Souffle acide du vent, larmes brulantes du ciel. Le monde ne ressemble plus aux paysages d'autrefois. Les cataclysmes ont frappé, des colonnes de flammes et de fumées se sont élevées sur l'horizon. La guerre. La guerre des hommes. Et nous, les loups n'avons eu d'autres choix que de fuir. Nombreux furent nos congénères emportés. Nous traversâmes les plaines cabossées, les forêts de cendres, poursuivis par la faim, traqués par la mort.
Notre salut, nous le devions malheureusement à ceux qui avaient provoqué notre malheur.
Je cours le plus vite possible, je ne comprends pas ce qui se passe ! Tous tremble autour de moi, mon oreille gauche est posée sur mon crâne. J'évite les débris qui me tombent dessus et j'essaye de rejoindre mon clan le plus vite possible. Est-ce que j'ai peur? Non, un guerrier n'a peur de rien, je suis souvent pris à la rigolade avec ma seule oreille... Mais c'est une cicatrice de guerre et celle la qui m'a fait ça... je lui ferais regretter...
Ce jour-là... je suis repartie avec une oreille en moins, une patte déboîté et de grave morsure au cou et au ventre, mais je m'en suis sortie. Et je porte les cicatrices, je suis un guerrier et je ne suis pas prêt de mourir, surtout pas par une gamine.
Justement... je sens une odeur familière... je me rapproche et de la voit... elle, celle qui m'a arrachait mon oreille droite. Je grogne de colère et je montre mes crocs. "Toi ! je vais te tuer !" je lui saute dessus et je commence à la mordre au cou.
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Lun 6 Fév - 0:23
When the days had grown shortest, and the leaves all died. When life became scarce and all was covered in ice. There lived a pack of wolves against every odd. That grew hungry and tired and needed to hunt. They'd sneak into the towns in the dead of the night and seek fire for comfort and warmth in the light. And though they weren't evil, and knew it was wrong. They couldn't escape, the lust for the blood.
I'll bring you to your knees
F: 69|A: 60|E: 53
ALTHÉA|
La terre grondait, se tordait de douleur, crachait, hurlait emportant dans son agonie un million d'être qu'elle protégeait. Althéa craignait ses derniers jours venus. La jeune princesse se hâtait en direction de son territoire, l'idée que les siens ne soient déjà plus la terrifiant.
Sa mère, son père, ses frères, ses amis...Connor.
Elle était terrifiée pour eux.
Eclat de lumière évita avec agilité les multiples obstacles qui se décrochèrent du décor pour venir s'écrouler en sa direction, le souffle cour et le regard déterminé à retrouver sa famille, sa meute. Les Navniks survivraient, elle ne était persuadé. Elle devait les rejoindre.
Tandis qu'elle glissait le long d'une pente avec précaution, sautant de rochers en rochers, une voix vint la stopper net:
"Toi ! je vais te tuer !"
Une voix rauque, un mâle plutôt âgé, noir, une oreille en moins, odeur Sekmet.
Le portrait du personnage se dressa devant elle, ce chien auquel elle avait arraché une oreille il y a peu. Elle le reconnaissait maintenant. Qu'est-ce-qu'il foutait ici? L'animal se rua vers elle, saisissant son cou entre ses mâchoires.
La princesse roula au sol, tombant de la pente avant d'atteindre le sol dans un hoquet de surprise. Althéa donna un puissant coup de ses membres postérieurs et éjecta le mâle, ce dernier arrachant une partie de sa chaire à cet acte. Elle se redressa et montra les crocs avant de grogner d'une voix forte et emplit de rage:
"Tu crois que c'est le moment?! DÉGAGE! Avant qu'on se fasse écraser sous un rocher!"
Elle va voir, elle va regretter le premier jour de notre rencontre. Elle m'avait bien amocher ce jour la, mais ca n'a se répéteras pas. Je vais la faire souffrir et peut être la tuer, je verrais.
Je luis ais donc sauter dessus, je suis fou de rage, elle va voir à quelle point je suis fort ! Nous dévalons une pente et une fois que nous avons atterris elle me pousse. Je tombe sur le côtés un peu plus loin et je me lève en montrant mes crocs.
"Je vais te faire souffrir petite !"
Et je lui saute encore dessus, cette fois ci en lui mordant le dos.
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Lun 6 Fév - 19:31
When the days had grown shortest, and the leaves all died. When life became scarce and all was covered in ice. There lived a pack of wolves against every odd. That grew hungry and tired and needed to hunt. They'd sneak into the towns in the dead of the night and seek fire for comfort and warmth in the light. And though they weren't evil, and knew it was wrong. They couldn't escape, the lust for the blood.
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Le mâle devant elle se contre-foutait de la situation, de ses paroles, il était complètement aveuglé par la rage et sa soif de vengeance, lorsqu'il cria qu'il allait la faire souffrir Althéa comprit qu'il n'y avait plus moyen de le résonner.
Ses crocs se plantèrent dans sa colonne, elle gronda, tordu de douleur, poussa sur ses pattes arrière dans un geste instinctif et retomba lourdement sur son dos, écrasant son adversaire sous-elle.
La princesse se releva et bondit en arrière, montrant toujours les crocs. La terre tremblait sous-elle, le monde s'effondrait, les terres brûlaient. C'était l'apocalypse.
"A Quoi tu joue putain?! M'oblige pas à te dégager de mon chemin!"
Le menaça t-elle, toujours prise d'un maigre espoir que le Sekmet revienne à la raison.
Je tient fermement ma prise pour bien la faire souffrir, je met toute ma rage dans mes attaques. Elle se fais tomber sur le côtés pour pouvoir m'écraser. Je grogne et je me relève, elle a encore reculer, je montre mes crocs et je lui dis.
"Tu a peur en faite, aller vient te battre !"
Je cour vers elle et je lui fonce dessus violemment et au moment du choc j'ouvre ma gueule pour la renfermer sur son museau pour l’empêcher de respire, comme elle me l'avait fais la dernière fois..
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Lun 6 Fév - 20:07
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Il la défit, il la menace, montre les crocs, se jette à nouveau sur elle, lui coupe sa réspiration. La princesse pousse un nouveau cri de rage et repousse son adversaire d'un coup de patte bien placé au visage.
"Tu creuse ta prOPRE TOMBE!"
Son instinct prend le dessus, elle comprend qu'elle n'a pas le choix, elle doit se battre et c'est au moment précis ou elle glisse sous le mâle pour se relever de l'autre côté qu'elle comprend que ce combat ne finira que par la mort de l'autre. Ou des deux.
Elle se jette sur le côté du mâle, s'acharnant sur son flanc, le déchirant, le saignant de ses crocs ravageurs.
J’étais content de moi jusqu’à ce quelle me mette un coup en pleine face. Je perd légérement l'équilibre et je tombe sur le cotés. Il ne faut pas que je reste exposer comme ca ! J'essaye de me lever mais elle m'attaque rapidement en déchiquetant mon flanc.
Je hurle de douleur mais je réussis à la repousser en lui donner un coup de patte arrière. Je me relève ayant mal au flanc.
"Tu va voir ce que ca fais"
Je lui grogne dessus, plutôt énerver et je me jette sur elle pour lui mordre l'oreille et j'essaye de lui arracher.
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Jeu 9 Fév - 16:45
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ALTHÉA|
Le loup se jeta sur elle, puis sur son oreille, tentant de l'arracher à son tour. Althéa poussa un hurlement de douleur en sentant sa chaire se déchirer mais parvint à se dégager avant qu'il ne lui arrache complètement. Amarok n'avait qu'agrandis douloureusement la cicatrice qui y était déjà présente.
Le sang coula sur son visage et elle du secouer la tête pour libéré sa vision. Ses crocs se dévoilèrent à nouveau, la rage bouillonnait en elle.
La princesse se jeta vers l'animal qui l'avait attaquer, bondit et ne chercha cette fois-ci qu'une chose: Sa gorge. Elle y referma la mâchoire, plongeant ses crocs le plus profondément possible dans sa chaire, jusqu'à en sentir son artère battre sous ses dents.
Je me tient fermement à ma prise et je commence à sentir que l'oreille commence légérement à se décoller de son crane sauf quelle réussis encore une fois à me dégager et à me faire tomber sur le cotés.
Cette fois ci elle se rue sur ma gorge, je n'arrive pas à me défendre, je perd mes forces. Je hurle de douleur et je l'implore d’arrêter, sauf quelle continue, elle atteint ma jugulaire et je commence à fatiguer... je ferme doucement les yeux et je quitte définitivement ce monde.
Beaucoup d'entre nous avions réussi à fuir, d'autres part. C'était triste, en fait, j'étais littéralement déchiré à la simple évocation de toutes les souffrances qu'avaient pu endurer certains loups. Sur la route de l'exode, que j'avais effectué avec quelques autres Navnik, j'avais vu des corps sur la route, des corps d'animaux de toutes les espèces. Y compris des loups. Fidèle à moi-même, je ne pouvais m'empêcher de courir vers ses cadavres, vérifier qu'il ne respiraient plus, espérant au fond de moi qu'il leur reste un espoir de guérison. Mais rien n'y faisait. Ce n'était plus possible. Ils ne vivaient plus, la plupart étaient morts de faim, de soif, calcinés, brûlés, écrasés... Tous morts. Je n'avais pas réussi à en sauver un seul. Et j'avais été déchiré de souffrance par cette constatation.
J'avais pu apprendre grâce à certains Navnik qu'Althéa avait été aperçue sur l'un des territoires que nous avions aperçus avant de nous installer sur le flanc d'une colline. J'étais alors tout de suite parti à sa recherche. Je voulais être sûr qu'elle allait bien. Chez nous, personne ne s'inquiétait vraiment pour elle, parce qu'ils connaissaient tous Althéa. C'était la fille de Tybalt, quoi qu'il arrive, elle survivrait toujours. Mais moi, je ne pouvais m'empêcher de m'inquiéter. J'espérais de tout mon cœur qu'il ne lui soit rien arrivé.
Je n'étais pas très bon chasseur, alors de fait, je n'étais pas très bon pisteur non plus. J'essayais de suivre les conseils qu'Althéa m'avait donné pour la chasse. Et enfin, je réussis à déceler son odeur sur un arbre sur lequel elle avait dû s'appuyer un instant. Je suivis la piste, jusqu'à entendre des bruits. Enfin ! J'accélérais un peu le pas. Puis, je crus entendre des grognements terribles, des coups... Une bagarre ! Je me mis à courir le plus vite possible, espérant de toute mon âme qu'il ne s'agisse pas d'Althéa. Pourtant ! Lorsque j'arrivais au plus proche des sons, l'odeur de la louve tant aimée était omniprésente. Je cherchais autour de moi et vis un éclair gris, puis un éclair plus sombre. Althéa se battait avec quelqu'un. Elle était en train d'avoir le dessus... Mais... Bon sang !Que faisait -elle !Si elle continuait comme ça elle allait le tuer !
"Althéa ! "
J'avais hurlé malgré moi, elle ne m'avait pas encore vu, mais maintenant c'était chose faite.
J'étais tétanisé, les yeux rivés sur les pattes musclées qui étouffaient l'autre masse. Doucement, presque douloureusement, je murmurai :