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'Dé de chasse' : 7, 4, 6, 8

La jeune louve était à peine entrée dans la forêt lorsqu'elle entendit un glapissement qui lui fit dresser les oreilles. Un jeune renard, probablement à la recherche de sa mère. La louve se dirigea donc à pas feutrés vers l'origine du bruit, veillant à ne pas se faire remarquer. Longeant l'orée de la forêt, elle remarqua bientôt une forte odeur de renard dans les environs. Elle devait probablement s'approcher d'un terrier. Son hypothèse se confirma lorsqu'elle tomba nez à nez avec sa proie, un spécimen presque adulte, celui qui venait certainement de pousser le cri qu'elle avait entendu. A la vue de la louve, l'animal fit aussitôt demi-tour et s'engouffra dans sa tanière sans attendre. Finwë se jeta à sa suite, creusant la terre à l'aide de ses puissantes pattes. Sa proie était seule, c'était le moment ou jamais de l'attraper avant que le reste de la famille ne rentre. Elle arriva enfin au niveau de la bête effrayée, qui donna un coup de croc à quelques centimètres de son museau pour l'éloigner. Mais la louve ne cilla pas, et elle planta ses propres crocs dans une patte, tirant le renard hors de son trou. Une fois dehors, l'animal se débattit, mais d'un mouvement calculé, la louve plongea vers sa gorge et l'acheva.
C'est alors qu'elle entendit des pas dans son dos. Faisant volte-face d'un bond, la louve aperçut un autre renard, adulte cette fois-ci. Probablement la mère de celui qu'elle tenait dans sa gueule. A la vue de son petit, la femelle se sauva en courant. Finwë s'élança derrière elle à toute vitesse, ses pattes martelant le sol, ses muscles roulant sous son pelage. Mais elle perdit la trace de sa proie.
Continuant de progresser à travers la forêt, la louve entendit le chant caractéristique d'un moineau. Elle se plaqua immédiatement au sol pour ne pas se faire repérer. Puis elle rampa vers l'oiseau, qui était perché sur un petit buisson. Tapie au sol, Finwë attendit quelques instants, banda ses muscles, puis elle bondit d'une puissante impulsion vers sa proie. Lorsqu'elle arriva à son niveau, elle referma ses mâchoires, mais l'oiseau parvint à y échapper de justesse, et la louve ne fit que lui arracher quelques plumes.
Avant de rentrer auprès de la meute, la chasseuse repéra la piste d'un lapin. Le museau au sol, elle suivit sa trace. Lorsqu'elle repéra le rongeur, la louve le contourna en silence et se plaça face au vent. Elle entreprit alors d'avancer doucement, veillant toujours à ne pas faire de bruit. Dès qu'elle fut assez proche, Finwë sauta sur le lapin, qui n'eut pas le temps de comprendre ce qui lui arrivait avant de mourir entre les crocs de la louve.

Résultats de la chasse:

JOUR 35


Comme tous les jours, Finwë se dirigea vers la forêt pour chasser un peu. Elle suivit le même chemin et se mit à la recherche d'une proie.

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'Dé de chasse' : 6, 11, 4, 3

La louve s'aventura dans la forêt. Elle erra longuement, le museau au sol, à la recherche d'une proie quelconque. Enfin, elle repéra l'odeur à peine perceptible d'une souris. Suivant sa trace, elle s'approcha de plus en plus de sa proie. Elle repéra enfin l'animal, qui grignotait quelque chose au sol. S'aplatissant au maximum au sol, Finwë se prépara à bondir, les muscles prêts à la détente, retenant son souffle. Mais, lorsqu'elle bondit sur sa proie, la louve envoya un caillou plus loin, ce qui fit filer sa proie de justesse, au moment où la louve atterrissait à l'endroit où se trouvait le rongeur. Claquant des mâchoires, la louve n'atteignit pas la souris, qui prit la fuite.
Continuant son chemin, la chasseuse s'arrêta d'un coup lorsqu'elle entendit un grondement derrière elle. Se retournant d'un bloc, elle se retrouva face à un lynx. La louve recula, les oreilles plaquées sur son crâne, les babines retroussées sur ses formidables crocs, poussant un long grognement de menace. Elle se mit à tourner autour du lynx, qui semblait beaucoup trop sûr de lui. Soudain, le félin bondit dans direction. Finwë, qui était sur ses gardes, sauta d'une puissante impulsion sur ses pattes, esquivant l'attaque et se retrouvant derrière le lynx. La louve en profita pour faire volte-face et planter ses crocs dans la croupe de l'animal, qui lui donna un violent coup de patte en retour. Lâchant prise, Finwë prit de nouveau ses distances. Heureusement, le coup de patte l'avait touché sans la blesser. Afin d'empêcher une nouvelle attaque, la louve se lança en première, et bondit sur le dos du félin, s'y agrippant de toutes ses forces à l'aide de ses griffes. Puis elle planta ses crocs dans le cou de sa proie, qui feula de rage et de douleur. Après un long moment, Finwë sentit le lynx s'écrouler sous elle, et elle put enfin l'achever sans problème.
Plus loin, la louve aperçut un lapin. L'animal l'ayant repérée, la louve s'élança immédiatement à sa suite. A grandes foulées, poussant puissamment sur les muscles de ses pattes, la louve rattrapait sa proie. Elle accéléra, évitant un arbre face à elle, bondissant avec agilité et force par-dessus un rocher sur sa route. Atterrissant de l'autre côté avec souplesse, elle reprit sa course d'une puissante impulsion. Mais au bout d'un moment, le lapin se jeta dans son terrier, et la louve ne put pas l'atteindre.
Finwë entendit un petit animal creuser non loin. Elle suivit le bruit, apercevant bientôt un écureuil à la recherche de nourriture. elle se plaqua au sol et rampa dans sa direction. Lorsqu'elle fut plus près, la chasseuse bondit d'un coup, se jetant sur l'animal. Mais celui-ci échappa de justesse à ses crocs. La louve le poursuivit sans attendre. Mais le rongeur au pelage roux sauta dans un arbre. Tentant sa chance une dernière fois, la louve se jeta à sa suite, s'agrippant à l'écorce à l'aide de ses puissantes griffes. Mais sa proie était beaucoup plus douée qu'elle pour ça, et l'écureuil atteignit les plus hautes branches alors que la louve n'était qu'à un mètre environ du sol. Abandonnant cette chasse, Finwë se laissa retomber au sol, avant de rentrer auprès de la meute.

Résultats de la chasse:

JOUR 36


Comme tous les jours, Finwë se dirigea vers la forêt pour chasser un peu. Elle suivit le même chemin et se mit à la recherche d'une proie.

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'Dé de chasse' : 11, 5, 9, 4

La chasseuse avançait dans la forêt à pas feutrés, aussi silencieuse et discrète qu'une ombre. Cherchant une proie, elle repéra vite l'odeur d'un coyote non loin. Elle suivit donc la piste, le museau au sol. Au bout d'un petit moment, elle parvint à une petite clairière. Sa proie était là, affairée à dévorer les restes de ce qui ressemblait à un lapin. La louve se tapit dans les hautes herbes et se rapprocha du coyote. Elle fut bientôt assez proche, se prépara à agir, les muscles bandés et le regard fixé sur son objectif. Au moment où le coyote relevait la tête, pressentant la menace, Finwë bondit d'une puissante impulsion. Elle envoya le coyote rouler au sol d'un coup de patte, puis se jeta sur lui. Une fois au-dessus, elle lui attrapa une patte et la tira dans tous les sens pour la casser, afin qu'il ne puisse plus se sauver. Puis, esquivant avec précaution les attaques du coyote qui tentait de se libérer de son poids, la louve plongea vers son cou et y planta ses crocs meurtriers, ce qui acheva l'animal après quelques soubresauts.
Continuant sa mission, Finwë s'arrêta à un petit point d'eau pour s'y abreuver. Observant la surface, elle y aperçut un poisson d'assez bonne taille. La louve n'était pas bonne pêcheuse, mais elle comptait bien tenter sa chance. Elle s'allongea sur le sol, guettant l'eau avec attention, la patte déjà levée pour frapper, lorsqu'un cri aigu provenant du ciel l'interpella. Relevant la tête, elle vit un faucon, qui plongeait droit vers le poisson. La louve se redressa en un bond. Si elle n'attrapait pas ce poisson, elle aurait cette nouvelle proie. Elle se prépara à sauter. En quelques secondes, le faucon fut à son niveau, les serres ouvertes en direction de l'eau. Finwë bondit. Elle avait une puissante détente, et elle atteignit le faucon. L'attrapant entre ses mâchoires, elle lui cassa une aile d'une pression avant de retomber dans l'eau. Ici, la louve touchait encore le fond. Elle sortit de là, le faucon dans la gueule, le posa sur la rive et le tua d'une dernière attaque. Elle s'ébroua, trempée, avant de reprendre sa route.
Revenant sur la terre ferme, la louve entreprit de continuer quelques instants sa chasse avant de rentrer à sa tanière pour se sécher. Tous les sens en alerte, elle tenta de repérer une éventuelle proie. Elle sentit alors un hérisson, proie à laquelle elle ne s'était encore jamais frottée. La louve trottina vers sa proie. Les hérissons étaient lents, elle n'avait donc pas besoin d'être discrète. Elle repéra bien vite l'animal grâce à ses piquants. S'approchant prudemment, la louve le renifla de loin. Aussitôt, sa proie se recroquevilla sur elle-même. Finwë avança doucement sa patte pour la faire rouler, mais dès qu'elle toucha l'animal, elle se retira rapidement, piquée. Elle ne savait comment s'y prendre pour l'atteindre avec toutes ses aiguilles. Elle refit plusieurs tentatives, avant d'abandonner et de rentrer.

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JOUR 37


Comme tous les jours, Finwë se dirigea vers la forêt pour chasser un peu. Elle suivit le même chemin et se mit à la recherche d'une proie.

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'Dé de chasse' : 3, 4, 9, 8

La jeune chasseuse était de nouveau en pleine chasse. Sur la piste d'un lapin, la louve était toujours aussi concentrée et silencieuse. Elle flairait le sol, afin de suivre sa proie. Elle repéra bientôt la fourrure brune dans une petite clairière. S'accroupissant, Finwë commença à progresser vers l'animal. Pas à pas, elle arriva derrière sa proie, puis bondit soudainement. Un peu trop tard. Tandis que la louve atterrissait avec agilité, le lapin déguerpissait à toute vitesse, échappant de peu aux crocs du prédateur. La louve s'élança à sa suite, mais elle le perdit de vue.
Continuant son chemin, Finwë s'arrêta net lorsqu'elle vit deux chiens errants s'approcher d'elle au petit trot. Aussitôt, elle se mit sur ses gardes en grondant, les muscles bandés, prête à bondir. Les deux molosses l'encerclèrent et se mirent à aboyer furieusement sur la louve. Finwë grogna et claqua des mâchoires en guise de réponse. Elle les observait attentivement tandis qu'ils continuaient à lui tourner autour d'un air menaçant qui n'impressionnait nullement la louve. Elle était plus forte qu'eux, et même s'ils avaient l'avantage du nombre, elle avait son agilité et sa force de chasseuse qui lui permettrait de les vaincre en combat singulier. L'un d'eux se jeta sur elle, mais Finwë esquiva l'attaque d'un formidable bond et atterrit derrière lui. Elle en profita pour lui mordre la croupe, et le chien perdit contenance et s'enfuit en hurlant. Un de moins. La louve se retourna de justesse au moment où le second s'élançait vers elle. Elle recula et lui donna un coup de patte puissant qui l'arrêta dans son élan. Puis elle bondit sur le molosse et s'agrippa tout en plantant ses crocs dans son épaule. Le chien se débattit, la faisant retomber au sol, et contre-attaqua. Les deux canidés roulèrent au sol dans un nuage de poussière. La louve se retrouva plaquée au sol, mais avant que son ennemi puisse agir, elle lui laboura le ventre de ses pattes arrières et le repoussa. Elle se releva, puis bondit sur son adversaire, plantant ses crocs dans sa gorge. La sang s'écoula, et l'animal tomba au sol dans un dernier grognement.
Alors qu'elle allait rentrer, la louve s'arrêta à un petit étang pour s'abreuver. Elle pencha la tête vers la surface, et vit un poisson. S'armant de patience, elle l'observa faire ses allers-retours en ondulant. Elle attendit encore quelques secondes, le poisson arriva à son niveau. Avec célérité, la louve plongea sa patte dans le liquide froid, et en sortit le poisson, qui alla s'écraser plus loin. La louve se dirigea vers l'animal frétillant au sol. Elle le maintint entre ses pattes et l'acheva avant de le prendre dans sa gueule et de repartir, ramassant par la même occasion le chien qu'elle avait abattu plus tôt.

Résultats de la chasse:

JOUR 38


Comme tous les jours, Finwë se dirigea vers la forêt pour chasser un peu. Elle suivit le même chemin et se mit à la recherche d'une proie.

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'Dé de chasse' : 1, 11, 1, 10

Finwë progressait depuis peu lorsqu'elle vit sa première proie se présenter à elle. Une renard. Tiens, ça faisait plusieurs jours qu'elle n'avait pas attrapé l'un de ces nuisibles. Elle suivit sa proie, qui semblait elle aussi chasser. Trottant avec discrétion à une bonne distance, elle ne se faisait pas repérer. Le renard s'arrêta un moment. Finwë devait profiter de cette occasion. Elle se plaqua au sol et continua sa progression en rampant, toujours aussi silencieuse. Elle parvint à quelques pas de sa proie, qui se reposait. Les muscles bandés, elle attendit encore quelques secondes, puis elle bondit sur le renard. Ses crocs se plantèrent dans le cou de l'animal, qui périt immédiatement dans un craquement sinistre.
Continuant sa traque, la louve sentit bientôt la piste d'un lapin, qu'elle s'empressa de suivre. Elle retrouva vite la trace du petit rongeur, mais celui-ci vit le prédateur approcher. Il prit la fuite. Aussitôt, la louve s'élança à sa suite à toute vitesse. Ses pattes martelaient le sol, ses muscles lui donnaient de puissantes impulsions à chaque foulée, son rythme cardiaque s'accélérait au fur et à mesure qu'elle se rapprochait de sa proie. Concentrée, elle bondit avec agilité au-dessus d'une souche d'arbre, et atterrit de l'autre côté à proximité du lapin. C'était le moment. La louve fit un dernier effort, et elle parvint à saisir le pauvre rongeur dans ses crocs. Elle serra le mâchoire et lui brisa la nuque.
Avant de partir, Finwë entendit un petit grattement qui l’interpella. Elle se dirigea vers la source du bruit. Elle eut tout juste le temps de voir une souris qui rentrait dans son terrier. Avançant avec assurance, la louve se hâta de creuser dans le petit trou. Faisant voler la terre tout autour d'elle, elle parvint à suffisamment effrayer le rongeur pour qu'il tente de s'enfuir. Dès que le petit museau sortit du sol, la louve se saisit de sa proie, qu'elle acheva sur le coup.

Résultats de la chasse:

JOUR 39


Comme tous les jours, Finwë se dirigea vers la forêt pour chasser un peu. Elle suivit le même chemin et se mit à la recherche d'une proie.

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'Dé de chasse' : 7, 11, 12, 7

Finwë s'avança parmi les arbres. Elle ne tarda pas à repérer sa première proie. Un lièvre était passé ici récemment. La louve décida de suivre sa piste, et se mit donc à l'oeuvre, le museau flairant le sol. Elle avançait avec discrétion afin de ne pas se faire repérer par les animaux des alentours. Après un petit moment de traque, elle parvint enfin à son but. Sa proie était juste en face. La louve rampa jusqu'à elle sans faire de bruit, puis bondit. Elle réussit à saisir l'une des pattes postérieures du rongeur, qui se débattit et tenta de fuir. Lui donnant un coup de patte puissant, elle l'assomma et put enfin l'achever d'un autre coup de crocs dans la nuque.
Poursuivant sa chasse, la louve fut attirée par un mouvement sur sa droite. Elle tourna la tête dans cette direction et aperçut la fourrure rousse caractéristique d'un renard. Elle le suivit d'un pas discret, veillant à ne pas marcher sur une branche morte pour ne pas l'alerter. Elle fut bientôt assez proche, et d'une puissante impulsion elle lui bondit dessus, l'envoyant rouler au sol. Elle se jeta sur lui, esquiva ses dents aiguisées, et lui arracha l'épaule à l'aide de ses puissantes mâchoires. Le renard glapit de douleur et tenta de fuir, mais la chasseuse l'acheva avant qu'il n'y parvienne.
La louve continua sa route. Et croisa de nouveau un ancien adversaire. Elle vit d'abord le chien s'approcher, seul cette fois-ci. Puis elle vit la plaie qu'il arborait sur la croupe, souvenir de leur affrontement d'il y a quelques jours. Cette fois-ci, la louve était bien déterminée à ne pas le laisser s'échapper. Elle se mit sur ses gardes et l'imita, poussant un grognement plus impressionnant et puissant que celui du molosse. Contrairement à la dernière fois, ce fut Finwë qui se jeta en première sur sa proie. Elle s’agrippa à l'aide de ses griffes à son dos, esquiva la morsure du chien et planta ses propres crocs dans son crâne. Le chien se débattit, mais la louve ne lâchait pas prise, cramponnée à sa proie. Le sang du chien s'écoulait au sol. Se laissant retomber au sol, elle relâcha le molosse pour le saisir de nouveau aussitôt au niveau du cou. Agité de soubresauts, le molosse finit par s'écrouler au sol, mort.
La louve allait bientôt rentrer lorsqu'elle entendit le chant d'un moineau. Elle se plaça derrière un buisson, guettant le petit animal, qu'elle repéra vite, perché sur une branche basse. S'approchant en rampant dans le plus total des silences, après avoir vérifié le sens du vent, la louve fixait sa proie. Elle parvint en-dessous de l'oiseau. Elle banda ses muscles, s'apprêta à agir, puis se lança. D'une puissante impulsion sur ses pattes arrières, elle bondit vers la branche avec une formidable détente. Elle ouvrit la gueule, et ses mâchoires se refermèrent sur la branche et le moineau en un claquement. Finwë retomba au sol avec souplesse, faisant voler les feuilles aux alentours.

Résultats de la chasse:

JOUR 40


Comme tous les jours, Finwë se dirigea vers la forêt pour chasser un peu. Elle suivit le même chemin et se mit à la recherche d'une proie.

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'Dé de chasse' : 12, 4, 7, 4

Finwë progressait avec attention. Tous les sens en alerte, elle traquait sa première proie. Un chien errant. Mais celui-ci était assez énorme et la louve devrait rester sur ses gardes si elle voulait parvenir à l'attraper. Elle avançait avec prudence, ne faisant aucun bruit. Enfin, elle repéra l'animal en question non loin. Elle s'en approcha en rampant, retenant son souffle. Arrivant à proximité, elle bondit soudainement en avant et saisit l'une des pattes arrières du chien dans ses mâchoires. Le molosse fit volte-face, et la chasseuse évita de justesse ses crocs. Elle tira sur la patte du chien, qui se fractura dans un craquement horrible. Le molosse était fou de douleur et de rage. La louve le lâcha, fit un bond de côté pour éviter une nouvelle contre-attaque, puis elle se jeta de nouveau sur lui, le renversant au sol. Elle planta sauvagement ses crocs dans son cou, et le molosse s'effondra dans un dernier souffle.
Continuant à progresser entre les arbres, Finwë trouva bientôt une autre piste. Celle d'un lapin. Elle suivit de nouveau la trace de l'animal, avant de le repérer. Aussitôt, elle s'élança à sa suite, chaque foulée lui permettant de la rattraper, ses pattes martelant le sol. Elle parvint au niveau du rongeur, fit un pas de côté, mais rata sa cible de quelques millimètres, et sa proie en profita pour prendre de l'avance et semer le prédateur.
Pour terminer, la louve s'arrêta de nouveau à un point d'eau. Elle devait s'améliorer à la pêche. Observant la surface de l'eau avec patience, elle guettait le moindre mouvement qui lui annoncerait la présence d'un poisson. Soudain, une ombre se dessina. Sans hésiter, Finwë plongea la gueule dans l'eau, et en ressortit trempée, mais un poisson entre ses mâchoires. Elle l'acheva d'un coup de crocs avant de retourner à son observation.
La louve aperçut bientôt un second poisson à la surface. Elle donna cette fois-ci un grand coup de patte dans l'eau pour en extraire sa proie, mais elle rata son coup et l'animal s'enfuit vers les profondeurs du bassin.

Résultats de la chasse: