Gravir les étapes

Déposant la carcasse du furet que la jeune femelle avait traînée sur quelques mètres, une fois fait. Elle regarda autour d'elle remarquant que quelques loups étaient encore ici, a l'abri des hommes dans ses souterrains de l’auto route. D'un soupire presque désespéré la jeune femelle grise repartit au trot sortant de là pour rejoindre le long couloir de la dédale sur lequel elle finit par poser son arrière train, le vent est toujours entrain de siffler dans ses lieux, les courants d'airs, les appels d'airs sont assez importants et même très impressionnants par moments. Mais c'est aussi un bon lieu pour entraîner ses pauvres membres a la course, mais également à quelques jeux de forces. Il y a beaucoup d'objets de bipède dont elle peut se servir.

Ne restant pas une seconde plus inactive tout son corps s'élance dans un mouvement agile et rapide vers l'avant, étirant ses muscles sans répit. Bondissant, survolant le béton craquelé de la dédale. Ses oreilles grise viennent instinctivement se mettre sur son crâne et sa gueule s'entre ouvre pour respirer plus facilement, ses yeux mi ouvert fixe l'horizon du lieux, le fond de la cavité. Comme un point, un but. Mais il n'y a pas de point particulier, juste une continuité sombre ne montrant pas la fin de cet endroit. Parfait. Ses muscles travaillent de manière coordonnés pour lui donnés de la vitesse, son souffle est régulé pour ne pas perdre en puissance, fermant parfois les paupières pour concentrer ses idées sur le battement de son cœur qui donne le tempo de la course.

Lorsqu'elle les rouvre, un obstacle se dresse sous ses yeux, ce n'est qu'un carton sur le sol qu'elle évite en s’écartant de son chemin, plus elle avance avec rapidité, plus les objets sont nombreux sur le terrain : carton, bouteille de verres éclatés, meubles tombés. Que font ses objets ici d'ailleurs ? Elle ne cherche pas la réponse à cette question et continue de courir. Ses pattes prennent un appui sur le sol, se pliant dans un mouvement brusque et l'élance en avant. Une table fissuré fait office d'un tremplin pour lui donner plus de hauteur à sauter et donc gagner en distance. Le mouvement assez brusque fait tomber le meuble dans son élan, faisant sursauter la femelle sur le bruit assourdissant de ce dernier dans sa chute. Source du Brasier prend un virage en épingle, venant déraper sur ses griffes qui s'accroche au béton à l'aide d'une petite fissure, envoyant un nuage de poussière loin derrière elle puis reprend sa course, dans le sens inverse. Traversant déjà les mètres parcouru. Cette fois, la femelle passe par-dessus le meuble dans un bond simple, ses poils frottent le bois, dans son saut la faisant gronder presque mécontente. Elle a touché.

Gravir les étapes

S'arrêtant quelques mètres plus loin le cœur emballé, elle a malgré tout besoin de reprendre lentement son souffle. Ses membres tremblent, mais elle ne les laisses pas au repos, trottinant doucement dans le lieux sombre fait de nombreux tunnels tel un labyrinthe géant. Plaisant fortement à cette louve qui aime se perdre et jouer de ses nombreux sens pour retrouver la sortie. C'est un jeux amusant lorsque vous êtes adultes, rien de grave, mais quand vous êtes un louveteau cela devient rapidement frustrant ou même effrayant. Heureusement aucun petit n'est réellement autorisée à venir ici. Trop dangereux. Cette petite course ayant redonné un dynamisme à la chasseuse qui parcours la dédale. Se retrouvant bientôt face à des objets humains éparpillé sur le sol salement.

Une décharge improvisé de ses derniers ? Des débris rapporter par d'autres animaux alors ? On y trouve de tout. Mais seulement des choses inutiles, Un vieux morceaux de tissus est posés juste là, un chiffon sans doute. Secouant la tête donnant un coup de patte de dans, elle passe son chemin jusqu'à se que ses pupilles s'arrête sur une espèce de poupée d'enfant. Entraînement de force. Faisant un demi tour et s'éloignant de quelques pas au petit trot, elle fait de nouveau un tour sur elle même en partant à grande vitesse en sa direction. A quelques mètres elle bondit pour atterrir à côté et l'attrape alors entre ses crocs.

Commençant a secouer dans tout les sens, le balançant violemment au sol, courant dans sa direction, dérapant sur le sol se rattrapant de peu avec l'aide de ses griffes. Elle tape de-dans de nouveau le faisant glisser plus loin de son museau, mais elle le poursuit. Elle imagine une proie un peu difficile. C'est un nouveau jeux qui lui permet de s'améliorer. Doucement certes. Prenant entre ses crocs ce qui semble être un bras, une patte posé sur l'abdomen elle tire vers elle. Un craquement se fait entendre. Tirant de nouveau utilisant la force de ses crocs, mais également la puissance de ses pattes pour l'arracher. Un d'enlever. Envoyant le morceau au loin avant de donner de nouveau un coup dans le plastique qui glisse sur le sol.

Repartant en courant dans le sens inverse, prenant un virage et sautant par-dessus avant de se tourner de le reprendre dans la gueule et l'envoyer d'un coup contre le mur, bondissant sans attendre sur le poupon qu'elle vient lacéré de ses griffes. C'est un petit objet qui ne lui laisse pas beaucoup de possibilité, néanmoins, pour une adulte raisonnable elle s'amuse beaucoup. Comme une enfant.

Gravir les étapes

Déposant la carcasse du furet que la jeune femelle avait traînée sur quelques mètres, une fois fait. Elle regarda autour d'elle remarquant que quelques loups étaient encore ici, a l'abri des hommes dans ses souterrains de l’auto route. D'un soupire presque désespéré la jeune femelle grise repartit au trot sortant de là pour rejoindre le long couloir de la dédale sur lequel elle finit par poser son arrière train, le vent est toujours entrain de siffler dans ses lieux, les courants d'airs, les appels d'airs sont assez importants et même très impressionnants par moments. Mais c'est aussi un bon lieu pour entraîner ses pauvres membres a la course, mais également à quelques jeux de forces. Il y a beaucoup d'objets de bipède dont elle peut se servir.

Ne restant pas une seconde plus inactive tout son corps s'élance dans un mouvement agile et rapide vers l'avant, étirant ses muscles sans répit. Bondissant, survolant le béton craquelé de la dédale. Ses oreilles grise viennent instinctivement se mettre sur son crâne et sa gueule s'entre ouvre pour respirer plus facilement, ses yeux mi ouvert fixe l'horizon du lieux, le fond de la cavité. Comme un point, un but. Mais il n'y a pas de point particulier, juste une continuité sombre ne montrant pas la fin de cet endroit. Parfait. Ses muscles travaillent de manière coordonnés pour lui donnés de la vitesse, son souffle est régulé pour ne pas perdre en puissance, fermant parfois les paupières pour concentrer ses idées sur le battement de son cœur qui donne le tempo de la course.

Lorsqu'elle les rouvre, un obstacle se dresse sous ses yeux, ce n'est qu'un carton sur le sol qu'elle évite en s’écartant de son chemin, plus elle avance avec rapidité, plus les objets sont nombreux sur le terrain : carton, bouteille de verres éclatés, meubles tombés. Que font ses objets ici d'ailleurs ? Elle ne cherche pas la réponse à cette question et continue de courir. Ses pattes prennent un appui sur le sol, se pliant dans un mouvement brusque et l'élance en avant. Une table fissuré fait office d'un tremplin pour lui donner plus de hauteur à sauter et donc gagner en distance. Le mouvement assez brusque fait tomber le meuble dans son élan, faisant sursauter la femelle sur le bruit assourdissant de ce dernier dans sa chute. Source du Brasier prend un virage en épingle, venant déraper sur ses griffes qui s'accroche au béton à l'aide d'une petite fissure, envoyant un nuage de poussière loin derrière elle puis reprend sa course, dans le sens inverse. Traversant déjà les mètres parcouru. Cette fois, la femelle passe par-dessus le meuble dans un bond simple, ses poils frottent le bois, dans son saut la faisant gronder presque mécontente. Elle a touché.

Gravir les étapes

Déposant la carcasse du furet que la jeune femelle avait traînée sur quelques mètres, une fois fait. Elle regarda autour d'elle remarquant que quelques loups étaient encore ici, a l'abri des hommes dans ses souterrains de l’auto route. D'un soupire presque désespéré la jeune femelle grise repartit au trot sortant de là pour rejoindre le long couloir de la dédale sur lequel elle finit par poser son arrière train, le vent est toujours entrain de siffler dans ses lieux, les courants d'airs, les appels d'airs sont assez importants et même très impressionnants par moments. Mais c'est aussi un bon lieu pour entraîner ses pauvres membres a la course, mais également à quelques jeux de forces. Il y a beaucoup d'objets de bipède dont elle peut se servir.

Ne restant pas une seconde plus inactive tout son corps s'élance dans un mouvement agile et rapide vers l'avant, étirant ses muscles sans répit. Bondissant, survolant le béton craquelé de la dédale. Ses oreilles grise viennent instinctivement se mettre sur son crâne et sa gueule s'entre ouvre pour respirer plus facilement, ses yeux mi ouvert fixe l'horizon du lieux, le fond de la cavité. Comme un point, un but. Mais il n'y a pas de point particulier, juste une continuité sombre ne montrant pas la fin de cet endroit. Parfait. Ses muscles travaillent de manière coordonnés pour lui donnés de la vitesse, son souffle est régulé pour ne pas perdre en puissance, fermant parfois les paupières pour concentrer ses idées sur le battement de son cœur qui donne le tempo de la course.

Lorsqu'elle les rouvre, un obstacle se dresse sous ses yeux, ce n'est qu'un carton sur le sol qu'elle évite en s’écartant de son chemin, plus elle avance avec rapidité, plus les objets sont nombreux sur le terrain : carton, bouteille de verres éclatés, meubles tombés. Que font ses objets ici d'ailleurs ? Elle ne cherche pas la réponse à cette question et continue de courir. Ses pattes prennent un appui sur le sol, se pliant dans un mouvement brusque et l'élance en avant. Une table fissuré fait office d'un tremplin pour lui donner plus de hauteur à sauter et donc gagner en distance. Le mouvement assez brusque fait tomber le meuble dans son élan, faisant sursauter la femelle sur le bruit assourdissant de ce dernier dans sa chute. Source du Brasier prend un virage en épingle, venant déraper sur ses griffes qui s'accroche au béton à l'aide d'une petite fissure, envoyant un nuage de poussière loin derrière elle puis reprend sa course, dans le sens inverse. Traversant déjà les mètres parcouru. Cette fois, la femelle passe par-dessus le meuble dans un bond simple, ses poils frottent le bois, dans son saut la faisant gronder presque mécontente. Elle a touché.