Un vent sifflant passa dans mes longues oreilles blanches, alors que mes griffes venaient foulé le sol dans une course légère et fortement agréable. Je courrais par envie, non par obligation. J'en avais assez de courir après le temps, après la vie. Je devais profiter également, je ne devais pas m'enfermer dans une bulle, je devais m'amuser librement, ne pas sans cesse être cette louve toute grincheuse. J'étais encore jeune, alors je disais au revoir les idées de vengeance, les idées de tuerie. Aujourd'hui je voulais enfin retrouver ma folie de jeunesse. Mon père serait-là, il m'aurait fortement engueulé. Si ma mère était là, elle aurait rit. Et mes frères seraient venus courir avec moi. Alors j'imaginais pendant un bref instant, la présence de ma famille autour de moi, sans prendre garde aux animaux régnants autour de moi.

Après quelques minutes de course libre, mes pas m'avaient semble t-il emmener au milieu d'une prairie que je connaissais bien. La plaine de grenat. Levant mon museau vers le ciel, des nuages gris cacher les rayons chaud du soleil, mais j'appréciais ce temps. Quand allait-il neiger ? Oui, la neige était mon élément favoris, je me débrouiller mieux. Se qu'est rare dans le principe d'un loup. Je laissais ma langue venir fouetter le vent, les oreilles redressé sur mon crâne. Les yeux fermés. Ma vie n'était pas parfaite, mais au fond je l'appréciais tel qu'elle.

Un vent sifflant passa dans mes longues oreilles blanches, alors que mes griffes venaient foulé le sol dans une course légère et fortement agréable. Je courrais par envie, non par obligation. J'en avais assez de courir après le temps, après la vie. Je devais profiter également, je ne devais pas m'enfermer dans une bulle, je devais m'amuser librement, ne pas sans cesse être cette louve toute grincheuse. J'étais encore jeune, alors je disais au revoir les idées de vengeance, les idées de tuerie. Aujourd'hui je voulais enfin retrouver ma folie de jeunesse. Mon père serait-là, il m'aurait fortement engueulé. Si ma mère était là, elle aurait rit. Et mes frères seraient venus courir avec moi. Alors j'imaginais pendant un bref instant, la présence de ma famille autour de moi, sans prendre garde aux animaux régnants autour de moi.

Après quelques minutes de course libre, mes pas m'avaient semble t-il emmener au milieu d'une prairie que je connaissais bien. La plaine de grenat. Levant mon museau vers le ciel, des nuages gris cacher les rayons chaud du soleil, mais j'appréciais ce temps. Quand allait-il neiger ? Oui, la neige était mon élément favoris, je me débrouiller mieux. Se qu'est rare dans le principe d'un loup. Je laissais ma langue venir fouetter le vent, les oreilles redressé sur mon crâne. Les yeux fermés. Ma vie n'était pas parfaite, mais au fond je l'appréciais tel qu'elle.