Connor En faisant tes recherches de plantes, tu découvres une nouvelle baie à l'allure étrange. C'est de l'if, mais tu ne peux pas le savoir, et tu décides d'en extraire le grain noir, soit la partie la plus toxique de la plantes. Trouve un moyen de te rendre compte de sa toxicité, sans l'ingérer toi-même.


Je me promenais depuis quelques heures déjà autour du de ce village étrange. Il y avait là bas des plantes extraordinaires qu'on ne trouvait nulle part ailleurs, il me semblait même que ce sont des choses que les hommes auraient planté, un jour, peut-être même qu'ils les auraient fait développé eux mêmes et que maintenant ces choses se sont répandues dans la nature. Je me concentrais donc à chercher ces plantes un peu partout, et les mettait dans une sorte de petite besace. J'étais content, j'avais trouvé beaucoup de choses. Entre autres, des toiles d'araignées plutôt épaisses et bien faites, puis quelques bois, des écorces, c'était plutôt bien tout ca pour une seule journée.

J'avais trouvé quelque chose qui m'intéressait beaucoup. Un buisson avec des baies, des baies rouges. Elles étaient très belles et avaient l'air très bonnes, juteuses et très bon. J'avais envie de les prendre, vraiment, mais je me méfiais. J'étais déjà tombé sur quelque chose qui semblait bon et qui ne l'était pas. J'essayais de savoir si je pouvais la manger. J'en fis tomber une, et j'allais la gouter, un peu pour voir.

Je continuais à chercher un peu lorsque j'entendis des choses, des murmures, des bruits. Je me cachais rapidement dans des buissons, j'essayais de trouver d'où pouvait bien venir ce bruit. Enfin, je trouvais quelque chose, un jeune renard qui avait très mal. Il était là, prostré dans un coin, en gémissant et en pleurant doucement, en essayant pourtant de se cacher et de paraitre le moins possible atteint par sa blessure, il ne voulait pas avoir l'air d'une proie. Car oui, il était blessé, je voyais bien qu'il souffrait terriblement, il avait un petit rictus sur les lèvrs qui montrait à quel point il avait mal. Doucement, je m'approchais de lui. Mais qu'avait il bien pu se passer? Je sentais que quelque chose n'allait pas. Et soudain, je fis enfin le lien. Avec ce que j'avais vu, car il était sous un de ses buissons.

Je voulais rechercher, rechercher encore et toujours ce que je devais chercher. Des plantes, des plantes et encore des plantes et comme cela, un jour peut être je deviendrai aussi doué que mon père, un grand et respecté guérisseur.

Plantes pour le rang

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#1 'Dé de recherche' : 8, 9

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#2 'Dé guérisseur' : 1, 10, 5

Tu découvres... PLANTES POUR LE RANG


Encore et toujours, il me fallait chercher ce pourquoi je vivais. La vie. La vie de toutes ces choses qui poussent dans le sol grâce à la mort. Est-ce vrai que nous devenons de l'herbe lorsqu'on meurt? Je n'en sais rien, je ne sais plus qui m'avait dit cela. Toujours est il que je devais absolument trouver ces plantes. Il le fallait, pour notre bien à tous.

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#1 'Dé de recherche' : 9, 12

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#2 'Dé guérisseur' : 12, 4, 12

Encore une fois j'étais parti à la recherche de plantes. Ça devenait redondant, beaucoup aurait trouvé cela ennuyeux de faire et refaire ces recherches. Mais pas moi. Moi, j'avais envie de les faire. J'avais envie de continuer à trouver de nouvelles choses. C'était plus fort que moi, je rêvais de découvrir toutes les vertus des plantes existantes sur cette terre.

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#1 'Dé de recherche' : 7, 6

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#2 'Dé guérisseur' : 12, 8, 4

Connor défi

Cela faisait peu de temps que j'étais arrivé ici. Pourtant déjà il nous avait fallu partir.  En effet, après l'attaque surprise des Hellhound, nous avions du nous réfugier dans les marais. Certains se plaignaient. L'humidité, la flore trop étendue. .. Mais moi, je voyais ici autant de trésors que la nature pouvait offrir. Les marais regorgeaient de plantes des plus intéressantes et surtout des plus utiles, ce qui était une véritable aubaine pour un futur guérisseur qui ne demandait qu'à apprendre comment se servir de toutes ces choses. Mais ce qui m'intriguait surtout, c'était cette grande colline la bas, par delà les marais, et encore plus au delà.  La grande colline blanche.  Beaucoup de mythes entouraient cette colline. Et surtout celles de la fleur d'Edelweiss, fleur rarissime que tout guérisseur aimerait avoir dans sa collection. Les Navniks ne seraient ils pas extrêmement heureux d'avoir un guérisseur capable de chercher l'Edelweiss, l'alpha n'en serait elle pas fière ? Je souriais. C'était peut être une bonne idée.  Même si je n'avais jamais été très aventureux et que je n'aimais pas partir sans mes frères et soeurs, je décidait de partir en quête de cette fleur mystérieuse.  Mais que ne ferais je pas pour une plante rare!


Après un peu moins de deux heures de marches, j'arrivais au pied de la colline. L'escalade allait commencer. La colline était recouverte de beaucoup de fougère plantée profondément dans le sol. Je pouvais voir aussi qu'il y avait de la mousse, beaucoup de mousse qui tapissait les flans de la colline. C'était étrange d'ailleurs, car la mousse était étonemment sèche. Curieux, je frottais du bout de la patte. La mousse s'effritait facilement, et malgré sa sécheresse, elle était particulièrement glissante. Cela promettait. Mon ascension allait s'avérer difficile, mais j'avais une idée. Je mordais avec force dans la fougère et tirait sur elle pour m'aider à escalader la pente. Ensuite, je passais de sentier en sentier, rocher en rocher,  m'arretant souvent pour faire des petites pauses. J'essayais de garder un certain rythme pour ne pas être gagné par les courbatures et de ne jamais refroidir mon corps pour les mêmes raisons. Alors je continuais encore mon ascension; poussant sur mes pattes pour atteindre les différents rochers, parfois, il fallait bondir loin. A un moment, je fus gagné par une peur effroyable ; presque au dessus du vide, j'ai ripé sur un rocher mais heureusement, je réussis à le rattraper à une fougère.  Comme j'étais très léger, je ne tombis pas. Par chance. Enfin arrivé au sommet, je vis la belle fleur blanche en un coup d'oeil.  Lorsque je ne fus qu'à quelques pas, un énorme buisson piquant surgit devant moi. Un buisson? Mais non c'était vivant ! C'était un animal, plus petit que moi mais bien plus gros qu'un rongeur; qui portait des sortes de longs pics menaçant couchés comme des poils sur son dos. Celui ci se mit à aboyer des avertissements, comme quoi c'était sa fleur et que personne ne devait y toucher. Alors ça non! J'en avais besoin  et je n'avais pas fait tout ce chemin pour rien ! Je bondis d'un geste rapide et agile au dessus de la bête en faisant bien attention aux pics, puis j'arrachais la plante en faisant bien attention de garder les racines et de ne pas abîmer la fleur. A vive allure et beaucoup plus vite que je j'étais monté, je descendis la pente.


J'avais ma fleur ! Je pouvais courir la montrer à Emarok et bientôt tous sauraient que Moi, Connor, j'avais réussi à prendre l'Edelweiss.

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'Dé guérisseur' : 8, 3, 3

Dé uc et celui du dessus pas demandé

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'Dé guérisseur' : 2, 5, 10

Dé uc

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'Dé guérisseur' : 3, 4, 7

J'étais parti depuis déjà un bon petit bout de temps. Je devais chercher des plantes, toujours et encore toujours plus de plantes. Mon père m'avait appris que la recherche était essentielle à l'exercice d'un guérisseur. C'était logique, sans plante, pas de guérison. Et puis il fallait savoir où les trouver, où les chercher, comment les utiliser, quelle forme elles avaient, toutes ces choses. Je fouillais donc un peu partout lorsque j'entendis un petit bruit. Un bruit étrange, comme une souffrance, une plainte terrible, un cri venant du fin fond de l'être témoignant d'une immense douleur. Intrigué, et il fallait l'avouer, effrayé, je m'approchais doucement de l'endroit d'où émanaient les plaintes. Doucement, sur la pointe des pattes, je m'approchais en espérant que ce n'était rien de dangereux. Je me penchais sur un petit creux, entre les racines d'un arbre, et là, je vis ce à quoi je ne m'attendais pas le moins du monde. Un chien, un petit chiot plus exactement, un chiot noir comme le charbon qui hurlait. Il était tombé dans le trou par maladresse. Mais pas seulement par maladresse, car je remarquais qu'une patte manquait au jeune chien. Je crus comprendre tout de suite. Le petit était un chien de Hellhound. Les Humains Hellhound étaient passé ici pour détruire le village, ils ont donc laissé sur leur chemin les choses indésirables. Cela en faisait partie. Il criait de douleur. Dans sa chute, une de ses pattes s'étaient brisées, je la voyais, retournée sous lui, cela devait être une douleur terrible. Il hurlait, même s'il m'avait vu, il avait si mal qu'il n'arrivait pas à s'arrêter. Que faire ? N'importe qui l'aurait tué sur le champ. Soit pour lui éviter de souffrir, soit par Haine contre les Hellhound, cette dernière option étant la plus probable. Mais je ne pouvais pas faire cela, ce n'était pas dans ma nature, ce n'était pas moi. Je plissais le front. Qu'allais je faire? Le chercher au risque de me retrouver coincé moi aussi? Non, le mieux était de creuser une galerie pour l'atteindre, en essayant de lui envoyer le moins de poussière possible. C'est ce que je fis. Je creusais pour l'atteindre et parvins à l'extirper de ce trou. Mais il criait toujours, il avait si mal ! Alors je regardais rapidement dans ma besace que j'avais toujours sur moi. Il fallait que je lui donne une graine de pavot pour l'apaiser. Puis, que je fixe sa patte entre deux bouts de bois. Je fouillais dans mon sac. Je lui donnais la graine de pavot. J'avais des toiles d'araignée, mais aucun bout de bois. J'allais chercher un peu autour, et je trouvais deux bouts de bois courts mais larges. Cela pourrait suffire. Je serrais la patte entre les bouts de bois et j'enroulais la toile d'araignée.

Le jeune allait déjà mieux, la graine de pavot l'avait apaisé et sa toux s'était calmée, mais je devais m'assurer qu'il ne reste pas ici, il aurait froid. Il fallait que je trouve aussi un terrier, quelque chose où il pouvait rester à l'abri du froid et des carnassiers. Je le hissais sur mon dos, puis commençait à chercher. Je trouvais un très large terrier de renard inhabité et glissais le petit chien dedans. Mais comment allais-je faire? Je ne pouvais pas laisser un si jeune chien seul... Soudain, j'eus une idée. Je savais que des chiens errants vivaient non loin, dans la cabane brisée au bout du village en ruine. Je laissais le jeune chien là pour partir en reconnaissance. Parfait, les chiens étaient bien dans la cabane brisée et je croyais entendre des petits piaillements. Des chiots là aussi? Ces chiens là étaient des terriers, bien plus petits que la race du chiot que j'avais trouvé. Je repartis chercher le chien et le déposais près de la cabane en espérant que les chiens s'en occupent. Je grognais pour qu'on m'entende et que les chiens sortent, puis, avant qu'ils n'arrivent, je partais en courant me cacher dans les fourrés. Ils reniflèrent l'enfant et l’emmenèrent. Je partis.

dé uc

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'Dé guérisseur' : 2, 1, 4

Dé UC pas demandé

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'Dé guérisseur' : 12, 8, 3

Dé uc non demandé

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'Dé guérisseur' : 4, 7, 2