AGE : 1 an
SEXE : mâle
MEUTE : Aldark
RANG : Guerrier
PARENTÉ : /
AUTRES INFORMATIONS : Une petite cicatrice à la patte avant gauche qu'il a eu quand il était louveteau sinon rien d'autre.

MON PARRAIN / MA MARRAIN : J'ai découvert ce forum comme une grande :3

Répartissez 20 points entre les jauges (Pour PV, reprendre les infos de la fiche)
FORCE : 9
AGILITÉ : 6
ENDURANCE : 5



A l'époque, j'étais un petit louveteau naïf, faible, inutile, sensible et timide. Je ne parlais qu'à mes parents et je ne voulais jamais rester loin d'eux. Puis j'ai grandis, je suis devenu égoïste, immature, sec, froid, distant et lunatique. Mes parents me reconnaissaient à peine. En chassant la vue mes parents, je suis devenu plus mature, amical mais je restait quand même très sec et distant. Pour cacher cette timidité et cette sensibilité, je me suis fais une coquille dans ce groupe que je garde secrète aux yeux de tous.




Je suis un loup assez grand avec de larges pattes brun tigré qui me permette d'aller vite. J'ai un dos puissant qui pourrait presque porter un petit humain. Ma queue pendouille souvent et n'est quasis jamais droite. J'aime regarder les autres de haut. Je suis plutôt maigre mais j'arrive parfois à manger à ma faim. J'ai souvent l'allure d'un coyote avec mes grandes pattes et mon corps pendouillant. J'ai le pelage brun tigré. Je suis de la race "loup rouge".



Mon enfance n'a pas été des plus joyeuses. Je suis né de deux solitaires vivant près de notre petit chez nous comme on l'appelait (la ville morte). Il y avait peux de visiteur et c'était assez tranquille. Les coups de feu étaient une chanson qui m'a bercé pendant mon enfance. Malheureusement, mon père compris quelque chose très rapidement : j'étais très peureux. Il ne voulait pas d'un peureux petit louveteau en fils, il voulait un brave loup fort et grand. Il essaya donc de m'endurcir. Il m'entraîna un peu trop violemment pour un louveteau. Il me faisait faire des combats contre lui, je devais arriver à chasser des animaux et le pire c'est qu'il ne retenait pas ses coups. C'est comme ça que j'ai eu une cicatrice à la patte avant gauche que j'ai toujours depuis. Ma mère a abandonné depuis longtemps de résonner mon père. Il n'est qu'une brute violente, mais il est amical quand il veut. Devenu louvard, j'avais de larges muscles, des canines de grands loups et un regard déterminé. Je voulais quitter le nid douillet de chez moi. Je voulais découvrir le monde sauvage. Je partis donc devant les yeux fiers de mon père et le regard triste de ma mère. Je passe de longues lunes à vivre en solitaire en piquant les carcasses à moitiés mangées des autres animaux. Plus les temps passaient, plus cela était dur pour moi, le pauvre louvard. Soudain, un cataclysme s'est abattu sur la région. Au bord de la mort, je recherchais en vain de la nourriture. Par chance, je trouve un trou de renard inhabité avec un lapin à moitié mangé dedans. Je passe la fin du cataclysme dans ce trou. Quand tout fût finis, je recherche une maison quand soudain, un loup agile me sauta dessus. Il m'attaqua de tous les côtés et planta ses crocs jusqu'au sang. Il allait me tuer si je n'avais pas agi. Je lui hurle à la mort avant de lui donner un coup de patte et de reprendre le dessus. Ensanglanté, je tenais à peine debout. Le loup ricana avant de me demander de quel groupe de loup j'étais. Je lui dis que je n'avais pas de groupe. Celui-ci semblait surpris et grogna de désaccord. Il me demanda de partir. Je lui supplie de m'aider à guérir la plaie qui semblait profonde. Il ne broncha pas. Il semblait se délecter de la scène. Perdant trop de sang, je tombe dans les pommes. À mon réveil, j'étais dans une clairière remplie de loups me dévisageant avec leurs petits yeux. Leur chef s'approcha en gronda sur le loup qui m'avait attaqué. Celui-ci s'excusa. Je pensais au début qu'il lui grondait dessus, car il m'avait attaqué, mais non pas du tout, il le grondait pour m'avoir ramené ici et m'avoir guéri. Leur chef hurla et me cria de me lever pour qu'il puisse me tester. Je me relève. Un des membres de son groupe s'approcha et montra les crocs. Il ricana et me fit une balayette avant de se jeter sur mon cou pour y planter ses crocs. Je compris vite que dans ce combat c'était ou je gagnais et les rejoignais, ou alors je me faisais tuer par ce loup. J'hurla de douleur quand il arriva au sang. Mes yeux devenaient rouges. Je mordis sa patte arrière et lui mordis la queue. Il couina avant de me griffer les yeux. Je hurle avant de lui faire une balayette et de lui mordre l'oreille. Il couina. Son oreille était en sang. Le chef cria l'arrêt du combat. Il me regarda avant de grommeler quelques mots. Le chef sourit et me gronda de partir. Sauf que si je pars, je ne pourrais jamais survire seul. Je le regarde, les yeux remplis de détermination. Je montre les crocs et grogna "Je serai utile, je vous ai montré ce que je vaux ! Vous êtes trop fier ? Ou alors... Vous avez peur ?" Je sentais que j'avais touché une corde sensible. Le chef grogna et s'approcha de moi "Si tu redis cette phrase, je te crève les yeux ! Survis et on verra bien !"