Souffle acide du vent, larmes brulantes du ciel. Le monde ne ressemble plus aux paysages d'autrefois. Les cataclysmes ont frappé, des colonnes de flammes et de fumées se sont élevées sur l'horizon. La guerre. La guerre des hommes. Et nous, les loups n'avons eu d'autres choix que de fuir. Nombreux furent nos congénères emportés. Nous traversâmes les plaines cabossées, les forêts de cendres, poursuivis par la faim, traqués par la mort.
Notre salut, nous le devions malheureusement à ceux qui avaient provoqué notre malheur.
Je tremblais encore, je frissonnais encore. Cette cage..maman ? Où es-tu ? Que fais-tu ? Cet endroit était grand on avait la place de tourner en rond mais je n'avais connu que ça depuis ma naissance. À quoi ressembles l'extérieur ? Qu'est ce qu'on ressens quand on sens le sol roc sous ses pattes ? Je n'en sais rien.. Le gémissement de ma sœur se réveillant me fit revenir à la dure réalité. J'étais enfermée dans une cage. Dans une pièce où les murs sont infranchissables, où le froid est toujours présent aussi bien dans le cœur que physiquement.
Papa viendra vous chercher ! Je viendrai vous chercher ! On vous sauvera ! Mes enfants je vous aime !
Les paroles de mère revint. Ils vont venir n'est-ce pas ? Où c'était pour rassurer nos petits cœurs ? Une larme coula de mon visage et tomba sur le sol lisse et dur de notre tanière. Mon corps tremblota. Je devais contenir mes sanglots. Je le devais pour ma sœur. J'essuya toute trace de tristesse et me retourna vers la petite boule de poil qui était entrain de se réveiller. Elle était mon sang, et celle que je veux protéger le plus au monde. Je m'approcha d'elle est me coucha autour de son petit corps frêle. J'étais plus grand quel et plus costaud mais ça ne changeait rien au fait que je la considérais comme mon égale. Je colla mon poils contre le sien pour la réchauffer. Je finis par poser ma tête à côté de la sienne. Je l'engloba de ma chaleur en essayant du mieux que possible de la réconforter mais je suis pas maman. Je suis pas notre maman.
Ce matin; une faible lueur et des petits bruits d'halètement me réveillerent. Je plisse les yeux, et découvre sans peur ni appréhension ma cage, notre cage. Crow et moi avions changé de lieu depuis que maman était partie. Était elle morte ? Nous ne le savions pas. Nous l'avions juste vu par cette fenêtre où nous nous entrainions quotidiennement. Elle était harnachée des mêmes choses que les animaux qui nous gardaient et nous surveillaient.
Des petits tremblement, un petit "ploc" sur le sol presque imperceptible. Je levais les yeux vers mon frère. Il pleurait.
Lorsque j'avais été détachée de ma mère pour la première fois, j'avais hurlé de toutes mes forces. Avec Crow, nous avions été emmené ensemble dans une petite salle où un animal grand et sur deux jambes nous attendait. Maman nous avait dit que c'était des Hommes. Depuis, ces derniers nous entrainaient régulièrement, depuis plusieurs semaines. Au début, Crow et moi étions toujours ensemble. J'étais apeurée, terrifiée, toujours cachée derrière mon frère qui lui, plus téméraire, prenait son courage à deux pattes et résistait bien plus aux hommes que moi. Puis; ils avaient commencé à nous entraîner séparément. Hier avait été notre premier entraînement où nous n'étions pas ensemble. Mais à chaque fois que je ne voyais plus Crow, j'étais comme tétanisée. Hier était la toute première fois que je me suis trouvée seule, dans une pièce, avec un entraîneur humain, je n'avais pas bougé. Les yeux écarquillés, la gueule entrouverte, j'avais tellement peur que je ne sentais pas mes membres. Mais il s'est approché doucement, sans agressivité. Il avait tenté de me montrer qu'il n'était pas mon ennemi... mais comment le croire ?
Et voilà. Ils m'avaient remis dans ma cage et épuisée, je m'étais endormie. Maintenant nous sommes le matin; et Crow pleure. Comment s'était passé son premier entraînement seul ? Je n'en avais aucune idée, nous n'avions pas eu le temps de parler , trop épuisés, l'un comme l'autre. Doucement, les yeux tout épuisés, je demandais à Crow:
Je fus soulagé de sentir le corps de ma petite sœur se réchauffer. Elle était pour moi encore un petit être sans défense et fragile. Mais elle était parfaitement capable de se débrouiller sans moi. Pourtant c'est elle que j'aime. Même si nos congénères se retournent contre nous, même si les humains veulent nous faire du mal. Je la protégerai. Elle et personne d'autre. Mais Est-ce que les humains veulent notre mort ? Ils sont pourtant clément avec nous.Je me sentis coupable de cette idée. Les humains sont méchants. Ils nous tuent. Nous maltraitent. Mais l'humain qui c'est occupé de moi m'a donné un peu d'affection... Il avait vu ma méfiance et avait pris le temps de m'observer. Je refuse pourtant de me faire avoir par cette gentillesse.
Ma sœur ouvrit ses paupières lourdement et m'observa en coin.
"ça va ?..."
Je lui fit un câlin et d'un regard chaleureux la fixa.
Il est hésitait, Il cherche à me réconforter. D'un geste affectueux, il se rapproche de moi et se serre contre ma fourrure. Il avait l'air d'y penser, lui aussi. Penser à cette journée d'hier qui était notre première journée détaché l'un de l'autre. Je n'arrive pas très bien à réaliser. Je n'arrive pas à savoir. Est-ce bien? Est-ce mal? Qui doit on suivre? Pire encore, qui doit-on aimer? Maman est partie trop tôt, elle ne nous a rien appris, elle a juste promis qu'un jour, elle nous délivrerait. Finalement, nous délivrer de quoi? Nous avions toujours vécu ici, j'avais du mal à imaginer un monde différent, au delà de ces murs gris et ces minces fenêtres translucides. Je connaissais les salles ici, je connaissais le long corridor qui menait à la salle d'entraînement, où les humains avaient entreposés des ... jeux? Etait-ce des jeux? Ou tout simplement de l'entrainement? Je ne savais pas. Tout me semblait si stricte, ici, tout n'était qu'entraînement et formation. La "salle de jeu". C'est dans celle-ci que j'avais rencontré un nouvel humain la dernière fois, quand j'étais seule. Il était plus petit que l'autre, mais bien plus grand que moi, il avait un sourire doux, des poils bruns courts qui ne dépassaient pas ses oreilles. Des dents blanches, des petites canines, de longs doigts doux qui avaient tenté de se poser doucement sur ma tête alors que je me dérobais vivement. Je n'avais pas reculé, j'étais trop tétanisée. Quels sons étaient alors sortis de sa bouche? Etait-ce le langage humain? Qu'avait-il pu me dire de sa petite voix mielleuse et rassurante? Tant de questions sans personne pour y répondre. Nous étions seuls, maintenant et peut être pour toujours.
Après m'avoir étreint, Crow avait relevé la tête et avait tenté de se montrer le plus rassurant et fort possible :
"Ca va ne t'inquiètes pas. Je vais bien. Et toi ?"
Un sourire délicat et innocent se glissa sur mes petits lèvres. Qu'il était courageux, mon frère. Comment. Comment arrivait-il à garder la tête haute encore aujourd'hui, après ce que nous avions vécu et tout ce qu'on avait promis de nous faire vivre. Un jour, nous finirions comme maman, ou peut-être pire. Comment trouvait-il la force de montrer les crocs et de se poster devant moi, les pattes raides, la gueule en avant et la queue haute, dès qu'un humain avançait vers moi? Ô mon frère! Comment arrivais tu à tenir pour nous deux alors que je peinais à tenir ne serait-ce que pour moi même? De tout mon coeur, de toutes mes forces, j'espérais tenir aussi. J'espérais pouvoir montrer un jour les dents devant un humain qui s'approchait de mon frère. Serais-je un jour assez forte, moi qui me cache au plus profond de ma cage dans la fourrure de mon jeune frère dès que j'entends un de ces chiens aux colliers répugnants éternuer?
" Ca va aller, ils n'ont rien fait de spécial. Ils ont surtout... parlé. Je ne sais pas de quoi. Ils m'ont laissé seule avec quelqu'un, pas celui de d'habitude. Celui là était moins... dur, moins rigide et plus expressif. "
Je haussais les épaules, un petit rire cristallin sortit de ma bouche :
" Mais pas un poil sur les pattes!"
C'était idiot de rire pour ça. Mon frère et moi avions vu plus d'humains que la plupart des loups du monde, et moins de loups que la plupart des gens !Alors les humains, nous les connaissions bien ! Mais en nous survivait encore cette partie d'innocence enfantine, qui nous donnait envie de rire, de jouer de tout et de rien, comme si, nous aussi, nous avions le droit à des petits rayons de soleil dans notre petite salle grise.
J'étais soulagé de voir cette flamme en elle, celle qui la faisait vivre. Un sourire se démarqua de mon visage. Nous sommes uns. Je sentais dans sa tonalité qu'elle avait une confiance sans faille pour moi et c'était réciproque. Je restais fier pour elle. Je savais que si mon esprit se laissait prendre par les crocs de ces cabots, je la perdrais et je me perdrais. Jamais. Jamais je ne la laisserai m'échapper. Toi la seule et unique.
" Ca va aller, ils n'ont rien fait de spécial. Ils ont surtout... parlé. Je ne sais pas de quoi. Ils m'ont laissé seule avec quelqu'un, pas celui de d'habitude. Celui là était moins... dur, moins rigide et plus expressif. "
Je fus soulagée.
"Tant mieux. Si il t'avait fait quoi que ce soit....J'aurais fendis leurs chaires de mes crocs.
J'avais le regard combatif. Je n'aurais jamais accepté si elle avait eu quelques choses de leur part. Après tout il ne sont peut être pas agressif, il essaye d'apprendre à nous connaître. Nous n'avions jamais connus les autres loups à part notre propre mère. C'était peut être des barbares pire ce que les rumeurs disent sur les bipèdes. Je savais plus qui croire. Ni quoi penser sur un retour de nos parents. Ils nous avaient promis mais plus le temps passe...Ils ont peut être oublié notre existence même..
" Mais pas un poil sur les pattes!"
J'éclata de rire avec une pointe de malice dans le regard. Elle me rendait heureux comme personne. Elle me faisait rire comme personne. Elle n'était comme personne.
"Le mien avait une voix rassurante mais je préfère rester méfiant...Ambre, fais attention à toi. Je ne veux pas te perdre comme maman. Nous sommes un.
Je colla mon front contre le sien et ferma les yeux. Nous étions jeunes alors pourquoi ne pas jouer ? Nous avons le droit..de nous amuser même dans les moments difficiles. Il faut avancer.
Mon frère avait l'air de vouloir jouer au début, puis, il prit un air plus sérieux et dit :
"Tant mieux. Si il t'avait fait quoi que ce soit....J'aurais fendis leurs chaires de mes crocs."
Puis il avait rit et parlé encore plus sérieusement en finissant sur un " Nous sommes un".
Je restais les yeux plissés un moment; comme si je réfléchissais à la profondeur et l'intensité de ses paroles; puis à la seconde d'après, j'éclatais d'un rire franc et cristallin, essayant pourtant de me retenir en fermant un peu la bouche ce qui rendait un rire étouffé pour le moins hilarant :
" C'est vrai qu'ils paliraient tous devant tes crocs ô combien impressionnants mon frère!! "
Ça y est; c'était le jeu. J'admirai mon frère, et je savais qu'il serait prêt à mourir pour me défendre, mais je n'avais pas envie de parler d'un sujet aussi sérieux, alors j'en profitais pour rire de ses paroles plutôt que d'aggraver ce côté pathétique de notre situation. Oui, ses jolis crocs !! Des petits quenottes toutes blanches, même pas sûres qu'elles ne soient pas de lait ! Elles étaient toutes petites et blanches comme les murs du corridor ! Alors que les autres chiens avaient des dents énormes, aussi grosses que mes oreilles. Et puis les hommes, les hommes eux n'avaient pas besoin de canines. Ils avaient bien pire.
Un sourire plein de malices, je continuais à le titiller. Depuis combien de temps n'avons nous pas joué ?
D'un bon je me jetai sur lui et le plaquais au sol :
" Grrrr je suis le méchant Crakos !! "
Criais je en le tenant au sol. Crakos, c'était un des chiens qui nous avait surveillé un jour, un chien noir énorme aux muscles d'acier et pour le moins imbécile avec des oreilles si droites mais si longues qu'elles semblaient se toucher au sommet de sa tête, si bien qu'on aurait dit qu'il portait un chapeau!
Toujours riant, je faisais des grimaces pour paraître la plus terrifiante possible - mais apparemment cela ne marchait pas trop! De toute mes petites forces dans les petites pattes de mon petit corps, j'essayais de maintenir mon frère au sol, en poussant que mes pattes avant et le bloquant de mes pattes arrières. Un jour peut être serais je aussi forte que lui!
J'avais encore adopté une mine sérieuse. Je lui faisais peur et je le voyais. Mais je ne veux pas la perdre. Elle me lança un grand sourire. Elle avait le visage d'un ange, de la pureté et de l'innocence. Elle ria de bon cœur face à mes propose. J'arbora un air interrogateur mais heureux.
" C'est vrai qu'ils paliraient tous devant tes crocs ô combien impressionnants mon frère!! "
Je fus un petit peu vexé de ses propos venant de ma sœur. Mais temps qu'elle riait de cela, j'en rirais. Alors je la rejoignis en riant de même. Puis elle sauta sur moi me plaqua contre le sol dur. Elle avait de la force cette petite. Je fus surpris de cette action. Son regard était animée par la jeunesse et jouait de moi. Un rectum s'afficha sur mon visage.
" Grrrr je suis le méchant Crakos !! "
Ah. Ce fichu Crakos. Un chien colossal comme je n'en avais jamais vu. Pourtant depuis ma naissance j'en ai vu des clébards passer dans cet endroit. Sûrement plus que les loups de cette vallée. Je la défia du regard et fit une roulade sur le côté m'échappant de ses pattes et me mettant debout. Je lui montra mes petits crocs et lança.
"Mes petits crocs de lait vont vous trancher Crakos ! Que le sors vous soit favorable !"
Je finis pas attendre une attaque. Ces jeux était un bon entraînement pour être bien dans ses pattes. Physiquement et mentalement. Surtout que je jouais pas avec n'importe qui je jouais avec ma sœur.
Un petit gloussement, puis de grands rires quand nous nous jetions l'un sur l'autre. Cela faisait longtemps que l'on avait pas ri comme cela, en fait, depuis que maman était partie. Mon frère s'était relevé et m'attendait pour me laisser l'attaquer. Alors, dans notre cage qui était désormais plus grande et qui nous laissait une certaine liberté de mouvement, je tournais autour de lui, comme j'avais vu faire les chiens. Je tournais avec ce regard que je voulais carnassier mais qui très clairement faisait petite bête maligne. Je devais bien le faire rire ! D'un coup, je bondis sur le rebord de ma cage pour ricocher sur mon frère. Je roulais à terre avec lui et tentait de le tenir au sol fermement, en faisant mine de le mordre de toutes parts.
Mordre, c'était facile, mais tenir mon frère au sol, largement moins. Mes petits muscles de mes petites pattes étaient bien plus fines que celles de mon frère, plus massif et plus fort que moins. Pourtant, j'étais plus rapide, ce qui faisait que j'arrivais à esquiver ses coups. Lorsqu'il essayait de riposter, j'esquivais rapidement vers la droite, puis vers la gauche. On avait commencer à apprendre à esquiver. Au début, c'était des trucs simples, on nous lançait des balles en mousse, qu'il fallait esquiver. Puis, on avait changé de régime, il fallait s'esquiver mutuellement.
Mon frère était toujours par terre, et tentait de se défiler. Mais je le tenais et j'arrivais à esquiver ses coups, ce qui me permettait de pallier mon défaut de force. Mais je sentais bien qu'il allait bientôt me renverser!
" Ahahah !!! Je te tiens petit cafard! "
Il aimait bien le mot cafard, Crakos. Il nous traitait souvent de cafard ! Un jour, c'est nous qui lui mettrions la pâtée à celui-là !
Elle était douée je dois l'avouer. Elle se sous estime mais comme je le dis elle est mon égale. Elle était rapide et savait user de son agilité. Je grogna fougueusement et fus plaquer au sol.
" Ahahah !!! Je te tiens petit cafard! "
Je lui fis un petit sourire en coin. Et replia mais patte et d'un seul bon la projeta en hauteur pour me libérer de son étreinte. Je repris le contrôle sur elle en la mettant sur le dos et l'immobilisant de mon corps. Maintenant j'étais sur elle et elle ne pouvait plus bouger. Malheureusement. Un petit regard et sourire charmeur arqua mon visage. Tu es coincée.
Et là on pense qu'il va se passer ça mais non xD:
"Dommage Crakos d'être coincée à présent mais je dois avouer..que vous êtes plus belles sous cette forme."
Je la fixais droit dans les yeux avec une certaine malice. Elle me fasait réellement rire. Ma petite soeur.
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Ven 17 Juin - 11:35
« Je suis là pour toi comme tu es là pour moi »
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La plage blanche, le lieu ou les hommes et les chiens Hellhound on pris comme terrain de "jeu" si on peu dire ... Capturant des loups et des louveteaux ... leurs infligeants des expériences voir même leurs posé une explosif sur le dos comme les chiens qui nous attaquait. Ses hommes avait agit par "vagues". La première était d'envoyé leurs chiens en éclaireur, la seconde de venir nous attaquer directement, et la troisieme de nous capturer.
Mais les vagues sont fini, maintenant c'est a nous de reagir et de contre attaquer. Les meutes se mettent en places, ils on un plans et des explosifs ... pas de bol de nous envoyés des chiens armés, grâce a vous on vous renvera les explosifs mais sans les chiens ...
Pour l'heurs je devais trouver le lieu ou était enfermer les enfants de Kobalt. Je ne les ai pas encore vus, mais leurs odeurs ne m'est pas inconnu ... Je m'aproche furtivement, evitant les chiens et les hommes pour suivre l'odeur des enfants ... Jusqu’à les trouver !
"Coucou les enfants. C'est votre père qui m'envoi, Kobalt. Je suis Belphegor, votre parrain... Votre père et d'autres amis vont venir vous chercher, vous serez bientôt libre. Alors n'oubliez pas que vous êtes des loups, et qu'une vie vous attend au delà de votre cage, ainsi qu'une famille. Votre véritable famille"
Voilà mon message passé. Je les regardes, les deux semblait aller bien et n'avais pas de grosse blessures. Malgré de vivre dans une cage le fait d'être deux les fait tenir bon.
Facilement, il m'avait renversé et s'était retrouvé sur moi. Il me rappela alors la réalité : je n'étais qu'une petite louve toute mignonne. Il n'arrivait pas à voir en moi un ennemi, même pour un jeu. Un petit sourire de malice se glissa sur mon visage. Et bien, j'allai jouer de mon apparence de petite louve alors ! Je fis une petite tête résignée, mignonne comme tout, une de ces têtes face à laquelle je savais que mon frère n'allait pas pouvoir resister. Il se detendit un peu, mais moi, d'un grand coup de rang, je lui lançais un coup de patte dans le tendon de la patte arrière, si bien qu'il s'effondra au sol, aussitôt, je me mis sur lui et lui mordis l'oreille.
"Tu vois! Je ne suis pas si insignifiante que cela ! Un jour je serai meilleure que Crakos lui même et je lui prendrais sa place ! "
Je poussais un grand rire franc. Oui, Crow et moi le savions. Les Hommes qui nous protégeaient contre les Hellhound ou pire, contre les loups sauvages, allaient nous entraîner pour que nous puissions être plus forts que n'importe quoi. Et un beau jour nous le deviendrons. Soudain, par la fenêtre de notre pièce, un bruit étrange. Intriguée, et inquiète, je me dégageai de mon frère pour m'approcher des barreaux de la cage. Lorsque je vis une patte se poser sur le rebord de la fenêtre, puis une deuxième. Une grande tête apparu alors. Grise, beige, une nuance de teinte. La bête se mis à parler, mais j'écoutais à peine, tétanisée, en voyant apparaître cette chose immense et surtout, lorsqu'il nous parla, ses crocs depasser de ses babines. Doucement je me reculais, jusqu'à être collée derrière mon frère. J'étais morte de peur. Les chiens nous l'avaient dit, les Hommes nous l'avaient fait comprendre . Les Loups étaient des bêtes sauvages immondes qu'il fallait détruire, ils nous avaient sauvé dans ce but alors même que nos parents nous avaient abandonnés. C'était le premier loup que Crow et moi voyions depuis des lustres. Il était bien plus grand que maman dans mon souvenir. Il était effrayant, malgré son ton de voix mielleux, je ne pouvais pas m'empêcher de penser qu'il voulait nous berner. On nous avait prévenu... Je lançais un regard effrayé et paniqué à mon frère. Que fallait il faire ? Donner l'alerte ? Je me souvenais du signal d'alerte de Crakos lorsqu'il ramenait une proie ici; des cadavres parfois.
Je n'avais pas compris le sens des paroles du loup. Un parrain; un père, tout était si abstrait, j'avais beau avoir une vague idée de ce que cela pouvait représenter, ces mots sonnaient déjà creux à mes oreilles. Je ne savais pas ce qu'il en était pour Crow. J'étais derrière lui, pressante, hésitante. Allais je donner l'alarme, ou mon frère aurait il la même idée que moi? Ou encore, finalement, laisserons nous partir cet individu, au risque de mettre en péril nos maîtres ou même de nous faire punir ?
Alors que Ambre m'avoua qu'elle allait devenir plus forte. J'en étais sûr. Son maître était doux et gentil. Par rapport au mien qui me faisait du mal. Logiquement c'est lui le gentil.
"J'en suis certains."
Je lui tapota la tête avec gentillesse. Elle restera toujours ma petite sœur chérie. Mon amour. Ma protégée.
_____
Un loup apparut. Ses paroles me firent un choc. Qui es-t-il ? Il s'en alla aussi vite qu'il était venu. Et me laissa dubitatif. Mon père ? Qu'est ce qu'un père ? Je n'en ai jamais eu et jamais vu. Il s'appelle Kobalt et notre mère Abysse. Ils doivent former un beau couple en ce moment. Je reste figer là sans rien dire. Je n'allais pas donner l'alerte car je reste fidèle à mon espèce et à ma mère. Si il est mon parrain il est lié à elle. Et il fait parti de ma famille. MA famille. Après 1 heure à rester regardant les barreaux de la cage je me retourne vers ma sœur. Et lui fait un petit sourire. Je m'avance vers notre place pour dormir et m'allonge l'invitant à me rejoindre.
"Dormons maintenant nous devons être en forme princesse."
[Bon ben moi je dis qu'on archive ? xD et on réouvre un rp où il se revoit après être libre sachant qu'ils se sont pas vus depuis]