NOM: Edernya
ÂGE: 9 ans
SEXE: Femelle
MEUTE: Les gentils \o/ *pan* Esobek
RANG: Nourrice
AUTRES INFORMATIONS : Vieille blessure à la patte arrière droite qui, selon les jours, l'empêche de se déplacer correctement.

JAUGE : Répartissez 20 points entre les jauges (Pour PV, reprendre les infos de la fiche)
Force :7
Agilité :9
Endurance :4


CARACTÈRE : Edernya est une vielle louve calme et souriante qui trouve réconfort auprès des petits. Asociale avec les autres loups, elle préfère être seule si le choix venait qu'à s'offrir à elle. Mais ne sautez pas à des conclusions hâtives: elle adore la vie de meute. Seulement, elle préfère regarder un groupe s'échanger leur repas et discuter que de se mêler à eux. Ne la jugez pas trop vite: elle est capable de se défendre, de se battre, et même de chasser plus qu'il ne le faut malgré son âge. Elle ne déteste pas grand chose sur ces terre, autre que ces monstres de bipèdes. Le caractère explorateur et joueur des petits dont elle a prit soin au fil des années a déteindu sur le sien: Si vous la voyez couchée à ne rien faire ou encore à flâner toute une journée, c'est sa vieille blessure l'empêche d'aller se fourrer le nez ailleurs. Ne vous surprenez pas par contre de la retrouver totalement perdue dans ses pensées et vieux souvenirs (qui, vous l'aurez deviné, s'estompent progressivement) à regarder l'horizon d'un regard nostalgique. Et ce regard recèle un tristesse sans fin, mais elle ne vous en dira jamais le moindre mot.

PHYSIQUE :Louve entièrement blanche aux yeux dorés, dont au premier regard, personne ne se doute qu'elle ai vécut toutes ces années. Haute sur pattes, elle se tient la tête droite, non pas affaissée comme les autres louves de son âge. Un bande de fourrure plus courte et légèrement noircie se dresse autour de son cou, là ou un collier posé par ces monstres se tenait autre fois, ainsi qu'une série de quatre chiffres tatouée derrière l’oreille gauche à l'encre noire.

HISTOIRE :D'aussi loin qu'elle puisse se souvenir, Edernya n'a jamais eu de parents. Elle vivait accompagnée de son frère Sikoh dans une forêt, du temps où cela existait encore. Il y faisait bon vivre: La nourriture abondait, Le chaleur étouffante de l'été les soulageaient du froid mordant de l'hiver, et vice versa, les rivières étaient limpides, potables et abritaient des tas de poissons, la pluie était fraîche et apaisante. Au fil des mois, de plus en plus d'humains entraient dans les forêts. Ils étaient habillés de peaux d'animaux et leur volaient leur gibier. D'autres étaient équipés de haches et coupaient les arbres. La plus part les ignoraient, mais quelques uns essayaient parfois de les attraper, Edernya et son frère, en vain. Jusqu'au jour ou elle se réveilla dans un endroit froid et effrayant. Elle devait avoir dans les quatre ans qu'elle se retrouva dans un centre de recherches scientifiques, séparée de Sikoh, à faire face à des dizaines de bipèdes en blouse blanche, exécutant des centaines d’interminables tests sur elle le jour, et enchainée dans une cage métallique la nuit. Quelques années après le début de cette nouvelle et misérable vie, sans avoir vu la moindre parcelle du monde extérieur, ni son compagnon, elle en eu assez. Fini les enchaînements, fini les cages froides, fini les humains, fini les coups, fini les expériences. Alors qu'un gardien imprudent entra dans sa cage et lui tourna le dos, elle réussit à se défaire de la lanière de cuir entourant son cou et l'attaqua. Elle lui lacéra les côtes, les bras, les jambes, le dos, le visage, tout. Il était méconnaissable. Son pelage habituellement si blanc était imbibé de ce liquide écarlatte dont le cadavre se vidait lentement. Elle courut hors de sa cage à la recherche de Sikoh dans les couloirs de cet horrible bâtiment blanc, évitant les autres bipèdes qui criaient et couraient dans tous les sens. Elle ne le retrouva jamais. Alors qu'elle vint pour s'échapper de l'établissement, Edernya entendit une explosion, puis ressentit une douleur horrible aux pattes arrières: un humain venait de lui tirer dessus, espérant l’abattre. Seulement, le résultat ne fut qu'un vilaine blessure à la patte arrière droite. Elle courut aussi longtemps que sa patte le lui permettait. Tout avait changé. Le ciel était orangé, les arbres avaient disparu, le gibier était absent, l'eau avait un gout acide, la pluie lui brulait le pelage et l'air était nauséabond, lourd. Elle courut jusqu'à atteindre ces terres, ou elle rejoignit le clan des Esobek en tant que nourrice.
(7 lignes minimum)

MON PARRAIN / MA MARRAINE : ... moi-même? :3