NOM : Darkness
AGE :2 ans
SEXE : Mâle
MEUTE :Solitaire
RANG :Il apprend la vie, c'est déjà pas mal.
PARENTÉ : Si vous avez de la famille sur le forum
AUTRES INFORMATIONS : Il y en aura sûrement durant les prochains rps, mais pas pour l'instant.

JAUGES : Répartissez 20 points entre les jauges (Pour PV, reprendre les infos de la fiche)
Force :5
Agilité :10
Endurance :5


CARACTÈRE : (5 lignes minimum.)Darkness. Brave loup. Tu es le portrait craché d'un gentleman rebelle. Quel affreux mariage n'est ce pas ? Tu es un jeune loup têtu. Comment ça c'est dangereux de s'approcher de tel endroit ? Ne pas y allez ? Le mot magique pour s'y rendre. Tu es aussi philosophe. Toujours à chercher un double sens à une phrase, toujours à se demander où cette feuille va terminé sa course folle. Darkness. Tu es Un jeune loup sympathique qui n'apprécie pas la bataille. Tu préfère te battre avec tes mots. Ils ont soit, la capacité de guerrir mais aussi d'infliger une blessure très dur à soigner. Il suffit qu'ils soit bien taillé. Tu n'es pas quelqu'un de distant, et pourtant, au au premier abord tu pourrais parraitre menacant. Mais tu ne fais pas exprès. Je divague sur le physique. Alors, autant y passer.

PHYSIQUE : (4 lignes minimums)Tu as un long pelage noir avec une tâche blanche sous la tête. Haut sur patte, tu es fin et pas le mâle le plus musclé des bois. Loin de là. Tes yeux rappellent le feuillage en été. Neuf et d'un vert éclatant. Tu as un long museau et des crocs blancs. Enfin, pas trop jaune. Aucune séquelles physique sont à remarqué. Tu n'es pas moche du tout. Plutôt mignon bien que la force physique manque cruellement. Pour certains, certaines. Toi, tu te trouve très bien comme tu es. N'est ce pas le plus important ?

HISTOIRE :(7 lignes minimum)La trajectoire d'une feuille. On ne peut pas pas la qualifier comme rectiligne n'est ce pas ? Balayer par le vent, stopper net par un arbre. La comparaison parfaite à la vie de Darkness. A ta vie jeune loup J'aurais aussi pu la comparer à un fleuve. Enfin bref. Tu es né par une nuit fraîche. Coïncidence ? Ton pelage est aussi noir que la nuit. BREF ! Ta mère, tu ne la connais pas. Elle est morte en te donnant la vie. Et c'est aussi un miracle que tu respire en ce jour. Je ne m'attarderais pas sur le commencement de ta vie qui peut facilement se fondre en celle de n'importe quel autre louveteaux. La mère en moins seulement. Ton père c'est débrouillé avec une mère qui avait perdu ses petits. Elle avait le pouvoir de t'alleter. Toi, tu avais gagné la nourriture, et elle, un petit. Car oui, elle te considérait comme son louveteau. Mawelina. Tel était son nom. Ce qui nous intéresse se passe quelque mois plus tard. Tu decouvrais la chaleur de l'été et tu étais âge de 7 mois. Tu jouais sous le regard amoureux de celle que tu considérais encore comme ta mère. Tu riais, tu courrais. Mais déjà, tu commençais à philosopher. Tu tissais ta toile et tu l'embellisais. Jusqu'à ce fameux jour. Ton père se rapprocha de toi et d'une voix monotone :
-Ce que tu ressemble à ta mère...
Automatiquement, ton regard se tourna vers Mawelina. Son pelage était blanc, le tient était noir, ses yeux étaient bleus, les tiens verts. Non décidément, tu ne lui ressemblais vraiment pas.
-Je ne comprend pas. Déclara tu d'une voix haché. Ton père t'ordonne d'un geste de le suivre, et c'est ainsi que tu remarquas a quel point il avait l'air vieux, fatigué.
-Ce n'est pas ta mère. C'est une louve qui fort heureusement, a accepté de t'alleter. Elle n'a aucun lien avec toi. Ses petits sont morts, tu as su comblé ce vide. Ta mère est morte en te donnant la vie. Voilà les fait réel.
Il avait dit tout ça sans te regarder. Jamais il ne verra la flamme colérique qui avait pendant quelques secondes embraser ton regard. Tu étais déstabiliser.
-J'ai volé son lait a cette louve. Il ne m'était pas destiné.
C'est tout ce que tu trouva a dire avant de disparaître entre les buissons. Tu rejoins Mawelina sans lui jeter de regard et tu rentra dans la tanière.
-Ça aussi je l'ai volé... As tu murmuré. Quand la'femelle rentra et t'observa avec toute cette tendresse, cet amour, tu la hurla, cette unique phrase qui te brisait le coeur. Tu la hurla a t'en rendre les cordres vocales, puis tu la pleura. Mawelina comprit bien vite ce qui se passait et elle courut te consoler.
-Tu n'as rien volé. Je t'aime Darkness.
-Un jour, je te retrouverais...

MON PARRAIN / MA MARRAINE :Darkness ! Non ça ne marche pas ? Bon bah personne alors.