Souffle acide du vent, larmes brulantes du ciel. Le monde ne ressemble plus aux paysages d'autrefois. Les cataclysmes ont frappé, des colonnes de flammes et de fumées se sont élevées sur l'horizon. La guerre. La guerre des hommes. Et nous, les loups n'avons eu d'autres choix que de fuir. Nombreux furent nos congénères emportés. Nous traversâmes les plaines cabossées, les forêts de cendres, poursuivis par la faim, traqués par la mort.
Notre salut, nous le devions malheureusement à ceux qui avaient provoqué notre malheur.
Mes oreilles vacillèrent au bruit métallique qui se perça entre mon armure et les armures géantes humaines. Cet endroit me semblait plus ou moins familier et j’en ignorais totalement la source. Bref, cela ne devait probablement pas être de la plus grande importance. Je me propulsa sur mes pattes arrière pour arriver au sommet d’une structure qui semblait être une grosse roue (8D ) Le vent l’est faisait lentement vaciller. S’entrainer n’a jamais été une mauvaise chose, je poussai ma puissance tout en passant des structures à d’autres, je m’efforçais de le faire rapidement en supportant le poids de l’armure sur mon dos qui ne m’aidait pas la tâche, mes saut étaient moins structuré et beaucoup moins rapide mais je refusais de me laisser faire par la douleur. Non loin se distinguait le dernier obstacle à traverser; Une échelle sur une roche qui sentait le rouillé. Je pris une grande respiration et m’élança de tout mon long, je sentis le vent me pousser légèrement mais bien trop à mon gout mon corps percuta la structure, j’étirai la gueule pour attraper une barre, ma mâchoire qui craquas à ce moment me résonnas jusque dans mes oreilles mais ce fut mon corps qui absorba ; le rocher me tailla l’épaule, le sang glissa le long de ma fourrure noirci et poussiéreuse. Le rocher se distingua à présent de cette tache d’hémoglobine je grimaçai légèrement prenant appui sur mes pattes pour remonter. Ma gueule bavait d’hémoglobine , une canine de moins n’allais pas m’arrêter , je secouas mon corps prit d’un frisson.
Pensive, je marchais jusqu'au ruines que j'avais aperçue en arrivant. Je les avaient traverser il y a un mois en courant comme si j'avais la mort accrochée à la queue. Je n'y avais pas accorder beaucoup d’attention. La peur avait été ma seul préoccupation. Mais je m'en souvenais juste assez pour savoir que ses lieux aurait été parfais pour un entrainement. De plus, j'avais besoin de me défouler. Une tension étrange avait investit mes muscles. Un mauvais pressentiment me comprimait le cœur. Seulement, mes préoccupations et ma prémonition furent coupée net par l'apparition d'une odeur... sanglante. Je dilatais mes narines, captant l'effluve lupine d'un grand mâle.
Je ne suis pas seule.
Je me crispais. L'odeur m'étais inconnue mais je savais néanmoins qu'elle ne provenais d'aucune meute. Jetant un regard au alentours, je me tapis contre le sol et attendis de voir le loup. Il apparut enfin, fatiguer, la gueule en sang. Il portait une armure...
Un chien de serviteur.
A cette pensée, tout mes poils se dressèrent sur mon échine. Pas de peur pourtant, juste un mélange appréhension et de curiosité. Avais-je des points commun avec lui ? Si oui, combien ? Je fini par me relevée avec souplesse, attirant l'attention du loup vers moi.
- Je n'avais pas vu de chien depuis longtemps, m'exclamais-je.
F: 2 - A: 15 - E: 5
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Mar 30 Aoû - 23:48
Millénium
F : 11 - A : 18 - E : 13
Je m’approchai doucement d’une flaque me fixant l’espace d’un moment avant de laper la source, écœuré du gout de mon propre sang. Il y a longtemps que l’eau n’avais pas été aussi… potable ? La canine se détacha de ma gueule et vînt se poser avec un léger bruit sur l’eau. Le vent souffla à travers le peu de fourrure qu’il me restait sur le corps, me portant une odeur femelle. Et bien. Je froncis. Une odeur beaucoup trop sujette au mélange. Meute ou humaine. J’humais à nouveau l’air. En d’autres mots, Ennemis ou Allié ? Pas Amis. Je n’ai pas d’amis, avoir de l’affection c’est se vouer à l’échec et aux émotions ce qui nous rend faible. - Je n'avais pas vu de chien depuis longtemps. Mes oreilles valsèrent pendant que la source olfactive se distingua de ses yeux rouges, une assez jolie louve grise semblant ce qu'il y a de plus naif ; Mes préférés Je grognai simplement pour la prévenir que je n’étais pas à prendre à la légère. Un chien ? Tu as devant toi, le plus fort d’entre tous. Je fixai un moment la louve avant d’accourir fendant l’air de mes crocs. Maintenant me voit tu ?
Le loup l'appareil une flaque d'eau et y perdit une dents avent de m'aperçevoir. Il leva la tête et gronda un bon coup.
Pas content le chien... Il aime pas les intruses ou alors il les aimes tellement qu'il joue ?
Je penchais la tête en le regardant. Sous tout les angel il était beau, d'un noir profond et magnifique, parsème de petites tâches blanchâtres. Il portait une étrange armure qui n'était pas sans me rappeler celle des molosses mais avec plus de poches... Je me creusais la tête, j'en avait déjà entendu parler. TeenSon avait mentionner l'apparition de loup qui semaient la terreur. Lâcher par les humains, ils avaient été dresser après un bon lavage de cerveaux. C'était donc vraiment un chien à la botte des humains. Une menace on ne peux plus sérieuse... Sauf que je n'avait pas envie de la prendre au sérieux cette menace. Je voulais rire a plein poumon. Se que je fais lorsqu'il me bondit dessus et que je ''esquivais facilement.
- Alors comme sa tu veux jouer ?
J'eclatais encore de rire. Si je m'ecoutais, s'était plutôt moi qui voulais jouer. Et il du le comprendre aussi, car même s'il n'avait pas lâcher un mot, je doutais qu'il soit bête. Mon sourire tomba d'un coup et je le fixais plus sérieusement.
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Sam 3 Sep - 22:40
Millénium
F : 11 - A : 18 - E : 13
Tes jauges doivent rester les mêmes qu’au debut du rp Soucis d’égalité 8D Tu riais et je riais également. Ce fût l’air que je claquai dans mes mâchoires, je repris appui sur mes pattes rapidement en étirant la gueule sur le cote pour attraper l’épaule de la femelle. L’hémoglobine au final goutait la même chose chez tout le monde, je relâchai ma prise le sang tombant à mes pieds. J’étais à prendre au sérieux au contraire de ce que tu devais penser. Je n’étais pas à prendre à la légère. J’avais un lourd passé et le tiens ? Ah et puis je m’en fous. Je sentais l’adrénaline monter jusqu’à dans mes pupilles. Faut dire que je n’avais jamais encore coupé court à la vie d’une simple femelle. Cela allait être plaisant je le savais. - Alors comme sa tu veux jouer ? Sa phrase qu’elle avait dite plus tôt me revint à l’esprit. Je sais bien jouer tu sauras, et toi ? Je dessinai un sourire moqueur sur ma gueule, transperçant les yeux rougis de la femelle de mon regard bleu ciel. Je passai ma langue sur mes crocs pour en extraire le sang avant de rentrer tête première dans ton flanc, perforant la chair de mon casque de métal. Suffisant pour te faire tomber. Je reculai. Elle m’avait presque touché une corde sensible comme on dit. Tu aimes jouer ? Jouons. À ton tour maintenant. Mes pattes s’ancrèrent dans la tête, attendant la réplique de la femelle, un rire roulant au fond de la gorge.
Egaliter ? Sa change rien de rien, tu es toujours bien plus fort que moi Je me prend autant de coup que je m'en serait pris avent, sa reviens pas a deux points. ^^"
Millenium
Maëlastrom feat Étincelle des Ténèbres
Ses dents claquent sur mon épaule. Mon pelage couleur lune est taché d'un rouge qui n'est pas sans rappeler celui de mes yeux, celui du sang. Je montre les crocs et lorsqu'il fait de même je vois mon fluide vital lui dégouliner des babines et goutté au sol. Sans transition, il me fonce dessus. Je m'écroule sans un mot. Il ne me livre aucun mot. Parlons sans eux alors. Et jouons. Je me redresse. Ma queue fouette l'air.
Agacée, oui je le suis. Enormément.
Je vois qu'il attend, un geste, une parole. Il se questionne, il me questionne. Peut-elle jouer ? Vas-tu te mesurer a moi ? Je fixe son armure et je souris.
Ho oui, je vais jouer !
Alors je bondis, faisant mine de viser son flan. Il s'efface pour me parer, découvrant les attaches de son armure. Mes dents claques sur le cuir qui casse. Mais a peine. Je m'écarte. Plus que l'autre coté. Je bondis par dessus le hellhond et donne un coup de griffe sur le second lien, puis je prend le casque a pleine dent et tire dessus. Mes gencives saignent et ma mâchoire est douloureuse, sauf que Il se détache, laissant la tête de mon adversaire exposée. Voyant son intention future la plus probable, je m'écarte a toute vitesse. Loin de ses dents qui auraient claquée sur mon coup si je n'avais pas été assez rapide.
Avec la distance je l'observe, il est beau ce loup mais ce n'est pas se que je regarde. Je préfère repéré les liens a couper pour découvrir d'autre zones sensible. Sa tête, sa queue et son cou sont à la merci de mes griffes d'onyx. Reste plus son poitrail, ses pattes, son ventre et son dot. Soit un total de 12 liens qui seront bien plus dure a attendre de les premiers puisqu'il ma déjà vu a l'oeuvre. Mais j'aime jouer. Alors je relève le défis et fonçais une nouvelle fois vers lui. J'étais plus rapide, et ma liberté de mouvement était supérieur à la sienne, encore entravée par son armure. Pourtant je sais qu'il est plus fort. S'il m'attrape, se n'est définitivement pas bon pour moi. J'atteins un autre lien, mes dents claquent, lui craque et moi, je dérape sur le sol, perdant mon équilibre.
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Lun 12 Sep - 15:48
Millénium
F : 11 - A : 18 - E : 13
Le combat s’engageait de longues minutes, parant et ne parant pas certain coup. Je vois que tu attends des mots de ma part, n’en sois pas aussi réjoui, rien ne peut sortir de ma gueule depuis bien longtemps. La tension est palpable, le silence alourdissant, pendant ce bref moment où nous avions cessé nos coups. J’attends en effet, comment joue-tu ? Peut-elle se mesure à moi ? Je sais que oui et j’ai appris à longuement ne pas sous-estimer ceux que nous avions devant nous. Les humains m’ont formé pour cela, ‘’ La patience ‘’ qu’on me disait. Avais-je seulement la notion de ce qu’était le temps? J’en doutais bien fort. Je te regardais te relever, ton agacement se lisait dans tes pupilles et j’en gloussais presque. Les battements de ton cœur s’était nettement accéléré, la terre en émanait ses vibrations. Tu bondissais. Enfin. Je me parai t au coup qui allait suivre, tu visas mon flanc et par simple réflexe, je m’y protégeai, mais tu avais longuement planifié cette astuce puisque je sentis des crocs attaqué mes languettes de cuir. Je grognai, claquant mes canines à quelque centimètre de la femelle, assez pour la faire reculer. Mais tu répliquas rapidement. Tenace que tu es. Cela me plait presque. Tu t’attaquas à mes sangles sur mon casque, profita de l’occasion ou tu étais nettement occupée avec mon casque, je poussai mon casque vers toi, et si je me permettais de t’écraser entre moi et cet arbre devant moi ? Le destin fît en sorte que mon casque se détachai avant. Dommage, moi qui commençait à m’y plaire à cette idée de bouillie étendue par terre. Mon collier suivit et se découvris au travers ma fourrure noire. Je me secouai, visiblement agacé par le vent qui criait dans mes oreilles. Je grognais, fixant la louve qui me fixait longuement sans un geste. Tu veux une photo peut être ? Elle chargea à nouveau pendant que je profitai de son coup de griffe pour empoigner sa patte entre mes crocs et d’y mettre pression, sentant les nerfs se détacher sous ma gueule. Voilà qui devrait légèrement la ralentir. Puis le moment opportun se présenta, tu perdis l’équilibre, une sangle de cuir en gueule. Oh malchance. Je ne perdis pas de temps et m’élanças vers toi. Et si je te laissais la chance d’avoir quelques écailles de roche dans la peau? Je souriais prenant ta misérable vie au sol, barrant ma gueule sur ta peau et je me mis à courir, te trainant au sol. Quel plaisir coupable est de faire souffrir, je te portai rapidement, te trainant pour finalement te laisser toi-même te percuter sur un arbre. Tel qu’une misérable boule de bowling. L’arbre tremblait légèrement sous l’impact. Je souriais, des bouts de poil en gueule. Lève-toi ! Je ne t’y laissai pas l’occasion, revenant vers toi d’un pas rapide, pensant rapidement à quel partie de corps pouvait-je bien t’amputer. Une oreille en moi qu’en dit-tu ? Je posai ma patte de façon à ce que tu puisses ne pas être tenté de soudainement vouloir me mordre et attrapas ton oreille grise entre mes crocs. Tu serais belle avec une oreille cisaillé. Je distançais mes dents en tirais, sentant la chair se tailler. Je riais intérieurement, reculant assez pour mettre une distance entre toi et moi, en crachant les bouts de fourrure dans ma gueule, admirant mon œuvre abstraite.