NOM : Neela ( Nila)
AGE :1 ans et demi
SEXE : Femelle
MEUTE :Solitaire
RANG : //
AUTRES INFORMATIONS : Ses yeux sont d'un gris violacé, car elle est tomber dans la mer ( les humains jettent des déchet radioactive à l'endroit ou Neela est tomber )

JAUGE : Répartissez 20 points entre les jauges (Pour PV, reprendre les infos de la fiche)
Force : 12
Agilité :4
Endurance :4


CARACTÈRE :
Il est pas facile de connaître mon vrai caractère. Je m’explique à chaque fois que je suis avec mes semblables je n’exprime pas vraiment mes vrai émotions, j’essaie de me donner des airs « cool ». Après tout je suis jeune et j’aime la popularité comme beaucoup de louve, avouez c’est plaisant d’avoir des gens autour de nous qui nous admire et-cetera. J’aime bien faire mon intéressante « moi je ci, moi je ça » sérieusement je crois que je suis le seul canidé au monde à pouvoir placer « Moi je » dans autant de phrases et en autant peu de secondes. J’aime me considéré comme quelqu’un de mature et forte, alors que au fond je sais très bien que j’ai toujours besoin de quelqu’un auprès de moi, que je suis un peu poltronne aussi. Parfois, je rajoute des couches à mes histoires pour donner à ma vie un semblant d’aventure. C’est pas bien méchant, un petit mensonge ou deux ne fait de mal à personne hein ! Sincèrement souvent je me trouve ridicule, mais j’ai tellement peur que les gens se lassent de moi et me laisse tomber que... voilà. Au fond je suis juste une jeune louve qui a besoin d’être aimée et acceptée comme elle est.

PHYSIQUE :
Je suis plutôt grande pour une louve, même un peu trop. De dos on pourrait me prendre pour un mâle, c’est un peu vexant je dois vous avouer. Mais dès que je me retourne et qu’on peut contempler mon fin museau et mon joli petit minois on se rend bien compte que je suis une femelle ! et pas une laideronne sans me vanter. N’empêche j’adore mon visage excepter mes yeux ; violets et ternes. Souvent j’ai l’impression qu’ils mettent mal à l’aise… je n’aime pas ça, des fois les autres détournent le regard. Je suis grise, c’est assez commun chez notre espèce. Ma fourrure est assez uniforme, je parle de la longueur de mes poils. Appart vers la poitrine ou j’ai un gros duvet plus clair, ainsi que derrière les oreilles et à la queue. Mon corps est tout en finesse, j’ai le muscle sec et souple. De longues pattes et des griffes assez proéminentes. Je n’aime pas trop me déplacer pour rien voilà pourquoi elles ne s’usent pas facilement…

HISTOIRE :


D’où je viens…
Je ne sais pas vraiment comment ce nomme l’endroit d’où je viens. À mes souvenirs c’était vers le sud, oui vers le sud. Il y avait la mer. Elle était brûlante. Comme les larmes du soleil qui s’abattaient parfois sur notre territoire. Petite j’y étais tombée dedans, je me souviens encore de cette douleur insurmontable. Quelle idée quand même ? Faire sa tanière à proximité de ces vagues d’acide. Mais bon Maman je sais que tu étais obligée. Sinon ils nous auraient tuées, toi l’Oméga un peu effrontée et moi ta fille -la bâtarde -. On attendue que je sois devenue forte, pour me présenter à la meute – à tes persécuteurs-.

Ma meute, tes persécuteurs…
La premières fois que je les ai vus, je n’ai pas eu peur. Ils nous ressemblaient, on ne doit pas avoir peur de nos semblables. Ils m’acceptèrent sans broncher ; quand je serais grande je serais forte, j’aiderais la meute à survivre. C’était ce qu’avait dit la louve dominante – la compagne de mon Papa-. Papa, lui il avait rien dis. Les autres disaient qu’il était plutôt troublé ces temps-ci. Normal, il m’avait engendré. Alpha, Bêta, chasseur, espions etcetera ne voulait rien dire pour moi. La seule chose que je savais c’était qu’il y avait eux et toi. Ils te faisaient du mal. Moi je ne pouvais rien faire. Je te rappelle tu m’avais dit de mentir… « Je ne suis pas ta fille, juste un louveteau que tu as trouvé dans une poubelle aux abords d’une ville dévasté ». Pourtant ce mensonge me pesait sur le cœur. Bien que j’avais des amis, que je étais acceptée de tous, je ne voulais pas te voire souffrir. Ça me tuait à petit feu, Neil l’avait remarqué…

Neil…
Des fois je voyais un loup gris te faire pleurer ; tellement ses crocs s’enfonçaient fort dans ta peau. Les autres te faisaient souffrir, mais dans ses pattes tu n’étais qu'une simple poupée de chiffon. Au début je le haïssais, puis je crois que je l’aimais au fond. Il était beau c’est vrai, avec moi il était gentil en plus. « Il est seulement sympathique quand il y trouve intérêt » on m’avait dit. Je m’en fiche, je me sentais privilégière. Ce n’était qu’un Bêta – le frère de la compagne de Papa- je n’étais pas si différent de lui, enfin c’était ce qu’il me disait des fois, quand il était de bonne humeur. Un jour j’étais blottie contre son épaisse fourrure, je venais d’avoir passé mon année et demi, je me sentais grande, je me sentais louve ! Je pouvais tout lui dire, après tout c’était presque mon compagnon non ? – je me faisais beaucoup d’illusions- je voulais lui confier mon secret pour qu’il arrête de me considérer comme une enfant, j’avais envie de partager un peu plus de moi avec lui… J’ai signé notre perte…

Notre perte…
Tout c’était passer tellement vite, Maman. Il y a eu du sang, beaucoup de taches écarlates au sol. Ils s’étaient tous jeté contre nous au même moment, excepté Papa qui avait fixé la scène d’un regard vide et lointain. On a du partir. Courir pour sauver notre peau. Je n’étais pas endurante, je ne faisais que de nous retarder, mais tu as refusée de m’abandonner. La dominante nous a rattrapées. Elle était furieuse, dans grognement brutal elle t’avais sauté dessus et saisie à la nuque. Je te voyais te débattre et puis quand tu as compris que tu ne pouvais plus t’en sortir, tu as crié mon nom, tu m’as supplié de m’enfuir. J’ai exécuté ton ordre, j’ai détallée comme un lapin. La partenaire de Papa était consciente qu’elle ne pouvait pas mettre fin à deux vies en même temps ; elle envoya Neil à ma poursuite. Ce dernier ne me rattrapa jamais, pourtant il aurait pu. Peut-être qu’au fond il tenait à moi ? il avait décidé de m’épargner par amour – non, seulement par pur caprice-. Quoi qu’il en soit maintenant j’étais seule… sans toi …

Je t'aime Maman.

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Je suis une solitaire

Ça fait exactement cinq jours que je marche dans cette plaine dessécher et hostile. Cinq jours que ma très chère mère est décéder. Cinq long jours que je suis seule. Le croissement d’un corbeau me fit sursauter alors que je tentais de m’abreuver dans une fine flaque de boue perfide. J’émis un petit couinement plaintif ; comme celui des louveteaux. Je me sentais tout petite et ridicule tout d’un coup. Des images venaient et allaient dans ma tête, ce n’était pas moi la petite louve qui à peine une année et demi se croyait adulte. J’ai toujours pensé que dans ma tête j’étais mature. Et bien ce n’était que de futile penser, car maintenant que je suis dans une situation difficile je me rends bien compte que je ne suis absolument pas prête à être seule. L’odeur d’une fourrure chaude me manque, le regard bienfaiteur des ainés aussi. Je ne suis pas prête a affronter le monde, c’est hypocrite de ma part de l’admettre maintenant, mais je suis encore petite!... Tellement petite sur ces terres inconnues où je ne connais rien à part une odeur. Cette senteur me fait froid dans le dos. Je l’a connais bien c’est celle des loups, nos semblables, ceux qui on pris la vie de ma mère.

MON PARRAIN / MA MARRAINE ://