Souffle acide du vent, larmes brulantes du ciel. Le monde ne ressemble plus aux paysages d'autrefois. Les cataclysmes ont frappé, des colonnes de flammes et de fumées se sont élevées sur l'horizon. La guerre. La guerre des hommes. Et nous, les loups n'avons eu d'autres choix que de fuir. Nombreux furent nos congénères emportés. Nous traversâmes les plaines cabossées, les forêts de cendres, poursuivis par la faim, traqués par la mort.

Notre salut, nous le devions malheureusement à ceux qui avaient provoqué notre malheur.


 
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 Lack of luck [Pv Kaos]

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Dim 3 Avr - 15:58

Lack of luck
Abysse Δ Kaos



Force : 31 | Agilité : 36 | Endurance : 34

La louve était entrain de courir dans le long de la forêt aux pendus, une biche lui était passé sous le museau et maintenant elle pistait l'animal du mieux qu'elle pouvait cherchant tout en parcourant de droit a gauche les lieux, bondissant sur des pierres pour se donner de la vitesse et de la force, tentant de percuter l'animal. Mais la bête prit un virage serré qu'abysse loupa de quelques peu alors elle trottina flairant son odeur. Pendant cette course elle avait néanmoins réussis a blesser sa proie d'un coup à la patte la faisant saigner, de quoi la mener jusqu'à sa cachette. Trottinant avec rapidité, elle suivait les traces rapidement, les oreilles bien droite en avant, le museau en alerte, tout ses sens étaient au garde a vous plus ou moins pour pister l'animal. Se glissant sous des débris au sol, puis passant sur un tronc avançant avec équilibre sur ce dernier, bondissant dans les fourrés, une pente boueuse et glissante sous ses pattes la dirigeant dans des nouvelles fourrés jusqu'à se retrouver emmener prêt des marais putride. L'odeur y était si immonde que la louve rebroussa le chemin préférant abandonner ses recherches qui de toute façon ne servirait sans doute a rien a part faire perdre le temps et l'énergie de la louve aux pelages noirs. Soupirant un peu agacé, elle sauta sur un tronc et bondit sur le sol pour partir au plus vite des lieux acide.

Mais c'est un bruit anormale qui fit tourner la tête de la femelle solitaire, qui hésita longuement entre la forêt et les marais, revenant donc sur ses pas, glissant de nouveau cette petite pente, les oreilles dressé sur son crâne. Elle vint s'asseoir, faisant abstraction de l'odeur s'insinuant dans son museau. Lâchant un grondement sourd quand la nouvelle odeur d'un loup, non d'une louve vint se faufiler dans son museau. Elle inciter donc cette personne à se dévoiler, mais quel loup incapable serait assez fous pour venir ici ? C'est un lieux dangereux, bon, elle me^me est assez folle pour s'y aventurer. L'eau y est putride, pouvant vous rongez jusqu'à l'os. Cette dernière fit d'ailleurs un large bond sur une pierre situé au milieu des eaux sales pour se donner une hauteur supplémentaire, mais elle n'y voyait rien et son équilibre était une fois de plus mis en jeux sur cette plate-forme complètement instable. Elle s'apprêtait à rejoindre le sol, mais une griffe glissa sous la pierre manquant de la faire tomber et elle releva la tête à l'entente d'un grognement inquiétant....

Un ours était arrivé jusque là. Ayant sans doute également suivit les traces de sang de la proie que la solitaire poursuivait il y a quelques instants. Elle grogna violemment, la voilà dans une situation délicate. Si elle rejoint la rive, elle devra se battre dans se lieu instable l'ours, mais si elle reste ici, elle manque de tomber dans l'eau acide. Bravo Abysse !
© GASMASK
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Lun 4 Avr - 20:08

0 - 0 - 20

Sans le savoir encore, je dormais paisiblement, tandis que le soleil donnait de sa chaleur à travers la fenêtre de la cabane vide dont j'étais à l'intérieur. C'est pourquoi je rêvais du passé ou je me voyais à chasser après un papillon. Le temps était si bon et les odeurs de fleurs étaient si agréable. Au fond de moi, je me disais que l'été n'allait plus tarder, et que j'avais eu au moins cette chance de connaitre à nouveau la douceur de cette saison. Mais un claquement de porte féroce me fit sursauter et me redresser sur mes quatre pattes. C'est là que je me retrouvai face à face à un bipède mais pas comme les autres. Il paraissait moins cruel que les autres, mais assez pour avoir avec lui, des tas de proies alléchantes. Mon ventre gargouilla, mais au vue du ton du chasseur, j'avais intérêt à déguerpir et heureusement pour moi qu'il avait déjà les mains pleines, car cela me donnait une occasion pour m'enfuir par le trou que j'avais fait. Ni une ni deux, je détalais sans me retourner, et j'avais bien fait, puisque un coup de feu fut lancé, faisant alors peur à quelques autres animaux dans les parages. Moi qui pensait avoir trouver un abri abandonné pour quelques jours, je m’étais trompée.

Des kilomètres et des minutes plus tard, mes pas me conduisirent vers un lieu encore inconnu pour moi. L'endroit semblait très chaotique, mais surement moins dangereux de ce que j'avais pu subir dans ma chienne de vie. J'avalais ma salive en regardant derrière moi, car je ne pouvais pas faire demi tour, au risque même de me faire surprendre par l'humain entêté. Pas le choix alors, je m'enfonçai dans les marais, salissant au passage mes pattes. Puis, plus je m'approchai de l'eau, plus je reconnais une odeur que j'avais à mon sens déjà connu et de bien prêt! Je me figeai sur place, de l'acide, acide corrosif? Dans de l'eau? En pleine nature? Comment était-ce possible alors pour ses loups de survivre si toutes les étendues d'eaux étaient si polluées? Je me retins de boire pour gouter, trop peur de subir quelque chose par la suite. Je marchai alors le long de la rive, quand un cri féroce me glaçai le sang. Qu'est-ce que ça pouvait être comme animal, ça?

Et sans le vouloir, je le découvris assez vite. Une énorme boule de poils brunâtre avec des griffes au bout des pattes. Il savait se tenir debout sur ses pattes arrières comme l'Homme et sous ses babines, ses crocs avaient l'air terrifiante. Puis je vis un des miens, un loup, menacé par la bête. Elle semblait coincer. Je me stoppais, hésitante, que devais-je faire? J'avais depuis tout ce temps ignoré tout plein de personne, de peur d'eux, de souffrir encore, et aussi par ce que je ne me reconnais pas, mais à présent ça va mieux, alors, je pouvais au moins agir pour elle, et puis partir. Mais je pouvais aussi passer mon chemin, après tout je n'avais rien d'une louve agile ou puissante, comme ce lupin pouvait l'être. Je me regardai perturbé, moi petite louve et aussi fine qu'un vieux loup entrain de crever. Non, je ne devais pas être égoïste, après tout c'est grâce à des comme lui que j'ai pu me sortir de cet enfer.

Je trottinais jusqu'à atteindre le brun, en ayant pris soin qu'il soit trop aveuglé par sa cible, en faisant en sorte de le contourner, passant derrière son dos, silencieuse comme à mon habitude, mais bien plus clairvoyante que jamais! Mon plan il était là, je me mis à aboyer, comme j'avais habitude de le faire avec les chiens féroces, ce même cri d'alerte, qui casse les oreilles, qui oblige à se lever, à me regarder pour ensuite agir pour que ça cesse. Sauf que là c'est moi qui risquait de prendre cher, et je devais à présent l’appâter, tout en reculant doucement, tout en faisant des feintes d'attaques, et à reculer, dès qu'il avançait, donc dès qu'il s'éloignait en fait d'une noirâtre et non d'un mâle. Elle devrait pouvoir saisir l'occasion, se sortir de là, libre de fuir, et j'en ferai tout autant.
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Mar 5 Avr - 15:11

Lack of luck
Abysse Δ Kaos



Force : 31 | Agilité : 36 | Endurance : 34

Toujours bloquer sur le haut de son perchoir, la femelle était entrain de chercher activement une solution pour faire face à sa difficulté. Il ne lui fallait pas rester trop longtemps en équilibre sur le minéral, elle finirait sans aucun doute par tomber dans l’eau d’acide. Regardant en arrière, peut-être qu’un autre morceau de terre était accessible sans devoir combattre l’ours de l’autre côté ? Mais ses espoirs étaient complètement vains. Soupirant assez agacé par l’ampleur et la tournure des événements, elle approcha doucement son museau vers l’eau afin de renifler. Mauvaise idée. L’odeur nauséabonde vint lui piquer le museau qu’elle se recula un peu trop vite et ses pattes arrière glissèrent, manquant de la faire tomber, mais la solitaire s’accroche bien. Venant coucher un peu son ventre pour avoir un peu plus d’équilibre. Regardant et haussant des sourcils devant l’animal qui ne cesse de gronder, haut sur ses deux pattes arrières menaçant. Il n’attend que ça de toute façon pensa-t-elle. Il voulait qu’elle rejoigne la berge pour la mettre en pièce, mais c’était hors de question. Abysse y passerait le nuit s’il le faut mais elle ne risquerait pas sa vie face à l’animal féroce.

Alors qu’elle commençait a perdre espoir de se sortir de cette situation l’ombre d’un loup blanc passa en travers des pattes de la bête, discrètement mais pas assez pour échappé à la vigilance de la noiraude. Cette dernière alla plus loin et se mise a aboyer fortement faisant dressé les oreilles d’Abysse douloureusement. Secouant sa tête, observant la scène. Le monstre surpris recula de ses deux pattes et tenta alors une attaque en direction du sauveur, non de la sauveuse car à la vue de sa carrure toute en finesse, il était clair que la jeune femme avait affaire à une autre demoiselle. Il ne fallait pas répéter une seconde fois l’action pour que la jeune femelle bondisse de son perchoir atterrissant sur le sol humide et glissant. En tant normal, abysse n’aurait pas chercher plus loin que le bout de son museau et aurait filer aussi vite que son ombre laissant l’autre louve dans la panade, mais en la regardant évité les coups, il était sûr que cette dernière ne pourrait pas faire face au monstre seule. Les oreilles dressé, réfléchissant à une solution. Allait-elle risquer sa vie pour sauver celle d’un autre ? Cette scène lui rappelait elle il y a tout juste un mois de cela. Quand Kobalt lui avait sauvé la peau face à également un ours dans la forêt aux pendues.

Grondant, elle fonça alors, courant jusqu’à l’animal, elle attrapa la patte droite de se dernier venant y déchiqueter sa chair sans aucune pitié, le sang gicla et coula le long de la gorge à la femelle qui n’aimait pas spécialement le goût nacre de ce dernier, tirant un peu la grimace, le monstre ce retourna et la femelle évita de justesse un coup de griffe, sautant sur le côté droit de l’animal elle recommença le manège. Attrapant sa patte qu’elle vint mordre sans pitié, il tenta un nouveau coup. Elle recommença plusieurs fois le même manège en tournant autour du prédateur, puis elle bondit sur son dos plantant ses griffes dans sa chair, attrapant sa gorge qu’elle lacéra également violemment. Elle prit malgré tout un sacré coup dans le museau qui la fit vagabonder au sol, se relevant sans plus attendre, elle prit appuie sur ses antérieur et sauta pour donner un coup de tête dans le ventre de la bête, qui perdant l’équilibre tomba en arrière. Grondant et grognant menaçante. Elle fit un demi tour, gratta le sol pour envoyer de la terre dans les yeux du carnivore, pendant qu’elle l’aveuglait, elle bondit au prêt de l’autre louve, tapa son museau dans son flanc et lui fit signe de la suivre à toute hâte. « Vient vite pendant qu’il est occupé a se nettoyer les yeux. » Dit-elle en bondissant dans les fourrés et se mit à galoper en-dehors du marais.

Elle pressait le pas avec ses longues foulées regardant de temps à autre si l’inconnue la suivait bien. Après quelques kilomètres et après quelques minutes, la louve s’arrêta levant le museau dans les airs afin de renifler, humer l’air à la recherche de l’odeur de l’ours. Mais il ne semblait pas les avoirs suivis, tournant sa tête en direction de la louve blanche, elle demanda assez froidement malgré elle. « Tu n’as rien ? » disait-elle alors qu’elle-même avait le museau saignant.
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Mar 5 Avr - 19:01

( sa couleur de robe en integrale vue de profil )

A ma grande surprise la louve ne fuit pas comme je pensais qu'elle le ferait, comme tous ceux, qui s'étaient retrouvés face à mes maitres. Elle se chargea tout simplement de mettre à terre la grosse bête, enfin du moins, façon de parler. Je me reculai machinalement tout en stoppant mes aboiements. Après tout j'avais fait mon boulot, sauf que là je n'aurai ni toit, ni caresse, ni viande fraiche en récompenses, non. J'avalais ma salive, car cette femelle me rappelait beaucoup mon passé, elle venait tout simplement d'agir comme l'aurait fait mes camarades, chiens de combat, presque tout aussi imposants que la noirâtre. Je ne savais pas si dans tout ça il s'agissait d'une bonne chose pour moi. Mais dans tout les cas, elle savait vraiment se défendre! Et s'était un sacré avantage au vue de ce qui se tramait en ce moment. Quoiqu'il en soit, la scène dont j'étais témoin, commençait réellement à finir en pataugeoire de sang, et non, ça ne me faisait ni peur, ni vomir. J'étais dans mon élément mine de rien, sauf que là, se n'était pas un loup qui risquait sa vie!

Puis en un éclair, sans même avoir le temps de comprendre ce qui m'arrivait - en soi, me prendre la louve en pleine tronche - ce qui me laissai échapper un couinement - que j'eus l'ordre de m'enfuir illico presto en sa compagnie. D'habitude on ne partait qu'après mort certaine ou fuite de l'ennemi, mais là, je savais bien que cette noirâtre n'était pas les douzaines de chiens et d'hommes de mon passé. Je m’exécutais alors, courant à travers ses traces, puisque cette femelle, était d'une rapidité sans faille! Mais ce qui était sur, c'est que jamais je ne me laisserai pour perdante. La fuite dura un certains temps, mais ce n'était pas pour ça que j'en étais à la limite de tomber à terre. Quelques peu essoufflé mais j'aurai pu largement continuer encore. J'observai sans un mot ma voisine, qui était-elle? Pourquoi trainait-elle ainsi? Était-elle seule comme moi? Avait-elle eu vent des nouveaux hommes ayant fait carnage au cœur même des terres des meutes? Quel était son plan pour survivre face à cela?

Qu'allais-je pouvoir faire pour continuer de survivre loin de ces hommes? S'était déjà un sacré miracle que je sois toujours de ce monde après l'assaut du laboratoire. J'allais repenser à tout ça mais l'inconnue ouvra la gueule pour me demander comment j'allais. Sa voix était froide, mais cela ne me dérangeai pas, j'en connaissais plein des comme ça dans ma meute de chien. Je baissai ma tête en tentant de faire le tour de mon corps à la limite anorexique. A part ça, non je n'avais rien. Je posais mon regard dans celui de l'étrangère, mes yeux noirs vides dans des verts énergiques, quel sacré décalage!

Non.

Je me tus, ne sachant pas quoi ajouter d'autre alors que je pourrai lui retourner la question, mais s'était alors supposer que j'étais influençable, pourtant il fallait bien que je me retrouve une troupe, sinon je ne finirai pas vivante de cette histoire. Et je continuai à persister au fin fond de mon crâne, que non, il m'était impossible d'être immortelle, que j'étais tout simplement entrain de mourir de faim, et que non, ce n'était pas un rêve mais bel et bien la réalité!

Bon. Il faut que j'aille chasser...

Sur ce, d'un pas hésitante, entre l'attente d'une de ses réponses, et l'accord possible pour mettre fin à la discussion ou une réaction de sa part m'aidant à son tour de subvenir à mes besoins, besoins que je n'avais pas le ressentiment durant ses deux derniers mois... Je secouai ma tête, perdue, j'étais totalement perdue dans mes pensées, et cela devait se voir à ma gueule. Je commençais à prendre le pas pour partir, après tout je n'étais qu'une folle et qui voudrait d'une tarée comme moi?
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Mar 5 Avr - 21:09

Lack of luck
Abysse Δ Kaos



Force : 31 | Agilité : 36 | Endurance : 34

Abysse n'avait pas vraiment compter sur la petite louve pour s'en fuir à toute hâte a travers les bois. Vérifiant malgré tout par moment si elle la suivait toujours, bien qu'Abysse aller beaucoup plus vite que la petite cette dernière n'était néanmoins pas très loin. En tant normal, la louve noirâtre n'aurait pas voulut fuir devant cette scène, mais le danger y était trop important, puis sa patte arrière n'était pas encore complètement rétablit, donc au tant ne rien risquer et de mettre débilement sa vie en péril face à la bête. Courant a toute hâte, passant par-dessus des branchages tombé, elle entendait toujours l'animal grogner furieux, fou d'avoir laissé filer deux belles prises bien trop rapide pour lui. Pauvre animal se dit de manière ironique la femelle noir. Après quelques galopades, elle stoppa sa course au milieu d'un terrain plat. La truffe dans les airs, humant l'air, vérifiant, analysant la situation. Mais tout semblait en ordre, aucun ours n'était en vue. Et là elle avait fait preuve de formalité au prêt de la jeune louve qui semblait, presque apeuré.

Après un rapide petit coup d’œil, Abysse avait constaté avec effrois, qu'elle était affreusement maigre. Faible. Comment une louve pouvait-elle survivre de cette manière ? Certes elle n'était pas très épaisse, mais bien plus que ça. Elle était aussi maigre qu'un pauvre bout de bois, donc aussi faible qu'une feuille morte qui pourrait craquer rien qu'avec un coup de mâchoire. Elle répondit de manière négative a sa question, mais la solitaire n'y faisait guère attention et alors que cette inconnue voulut s'éclipser pour aller chassé, cette dernière ce leva et fit le tour de la petite louve, mi grise, mi blanche. La regardant avec attention puis elle vint s’asseoir face à cette dernière reprenant d'une voix, plus calme, moins agressive ou froide qu'elle pouvait l'avoir naturellement. « Excuse-moi de te contre-dire, mais avec ton.... Ta carrure, tu n'arrivera jamais a attrapé quoi que se soit. Tu me ferais presque pitié. » Dit-elle a moitié amusé. Se relevant et approchant d'elle, venant la renifler doucement, haussant les oreilles. Elle avait une mauvaise odeur de chien, avait-elle était au contact de ses humains ? Aux contacts de ses monstres ? Grimaçant un peu a ses pensés, elle recula de quelques pas. « Tu viens de me sauver la vie aux marais avec cet ours, je peux te proposer un abri et de la nourriture pour que tu te rétablisses et deviennent un peu plus forte. Seule dans ton état, tu ne survivra jamais dans un endroit comme celui-ci sache le. » sa voix était un peu autoritaire, mais elle n'obligeait bien sûr en rien la petite femelle qui lui faisait face.
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Jeu 7 Avr - 22:53

Je m'arrêtai brusquement, légèrement soumise quand je vis la femelle venir vers moi et me tourner autour. Je ne comprenais pas ce qu'elle faisait, et cela m'obligeais à comparer son comportement à ses chiens de combat, me jugeant, me rabaissant, à se moquer, à m'attaquer. En faite j'avais peur de me prendre une humiliation physique, mais ce que la louve me dit, y ressemblait un peu même si s'était verbal et pour une fois, simplement réaliste. Après tout j'avais l'habitude des critiques, alors ce n'était pas ça qui allait me faire pleurer, mais bien sur que se n'était pas agréable à entendre. Je ne dis rien et je ne bougeais toujours pas. Elle avait raison mais je n'avais pas de solution. Puis la noirâtre renifla mon odeur, et pour un instant je pris peur à nouveau, me mettant alors encore plus sous sa domination même si elle ne montrait pas un de ses signes possibles. J'avalais ma salive et par la suite mes yeux étaient grand ouvert. Autant ses paroles me remplissaient de joie, autant je me demandai ou était l'inconvénient dans tout ça.

C'est que je n'ai commencé à ressentir la faim il n'y a que deux, trois jours. Mais oui vous avez raison, je suis entrain de mourir à petit feu en réalité et je vois bien que je ne peux pas rester seule.

Je me tus à nouveau, essayant de comprendre son marché. Pour elle, je venais de lui sauver la vie, alors cela voulait dire que la noirâtre m'était redevable, et comme je lui faisais pitié, elle m'a proposé cet échange. Puis je me rendis compte lui avoir dit que je n'avais faim que depuis peu alors que mon corps exprimait une envie de viande depuis bien plus longtemps que ça. Peut être devrais-je faire plus attention à ce que je dis.

Il n'y aura rien d'autre que cette reconnaissance en échange de ce toit et cette nourriture, vraiment?

Ce n'est pas comme si j'avais le choix de toute façon. Au final tout tombait bien, car je ne pouvais pas refuser une telle proposition, il était question de ma survie. Surement qu'elle voyait que j'étais très méfiante et douteuse de ses propos mais après un temps de réflexion, je finis par acquiescer lentement de la tête, acceptant alors son invitation.
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Ven 8 Avr - 14:28

Lack of luck
Abysse Δ Kaos



Force : 31 | Agilité : 36 | Endurance : 34

Abysse vint s’asseoir face à la petite louve qui semblait à la fois effrayé par le comportement que par la voix qu’employé la solitaire à son égard. Bon, Abysse avait toujours était impressionnante dans sa façon d’être mais pas au point de voir un autre louve se plier, se soumettre devant elle. Baissé, les yeux fuyants des mouvements prêts à détaler en courant au moindre mouvement brusque. Oui tout cela était de la crainte, pourtant, la jeune louve tentée de faire de son mieux pour venir en aide à cette dernière. La noirâtre n’avait pas peur de dire que oui, cette inconnue lui faisait pitié, mais pas dans le mauvais sens du terme. Elle était comme ça elle aussi au début de sa vie, jusqu’à son éducation endurcis avec Darius. Elle aussi avait baissé la queue face aux autres loups, elle aussi avait eut peur à de nombreuses reprises. Mais maintenant elle connaissait cette dure vie et le seul moyen de survivre est de rester fort face à l’adversaire, c’était grâce à son mentor qu’elle en était arrivée là, il l’avait épargnée, alors qu’il aurait put la tuer ce jour là, si petite et si faible, saurait été facile pour lui, mais non, il avait eut pitié et lui avait donné sa chance. Autour d’Abysse d’éprouver ses sentiments. Haussant les oreilles dans sa direction lorsqu’elle répondit sceptique a la proposition de la jeune louve noir. Elle était méfiante et elle devait penser que la jeune femelle attendrait quelques choses en retour. D’un sourire sur le coin des babines elle se releva de sa place et avança de quelques pas jusqu’à elle, passant à ses côtés. « Je n’attendrais rien de toi en échange d’un abri ainsi que de la nourriture. » elle lui rassurer son idée.

Finalement, elle accepta, d’un échange commun de regard, elle lui indiqua de la suivre. Trottinant un peu malgré sa patte arrière toujours blesser, elle était assez lente pour que la louve continue de la suivre, elle la talonnait. Elle s’arrêtait parfois pour humer l’air d’un moindre danger présent, mais rien ne semblait présent dans l’horizon tournant ensuite sa tête en direction de la nouvelle, elle lui demanda calmement, une voix un peu plus douce pour ne pas lui paraître trop agressive. « Est-ce que tu veux qu’on chasse un peu avant de rentrer ? Je pense que tu en as besoin. » Quand elle disait nous, la louve pensait elle-même finalement. Avec la peau sur les os, la petite n’aurait aucune chance d’attraper ne serait-ce qu’une souris.

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Dim 10 Avr - 11:13

Mon interlocutrice étant debout à présent, me fit comprendre de la suivre. Intérieurement, j'étais réellement contente d'avoir un toit et de la viande pour me nourrir mais extérieurement, je restais neutre voir triste comme à mon habitude. Après tout, ma joie de vivre s'est envolé dès que j'ai compris que mes parents m'avaient abandonné et cette déchirure fut si meurtrière, qu'au final même encore maintenant j'y agonise. Je sortais de mes pensées sombres quand je compris que la louve avait repris la parole. Je restai silencieuse, tout en acquiesçant de la tête à sa question. Chasser, quel bien grand mot, puisque en vérité je n'avais jamais appris à le faire. Nos maitres nous nourrissaient en échange de gardiennage et même au laboratoire, j'ai toujours eu des "gamelles". Ainsi sans même savoir mon histoire, il était évident pour eux de comprendre que j'étais incapable de manger à ma faim, voir de manger tout court.

Qui êtes vous?

Cela me trottait en tête depuis un moment à présent. Si nous allions partager une couche, je pouvais bien savoir à qui j'avais à faire. Rien qu'un prénom me suffirait, mais si elle voulait se présenter en large et en couleur, ça soulagerait peut être un max ma méfiance. Au final, nous nous éloignons assez vite des étendues acidifiés et nous nous approchons des terres fertiles, lieu idéal pour attraper une proie sans se tuer. Je m'arrêtais honteuse, les yeux fixant mes pattes. J'étais peut être une louve, mais en faite, je n'étais qu'une chienne, chienne incapable de survivre seule. Une sous merde.

Je ne sais pas chasser.
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Dim 10 Avr - 19:14

Lack of luck
Abysse Δ Kaos



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Repartant au pas au travers des cimes des hêtres de la forêt, elle voulait s'éloigner le plus rapidement des eaux putrides et acides, ne voulant pas manquer une seconde fois sa vie prêt du lieux mortel. Trottinant un peu plus devant, vérifiant, jetant des coups d’œils en arrières vérifiant que la louve au pelage gris/blanc la suivait toujours bien. Elle ne semblait pas être une louve très forte, niveau tempérament ou même physique bien sûr. Mais ça la femelle au corps noir l'avait cerné au premier coup d’œil. Petite, taillé finement, elle n'était pas préparé au combat, mais a la fuite ou l'esquive. La rapidité. Un bon point bien sûr, mais elle ne ferait pas le poids dans un combat corps a corps. Peut-être qu’avec un peu de charité, Abysse pourrait lui apprendre, surtout si cette dernière rejoint la petite meute formé avec Kobalt au prêt de la fête foraine. Oui c'est a réfléchir. Mais avant toute chose, il lui fallait se nourrir. Reprendre une forme plus correcte, avec la peau sur les os de cete manière, elle se ferait rapidement tuer par n'importe quel ennemi. Animal ou bipède d'ailleurs. Loups ou autres prédateurs dangereux. Elle devait non pas seulement apprendre à chasser, mais apprendre à vivre. Car oui, elle avait précisé à l'instant même qu'elle ne connaissait rien, qu'elle ne savait rien faire en chasse. Haussant les oreilles dans sa direction, Abysse ne fut pas beaucoup plus étonné que cela finalement, lâchant alors un soupire entre les crocs, elle pointa le bout de son museau au-dessus de sa tête, renversant ses oreilles. Humant l'air, a la recherche d'une quelconque traces de proie dans les environs pour trouver de quoi manger à la femelle, qui semblait mourir de faim depuis plusieurs jours.

Tournant ensuite la tête de droite à gauche, écoutant avec attention la boiserie des alentours. Rien à l'ouïe, rien à la vue et rien à l'odorat. Peut-être pouvait-elle trouver quelques choses ailleurs dans ses cas là. Retournant son visage vers la femelle, reprenant son trottinement au travers des cimes, elle parla, répondant à la question de l'inconnue. « Je m'appelle Abysse. » était la seule chose qu'elle dit pour les présentations, la petite femelle n'avait pas besoin d'en savoir plus sur son identité, du moins pour le moment. Ou pouvait-elle également préciser sa venue, pour rassurer la plus jeune. « Je viens d'un groupe de solitaire a l'est d'ici, nous avons aménager a la fête foraine, c'est là bas que je t'emmène. Comme je te l'ai dis, tu auras de quoi te reposer, ainsi que manger là bas. Tu pourras rester au tant de temps que tu veux. » Puis soudainement Abysse marqua l'arrêt, tournant son regard vert, plongeant ses yeux dans celui de la louve grise et blanche grondant un peu, la voix autoritaire. « Je veux bien comprendre que tu ne saches pas chasser, mais si tu veux rester avec le groupe, il faudra savoir te rendre utile. Il faudra que tu apprennes à te battre, à survivre. » Si la femelle noire disait cela, c'était simplement par expérience, elle ne le tournait pas comme une menace bien qu'au fond, à ses yeux, les loups, louves ou louveteaux faibles ne sont pas utiles au groupe et ferait mieux d'être chassé, mais ils ne sont pas tellement d'accord sur ce point avec Kobalt. Repartant au trot, elle continua d'une voix beaucoup moins dure, presque amusé dans ses mots. « Je pourrais t'apprendre si tu le souhaites, je suis de bonne humeur ses derniers jours. »

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Sam 14 Mai - 18:45

Moi, me battre? Ils avaient essayé pourtant, dans mon enfance et ils ont vu que j'en étais incapable. Alors comment expliquer à cette louve que s'était vain? Néanmoins je restai encore assez modulable et certes, apprendre à chasser devait pouvoir être dans mes cordes. J'acquiesçais à la dernière phrase de la noirâtre qui me fit sourire, elle voulait bien me rendre survivante, plus que ce que j'étais déjà. Je la suivais sans plus un mot, en repensant à son nom et tachant de ne pas l'oublier. Mais au faite avais-je...?

Moi c'est Kaos. Ils sont gentils tes amis de la fête foraine? Mais même s'ils ne le sont pas, ça ira.

Dis-je en baissant la tête et baissant en même temps le ton de ma voix. Survivre s'était cela, subir les points négatifs, même si y en a plus que des positifs.

(out, désolée grosse baisse d'inspi)
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