Oui, c'était bien beau de faire l'asocial qui aimait pas les meutes (ni les gens tout court), qui vivait dans son coin et survivait par ses propres moyens. Oui, c'était facile de s'éloigner de tout le monde, mais en attendant la bouffe n'allait certainement pas commencer à lui tomber dans le gosier sans qu'il bouge ses fesses.
Et c'était tout sauf facile quand une bande de dégénérés explosifs se baladaient un peu partout, juste devant leurs dangereux de maîtres au visage lupin. Mais il n'avait pas le choix, alors autant s'y mettre. Le plus loin possible de ces psychotiques. Pas moyen de vivre tranquille, sérieusement.