Souffle acide du vent, larmes brulantes du ciel. Le monde ne ressemble plus aux paysages d'autrefois. Les cataclysmes ont frappé, des colonnes de flammes et de fumées se sont élevées sur l'horizon. La guerre. La guerre des hommes. Et nous, les loups n'avons eu d'autres choix que de fuir. Nombreux furent nos congénères emportés. Nous traversâmes les plaines cabossées, les forêts de cendres, poursuivis par la faim, traqués par la mort.
Notre salut, nous le devions malheureusement à ceux qui avaient provoqué notre malheur.
Cartes aux trésors [Recherches&Entraînements continu]
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Sam 28 Mai - 11:08
Abysse
28 Mai (Entraînement 1)
Après avoir parcourus les ombres de la forêt aux pendus, la jeune louve avait prit le chemin de la ville en ruine. Car malgré que tout ses souvenirs ne lui soit pas complètement revenu, elle se souvenait d’une chose certaine : c’était un lieu parfait pour les entraînements, elle en avait vécu des choses, elle le ressentait, mais ne se souvenait pas. Puis peut-être qu’en continuant ses entraînements sur se béton explosé au milieu des bâtiments humains, elle retrouveraient une partie de sa mémoire perdue. Déposant ses proies à la tanière rapidement, son compagnon n’était pas là et heureusement. Elle ne voulait pas le croiser maintenant, elle n’en avait pas envie. Prenant la direction du lieu dit, elle trottina une bonne demi heure avant de réussir à fouler le bitume abîmé sous ses pattes. Inspirant et expirant lentement, elle élança alors son corps dans une course sans limite. Plaquant ses oreilles sur son crâne, sa respiration très rapide, haletante. Poussant sur ses faibles forces qu’elle faisait tout pour retrouver sans se laisser démolir par la folie furieuse. Bondissant soudainement sur une carcasse de voiture, elle griffa la carrosserie, pour passer par-dessus. Prenant appuie sur le toit, pour élancer son corps sur une autre carcasse, jouant à sauter d’objet en objet pour ne pas toucher le sol. Puis elle s’élança encore une fois sur un lampadaire écrasée qui remonte jusqu’au toit d’un restaurant, jouant les équilibristes sur le métal froid et glissant. Une fois le toit atteint, elle continue sa course. Passant également sur une pancarte publicitaire tombé et décroché par la force des éléments, s’arrachant une ou deux touffes de poil au passage elle ne fit pas attention à la douleur que subit son corps au frottement. S’ébrouant elle continue de se déchaîner. Un coup de vent fait s’élever de la poussière qui encombre sa vue mais également son museau, la faisant éternuer et trébucher. Toussant par l’encombrement des particules dans ses poumons, elle n’abandonne cependant pas et se relève continuant de courir droit devant elle. Ne voulant pas quitter l’horizon des yeux. Certains souvenirs font surfaces : elle ici avec un autre loup. Une rencontre assez particulière, un jeune qui la défit, une course puis les hommes. Son poil s’hérisse le long de sa colonne à cette pensée. Suivant son instinct, bondissant de toit en toit pour finalement se laisser glissé sur une plate forme penchée jusqu’au sol. Passant un trou fait par un séisme, elle s’y glisse difficilement en tordant son corps. Se retrouvant donc dans les égouts du centre ville, trottinant sur les rebords faisant attention à ne pas glisser et finit dans l’eau sale.
Marchant à pas de loup sur le rebord de ses eaux sales, son esprit fait expressément attention où ses pattes ce pose. Un rat se faufile alors entre les griffes de la jeune femelle qui ne peut s’empêcher de sursauter et de finalement tomber, l’eau lui arrive au ventre. Elle n’est pas très haut ici pour le moment, mais il se pourrait bien qu’une profondeur se fasse sentir sous ses pattes après quelques mètres. Abysse décide donc continuer sa mésaventure en nageant, bien que cela soit très sale, sans doute mauvais pour elle. Sa bouche est fermer, ne voulant laisser rien rentrer, ne voulant pas finir empoisonner par les mauvaises eaux de cette ville effondré. Nageant en battant avec force ses pattes dans le liquide plus ou moins visqueux, une lumière se faire voir au-dessus de sa tête puis un bruit de cascade alors que le courant se fait bien plus fort. Cela de vient dangereux pour elle de rester ici, mais alors que la femelle tente de s’agripper au rebord, sa patte ripe sur le côté et la voila emporter. Elle bats des pattes arrières pour se donner de la puissance et contré se soudain courant qui l’entraîne. La louve tente tant bien que mal de garder la tête hors de l’eau, chose compliquer pour elle. Toussant un peu, oreilles plaquer sur le crâne. Donnant une impulsion à ses pattes, elle finit par fermer les yeux et de plonger sous l’eau, ses pattes avant rencontrant le sol, donnant une forte pression et se propulse vers l’avant dans un bond. Elle réussit à agripper ses griffes sur une petite faille du rebord, ses crocs attrape une barre en métal qui la fait frissonner de froid à son contact, elle se tire avec l’aide de ses pattes. Son corps humide est bien plus lourd et compliqué, tentant de faire contre poids, après une dizaine de minutes à batailler comme une folle furieuse, Abysse réussit à s’extirper plus de la moitié du corps. Reprenant son souffle elle rampe loin du rivage, relevant ensuite les yeux vers une sortie possible, un tuyau semble remonté dans les entrailles de la ville, mais de l’eau s’y écoule également. Ne serait-ce pas un peu risquer de sa part de s’y aventurer ? Haussant des épaules, elle doit bien sortir d’ici après tout alors. Trottinant dans ce fameux tuyau, faisant attention de ne pas glisser au risque de retourner aussi vite que venu en bas. Un trou faisant entrer lumière se fait rapidement voir au plaisir de la jeune femelle. Il est néanmoins bloquer par une énorme pierre sans doute effondrer du plafond. La faille est fine, elle peut s’y glisser en contorsionnant tout son corps. Griffant, arrachant des poils grondants de colère, elle finit par y arriver avec de l’effort. Se laissant tomber au sol coucher au sol. Elle remarque que la voila dans ce que l’on appelle un vieux restaurant pour hommes. Laissant tomber les entraînements trop épuisé, elle marche lentement au milieu de la salle venant fouiner son museau un peu partout, pour peut-être trouver quelques choses d’intéressant.
Fiche de personnage force: (100/100) agilité: (100/100) endurance: (100/100)
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Messages :
15874
Points :
994
Âge Personnage :
X ans
Rang :
Rang
Niveau Rang :
Niveau
Maladie :
Blessure :
Détails blessures :
Pas de Blessure
Détails maladie :
Pas de Symptôme
Bonus Force :
+0
Bonus Agilité :
+0
Bonus Endurance :
+0
Bonus score de chasse :
Score de chasse : +0
Nombre de lancers quotidien :
Nombre de Chasse : +0
Bonus Santé :
Bonus Santé : 0
Bonus/Malus Autres :
Bonus/Malus Autres (autres dés)
Compétence d'élite :
Sam 28 Mai - 11:09
Le membre 'Abysse' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'Dé de recherche' : 7, 2
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Dim 29 Mai - 18:19
Abysse
29 Mai (Entraînement 2 et Recherche)
Marchant à pas de loup sur le rebord de ses eaux sales, son esprit fait expressément attention où ses pattes ce pose. Un rat se faufile alors entre les griffes de la jeune femelle qui ne peut s’empêcher de sursauter et de finalement tomber, l’eau lui arrive au ventre. Elle n’est pas très haut ici pour le moment, mais il se pourrait bien qu’une profondeur se fasse sentir sous ses pattes après quelques mètres. Abysse décide donc continuer sa mésaventure en nageant, bien que cela soit très sale, sans doute mauvais pour elle. Sa bouche est fermer, ne voulant laisser rien rentrer, ne voulant pas finir empoisonner par les mauvaises eaux de cette ville effondré. Nageant en battant avec force ses pattes dans le liquide plus ou moins visqueux, une lumière se faire voir au-dessus de sa tête puis un bruit de cascade alors que le courant se fait bien plus fort. Cela de vient dangereux pour elle de rester ici, mais alors que la femelle tente de s’agripper au rebord, sa patte ripe sur le côté et la voila emporter. Elle bats des pattes arrières pour se donner de la puissance et contré se soudain courant qui l’entraîne. La louve tente tant bien que mal de garder la tête hors de l’eau, chose compliquer pour elle. Toussant un peu, oreilles plaquer sur le crâne. Donnant une impulsion à ses pattes, elle finit par fermer les yeux et de plonger sous l’eau, ses pattes avant rencontrant le sol, donnant une forte pression et se propulse vers l’avant dans un bond. Elle réussit à agripper ses griffes sur une petite faille du rebord, ses crocs attrape une barre en métal qui la fait frissonner de froid à son contact, elle se tire avec l’aide de ses pattes. Son corps humide est bien plus lourd et compliqué, tentant de faire contre poids, après une dizaine de minutes à batailler comme une folle furieuse, Abysse réussit à s’extirper plus de la moitié du corps. Reprenant son souffle elle rampe loin du rivage, relevant ensuite les yeux vers une sortie possible, un tuyau semble remonté dans les entrailles de la ville, mais de l’eau s’y écoule également. Ne serait-ce pas un peu risquer de sa part de s’y aventurer ? Haussant des épaules, elle doit bien sortir d’ici après tout alors. Trottinant dans ce fameux tuyau, faisant attention de ne pas glisser au risque de retourner aussi vite que venu en bas. Un trou faisant entrer lumière se fait rapidement voir au plaisir de la jeune femelle. Il est néanmoins bloquer par une énorme pierre sans doute effondrer du plafond. La faille est fine, elle peut s’y glisser en contorsionnant tout son corps. Griffant, arrachant des poils grondants de colère, elle finit par y arriver avec de l’effort. Se laissant tomber au sol coucher au sol. Elle remarque que la voila dans ce que l’on appelle un vieux restaurant pour hommes. Laissant tomber les entraînements trop épuisé, elle marche lentement au milieu de la salle venant fouiner son museau un peu partout, pour peut-être trouver quelques choses d’intéressant.
Marchant à pas de loup sur le rebord de ses eaux sales, son esprit fait expressément attention où ses pattes ce pose. Un rat se faufile alors entre les griffes de la jeune femelle qui ne peut s’empêcher de sursauter et de finalement tomber, l’eau lui arrive au ventre. Elle n’est pas très haut ici pour le moment, mais il se pourrait bien qu’une profondeur se fasse sentir sous ses pattes après quelques mètres. Abysse décide donc continuer sa mésaventure en nageant, bien que cela soit très sale, sans doute mauvais pour elle. Sa bouche est fermer, ne voulant laisser rien rentrer, ne voulant pas finir empoisonner par les mauvaises eaux de cette ville effondré. Nageant en battant avec force ses pattes dans le liquide plus ou moins visqueux, une lumière se faire voir au-dessus de sa tête puis un bruit de cascade alors que le courant se fait bien plus fort. Cela de vient dangereux pour elle de rester ici, mais alors que la femelle tente de s’agripper au rebord, sa patte ripe sur le côté et la voila emporter. Elle bats des pattes arrières pour se donner de la puissance et contré se soudain courant qui l’entraîne. La louve tente tant bien que mal de garder la tête hors de l’eau, chose compliquer pour elle. Toussant un peu, oreilles plaquer sur le crâne. Donnant une impulsion à ses pattes, elle finit par fermer les yeux et de plonger sous l’eau, ses pattes avant rencontrant le sol, donnant une forte pression et se propulse vers l’avant dans un bond. Elle réussit à agripper ses griffes sur une petite faille du rebord, ses crocs attrape une barre en métal qui la fait frissonner de froid à son contact, elle se tire avec l’aide de ses pattes. Son corps humide est bien plus lourd et compliqué, tentant de faire contre poids, après une dizaine de minutes à batailler comme une folle furieuse, Abysse réussit à s’extirper plus de la moitié du corps. Reprenant son souffle elle rampe loin du rivage, relevant ensuite les yeux vers une sortie possible, un tuyau semble remonté dans les entrailles de la ville, mais de l’eau s’y écoule également. Ne serait-ce pas un peu risquer de sa part de s’y aventurer ? Haussant des épaules, elle doit bien sortir d’ici après tout alors. Trottinant dans ce fameux tuyau, faisant attention de ne pas glisser au risque de retourner aussi vite que venu en bas. Un trou faisant entrer lumière se fait rapidement voir au plaisir de la jeune femelle. Il est néanmoins bloquer par une énorme pierre sans doute effondrer du plafond. La faille est fine, elle peut s’y glisser en contorsionnant tout son corps. Griffant, arrachant des poils grondants de colère, elle finit par y arriver avec de l’effort. Se laissant tomber au sol coucher au sol. Elle remarque que la voila dans ce que l’on appelle un vieux restaurant pour hommes. Laissant tomber les entraînements trop épuisé, elle marche lentement au milieu de la salle venant fouiner son museau un peu partout, pour peut-être trouver quelques choses d’intéressant.