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Force → 74 Agilité →84 Endurance →83

J'étais sur la piste de la harde de l'autre jour. Elle n'était sans doute pas allée bien loin. Courant à travers le marais, je garde ma truffe contre le sol, à la recherche du moindre passage de la troupe. Enfin, je trouve leur traces dans la mousse. J'hâte le pas, allonge mes foulés, bondissant aux dessus des obstacles sur mon passage. La piste me mène vers un court d'eau peu profond. Je gronde entre mes crocs, perdant la trace. Je prend de l'élan, avant de courir au pleine vitesse pour sauter au dessus de la minuscule rivière. Je baisse à nouveau la tête, logeant l'eau pour retrouver l'odeur de cette fichu harde. Mais elle semble perdue pour de bon.

Je m'écarte du court d'eau, cherchant toujours les traces de cette fichue harde. Je gronde légèrement, alors que je sens une autre odeur non loin de moi. Me campant sur mes pattes, me baissant pour dissimuler ma présence, je laisse mes oreilles courir les bruit qui m'entourent. Un grattement, celui d'un écureuil. Je me lèche les babines, alors que je me déplace, les muscles tendus, à pas de loup. J'avance lentement dans la direction du grattement, avant de bondir hors de ma cachette. L'écureuil prend peur et détale d'un seul coup. Je cours à sa poursuite, lui bondissant au dessus pour l'empêcher de rejoindre le couvert des arbres. Il vire rapidement vers la droite, et je le poursuis à toute allure, manquant de me prendre un arbre en pleine tête. Il saute sur le un tronc, et je lui mord alors la queue, le tirant vers l'arrière. Il tente de me griffer, alors que je l'immobilise d'une patte. Mes crocs se referme sur sa vie rapidement, l'achevant. Ce n'était pas un cerf, mais ça restait une prise.

Je gardais mon écureuil dans ma gueule, repartant à la recherche de la harde. Je retrouvais leur trace un peu plus loin, reconnaissant l'odeur que porte les biches en cette saison. Dans un sourire, je commence à courir, reprenant ma course dans le marais, rapide et en même temps discrète. L'écureuil dans la gueule ne me gêne presque pas, alors que je le sers fortement. J'allonge les foulées, ralentissant de temps à autre pour me reposer sans arrêter de courir. J'arrive dans une clairière, non loin. Les traces au sol son psychédéliques. Je sens l'odeur d'un lynx non loin. aurait-il été plus rapide que moi? Je gronde, revenant alors sur mes pas. S'il les avait fait fuir, il y avait peu de chance que je mette la main dessus.

Je revient vers le court d'eau, le longeant, renonçant finalement à chasser cette harde introuvable, sans doute partie même. Je cours le long de l'eau, remontant la rivière rapidement. L'eau était plus clair à la source, peut-être que des proies souhaiteraient s'y désaltérer. Je courrais, bondissant de temps en temps, histoire que ce déplacement me serve d'entrainement par la même occasion, toujours cet écureuil entre mes crocs.
Je saute, jonglant d'une patte à l'autre, arrivant alors au niveau d'un plateau, où le court d'eau semble trouver sa source. Me dissimulant dans les taillis, je guette les alentours, attentif. Mais rien, encore une fois. Est-ce que toutes les proies de la région se sont passé le mot? Je gronde légèrement, avançant vers l'eau. Au moins, j'allais boire moi-même un petit peu après ma course dans le marais, prêt à repartir de plus belle. L'écureuil entre les pattes, je bois, en profitant aussi pour me rafraîchir un peu la tête.

J'entends un bruissement derrière moi. Je tourne rapidement la tête, ayant juste le temps d'apercevoir la forme féline mon bondir dessus. Un lynx, à l'odeur. Je me décale rapidement sur le côté, alors qu'il plonge sur ma proie, la prenant entre ses crocs. Ahaha... Non, je ne crois pas. Je découvre mes crocs, lui sautant dessus, alors qu'il tente de fuir. Je lui mord la queue, le tire vers moi alors qu'il plante ses griffes dans le sol dans un piaillement douloureux. Je le relâche, avant de bondir sur son dos, tandis qu'il se roule pour pouvoir me donner des coups de griffes sans lâcher l'écureuil. Je plonge mes crocs vers ma proie, la prenant avec force, tirant, alors que mes pattes lui labours le ventre. Ses griffes acéré attaque aussi mon flanc, je retiens des grondements douloureux, mon sang coulant sur son pelage crème. Je relâche la proie, plongeant dans son cou. Je serre les crocs, et tire de toute mes force sur sa gorge. Serrant, serrant plus fort, je sens un craquant, alors que sa chair tendre cède. Je lui arrache la gorge, alors que son sang éclabousse mon visage et mon pelage. Je recrache la trachée pendante, alors qu'il s'affaisse dans un gémissement guttural. Je prend ma proie une nouvelle fois, la tirant cette fois-ci presque sans peine, je dois juste forcer un petit peu sur sa mâchoire restée serrée sur elle.
Un écureuil, et un lynx en prime. je profitais du court d'eau pour me nettoyer, moi comme mes blessures.

+ 1 Ecureuil
+ 1 Lynx

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Force → 86 Agilité →94 Endurance →93

Retour dans le marais. Je crois que c'est toujours le même schéma. Je trottinais longuement à travers le marais, à la recherche de traces, d'odeur, de pistes. Je suivais celle d'un sanglier, un peu plus tôt. Courant à travers le marais, sautant au dessus des flaques d'eau croupie. La piste du sanglier m'amenait dans une partie du marais que je connaissais peu encore, e,n ayant pourtant sans doute parcouru tous les recoins. Je me glisse rapidement entre des racines épaisses d'arbres dantesques. Je bondis au dessus d'une autre, suivant toujours cette piste. Un sanglier, ça serait vraiment une aubaine. Enfin, je le vois, un peu plus loin dans la clairière. Je me campe sur mes pattes rapidement, avant de bondir vers l'avant. Il commence à courir. Je le poursuis à travers les branchage, les fougères. Je bondis au dessus d'un taillis que lui défonce en courant tout droit. J'arrive à sa hauteur, j'approche. Je bondis sur son dos et il freine subitement, me faisant partir en avant. Je roule sur le sol, sonné, secouant la tête alors que le sanglier me charge. Je pousse un long et puissant soupire, bondissant sur mes pattes vers la droite pour esquiver son attaque. Mais il ne se retourne pas, et continue à courir. Essoufflé, je le regarde s'enfuir. Il a eut de la chance celui-là, et surtout, il a été plus malin. Ma patte avant gauche légèrement douloureuse à cause de la chute, je n'allais pas le poursuivre, ça serait trop dangereux. Non, je fis demi-tour, en direction de l'étang. Moins physique.

Je me campais au bord de l'étang, le regard rivé sur l'eau brune, mon regard se reflétant à l'intérieur de cette dernière. Les oreilles dressés, chacun de mes muscles prêt à l'attaque, je guette les mouvements de l'eau, et des formes qui nagent au fond de cette dernière. A défaut d'un sanglier, un poisson est toujours agréable à prendre, et moins difficile. J'observe le court de l'eau, avant de remarquer une forme assez large se déplacer. Celui-là devait faire l'affaire. Je marchais, le long de la rive, pas à pas, à pas de loup, tirant sur chacun de mes muscles pour maintenir cette marche silencieuse et discrète. Il ne faut pas faire fuir le poisson. Je continue d'avancer, dans cette démarche silencieuse. Je courbe mon corps pour amoindrir le poids de mes pas, suivant la forme sombre qui se dandine dans l'eau sale. Et je bondis, d'un seul coup, alors qu'il approche d'un coin. Je saute dans l'eau, mes pattes touchant le fond, alors qu'il tente de fuir. Mes crocs plongent et se referment sur son corps qui s'agite dans tous les sens. Il me frappe dans la visage avec sa queue, alors que je bondis hors de l'eau, le balançant sur le sol avant de l'achever d'un nouveau coup de mâchoire. Je le pris entre mes crocs, l'emmenant avec moi.

Bruit de rongeur. Je levais les oreilles, le poisson dans la gueule, alors que je remarque une petite hermine qui se balade non loin de là. Je pose le poisson au sol, dans un tas de feuille, histoire qu'un charognard n'ait pas de mauvaise idée, avant de m'accroupir, guettant l'occasion pour m'élancer en avant et attraper cette petite bête. Je bouge sur mes appuies, les muscles tendus, avant de bondir vers l'avant, à la manière d'un félin, commençant à courir après la pauvre créature qui ne m'avait pas vu venir. Je fais quelques foulés, rapides, alors qu'elle commence à détaler mais trop tard. Je m'apprête à refermer mes crocs sur elle, alors qu'elle me glisse entre les pattes. Je gronde, avant d’exécuter un rapide demi-tour par la droite, poussant sur mes pattes arrières à pleine vitesse. Je me retrouve à nouveau rapidement à sa hauteur, mais cette fois-ci, je ne me fais pas avoir. En quelques foulées une nouvelle fois, je suis sur elle, je ferme mes crocs sur son corps de rongeur, avant de la plaquer au sol pour l'achever d'un coup de patte et de crocs. Elle rejoint bien vite le poisson sous le tas de feuille.

Hermine et poisson dans la poche. Mais il manquait quelque chose: le sanglier. Même si j'avais renoncer tout à l'heure, je pouvais sentir que ma patte allait mieux, c'était une simple douleur passagère. J'étais d'attaque pour retenter ma chance. Courant rapidement, je suivais la piste que le sanglier avait pu laisser derrière lui. Je me glisse entre les arbres, avant de le retrouver. Sans ralentir, je lui fonce littéralement dessus, alors qu'il se retourne dans ma direction, les défenses en avant. Je prend appuie, bondissant dans un mouvement latéral à droite, esquivant son coup de défense de justesse, avant de m'accroupir pour bondir vers l'avant, lui passant alors derrière. Il tourne rapidement la tête, me donnant un coup de défense sur les côtés. Heureusement que j'étais sur le côté, ou alors il aurait pu me percer les poumons. Je bondis sur son dos, plantant mes crocs dans sa croupe. Il s'agite rapidement, commençant à bondir dans tous les sens pour me faire dégager, alors que mes griffes accompagnent mes crocs, se plantant dans la chair de l'animal. Il fonce droit dans un arbre pour réussir à me déloger de ma position, où je m'accroche encore. Il cogne, et je suis sonné. Mais lui aussi. Je maintiens ma prise, son sang coulant dans ma gueule alors qu'il commence à fatiguer, au fur et à mesure. Enfin, il s'écroule, épuisé. Je descend, l'achevant par pitié sans doute. Ou au cas où il trouverait la force de se relever. Les poils sales de sang, je vais chercher le reste des mes butins, les regroupant. Une odeur alléchante flotte dans les airs, ce sera ma dernière prise de la journée.

Je suivais l'odeur, en direction d'une sorte de tanière. Curieux, je tournais légèrement autour, avant de me coucher sur le sol pour voir à l'intérieur. Cette tanière était assez large, en tout cas pour me laisser passer. Je commençais à ramper sur le sol, poussant sur mes pattes arrières comme avant avants pour progresser dans cet espèce du tunnel. Mon crâne frottait le toit de la tanière, mais ça ne me gênait pas plus que ça, progressant poussée après poussée, jusqu'à atteindre un endroit un peu plus large. Les oreilles dressées comme je pouvais, je me redressais à moitié, progressant à présent accroupi, les muscles sous tension, prêt à courir dans cet espace réduit s'il le faut. Arrivant dans une espèce de grotte souterraine, j'observe un peu partout autour de moi, curieux. Je lève la truffe, à la recherche de l'odeur. Alors que je m'avance, je remarque quelques cristaux d'un côté ou d'un autre. Puis enfin des champignons. C'était de là d'où venait l'odeur. Mais je ne pouvais pas savoir s'ils étaient comestible ou non. Déçu, je fis demi-tour, reprenant le même chemin qu'à l'aller, glissant sur le sol, m'aidant de mes pattes pour avancer. Je récupère le sanglier, l'hermine et le poisson, rentrant à la maison.

+ 1 Sanglier
+ 1 Hermine
+ 1 Poisson

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Force → 86 Agilité →94 Endurance →93

Retourne dans les marais. Aujourd'hui allait être mon dernier jour de chasse, bien que je ne le sache pas encore. Je trotte rapidement dans le marais, bondissant par dessus les branche morte, les troncs couchés, et les flaques d'eau croupie. Toujours la même routine, toujours la même rengaine. Je prend appuie sur un rocher, bondissant sur son voisin, puis le suivant, dans une sorte de jonglage. Je me couche à moitié au sol, accroupi dans les taillis, à l'affût du moindre bruit. Je remarque plus loin un ours, qui semble se promener dans les environs. Je découvre lentement mes crocs, restant accroupi pour qu'il ne me remarque pas. Il tourne, alors que je le suis à pas léger, sur ses traces. Puis alors j'accélère rapidement, sautant par dessus le tas de feuille. Je fonce dans son dos, et je mord avec force l'une de ses pattes postérieurs. Il pousse un puissant hurlement, tournant sa tête dans ma direction, les yeux infecté de sang. Il commence à se retourner, alors que je relâche ma prise, reculant en quelques bonds vers l'arrière. Il se dresse sur ses pattes malgré sa blessure, beuglant pour m’impressionner. Je me campe sur mes pattes, alors qu'il me charge, partant sur la droite. Il me suit du regard, continuant de courir, alors que je tourne rapidement dans un virage serré, tentant de lui échappe. Je freine alors, me retournant pour lui faire face, alors que son élan l'empêche de m'esquiver. Je fonce devant lui, et mord dans son museau, pressant mes mâchoire avec force. Si se lève à nouveau, secouant la tête, mais je refuse de lâcher ma prise, serrant les crocs, le faisant saigner. Il me frappe dans les côtés d'un revers, m'envoyant un peu plus loin. Sonné, je me redresse le plus vite possible, alors qu'il s'apprête à me charger une nouvelle fois. Je cours, je fais le tour, bondissant sur son dos pour lui prendre l'oreille dans la gueule, tirant sur cette dernière avec hargne, secouant la tête de gauche à droite, furieux, puissant. Il remue, se débat, alors que je plante mes griffes dans sa chair, bandant chacun de mes muscles pour lui faire pression. Je tire, une nouvelle fois, alors qu'il semble fatigué. Je saute de son dos, retrouvant le sol, proche, avant de foncer sur l'avant pour lui prendre la gorge par la gauche. Je serre mes crocs sur sa trachée, serrant, serrant plus fort encore, avant de tirer d'un coup sec. Comme un déchirement, la trachée se détache de la chair de son cou, le sang gicle, et je recule, le morceau de viande dans la gueule. Je commence à découper le cadavre, déchiquetant sa chair, afin de pouvoir le transporter plus facilement.

Je me déplace vivement entre les arbres, bondissant entre les racines hautes qui formes des obstacles sur mon chemin. Je voulais encore continuer la traque, ayant caché des morceaux d'ours pour ne pas qu'ils soient piqué. Je cours, je bondis au dessus des branches. Je m'accroupi de temps en temps pour passer en dessous de celle qui sont trop hautes. Les muscles chauds, j'allonge mes sauts, évitant ainsi les marécages, et la prise que ces derniers pouvaient bien avoir sur moi. Mais alors que je passe sur la terre ferme, je me sens m'enfoncer légèrement. Je gronde, tirant sur mes pattes pour sauter hors de là. Mais à peine réussis-je à m'en sortir que je m'enfonçais à nouveau, un mètre plus loin. Je pousse sur les pattes, les soulevant une par une pour continuer d'avancer, forçant sur chacun de mes mouvements pour m'en sortir. Je lève une patte, puis une autre, réussissant à avancer malgré le poids que ces dernières prennent à chaque fois qu'elles s'enfoncent. Je mobilise toute ma force dans mes pattes, jusqu'à atteindre la rive, tendu. Mes pattes tremblent encore un peu sous l'effort, alors que je tourne la tête vers les marques que je laisse derrière moi dans ma progression. Je m'ébroue, reprenant ma route, sautant au dessus une vielle branche qui se trouvait là.

Alors que je continue d'avancer dans les marais, à la recherche de quelque chose, je remarque une sorte de toile étrange, étendue là. Des fils, lui la relis à quelque chose qui se trouve à l'intérieur des marécages. Curieux, j'approche, avant de prendre un des fils entre mes crocs. Me campant sur chacune de mes pattes, je tire en arrière, posant tous mon corps dans cette direction. Je reculais d'un demi-pas, les muscles bandés, les crocs serrés, tirant cette chose étrange qui avait coulé. Au fur et à mesure que je tire, j'en vois un bout apparaitre, on dirait quelque chose de métal. Quelque chose d'humain. Je tire encore et toujours vers l'arrière, de toute mes forces, pour traîner cette chosé étrange jusqu'à la rive.
Alors qu'elle touche le sol solide, je bondis dessus, la frottant rapidement avec mes pattes pour la nettoyer. Je gratte avec mes pattes là où ça semble le moins solide, utilisant mes griffes pour percer la chose. Mais ça n'était pas très efficace. Alors je plante mes crocs à intérieurement de ce qui semble être une caisse de métal. Je ne la perce pas de suite, mais je donne des coups de crocs, serrant ma mâchoire un peu plus fort à chaque fois. Le métal commençant à se tordre au fur et à mesure, jusqu'à finalement s'éventer légèrement. Une odeur nauséabonde en sortie, alors que je reculais rapidement ma truffe de là. On aurait dit de la nourriture humaine, pourrie depuis longtemps. Déçu, je descend de la chose en métal avant de la pousser de mes pattes avant, la remettant dans le marécage. Autant la remettre à sa place.

Alors que je remettais la boite en place, un bruit me fait dresser les oreilles, alors que je tourne rapidement la tête de droite à gauche. Sur mes gardes, je m'écarte lentement de la chose à la recherche de ce qui pouvait être à l'origine de cette perturbation. Je me campe sur mes pattes, avançant avec prudence, silencieusement. L'odeur qui flotte dans l'air est celle d'un puma... Je progresse, lentement, à pas de loup, sans un bruit, sans un seul mouvement de trop ou de moins. Je vérifie chacun de mes pas, avec douceur et précision, discrétion. Je le vois alors, le puma, qui dévore une de ses prises. Je me met à l'arrêt, attentif à sa réaction, mais il ne semble pas m'avoir repéré. Je bondis dans sa direction, alors qu'il se retourne rapidement pour me faire face. Il tente de me donner un coup de patte, que j'esquive in extrémiste en bondissant vers l'arrière. Je tente de lui donner un coup de crocs dans le visage, mais lui aussi parvient à reculer au bon moment. Je gronde, le poil gonflé, alors qu'il me charge de face, se dressant sur ses pattes arrière alors qu'il me mord l'épaule. Ses pattes tentent de griffer mon poitrail mais je les bloque avec les miennes malgré la douleur. Mes crocs perce sa chair, au niveau proche de la nuque. Dressé de cette manière, lui comme moi secouant la tête frénétiquement pour se défaire de la prise de l'autre. Nous tombons au sol, alors que je le frappe d'un coup de patte violent dans la cage thoracique. Il recule, alors que je fonce une nouvelle fois sur lui. Il commence à s'enfuir, alors que je le poursuis. Il bondit au dessus d'une branche assez haute, je prend de l'élan, je saute pour la franchir. Puis je le suis, sur ses pas. Il prend à droite, j'arrive à serrer mon virage au bon moment, avant de bondir à nouveau au dessus des racines des arbres. Il arrive proche de la paroi d'une petite bute brisée, grimpant sur cette dernière. Je le suis, bien que la pente soit escarpée. Je pousse sur mes muscles, tout en vérifiant mes appuies, sautant de plateforme en plateforme pour monter un peu plus haut. Je grimpe, lentement, agilement, prenant les appuies là où je le peux. Mais le puma est plus rapide, et sort rapidement de mon champs de vision, parvenant à fuir. Je pousse un soupire, redescendant alors en direction du sol, bondissant à nouveau de plateforme en plateforme dans le sens inverse. Je gronde, l'épaule engourdie. Je repars en sens inverse, rampant sous quelques branchage bloquant la route, trop haut pour être sauté, avant de continuer ma chasse.

Je poursuivais un cerf. Vu entre les branches. Je slalomais rapidement, prenant appuie sur mes pattes à chaque virage pour ne pas le perdre de vue, alors qu'il tentait de me semer. Je pousse un long grondement, alors que je saute encore au dessus des branchages, puis de cette flaque d'eau qui ne m'inspire pas confiance. Le cerf bondit en avant, et je le suis, devant parfois ramper sur le sol car les obstacles sont trop hauts pour moi. Je pousse sur mes pattes, à vive allure, bondissant à chaque nouvel opposant naturel sur ma route qui pourrait me bloquer pour attraper ce cerf qui tente de m'échapper. Je cours, la langue pendant, le rattrapant finalement. Je saute littéralement sur son dos, le chevauchant ou presque, plantant mes crocs dans sa nuque. Il freine, alors que je m'accroche à son dos, plantant mes griffes dans sa chair. Je bande mes muscles pour me maintenir, amortir la force de projection du au freinage plus de l'animal.
Il rue, alors que je saute pour descendre de son dos? Il agite ses bois, alors que je pars sur le côté pour échapper à son coup, esquivant comme avec l'ours un peu plus tôt. Je commence à fatiguer, avec tout ça. Je le contourne, pour éviter ses bois, alors que je fonce dans la direction de sa patte arrière gauche, que je mords à la cuise, secouant la tête rapidement pour faire tomber l'animal au sol. Je tire, serre les mâchoires, alors qu'il tente de se débattre encore mollement, même s'il sent sa fin venir. Je lâche ma prise sur sa patte, avant de retourner sur son dos, lui mordant férocement la gorge d'un coup sec et violent. Je la serre pour l'étouffer, maintenant la pression jusqu'à ce que je le sente mort entre mes crocs. Comme pour l'ours, je le découpe, prêt à le ramener pour le garde manger.

+ 1 Ours
+ 1 Cerf

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Nourrir les miens

Force → 100 Agilité →105 Endurance →100

Je me posais au dessus d'un court d'eau, attendant que les poisson viennent à moi. Campé sur mes pattes, je gronde légèrement, les pattes dans l'eau, plongeant mes crocs pour attraper un premier poisson, puis un autre, et encore un autre. Au final, 6 poissons se trouvaient entre mes pattes, alors que je rentrais à la tanière.

+ 6 Poissons

#fk.016 pour kobalt

Nourrir les miens

Force → 100 Agilité →105 Endurance →100

Je tournais en rond, à la recherche de proie dans le marais. Proies, après proies, elles se succédaient toutes les unes après les autres. Un canard, un écureuil, une oie, un lapin, et une perdrix. Je me dirigeais vers la tanière de la guérisseuse, pour son payement. Elle aurait plus que nécessaire, en effet. Et alors?

#fk.016 pour kobalt

Nourrir les miens

Force → 100 Agilité →105 Endurance →100

Je continuais ma route, lentement. Chaque proie de plus ne me faisaient ni chaud, ni froid. Serpent, rongeur, je cherchais les plus petits. Oui, c'était le plus efficace à faire pour moi. Puis je devais les nourrir, pour qu'ils restent forts.

#fk.016 pour kobalt