâle Grisâtre trop de points intéressant pour qu”il ne laisse passer cette chance de s”en prendre à lui et le mettre hors jeu. Freux n”entendait plus rien d”autre que le sang qui battait à ses tempes, son cœur s”affolait dans sa poitrine. Peur ? Oh non, bien sûr que non. Bien au contraire ! L”adrénaline du combat montait. L”envie de goûter au sang de sa cible ne faisait que grimper, de secondes en secondes. La douleur brûlant son épaule ne faisait que le rendre d”autant plus fous. Encore un peu de temps, et Freux ne serait plus du tout celui que ses camarades pouvaient avoir connu. Non.
Ses yeux luisaient d”une haine sans bornes, sans nom. Tandis qu”il venait foudroyer son adversaire du regard. Lâchant un puissant grondement sonore. Tel un appel à une mort certaine. Le mâle laissa sa tête pendre sur le côté. Tandis qu”il se laissait tomber au sol. Avant de bander ses muscles et d”envoyer ses crocs pointer vers le cou de sa cible. Il cherchait là à le mordre pour qu”il puisse être libéré des crocs de son adversaire. Mais usant de son agilité afin de le bloquer au sol, grâce à ce coup bien placé.
Car après tout. D”une morsure à l”épaule. Son adversaire avait exposé librement son cou aux crocs de notre Freux. Et malheureusement pour son ennemis, Freux était rapide et endurant. Là où leurs forces semblaient être égales. Il allait devoir user de ça.
Ainsi fit-il. Son attaque était rapide et vive. Et leur corps à corps ne pouvait laisser qu”une très infime chance à l”autre mâle de s”en sortir.
Fiche de personnage force: (105/100) agilité: (105/100) endurance: (105/100)
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Messages :
1610
Points :
6
Âge Personnage :
8 ans
Rang :
Guerrier
Niveau Rang :
Leader
Maladie :
Blessure :
Détails blessures :
Pas de Blessure
Détails maladie :
Pas de Symptôme
Bonus Force :
+4
Bonus Agilité :
+4
Bonus Endurance :
+4
Bonus score de chasse :
Score de chasse : +8
Nombre de lancers quotidien :
Nombre de Chasse : 6
Bonus Santé :
Bonus Santé : 0
Bonus/Malus Autres :
BONUS COMBAT (Trait de faction)
– Réduit la gravité des Blessures reçues
– Augmente la gravité des Blessures de l'adversaire
BONUS CHASSE (Trait de faction)
– 2 proies au lieu d'une seule lors d'un 18 au dé
– 1 Lancer de dé de chasse supplémentaire
– +3 aux résultats du dé de chasse
Compétence d'élite :
Jeu 8 Jan - 20:01
Midnightsun-Tybalt
Petite sortie de reconaissance
Tu te débats, tu porte autant de coups que tu le peux. Non, tu n'es pas ce genre de loup prêt à fuir à la première menace. Tu n'es pas un Hordien pour rien, et il va falloir que ces crétins d'Esobeks commencent à le comprendre ! Tu gronde sauvagement face à ton adversaire, ignorant complètement Isha à tes côtés. C'est bien son genre, de venir te porter secours. Ca ne t'étonne pas le moins du monde. Tu lui mords la chair de l'épaule avec excitation, la bagarre tu connais, et chaque adversaire t'excite plus que le précédent. Tu adore ça. Alors, sans hésiter, tu continue. Certes tu te mets à découvert à plusieurs reprises, mais ça ne t'empêche pas de garder dans ta gueule des morceaux de chair et de sentir le sang de ton adversaire couler entre tes dents. Délicieux ! Après un moment, il s'arrête pour te regarder. Ni une, ni deux, tu te jette sur lui pour lui mordre rageusement la joue, tirant sur la peau pour la lui découper. Dans le même temps, le loup se ramasse sur lui-même, prêt au combat. Alors que tu es accroché à sa peau après une nouvelle morsure bien placée et bien douloureuse, tu te retrouve bloqué sous la masse de ton ennemi. Tu gronde de frustration, de surprise et de douleur. Il est lourd, ce gros con ! Il te tient à l'encolure, pour un peu il t'aurait pris la gorge. Tu as eu chaud, mais une fraction de seconde pourrait suffire pour qu'il plante ses crocs dans ta jugulaire. Tu ne cesse de gronder, de te débattre et d'extérioriser tes crocs. Tu voudrais l'abattre, lui faire payer. Mais qu'est-ce qu'il est gros ! Tu n'abandonne pas pour autant et, tout en te débattant, tu ris d'un air narquois.
Freux, si tu pouvais genre, laisser l'énergie nécessaire à Tybalt pour qu'on rentre chez nous après, ce serait pas mal. Parce que bon, faire genre on marche tranquillement côtes à côtes alors qu'il a la gorge arrachée, ce serait un peu irréaliste.
Bon. Je n'étais pas venu pour me battre, mais soit. Puisque ce lourdaud d'Esobek a décidé de faire son malin, je ne vais certainement pas le supplier d'épargner nos vies pour cette fois. D'autant que, effectivement, Tybalt a eu tort et qu'il mérite une bonne correction. Cependant, ce n'est pas à l'un des leurs de lui infliger. Il prendra suffisamment cher lorsque Skull saura ce qu'il a fait, et puis moi je veux ma part du gâteau. Je bannis fermement la lâcheté, et je peux garantir que cet idiot en prendra pour son grade quand on sortira de là. Cependant en attendant de pouvoir lui faire prendre conscience qu'on attaque pas plus faible que soit, il faut encore que je nous sorte de là. Je gronde férocement face au mâle gris, mais il a déjà sauté sur Tybalt et ce dernier ne se laisse pas faire. Je lance un regard à la jeune femelle dont, au final, je n'ai jamais connu le nom. Ou je ne m'en souviens plus. Je suis tellement intéressé par mes semblables, que les noms me passent souvent par-dessus la tête. Je me souviens qu'elle ne semblait pas psychotique, ou sadique ou quoi que ce soit d'autre du genre. Cependant, le contexte n'est pas le même que lors de nos dernières rencontres. Aujourd'hui, c'est l'un des miens qui s'est attaqué à l'un des siens. Mais pour autant, je ne suis pas là pour perdre la vie, et je sais comprendre quand une situation n'est pas avantageuse pour moi. Donc, puisque je ne suis pas venu attaquer, et que dès le départ j'ai cherché à faire le moins de dégâts possible, j'inspire profondément pour garder mon calme. Tout ce temps de réflexion n'a duré que quelques secondes, mais en ce petit instant les deux adversaires se sont déjà portés des coups violents.
Montrant les dents, grondant puissamment, je me jette sur l'Esobek. Grâce à l'effet de surprise, je lui fais lâcher prise. Une fraction de seconde plus tard, bien avant que l'un des deux combattants n'ait eut le temps de se relever j'attrape la nuque de mon acolyte sans la moindre compassion, et je le jette en arrière. Je gronde en le fixant, rien qu'une seconde pour le convaincre de s'immobiliser. Il sait qui je suis. Il me respecte, même un minimum, parce que nous sommes des frères de meute et que, depuis quelques temps, lui et moi nous apprécions. Je me place de nouveau en travers du chemin des Esobeks, sauf que cette fois c'est à trois -ou deux et demi, vu l'état de la victime de mon ami- potentiels ennemis que j'expose mon corps. Je montre les dents, grondant sourdement, et je les fixe tour à tour dans les yeux. Mais, au vue du regard que me lance le mâle, ce n'est pas avec lui que je pourrais parlementer la vie de mon ami. Bon, évidemment il ne mérite pas d'être épargné. Et il ne le sera d'ailleurs pas, parce que je m'occuperais personnellement de son cas, et qu'il regrettera amèrement sa lâcheté. Mais, il est hors de question que je remette son jugement entre les pattes des Esobeks, aussi supérieurs soient-ils. Je continue de montrer les dents de longues secondes, montrant cependant que je n'ai pas l'intention de sauter sur qui que ce soit. Contrairement à mon ami, je ne suis pas un malade mental dépendant de giclée de sang pour me sentir vivre. Si lui est complètement taré, moi, je suis équilibré. Un minimum, en tout cas.
- Bien. Mon compagnon est effectivement un enfoiré. Mais puisque Monsieur Esobek s'est bien défoulé, j'aimerais ramener ce lâche hors de vos terres. Et j'aimerais le faire sans le porter, si possible.
out c'était déroulé si vite, en fait tout s'enchainait en même pas quelques secondes. Freux était là, il fixait le loup marron en montrant les crocs, puis l'autre, celui qui s'en était prit à Naia s'était jeté sur lui, mordant son épaule il l'avait salement amoché, mais Freux était une masse, et l'attaquer frontalement n'était pas une bonne idée, loin de là. Il l'avait donc mordu au niveau du cou, ou de l'échine, en fait Plume n'avait pas trop eu le temps de faire quoique ce soit, elle tentait de rester aux côtés de Naia qui était elle aussi sévèrement touchée. Plume ne voulait pas que l'autre loup, qu'elle avait rencontré avant, ne l'attaque, même si cela ne semblait pas être dans ses intentions étant donné qu'il restait sur la défensive, cela en faisait d'ailleurs un Hordien dangereux, il était plus réfléchit que ses congénères.
- Bien. Mon compagnon est effectivement un enfoiré. Mais puisque Monsieur Esobek s'est bien défoulé, j'aimerais ramener ce lâche hors de vos terres. Et j'aimerais le faire sans le porter, si possible. Hordien.
- Freux, je pense que cela suffit, Naia à besoin de soins, et si ils comptent partir sans que cela ne dérape totalement et qu'il y ait d'autres blessés, je pense que les laisser partir serait plus sage, surtout pour la petite qui n'a pas besoin de voir un tel massacre.
A ses mots elle fixait Midgnith qui était proche de sa mère, la pauvre petite allait-être traumatisée à vie, avec ce qu'elle venait de voir, et continuer se combat jusqu'à ce qu'il y ai des morts n'allaient qu'aggraver la chose. Restant face au jeune loup brun qui avait des yeux violets, elle attendait que son ami se retire lui aussi, mais si il attaquait une nouvelle fois elle n'hésiterait pas une seconde de plus, elle était avant tout une guerrière et malgré le fait qu'elle n'aimait pas "tuer", elle serait obligée de le faire si il retentait une nouvelle fois. Enfin, si ce loup "sauvage" revenait ici il avait intérêt à bien profiter du moment, car si cela se reproduisait la louve rousse ne serait pas aussi clémente.
Je continuais de regarder ce qu'il se déroulait , il y avait du sang et des blessures, puis l'odeur n'était pas agréable et moi après, ce que je venais de voir, j'étais un peu traumatisée, je m'étais même cachée derrière maman. Ensuite, je vis l'autre loup parler disant que son compagnon était un enfoiré celui qui m'avait attaqué, puis plume rousse parlait ensuite, disant que c'était mieux que cela reste comme ça, disant aussi que maman avait besoin de soin. Je poussais un petit soupir de soulagement, puis je fis un petit sourire à plume rousse, je la remerciais d'avoir intervenue de mon regard vairon.
Je regardais les loups, toujours les crocs à découvert. L'autre loup qui était arrivé disait que son compagnon avait été un enfoiré. J'acquiesçais méchamment, surtout s'en prendre à une loupiote. Alors, je dis à l'autre loup qui était venu prêter main forte.
"En effet, c'est un enfoiré surtout pour s'en prendre à un louveteau."
L'autre loup voulait partir sans avoir à le laisser porter, mais moi j'étais prête encore à attaquer si besoin. Ensuite, Plume rousse, car j'avais entendu ma fille l'appeler ainsi, demandant à Freux d'arrêter de se battre. Elle disait que j'avais besoin de soin, en effet je n'y pensais plus, mais quand cela tomba, je ressentais la douleur de ma blessure, puis elle ajouta que ce n'était pas à faire devant une jeune louve, j'étais bien d'accord, ma fille va être traumatisée. Elle était cachée derrière moi et ne bougeait pas. Alors, je la pris délicatement par la peau du cou, mais j'eus un grimacement, ma gorge me faisait mal, puis je m'éloignais un petit peu et dit.
"Oui c'est assez."
J'ajoutais et dit le plus froidement possible envers les intrus.
"On est mieux de tous rentrer chez nous."
Ensuite, je repris ma fille en grimaçant et je me dirigeais vers la tanière, mais je m'arrêtais et déposais ma fille sur le sol. Je lui dis d'y aller et que j'allais la rejoindre.
"Va, Midnight je te rejoins dans quelques instants."
Puis, j'attendais de voir ce qui allait se passer, pendant que ma fille s'en allait vers la tanière et moi ensuite, j'allais devoir aller trouver le guérisseur.
Freux fixait Plume d'un regard où l'incompréhension totale se lisait. Pourquoi voulait-elle les laisser en vie tout les deux ? Juste parce que l'autre lui avait gentiment demandé ? Attends là. C'est quoi ce délire. Ils se permettent de venir s'en prendre à une louve et son louveteau, et devraient sans sortir sans rien ? Non. Aucune chance. Freux ne laisserait pas une chance à l'autre de ne pas partir sans un souvenir de sa défaite. Freux s'était fait mordre. Naïa était blessée plus qu'il n'en fallait pour se faire du soucis, son petit était présent, caché derrière sa mère. Et Freux, lui, bouillait de l'intérieur. On aurait bel et bien pu voir son corps s'embraser.
Le laisser partir ? D'accord. Freux agrippa de ses crocs Tybalt, qu'il ''aida'' à se redresser sans lui demander son avis. Mais le laisser partir sans rien ? ça jamais. Personne n'aurait à traîner personne sur son dos. Mais au moins, lui aussi, boiterait jusqu'à sa tanière. Tandis qu'il le poussait d'une patte pour l'écarter de lui, Freux vint essayer de lui mordre une patte arrière avant de reculer rapidement aux côtés de Naïa. Redressant son échine. Les yeux luisant de haine. Mais il ne leur fit même pas l'honneur de dégainer ses crocs. .
- Qu'on ne vous revoit plus jamais dans le coin. Bande de pourritures. Trouvez vous un honneur, vous pourrez revenir lorsque vous l'aurez trouvé. C'est à dire. JAMAIS. Maintenant, du vent du Territoire Esobek !
Il cracha ses dernières paroles avec un dégoût bien prononcé et un ton hautain à trancher à la hache à deux mains. Cherchant par là à bien leur faire comprendre qui avait gagné cette escarmouche.
Se glissant aux côtés de Naïa, il vint lui offrir son épaule afin de l'aider à tenir debout. Les Esobeks, même blessés, restaient debout, digne, propre et toujours honorable. Eux.
Fiche de personnage force: (105/100) agilité: (105/100) endurance: (105/100)
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Guerrier
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Pas de Blessure
Détails maladie :
Pas de Symptôme
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+4
Bonus Agilité :
+4
Bonus Endurance :
+4
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Score de chasse : +8
Nombre de lancers quotidien :
Nombre de Chasse : 6
Bonus Santé :
Bonus Santé : 0
Bonus/Malus Autres :
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– Réduit la gravité des Blessures reçues
– Augmente la gravité des Blessures de l'adversaire
BONUS CHASSE (Trait de faction)
– 2 proies au lieu d'une seule lors d'un 18 au dé
– 1 Lancer de dé de chasse supplémentaire
– +3 aux résultats du dé de chasse
Compétence d'élite :
Ven 16 Jan - 13:19
Midnightsun-Tybalt
Petite sortie de reconaissance
Tout se passe très vite. A tel point que tu n'as pas le temps de tout comprendre. Le poids de l'Esobek quitte ton corps et, avant que tu n'aie le temps de te relever pour attaquer à nouveau, c'est Isha qui te prend par la nuque et te balance en arrière. Evidemment, il ne te soulève pas de terre, il te tire juste brusquement, et c'est sa prise douloureuse qui te force à reculer. Tu t'arrêtes, les dents à découvert, camouflant à la perfection la douleur dans tes muscles. Tu grogne par réflexe, tu n'as de cesse de jauger ton adversaire au pelage grisâtre. Non seulement il est gros, mais en plus il est moche, ce con-là !
Isha t'insulte d'enfoiré, mais pour toi c'est plus une flatterie. Après tout, tu t'en fous de l'âge de tes victimes, tant qu'elles meurent entre tes dents. L'important, c'est de tuer. Le reste, on s'en tape, n'est-ce pas ? La louve crème est d'accord avec Isha, elle épargne vos vies. Intérieurement, tu souffle de soulagement. Au moins tu ne mourra pas aujourd'hui. Décidément, Isha est le meilleur, quand il s'agit de parlementer. Ton adversaire semble encore sur les nerfs, ce qui te fait ricaner malgré ton essoufflement. La louve blessée se permet une remarque, et tu claque des mâchoires pour la menacer et la remettre à sa place. Pour qui elle se prend ? S'il n'y avait pas eu tous ces adultes, elle serait déjà morte et sa fille avec ! Quelle plaie, ces louves prétentieuses ! Elle commence à s'éloigner avec son petit, puis s'arrête et se retourne. Et commère, en plus de ça ! Grrr ... Cela t'agace, n'est-ce pas Tybalt ? Tu grogne encore, mais c'est vraiment pour la forme. En fait tu attends surtout les ordres d'Isha.
Ton adversaire, lui, ne semble pas d'accord avec les décisions prises. Il aimerait te tailler en pièces, tout autant que tu désire le faire avec lui. Mais ce n'est qu'à charge de revanche, tu le sais parfaitement. Il se croit malin à t'avoir furtivement mordu la patte, mais il n'en a pas terminé avec toi, il aura encore de tes nouvelles, pour sûr ! Sa tronche furax te fait doucement rigoler, il est tellement sûr de lui, cet imbécile !
- Qu'on ne vous revoit plus jamais dans le coin. Bande de pourritures. Trouvez vous un honneur, vous pourrez revenir lorsque vous l'aurez trouvé. C'est à dire. JAMAIS. Maintenant, du vent du Territoire Esobek !
Tu montre les dents, toujours, et tu le fixe dans les yeux. S'il croit que ses menaces et ses insultes marchent sur Isha ou sur toi, il se plante complètement. Tu ne réponds pas, pourtant, et tu attends patiemment que Isha prenne la parole, avec l'intention de lâcher un "creuses ta tombe" à l'intention du loup gris en le fixant bien dans les yeux, lorsque vous quitterez enfin les lieux.