Souffle acide du vent, larmes brulantes du ciel. Le monde ne ressemble plus aux paysages d'autrefois. Les cataclysmes ont frappé, des colonnes de flammes et de fumées se sont élevées sur l'horizon. La guerre. La guerre des hommes. Et nous, les loups n'avons eu d'autres choix que de fuir. Nombreux furent nos congénères emportés. Nous traversâmes les plaines cabossées, les forêts de cendres, poursuivis par la faim, traqués par la mort.

Notre salut, nous le devions malheureusement à ceux qui avaient provoqué notre malheur.


 
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 Les enfers sur terre. Post privé, PNJ - ABYSSE

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Sam 23 Avr - 16:22



HellHound

Human HellHound





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Merci de ne pas oublier de mettre un récapitulatif de vos attaques à chaque fin de post.



Abysse, voici ta cage, ton nouvel enclos dans lequel tu te réveilles après avoir été capturé.


Sont disponible dans ta cage:
une écuelle avec de l'eau
des morceaux de viandes séchés.







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Sam 23 Avr - 17:10


DEBUT DE L'ENFER
PREMIER CHAPITRE
Abysse réveille et se retrouve enfermé dans la cage situé sur la plage blanche entouré d'hommes et de chiens. Sa mise bas commence.


Force : 49 | Agilité : 70 | Endurance : 69

Comment ? Pourquoi ?
Comment en est-elle arrivée ici, dans cette endroit qu'elle ne connaît.
Pourquoi est-elle ici, que vont-ils lui faire, à elle, à ses petits. Que des questions qui résonnent dans la tête de la femelle au pelage noire. Elle se souvient pourtant s'être coucher quelques secondes quand la première contraction à eut lieu. Elle se souvient s'être relevé en ébrouant son corps au milieu de l'odeur sèche des feuilles mortes, au milieu de la terre froide et aride la forêt entourant l'ancienne fête foraine. Elle se souvient s'être sauvé en douce de son recoin de mise bas pour se balader librement, étant presque sûr que rien ne pouvait l'atteindre. Elle avait envoyer Kobalt balader en grondant sur ce dernier pour pouvoir être seule cinq minutes. Lui ayant promis qu'il ne lui arriverait rien. Oui, elle c'était elle-même promise de ne prendre aucun risque avec les hommes alentours, le danger était à son seuil le plus élevé, pourtant elle avait fait la sombre idiote en s'aventurant loin de la protection des loups de sa meute. Se sentant idiote, ses yeux encore mi-clos par la fatigue, ainsi que le poison endormissent coulant dans ses veines, se sentant plus faible que jamais. Pourquoi en avait-elle fait qu'à sa tête comme d'habitude ? Pourquoi n'avait-elle pas écouté les conseils de son compagnon ? Voila qu'elle se retrouvait ici. Il ne lui avait valut qu'une paire de seconde pour se faire encercler de chiens armés d'explosifs, elle n'avait rien pus faire. Trop nombreux. Trop fort. Elle, pauvre femelle sur le point de mettre bas, se battre aurait été de la folie furieuse, elle aurait mit en danger ses petits, il en était hors de question. Puis il était sortit de nulle part, cet homme. Ce monstre. Le bipède n'avait pas eut de pitié, la dernière chose que la femelle avait eut le temps de voir avant de tomber dans un lourd sommeil était le sourire de l'humain. Fier de sa trouvaille. Fier de sa prise. Puis plus rien. Le noir complet. Dans ses rêves, ses cauchemars elle ressentait la tristesse de Kobalt. Elle ressentait également sa déception sur le comportement immature de la louve qui aurait dus rester à la tanière pour sa protection, pour celle de ses petits. Non elle n'aurait jamais dus. Voila que maintenant ses coussinets sont sur du métal froid avec par-ci par-là du sable.

Rouvrant ses yeux vert complété de cernes visible, elle bougea une première patte, celle avant pour venir toucher le doux sol sablé puis rencontrer le métal froid, grondant un peu redressant sa tête mollement. Sa vue était encore troublé. Tout son corps était plus ou moins paralysé, seule sa queue battait l'air vainement d'agacement. Elle n'était pas énervé, mais bien triste de la tournure des événements. Elle priait intérieurement pour que Kobalt vienne la chercher au plus vite. Pour qu'il lui porte secours, elle serait incapable de réussir à se sortir d'ici seule. Alors que ses sens lui revenait petit a petit, une violente douleur la prise dans le bas ventre. Grognant reposant sa tête sur le sol, fermant les yeux. Les premières contractions étaient bien là. Ses pattes eurent un mouvement de panique, non elle ne pouvait mettre bas maintenant. Pas ici. Pas seule. Une peur sans nom s'empara de la femelle, qui tentait vainement de repousser se moment. Les membres tremblants, laissant échapper des couinements, attirant l'attention des autres alentours. Un molosse, armé qui semblait plus sage que les autres remarqua la louve souffrante. Un sourire moqueur sur les lèvres, non ici, elle ne devait compter que sur elle même c'était un fait. Une pure réalité. Un nouveau coup fut porter par une contraction. Ses deux pattes arrières s’étirèrent prenant appuie sur le métal froid. Le souffle saccadé, fermant les yeux. Son cœur battant la chamade. Elle murmura alors plus à elle-même « Pourquoi maintenant... » Troisième contraction. La douleur n'était comparable a rien. Pas même a la brûlure d'une pluie acide. Pas même à la morsure d'un loup plus fort. Se n'était pas quelques choses que l'on peut décrire. C'est une sensation qui vous bouffes de tout l'intérieure. Qui vous détruits petit à petit. Quatrième contractions. Le travail a vraiment commencer, elle tente de garder ses esprits et de rester calme face à la situation. Mais comment rester calme dans une situation pareil.

La louve tente de ne pas paniquer, de ne pas cédé à la peur. Ou encore pire, à la folie. Elle doit penser seulement à ses enfants, rien d'autres. Mais elle ne s'empêche pas néanmoins d'imaginer Kobalt à ses côtés. Il ne sera pas là, il n'est pas là, il ne pourra pas voir ses enfants venir au monde. Il ne pourra pas les serré contre lui, il ne pourra pas les sentir. Car non, il n'est pas à ses côtés, Abysse est seule, à cause de ses bêtises de liberté tant désiré elle se retrouve solitaire dans une situation des plus délicate. Dans un moment des plus attendus par lui, par elle, par eux. Pour leur nouvelle famille qui sera séparé durant on ne sait combien de jour, de semaine ou même de mois. Que vont pouvoir faire les humains à ses petits ? Elle se fiche du sort qui lui est réservé, elle se fiche de mourir tant qu'eux iront bien. Cinquième contractions. Elles sont de plus en plus violente, de plus en plus douloureux. Serrant ses crocs, elle les sent arriver venir. Poussant, utilisant ses maigres forces pour les aidés à sortir. Prenant une grande inspiration. Donnant une nouvelle fois une pulsion grâce à ses forces restantes. La douleur est toujours là, mais elle doit passer au-dessus. Elle doit oublier. Mais comment l'oublier quand au moindre mouvement elle revient à la charge bien plus forte que la précédente ? Ses forces diminuent, elle n'y arrivera pas. Elle ose imaginer également le pire pour elle. Pour ses enfants. Vont-ils réussir à survire à cette mise bas ? Elle a peur. Pour elle et pour eux. Elle ne veut pas les perdre, se serait la pire des choses, le pire des cas. Elle ne s'en remettrait pas et s'en voudrait à jamais. Secouant sa tête, essayant dépoussiéré ses idées sombre, elle pousse de nouveau alors qu'une nouvelle contraction lui appuie tout le long du bas ventre, faisant sursauter ses muscles par nervosité. Son corps ne semble plus lui répondre. Seule son esprit est encore là. Fraîchement réveillé de la flèche. Soufflant longuement, inspirant, expirant calmement. Secouant légèrement la tête, le travaille continue.

Poussant de toute ses forces jusqu'à en couiner de douleur, alors qu'un appuie se fait sentir sur son bas ventre, elle y presque. Il ne reste qu'une question de minutes, une question de seconde peut-être. Grognant frustré et agacé, elle continue, prenant appuie de nouveau sur les barreaux de la cage, étirant ses pattes sur la longueur, elle couine en improvisant une seconde pulsion. Elle soupire de soulagement quand un premier poids se fait sentir de moins. Redressant un peu la tête, un premier petit est là. Les oreilles dressé sur l'avant de son crâne, elle n'a néanmoins pas le temps de s'en préoccuper. Le deuxième louveteau n'est toujours pas sortit. Si jamais elle met trop de temps elle risquerait de se tuer dans le liquide. Serrant des crocs, poussant encore et encore, ses forces sont presque veines. Elle ne ressent plus aucune énergie nulle part, ni dans ses pattes, ni dans son corps. Sa respiration lui brûle la gorge, ses pattes trembles, ses yeux pleurs également de douleur. Abysse ne peut pas le laisser mourir. Poussant une énième fois à s'en déchirer tout le corps d'une douleur monstre. Elle supplie intérieurement de l'aide, elle prie que son petit, ses petits aille tous bien. Dans un dernier geste désespéré, elle finit par venir à son tour. Le dernier louveteau sort enfin, la douleur commence a s'apaiser, mais la femelle n'y prête pas attention. Elle se redresse immédiatement sur ses pattes avant, se couchant, donnant un accès immédiat aux petits pour qu'ils puissent se nourrir. Mais alors que le premier semble bien en vie, en bonne santé, le second, plus petit, plus fragile inquiète la femelle. Il ne respire pas.

Elle vient le lécher longuement, tentant de le dégager du liquide visqueux toujours collés, elle tente de le réveillé. De le secouer pour faire partir son cœur. Les larmes coulent toujours sur ses joues noires « S'il te plaît, ne me fait pas ça... » dit-elle entre son sanglot silencieux. L'inquiétude ne pourrait pas être plus haut. Quand soudain la porte de la cage s'ouvre violemment faisant sursauter la femelle. Sans qu'elle ne puisse faire quoi que se soit un homme attrape la petite bête entre ses bras et commence à la secouer. Prise de panique, mais incapable de se redresser trop affaiblis elle grogne furieuse, gronde menaçante. Que fait-il donc à son petit ? Pourquoi le touche-t-il ? Elle n'arrive pas à comprendre. La colère prend largement le dessus sur sa tristesse. Quand les premiers jappements se font entendre faisant taire Abysse, regardant soudainement avec intérêt l'humain qui repose rapidement le petit animal noir au creux de la cage, entre les pattes de la méfiante femelle qui pour cette fois, ne tente rien. Il vient de sauver sa fille. La prenant contre elle, poussant du museau jusqu'à ses mamelles. Soupirant de soulagement, elle les lèches un à un, recouvrant de son odeur. Heureusement l'homme ne l'aura pas eut assez longtemps pour pouvoir l'imprégné d'une odeur nauséeuse. Mais même avec ça, Abysse n'aurait pas abandonner. Souriant fatigué, elle pose sa tête contre eux, les gardant sous sa protection. Malgré la lourde fatigue tombante, elle se refuse à fermer les yeux. Elle se refuse le moindre repos, elle doit être là pour les aidés, les surveillés, les protégés. Jusqu'à se qu'elle sorte d'ici. Mais comment.

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Dim 24 Avr - 23:32


DEBUT DE L'ENFER
SECOND CHAPITRE
Abysse vient de mettre bas de deux louveteaux. Un mâle et une femelle. Après une terrible et douloureuse mise bas elle reste au prêt d'eux pour les surveillés sacrifiant son repos pour leurs protections.



Force : 49 | Agilité : 70 | Endurance : 69

L'eau coule et s'écoule en travers les barreaux de la cage, quelques choses de froid, de glacé tombe à petites gouttes sur le pelage noir et sale de la femelle qui toujours couchés dans la cage, les sens en alerte, la peur lui dévorant l'estomac depuis plusieurs jours, depuis plusieurs lunes. Les yeux grand ouvert alors que l'eau coule toujours, la queue enroulée sur ses deux petits qui sont toujours endormis paisiblement. Ils sont bien les seuls à trouver un certains repos, une certaine zénitude qui n'existe pas chez la mère. Au moindre bruit, au moindre mouvement inconnu ou perturbant pour la jeune mère elle gronde, gonflant ses poils doublant sa maigre carrure, prête à mordre, à attaquer. Elle mange pour nourrir ses petits, elle boit très peu, assez pour ne pas mourir déshydrater, mais rien ne semble lui plaire, la seule chose qui l'appelle est le son, le doux son d'une futur liberté. Ou non. Elle n'a aucune idée de quand est-ce qu'elle pourra s'échapper d'ici, quand est-ce que Kobalt viendra ? Va t-il venir néanmoins ? A t-il remarquer sa disparition soudaine ? Elle pense que oui, mais son coeur et son esprit sont en parfait désaccord, l'un ne voit que le bonheur, l'autre que le malheur. Elle ne sait plus qui écouté, seul son instinct de survie doit compter en ses jours sombres, seul ses petits comptes. Abysse ne souhaite qu'une seule chose : qu'ils s'en sortent, eux n'ont rien demander, ils n'ont pas demander d'être capturés. Ils n'ont pas demander de naître dans des conditions aussi horrible. Le coeur lourd, elle les regarde dormant. Donnant quelques coups de museau puis les nettoie. Son regard perdu, elle sent sa propre âme de battante retomber lourdement, elle ne sait plus qui elle est, elle ne sait plus se qu'elle doit faire. Posant sa tête cotre les petits elle reçoit des nouvelles gouttes d'eaux sur le plage.

Il fait froid. Pas seulement la cage, la température semble tombé depuis plusieurs jours qui n'améliore pas le quotidien de la jeune femelle qui lâche un long soupire. Croisant le regard d'un chien Hell qui soudainement approche trop prêt de sa cage, redressant la tête, les oreilles plaqués sur son crâne. Grondante de colère, prête à en découdre avec l'animal. Qu'il ose venir plus proche pour pouvoir le mettre en morceau, son pelage doublant de volume face à l'animal. Se dernier rit d'un air mauvais, passant sa langue sur ses babines. De sa voix pâteuse gronde à son tour, rauque menaçant. "Ils ont l'air appétissants..." alors que ses yeux noirs se posent sur les petits louveteaux endormis, à ce regard, à ses paroles. Abysse relève son corps un peu plus, découvrant ses crocs, à son tour prend l'air menaçante, presque terrifiante devant l'ennemi, le prévenant d'une approche "Essaye quoi que se soit et je te le ferais regretter jusqu'à se que ton corps se vide de la dernière goûte de ton sang molosse incapable..." Il repartit aussi tôt riant toujours. Abysse n'avait plus rien d'impressionnant, le corps frêle alertant d'une maigreur. Perdant peu à peu des forces, perdant sa vigueur. La mise bas avait été une dure épreuve, puis ses jours qui n'en finissait pas. Faible plus que jamais. La rancœur lourde, elle se promettait de se venger un jour de ses monstres, de ses hommes pour lui avoir fait subir ça. Se recouchant au prêt des petits qui s'agitaient en laissant des jappements s'échapper. Les yeux toujours fermés. Certes ils ne pouvaient pas encore regarder le monde comme ils le souhaitaient, mais ils pouvaient sentir les émotions de la femelle, les plaquant contre son ventre chaud. Caressant ses petits de sa queue noir, les rassurants de quelques mots. "Vous en faites pas.... Papa va finir par arriver, il va nous sortir d'ici..."


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Mar 26 Avr - 14:41


DEBUT DE L'ENFER
TROISIEME CHAPITRE
Perdant de ses forces peu a peu, elle ne peut pas luter pour s'échapper. Alors elle reste la avec l'espoir de le voir arriver.


Force : 49 | Agilité : 70 | Endurance : 69

Troisième jour. Trois jours de trop dans cette prison de fer. Mais il y a quelques mouvements qui ne pouvaient pas échappé aux sens de la femelle. D'autres loups. Ils avaient capturé d'autres canins de la forêt, que ne fut sa surprise de voir certains qu'elle connaissait ! Tsuin. La louve noir et blanche de la petite meute qu'avait formés la bande de solitaire à la fête foraine. Elles n'étaient pas mise sur des cages l'une à côté de l'autre, ils leur étaient donc impossible de réellement communiquer entres elles, mais elle l'avait aperçut au loin et son pelage excentrique ne pouvait pas échappé au regard vert de la femelle. Les deux autres, elles ne semblaient pas les connaître, même si la seconde femelle noir, elle l'avait déjà croisé prêt de la fête foraine peut-être. Il y en avait tellement que ses souvenirs s'emmêler dans cette foulée de loups. Mais ses nouveaux venus ne réglé pas le problème majeur d'Abysse et ses petits qui restaient bien sagement prêt d'elle. Comment pourraient-ils s'échapper d'ici, voila, tel était la question principale dans l'esprit de la guerrière qui ne ressentait plus la force de se battre. Parfois, quelques chiens hellounds s'amusaient à tourner autour de la petite cage, mais rapidement chasser par les hommes. Abysse avait également surprise une conversation entre deux bipèdes. Elle était le joyaux de la collection du capitaine.

La première prise, une prise importante par ses petits qui feraient de magnifique soldat. Eux ? Des soldats ? Jamais c'était-elle dit. Le premier homme qui essayerait de franchir cette cage serait bouffer sans pitié par les crocs de la jeune mère protectrice plus que n'importe qui. Mais voila, les hommes ne semblaient pas réservé le même sort à la noiraude qu'aux autres loups. Mais alors qu'allaient-ils leurs arrivés ? Tant de question sans réponse, mais se jour là, quelques choses vint perturber le semi-repos de la solitaire. Elle ne fermait jamais les yeux de la nuit, par peur de voir ses petits lui être enlevé. C'était l'aube du quatrième jour dans sa cage. Un bruit violent, faisant trembler tout le sol fit sursauter la femelle qui se redressa, en position d'attaque. Un homme à tête de loup était là, agenouillé devant les barreaux. Gonflant le poil, elle reconnut celui qu'avait sauvé la vie de sa dernière, qui l'avait secoué comme un jouet pour l'empêcher de mourir. A la fois reconnaissante et haineuse, elle n'avait qu'une envie : le tuer. Il restait là, fixant les petits. Il ne montrait rien de plus qu'un intérêt pour les petits louveteaux, puis ses yeux se posent sur la femelle au pelage noir, sans rien dire de plus, faisant un demi tour. Soupirant de soulagement, Abysse recoucha sur le sol froid des barreaux venant donner une léchouille à ses petits.


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Jeu 28 Avr - 18:41



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La louve noire avait été la plus belle prise de l'opération qui déjà, faisait face à un grand succès. Qui avait pu dire que capturer des loups était difficile? Un jeu d'enfant quand on arme ses troupes de pistolets tranquilisant.
Quand je regardais cette magnifique louve noire, je voyais en son seins, de magnifique futur soldat que serait ses enfants. L'un d'eux avait faillit périr à la mise bas, et sans mon intervention, elle n'en aurait compter qu'un à ses côtés. Savait-elle cela? Etait-elle douée d'intelligence?
Je l'avais observé les jours durant, et elle m'émerveillait de sa force repoussant toujours avec vigueur mes chiens qui l'approchaient.
Cependant, je devais agir. La folie de l'enfermemant pouvait avoir des conséquences assez désastreuses, et avant qu'elle ne décide d'agir, je devais l'empêcher de tuer ses petits. Si elle comprenait qu'ils étaient ma convoitise, peut être son instinct de préservation la pousserait à les manger.
Je l'avais donc coincé dans sa cage à l'aide de cordes tenues par mes soldats, et c'est ainsi que j'avais recouvert sa gueule d'une épaisse muselière ne laissant sortir que la langue, empêchant de mordre, et de manger. Son destin ne m’intéressait pas, et si elle mourrait de faim, je ferais biberonner les petits. Peut importe.

La laissant seule et ainsi museler, je quitta la tente, près à rendre visite aux autres captifs, afin de leurs faire part de nos véritables intentions.





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Jeu 12 Mai - 10:45



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Cela faisait bientôt assez longtemps que la femelle était enfermé pour que ses petits n'aient plus besoin d'elle et de son lait. Chaque jours, ils étaient récupérés pour être mis au milieux des chiens, et ainsi commencer leur éducation.
Car le but premier du général était d'en faire des armes de destruction massive.
La louve était la seule à recevoir nourriture et eau. Et pourtant, elle semblait en piteux état.



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Mer 25 Mai - 10:52



HellHound

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La mère des loups avait remplis avec perfection son rôle. Elle avait nourris ses deux petites parfaitement, et s'était avérée être une agneau quand à sa captivité.
Le commandant fut pris en pitié et alors que les petits avaient enfin finis leur sevrage. Il les sépara de la mère qui elle, fut endormis, et transporté au milieu de la forêt. Elle fut lâché à l'endroit même où elle avait été capturer.

Je vis le commandant la caresser avant de partir et qu'elle ne se réveille. Comment réagirait-elle à son réveil? Allait-elle savoir que notre chef lui avait épargné un destin funeste?


[Abysse, le commandant s'est emparé de tes petits, mais à décider de te relâcher pour ta bonne conduite et un travail bien fournis. Tu te réveilles au milieux de la forêt, proche de la fête foraine abandonné, seule et affamée.]



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