En savoir plus | Mer 13 Aoû - 0:36 | |
| Tu m'as pris en grappe, mais pourquoi ? [Défi] Tu n'y est jamais aller, à la plage blanche. Celle ci blanche autre fois comme l'indique son nom, est aujourd'hui devenue grisâtre à cause des cendres. Cette vaste étendue d'eau, appelée "mer" est plus verte que bleue. Tu marches, faisant attention au barbelés des hommes, évitant les endroits où le vent souffle encore plus fort que là où tu est. Mais pourquoi tu es venus là, alors que tu te sens si bien sur les terres du Nord ? Tu est tellement bizarre. Personne ne le saura jamais. Tu espère rencontrer personne aujourd'hui, et pour cause ! Tu as perdu "ton" corbeau, celui qui te faisais de l'ombre par de telles chaleurs. De plus, tu est à découvert, car il n'y à aucun arbre. Tu voudrais aller te baignait mais l'eau est trop salée. Que c'est bête. Tu continus alors ton chemin, observent le ciel puis tu trouve un coin d'ombre, loin de la mer. Tu te crois au calme mais tu ne devrais pas. Un corbeau fonce sur toi. Tu crois d'abord que c'est "le tient", Khan, mais non, bien au contraire s'en est un autre bien différent. Il s'attaque à toi. Il te donne d'abord des coups d'ailes sur la tête, croassent. Tu n'as pas le temps de l’observer mais tu sait qu'il est noir comme l'ébène. Tu essaie de te défendre mais en vain, seulement le vent rapide de la plage passe entre tes crocs. Tu baisse la tête car maintenant il te donne des coups de bec. Il est fou, et tu le pense bien. Ton oeuil échappe à un coup de bec qui aurais pu être fatal pour ton oeuil. Tu y arrive enfin, à lui arracher quelques plumes mais ça ne va pas l'arrêter, cet animal fou. Non non, au contraire il devient encore plus enrager et passe au serres et s'attaque à l'une de tes pattes, l'arrière droite plus précisément. Tu grogne, tu montre les crocs, mais pourquoi ? Çà ne sert strictement à rien puisque le charognard continue. Tu te couche et roule sur le coté, échappent alors à la bête. Tu t'enfuis vers la forêt près de la plage et saute sur un tronc d’arbres coupé, sûrement par les hommes il y a plusieurs années déjà. Puis tu saute ensuite sur un arbre mort, couché au sol. En plus d'être mort, il à été brulé, sûrement par les incendies de sang de soleil. Puis tu vois des rochers, tu saute dessus puis repart en courent vers la plage. Tu creuse dans le mélange de sable et de cendres et te met dans le trou. Mais il est grand et seul la moitié de ton corps massif est en dehors du trou. Le corbeau revient à toi et donne des grands coups d'aile à coté de toi. Mais le mélange dans lequel tu vient de creuser s’effondre alors que tu es encore dedans. Tu pense alors qu'heureusement tu n'étais pas entièrement dans le trou. Sinon, tu serais alors mort, enterré vivant de la faute d'une espèce d'abrutis qui -tu ne sait pas pourquoi- en à après ta peau. Tu es complètement désarmé et tu n'as pour décence, seulement tes crocs et tes pattes, avant, qui sont à peu près inutiles. Tu secoue la tête car l' oiseau noir en à toujours après toi te griffent alors le museau, la truffe. Tu perd seulement quelques gouttes de sang et tu t'en tireras avec juste une petite cicatrice. Tu lui donne un léger coup de patte et arrive à te hisser et sortir du trou. C'étais dur car tes pattes glissais sur le sable. Mais tu t'en fiche bien car tu est sortis de ton propre piège. Le corbeau revient à la charge et tu prononce ces mots : - Va t'en ! Pourquoi tu en as après moi espèce de sale bête !Tu cour, tu fonce vers un bunker qui, soit dit-en passent est entouré de barbelé. Tu y passe avec agilité mais y laisse quelques touffes de poil. A coté de la cachette des hommes se trouve un tas de bois, tu te faufile dedans avec énormément d'agilité et reste à l’abri de l'animal que tu pense diabolique. Tu attend, te frottent parfois le nez que l'oiseau à abimé. Il y a peu de place sous le tas de bois et surtout il y fait chaud. Tu en sort alors la tête et regarde si la voie est libre. Pas de corbeau en vue, tu sort alors. Il te faut encore une fois passer les barbelés. Tu le fais agilement sans y laisser de poils cette fois. Tu croie que ton calvaire est finis et trottine donc vers la mer. Tu saute à l'eau, prenant soin d'éviter les zones où le corbeau t'a blessè puis tu ressort, te roules au sol. Les cendres puis le sable se collent alors à ton pelage et tu te fond parfaitement dans le décors. Tu entend quelques minutes après des battement d'aile. Les corbeaux sont des oiseaux intelligents, il t'a reconnus et se précipite sur toi. Tu esquive sa première attaque avec finesse mais n' échappe pas à la deuxième il te picore la tête avec son bec, c'est extrêmement douloureux pour toi. Tu ferme les yeux par réflexe et il t'agrippe l'oreille. Tu te débat, secoue la tête mais il est toujours accroché à toi. Tu fonce alors dans l'eau et plonge même ta tête cette fois ci. Les sel brûle ta blessure à la truffe et celle à l'oreille, dont l' oiseau à griffer. Tu ressors, l'oiseau n'est plus là. Tu te secoue, faisant partir un maximum d'eau et part à la recherche d'un point d'eau non salé, loin de celle ci et du corbeau. © By Halloween sur Never-Utopia |
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