NOM : Aviaei
AGE : 5 ans
SEXE : Féminin
MEUTE : Sekmet
RANG : Sentinelle
AUTRES INFORMATIONS : Une longue trace rose traverse une jeune joue rousse sans pitié, une horrible cicatrice déformant ce beau visage encore innocent. Poursuivant sa route vers l'oreille, formant un masque autour de son œil aveugle. Sinon pourrait-on dire que ses yeux sont vairons ? Sans doute par la couleur bleu-gris du gauche.

JAUGE : Répartissez 20 points entre les jauges (Pour PV, reprendre les infos de la fiche)
Force : 7
Agilité : 4
Endurance : 9


CARACTÈRE :

Dans le temps d'une horrible enfance, un sourire permanent ornait son doux visage de jeune louveteaux ne comprenant rien à l'horrible vie qu'elle va devoir affronter comme la neige de l’hiver. Qui ne se souvient pas de celle louve au poil flamboyant courir énergiquement dans la douce poudreuse ? Rire et s'amuser pour quelque chose de futile. Elle n'a jamais vraiment déteste quelqu'un à part les gens solitaire menteur et égoïste. Trois défaut horrible à ses yeux aveugle. Mais ce temps est passé, il est révolu, nous voilà dans un terrible présent. Devenu froide comme le vent soufflant entre les dure montagnes hivernale. La chaleur qui autrefois brillait dans tes magnifiques yeux a disparue à jamais dans les flammes de l'hiver. Pourquoi tant de haine si soudainement ? Aviaei inspire une tristesse profonde et un malheur constant et un esprit refermé comme un bourgeon refusant d'éclore. A chaque parole aigre sortant de sa bouche on pourrait croire que son cœur se perfore. Son calme rend les choses encore plus exaspérante, la douleur qu'ont peut lire dans son regard nous crève le cœur tel une aiguille. Avoir perdu tout espérance de vie en si peut de temps, comment cela peut-il exister ? La mort semble être son unique solution, mais pense t-elle aux autres qui eux sont auprès d'elle dans les moindres circonstance ? Pourquoi perdre l'espoir qui se trouve toujours devant nous ? Abandonner son chemin et s’arrêter en attendant que ça se passe. En attendant que la mort vienne la chercher pour sans doute aller dans un monde meilleur.

PHYSIQUE :

Dans cette froideur hivernale, courant sur la neige, laissant derrière elle une longue traînée, une ombre s'avance aussi silencieuse que les nuages. Telle une flamme rousse tournoyant dans le vent. C'est ombre n'est autre qu'une louve. Un loup roux flamboyant impossible me dite vous ? Non cette magnifique créature est l'unique œuvre d'un superbe croisement. Elle tient à la fois du loup pour son courage et sa détermination, ainsi que son poil fourni et épais, mais tient de la ruse et de la gentillesse du renard. Le loup et le renard réuni dans ce corps fin et agile. Mais rien n'est parfait, non ? Ses courtes pattes sont rousses mais aussi agile et rapide que celle des lièvres. Elle n'a pas les muscles saillent, mais peu lui importe elle déteste la violence. Des yeux autrefois identique, mais l'un d'eux est devenu aveugle, et perdu sa couleur dorée. Une puissante couleur qu'elle tient de père le renard. Mais tout ça n'existe plus. Tout ces couleurs devenu terne. Le pelage décharné pendant sur ses os fébrile, si maigre que l'ont pourrait sans doute compter le nombre de ses cotes. Un queue autrefois fièrement levé pendouillant sur le sol comme une proie morte abimée. Ses yeux perdu dans le vague, ayant perdu leur éclat d'autrefois, l'éclat de rire. Toujours bordée de larmes salées traversant sont doux visage. Plus de doux sourire non plus, plus qu'un pauvre cœur brisé par le chagrin.

HISTOIRE :

Alors que la course du soleil touche à sa fin, et que silencieusement les nuages continuent leurs chemin, un cri parvint dans le lointain. Un cri de douleur, perce dans ce silence monotone de l'automne coloré. Ce cri strident est celui d'une pauvre louve, d'un noir de jais, elle réclamait son compagnon qui n'étais rien d'autre qu'un magnifique renard à la fourrure de feu. Son ventre rond trahissait des louveteaux à venir, mais la peur émanait d'elle telle l'eau sur la rive. Ses yeux s'écarquillent sous la pression des contraction qui la submerge. Entre le fougère d'une tanière de dernier recoure, une fourrure rousse apparait, elle tient dans la gueule de la mousse imbibée d'eau froide qu'il posa près du museau blanc de sa compagne les yeux agrandit pas la terreur. Des cris presque strident retentissent. Et trois petit boules de poils aussi différente gigotèrent près du ventre maternel, cherchant du bout de leur museau noir de jais, les tétines. Silence. Puis de cris aussi minuscule qu'une goutte de pluie retentirent dans la pénombre. Le renard s'approche doucement les yeux en larme, trop ému pour prononcer un mot.

- Regarde comme ils sont beau ! Comme ils nous ressemblent ! Comment va tu les appeler ? Moi j'aimerai appeler la rousse Aviaei !

- Laisse moi donc nommer les deux mâle. Celui-ci se sera Orion ! Et Pendem pour le roux et noir. Je suis si fatiguée, laisse moi dormir veut tu ?


MON PARRAIN / MA MARRAINE : Freux ^^