Souffle acide du vent, larmes brulantes du ciel. Le monde ne ressemble plus aux paysages d'autrefois. Les cataclysmes ont frappé, des colonnes de flammes et de fumées se sont élevées sur l'horizon. La guerre. La guerre des hommes. Et nous, les loups n'avons eu d'autres choix que de fuir. Nombreux furent nos congénères emportés. Nous traversâmes les plaines cabossées, les forêts de cendres, poursuivis par la faim, traqués par la mort.
Notre salut, nous le devions malheureusement à ceux qui avaient provoqué notre malheur.
Alors, nous étions dans notre nouvel abri depuis quelques jours. J'avais eu le temps de me nettoyer, car j'avais trouvé une source d'eau non loin dans la ville. Alors, ma fourrure blanche était de nouveau immaculée. J'étais encore atteinte de mon épidémie mais je n'avais pas eu de nouveau les symptômes. De plus, est, j'étais dans mes chaleurs et je cherchais également un partenaire. J'essayais de retrouver le loup noir que j'avais aperçu à notre arrivée. Je crois qu'il était du grade guerrier. Il m'avait attiré tout de suite, il avait l'air mystérieux et étrange. Je le trouvais bien élégant et j'espérais qu'aujourd'hui, en sortant hors du terrier, j'espérais peut-être tomber sur lui. Alors, je revenais de la source d'eau que j'avais trouvé. Je trottinais vers notre abri. Quand, je fus arrivée, je jetais un œil à l'intérieur, me demandait si mon beau noir pouvait être dans les parages, mais en faisant le tour rapidement de la crypte de l'église, il n'était pas dans les parages, alors je sortis de nouveau et je m'assis à l'entrée puis je soupirais.
Où pouvait-être mon beau noir. Étrangement, c'était la première fois, dans mes chaleurs que je cherchais vraiment un partenaire, et les autres fois, je n'avais pas eu envie de me rapprocher d'un mâle en particulier, mais ce beau ténébreux, j'avais envie de me rapprocher, surtout depuis que la fois que je l'avais aperçu, il n'avait pas vraiment quitté mes pensées depuis tout ce temps. Alors, je décidais de faire de nouveau ma toilette, oui j'étais quelqu'un de fier et un peu princesse je me l'avouais, j'aimais beaucoup être bien mise et propre. Je continuais ma toilette et après un moment, j'avais terminé, je devais manger, j'étais tannée de prendre les proies de la meute, je détestais de ne pas être apte à chasser à cause de ma foutue épidémie. Tout à coup, j'entendis du mouvement sur ma droite et je regardais, oui je voyais, une silhouette d'un loup. L'odeur de ce loup se rendit jusqu'à moi et me rappela l'odeur de mon loup noir.
Le ténébreux que j'ignorais son nom. Alors, je me sentis toute molle et j'étais portée à me rapprocher de lui, alors aussi vite, je fus sur mes pattes et j'allais faire des pas et aller le voir et presque me jeter contre lui, mais je me retins. Ce ne serait pas bien vu, mais mon organisme me demandait de me rapprocher de lui et l'envie de m'accoupler, me prenait. Ce loup-là m'attirait et mon corps recherchait le sien. Il s'en venait vers moi, alors je décidais d'attendre qu'il se rapproche, un peu plus de l'entrée et je m'assis pour essayer de garder ma contenance et je décidais de nouveau de faire ma toilette, même si je venais juste de le faire. Quand j'eus terminé, il était à une distance restreinte de moi, alors je me levais et lui fit un sourire charmeur et un peu ravageur et je le fixais de mon beau regard orangé, avec un petit peu ma tête de côté.
"Bonjour beau noir."
Je me surpris moi-même, jamais j'avais salué un mâle de cette façon. Je ne bougeais pas, car je devais me retenir, mais j'avais envie de blottir ma tête contre son poitrail. Mes chaleurs étaient dans les parages et envahissaient notre espace.
Azazel marchait d’un pas las et lourd. L’atmosphère était lourde, comme toujours, et cela commençait à lui peser. Le déménagement, le sang de soleil, la meute sous pression : tous ces faits réunis n’était pas bon pour le moral du guerrier. Ce n’était pas la solitude qui le rongeait, bien au contraire Azazel s’était découvert une vraie passion pour ces longs moments de paix. C’était simplement la tension interminable qui planait au-dessus d’eux. Les Sekmeks, la météo capricieuse, et les nombreux membres de la meute qu’ils ne connaissaient pas encore bien, et en qui il avait du mal à se fier. Ce n’était pas contre eux, certains des Esobek inspiraient la confiance, il ne pouvait le nier. Mais malgré tout, à chaque parole qu’ils leur prononçaient, une vague amer se nichait dans sa gorge comme pour le mettre en garde et lui rappeler qu’en vérité, on ne pas faire confiance à personne. Afin de se tirer de ses multiples songes, Azazel était parti en direction d’un quartier de la ville. Cette terre était décidément immense, le noir hallucinait à chaque fois qu’il posait son regard sur un monument délabré. Il espérait que cette marche aurait pu le réveiller de sa torpeur, le remotiver un peu.
C’est une odeur spéciale qui le tira de ses réflexions. Une louve, de sa meute, se tenait non loin de là. Azazel n’arrivait pas à définir quel était ce parfum étrange, il décida donc de s’approcher. Avançant, une lueur intrigué flottant dans ses prunelles argentées, il tomba sur une blanche. Instinctivement, sa silhouette s’encra en lui. Ses courbes féminines, son visage d’ange, son air de princesse dans sa manière de se tenir, et son poil qui semblait être plus soyeux qu’aucun autre. La louve se nettoya patiemment, attendant qu’il vienne à sa portée. Cette louve… Elle était le portrait craché de sa sœur. Plus âgée, on aurait pu les confondre. Azazel restait perdue dans cette contemplation, son regard n’exprimait que stupeur. Il croyait voir un fantôme. Elle semblait si réelle. Il n’avait qu’une envie, se jeter contre elle, lui demander si tout allait bien, lui dire qu’elle lui avait manqué. Oh Tyraelle, Tyraelle pourquoi es-tu partie ? Pourquoi n’es-tu pas rester cacher derrière mon ombre ? Je t’aurais protégé coute que coute, toute ma vie. Azazel avança encore, hypnotisé par ce portrait qui lui semblait si familier. Comment se pouvait-il…
"Bonjour beau noir."
Le noir se stoppa. Penchant la tête sur coté, lui donnant un air fragile, la louve parla. Sa voix suave et mélodieuse trancha avec l’idée que ce faisait le loup d’elle. Un sourire aguicheur aux lèvres. Azazel percuta enfin. Ce n’est pas Tyraelle. Tyraelle était douce, fragile, naïve. Tyraelle n’avait pas cet air la… La réalité lui revint d’un coup, lui coupant presque la respiration. Secouant la tête péniblement, il stoppa sa marche. Son poil noir, légèrement sali par la terre de leur nouveau refuge, brillait doucement. Son épaisse carrure contrastait avec la silhouette frêle de la louve. Il marqua un silence, le temps de réfléchir… durant ce long silence, il comprit ce qu’était cette odeur alléchante. Les chaleurs de la louve, bien sur. Etait-ce cela qui lui avait perdre la raison un court instant ? Pourtant, déposant son regard une nouvelle fois sur elle, il cru a nouveau voir sa sœur décédée. Il inspira profondément, et lâcha d’un ton froid.
« Bonsoir »
La machoire serrée, il s’efforçait de garder son calme. Elle représentait tellement de chose. Il avait envie de la garder sous son aile, de la protegée. Son petit air propre sur elle qu’il adorait tant chez Tyraelle. In secoua de nouveau la tête, posant un regard dur sur la blanche. Non, il ne fallait pas qu’elle s’approche..
Invité
Invité
En savoir plus
Sam 14 Juin - 19:01
Le début d'une relation(priorité Azazel)
«Ne fais pas juste le désirer, FAIS-LE »
(Jauges: Force: 16, Agilité: 13, Endurance: 12)
feat Naïa & Azazel
Alors, je le regardais venir vers moi, j'étais heureuse de m'être fait remarquer par ce beau-noir que j'ignorais encore le nom, mais bientôt, je saurai comment il s'appelle. Je continuais de le fixer de mon regard orangé. Il venait vers moi, comme s'il était dans un genre de transe. Il continuait de venir vers moi complètement captivé, alors moi j'attendais toujours en gardant un sourire. Puis, tout a coup, il sortit comme de la transe dans laquelle il s'était plongé. Au tout début, il avait même sembler être hypnotiser par moi, mais rapidement, quand il sortit de sa torpeur, il s'arrêta et ne bougea plus. J'étais surprise et en même temps déçue car mon désir était toujours la. Alors, je me levais et décidais de me rapprocher davantage du loup noir. Le loup noir me répondit d'une voix froide, cela me blessait, comment pourrais-je me rapprocher de lui s'il était aussi froid.
Je m'étais rapprochée beaucoup de lui, que je pourrais juste avancer ma tête un peu, que mon museau pourrait frôler le sien et je le scrutais davantage. Il était plus grand que moi, plus massif, il avait une belle fourrure noire et des yeux noirs. Il semblait quelqu'un de protecteur et je me sentis toute petite près de lui. Il me dépassait en taille et en muscles. Malgré son air froid, je lui fis un sourire quand même et je mis la queue autour de mes pattes comme un chat. C'était dans mes habitudes. Je le regardais quand même du même air charmeur. Alors, je lui donnais mon nom et mon nom de lune.
"Je suis Naia ou encore Lueur de Nuit et vous?"
Je continuais de faire mon sourire charmeur, puis je continuais de le regarder de mon air un peu princesse sans être arrogante. J'étais chaleureuse envers lui et en étant beaucoup plus près de lui, cela m'était difficile de me retenir pour ne pas me coller contre le poitrail musclé du beau loup ténébreux. Alors, j'attendais la suite des évènements avec le même air de départ.
Elle s’approcha. Non, cria intimement le noir. Ce fantôme qui le hantait depuis des années était là, juste sous ses yeux. La blanche s’approcha, réduisant la distance qui les séparait de quelques centimètres. Azazel la fixait, figé sur place. Elle lui ressemblait tellement. Sa prunelle dorée le fixait d’un air charmeur, et l’odeur de ses chaleurs lui revint soudainement. Le noir voulu cesser de respirer, mais le parfum était tellement enivrant. Il sentait ses muscles se crisper, ses jambes lui ordonnés d’avancer. Mais Azazel resta de marbre, refusant d’obéir à cet instinct. Elle semblait si douce, comme Tyraelle. Sans savoir pourquoi, il eut envie de la protéger. Il voulait braver tous les interdit pour juste un de ces sourires. Etait-ce car elle lui ressemblait ? Etait-ce l’odeur de ses chaleurs ? La queue touffue du grand noir fouetta l’air nerveusement.
Tu vois Azazel, ce n’est pas Tyraelle. Elle s’appelle Naïa. Le loup tentait de se convaincre. Ce n’était pas elle, ce n’était pas elle. Il la fixa durement, comme pour l’inciter à se reculer. Mais elle ne semblait pas d’accord. Elle ne cessait de l’aguicher, sourire, ton suave et regard charmeur. Et son parfum envoutant lui faisait perdre la tête. Azazel paniquait. Son cœur battait la chamade, à la fois perturbé par ce fantôme et par ses chaleurs. Il serra les dents, se sentant défaillir. Il ne bougea point, la laissant s’approcher. Il était incapable de s’éloigner d’elle, il était comme attiré. Oh Tyraelle, que me fais-tu faire… Il lui répondit, sur le même ton froid.
« Enchanté Lueur de nuit. Je suis Azazel, ou châtiment obscure. Guerrier Esobek »
Il se présenta en la fixant d’un air dur. Si elle s’approchait, il ne saurait plus se contrôler. Une nouvelle vague parfumé vint jusqu’à lui, et Azazel ferma les yeux un instant. Pitié.
« Il se fait tard, vous ne devriez pas rester seule ici »
Il voulait qu’elle parte, qu’elle fuit. Il voulait qu’elle cesse de jouer avec lui.
Invité
Invité
En savoir plus
Lun 16 Juin - 19:34
Le début d'une relation(priorité Azazel)
«Ne fais pas juste le désirer, FAIS-LE »
(Jauges: Force: 12, Agilité: 9, Endurance: 10)
feat Naïa & Azazel
Je continuais de le regarder toujours. Avec mon sourire, j'avais encore davantage envie de m'approcher de lui. Je me suis encore avancée de quelques millimètres, seigneur que m'arrivait-t-il, il me faisait fondre et j'avais une seule envie me blottir contre lui. Sincèrement, maintenant, il n'y avait plus d'espace vraiment entre nous deux, je ne le frôlais pas, mais je le frôlais presque . Ma queue remua la terre autour de moi, un peu nerveusement, j'avais la respiration tout de même courte. Ce mâle esobek m'attirait énormément, puis il se présenta enfin, je pourrai savoir comment l'appeler. Je lui souris et je l'écoutais, il disait qu'il s'appelait Azazel ou Châtiment Obscur et qu'il était un guerrier, comme je l'avais supposé au début.
"Je suis enchantée de vous rencontrer."
dis-je dans un souffle. Ensuite, j'observais le paysage quelques minutes, pour enlever mes pensées un peu osées que j'avais en tête et je regardais de nouveau le loup noir.
"Je suis espionne Esobek."
Ensuite, je le regardais en souriant, je ne savais plus trop quoi dire tellement que ce loup-là me rendait un peu nerveuse et j'avais juste envie de me coller.
"Est-ce que vous êtes adapté un peu à notre nouveau chez nous?"
Ensuite, il me regardait avec un air froid, mais je gardais le même air quand même, il me disait qu'il se faisait tard et que je devrais peut-être rentrer.
"Il ne se fait pas si tard que ça et par ailleurs, je suis bien ici. Je ne suis pas fatiguée."
J'aurai aimé lui reposer la question, mais je ne le fis pas, je ne voulais pas qu'il parte. C'était un peu le contraire, j'étais fatiguée, à cause des symptômes. J'observais le ciel, la lune s'était pointée et m'influençait, la lune m'influençait également, dans le même sens que dans mes chaleurs, sans m'en rendre compte, je mis mon épaule contre la sienne et j'observais la lune qui venait de se montrer. Les étoiles venaient de s'éclairer aussi.
"C'est beau n'Est-ce pas?"
Ensuite, c'est là que je me rendis compte que mon épaule était contre la sienne. Un peu gênée je lui disais.
"Je m'excuse."
Je me tassais un peu, pour ne pas être appuyée contre lui, mais, mon épaule revint frôler la sienne et ma queue qui s'agitait dans la terre, le frôlait également au niveau des flancs.
Une espionne ? Azazel n’en n’avait jamais rencontré à vrai. Il s’imaginait la blanche partir à la rencontre de l’ennemi, se porter à lui, à nue sans défense. Il se l’imaginait amadouer les Sekmeks avec un sourire tel que celui qui peignait ses lèvres. Il fronça les sourcils. Comment pouvait-on laisser une si belle et douce créature qu’elle aller dans le camp ennemi en quête d’information ? C’était tellement irresponsable. Mais après tout, elle devait l’avoir choisi d’elle-même, comme Azazel avait choisi son grade. Il osa la détailler discrètement. Après tout, elle était svelte. Ces capacités devaient être phénoménales. Et elle devait être très agile, une chose qui contrastait avec les facultés belliqueuses d’Azazel. Elle s’approcha de lui, et vint coller son épaule à la sienne. Gêné, Azazel ne se décolla pourtant pas. Elle était si attirante, elle lui rappelait tellement Tyraelle. Et savoir qu’elle risquait sa vie en tant qu’espionne, elle, avec son minois angélique… Il voulait la prendre sous son ailes, l’empêcher de se faire meurtrir, la protéger. Il avait beau revenir à la réalité, son portrait ne cessait de lui rappeler sa défunte sœur.
Est-ce que je me suis adapté ? Azazel ne s’était jamais posé la question. A vrai dire, il vivait au jour le jour, sans se demander ce que les autres pensaient de lui. Il avait sa meute, point barre. Il ne connaissait pas tout le monde, il n’appréciait pas tout le monde, mais il les servirait. Azazel connaissait le mot fidélité, ce que certains au contraire refusaient de comprendre. Réellement perturbé par sa question, il ajouta d’un ton neutre.
« Je pense que oui. C’est encore frais, mais je m’y fais. »
Il parla honnêtement. Cet ange à ses côtés lui faisait perdre la tête. Elle leva par ailleurs la sienne et fixa le ciel. Azazel suivit son regard et se perdit ainsi dans la contemplation de la nuit. Le ciel sombre était parsemé de petites ampoules, lui donnant un coté lumineux malgré la pénombre. La lune était presque pleine, et commençait déjà son ascension majestueuse. Azazel inspira lentement. L’air nocturne s’engouffra dans ses poumons, le rafraichissant.
« Il ne se fait pas si tard que ça et par ailleurs, je suis bien ici. Je ne suis pas fatiguée. C'est beau n'est-ce pas? - Oui, très beau. »
Azazel qu’est-ce qui te prend ? A ces côtés, il se sentait perdu. Les souvenirs de Tyraelle l’embrouillaient. Mais désormais, alors qu’ils étaient seuls dans le noir, l’odeur de ces chaleurs sembla s’intensifia. Azazel ferma les yeux et voulu cesser de respirer. Mais ce parfum délicat était si enivrant… Elle s’excusa, et se rapprocha de nouveau à lui. Azazel la fixa un instant. Ses prunelles dorées brillaient dans le noir comme deux pépites d’or. Cette louve était vraiment le portait de Tyraelle. Elle avait tout d’un ange, blanche, douce… Sans s’en rendre compte, le noir vint se coller un peu plus à elle, bercer par son regard envoutant. C’est une bourrasque de vent qui le rappela à la raison. Il se recula d’un bond, comme s’il se rendait compte de son divaguement. Il fallait partir. Azazel se sentait mal. Lui tournant le dos, il fixa à nouveau le ciel et souhaita meubler la conversation. Les silences les poussaient à se rapprocher.
« Je suis étonnée de votre grade. N’est-ce pas un peu trop risqué pour une louve comme vous ? »
Rien n’y faisait, il voulait rester là. Hypnotisé par ce fantôme magnifique, il voulait en savoir plus sur elle.
Invité
Invité
En savoir plus
Mar 17 Juin - 18:06
Le début d'une relation(priorité Azazel)
«Ne fais pas juste le désirer, FAIS-LE »
(Jauges: Force: 12, Agilité: 9, Endurance: 10)
feat Naïa & Azazel
Ensuite, je continuais de regarder le ciel étoilé, étrangement, le loup n'avait pas branché. Il avait resté collé contre moi. J'en étais heureuse, ce loup-là me plaisait davantage de minute en minute. Ensuite, il finit par répondre à la question que je lui avais posé. Il m'avait dit que oui il s'était adapté, même si c'était encore frais. Il disait que oui, moi aussi je m'y faisais, nous n'avions pas beaucoup de choix. Ensuite, quand moi, je regardais le ciel, il avait fait la même chose. Ensuite, personne ne parlait, pendant un petit moment, moi je m'étais rapprochée un peu plus de lui. Mon envie était grandissante de plus en plus. Je ne sais pas pour lui, mais moi mes envies m'empêchaient de penser correctement. Ensuite, je le fixais de mes prunelles dorées un moment, on pouvait voir dans mon regard que j'avais du désir pour lui.
Je lui souris et il avait dit également que c'était très beau, alors je lui souris de plus belle. Ensuite, je me mis à contempler de nouveau le ciel et ensuite, le loup noir vint se coller contre moi alors, je lui souris et restait collée à lui, je fermais même les yeux, j'étais bien avec lui. Cependant, sans prendre gare, le loup noir recula d'un bond, puis moi j'ouvris mes yeux dorés et je le regardais et lui demandait.
"Quelque chose ne va pas Azazel?"
dis-je au loup, un peu déçue qu'il se soit éloigné si vite de moi. J'avais pris une voix douce, enivrante pour lui parler. Ensuite, il me tournait le dos, alors, je me levais et je revins près de lui pour le voir, il était de nouveau en train de regarder le ciel, alors, je le regardais avec lui, un moment. Il me posa une question et je lui répondis. "Non, je l'ai choisie, car je sais que je suis capable de bien faire ce rôle, je suis quelqu'un de plutôt discrète et la majorité du temps, parfois, on ne se rend pas compte que je suis là. Je suis bien, avec ce grade. C'est sûr, il faut que je sois prudente, mais je suis quelqu'un de très agile et discrète, alors je suis à ma place."
Ensuite, je regardais le loup noir, laissant errer mon regard sur son corps musclé. Bien sûr, il était guerrier, mais c'était plus dangereux que moi.
"Guerrier, aussi doit être assez risqué non? Je n'aurai pas envie qu'il vous arrive quoi que se soit."
dis-je doucement et en flirtant avec lui. Instinctivement, je me rapprochais de lui et je le frôlais puis je me couchais sur le dos, laissant mon ventre à découvert et je le regardais de mon beau regard doré. J'aurai pu me placer différemment, et je suis sûre que nos désirs auraient pris le dessus. J'avais vraiment envie de faire qu'un avec lui, mais il fallait peut-être mieux de ne pas aller trop vite. Ensuite, je levais mes pattes antérieures et les posèrent sur son poitrail, sans griffes. Bien sûr, mes griffes n'étaient pas rétractables comme les félins, mais je ne griffais pas, j'étais douce dans tous mes mouvements et sensuelle également, puis je me mettais à mon avantage. (je vais faire apparaître ses symptômes bientôt)
Elle s’inquiéta et se rapprocha. Non. Cette odeur… ce parfum… Azazel cessa de respirer. Elle parla, enfin. Sa voix était douce et suave, comme une mélodie qu’on ne pourrait cesser d’écouter. C’est pourquoi le noir tendit l’oreille. "Non, je l'ai choisie, car je sais que je suis capable de bien faire ce rôle, je suis quelqu'un de plutôt discrète et la majorité du temps, parfois, on ne se rend pas compte que je suis là. Je suis bien, avec ce grade. C'est sûr, il faut que je sois prudente, mais je suis quelqu'un de très agile et discrète, alors je suis à ma place." Hm. Il acquiesça d’un mouvement de tête, ne doutant point de son habileté à espionner. Comme il le pensait antérieurement, son minois, sa délicatesse et son agilité lui donnaient les qualités que tout autre espion devrait jalouser. Il l’imaginait tellement bien émerveiller l’ennemie avec ces sourires charmeurs et lui soutirer quelques informations à l’aide de sa divine voix. Elle se rapprocha à nouveau et avec un sourire, elle enchaina.
Si c’était trop dangereux pour moi ? Azazel bomba son poitrail inconsciement : son grade était sa plus grande fierté pour l’instant. Sa carrure impressionnante, sa grande taille, sa musculature imposante… Il était le guerrier parfait. Son pelage noir lui permettait de se camoufler un peu partout, et sa silhouette en faisait fuir plus d’un. Non, Azazel allait parfaitement à ce rôle. Soudain, devant la lueur inquiète qui trônait dans ses prunelles d’or, il eut envie de la rassurer.
« Ne vous en faites pas, il ne m’arrivera rien, sentant qu’il avait parlé d’un ton un peu trop mielleux, il ajouta plus froidement, je sais me défendre. »
Je suis une machine à tuer ajouta-t-il pour lui-même. Il se souvenait encore du jour où il avait massacré plusieurs membres de son ancienne meute. Aveuglé par la rage et la vengeance, il avait sauté à la gorge de deux mâles et une femelle. Sans pitié, il les avait égorgés. Se voile rouge et féroce qui lui brouillait la vue lui donnait la force incroyable de briser des os. Il se souvenait encore de la sensation. L’adrénaline bandant ses muscles, la colère acérant ses crocs. Sa mâchoire se refermé sur l’échine des ennemis, le sang coulé dans sa gorge, allumant une flamme au fond de lui. La soif. La soif de vengeance. Ils les revoyaient revenir triomphant de leur meurtre. Ils revoyaient leur mine réjouis et leurs langues pendrent en détaillant le corps de sa jeune sœur. Azazel grogna et ferma les yeux. Tyraelle. Pourquoi la lui avait-on enlevé ?
C’est une douce patte qui le tira de ses songes. Il ouvra les yeux. La blanche se tenait devant lui, une antérieur levé en sa direction. Elle le toucha d’une manière si sensuelle que la tension qu’Azazel avait accumulée s’évapora. Elle dégageait une aura apaisante qu’il ne savait décrire. Toute animosité disparu de lui. Il la fixa, ne sachant que faire. Il pouvait humer pleinement l’odeur de ses chaleurs. Etait-ce ces dernières ? Etait-ce sa ressemblance avec Tyraelle ? Etait-ce tout bonnement elle ? Il ne savait plus quoi penser. Il ne recula pas, hypnotisé. Il était perdu.
« Vous ne devriez pas… Naïa… »
Il voulait l’avertir mais sa raison avait laisser place un sentiment que le noir ne savait nommer. Ne vous approcher pas… pitié…
Invité
Invité
En savoir plus
Mer 18 Juin - 23:05
Le début d'une relation(priorité Azazel)
«Ne fais pas juste le désirer, FAIS-LE »
(Jauges: Force: 12, Agilité: 9, Endurance: 10)
feat Naïa & Azazel
Ensuite, je continuais de regarder le loup, je trouvais cela mignon qu'il s'inquiète pour moi et moi aussi je m'inquiétais pour lui. Je ne voulais pas qu'il lui arrive quoi que se soit. Ensuite, je me mis à réfléchir, je suis sûre qu'il était un très bon guerrier, il avait tout pour ce rôle, il y avait du muscle, une fourrure noire qui pouvait bien le camoufler sans doute, j'étais sûre qu'il était également sans pitié pour ces ennemis, mais malgré qu'il était froid, j'étais sûre qu'il n'était pas dangereux, pas envers nous, mais envers les ennemis sans doute. Je n'avais pas envie qu'il se blesse, ou se fasse tuer, car je saurai que mon cœur aurait souffert beaucoup. Il devait être un bon guerrier, j'en étais sûre. Il me rassurait, disant que je ne devais pas m'inquiéter, car il ne lui arrivera rien. Cependant, ensuite, un peu plus raide, il ajouta qu'il savait bien se défendre, j'en étais sûre, ça oui.
"J'espère, car s'il vous arriverait quelque chose, je serais très peinée."
Ensuite, Azazel semblait être dans ses pensées, j'espère que je ne l'ennuyais pas. Je serais vraiment déçue de moi-même si ce serait le cas. Je continuais de le regarder en souriant, j'étais tellement proche de lui, j'avais envie de me rapprocher davantage de lui et de profiter de sa présence, je me sentais bien à proximité de lui. Je continuais de le flatter avec mes pattes antérieures et sans prendre gare, sans aucune gêne, je levais ma tête et je le léchais sur la joue. Ensuite, je continuais de le flatter, ma queue remuait puis frôlait le corps du noir à quelques reprises, peu importe, après, ma fourrure serait un peu sale, mais ce n'était pas grave, j'étais bien avec lui. J'étais prête à m'offrir à lui. Par la suite, Azazel parlait, me disant que je ne devrais pas.
"Pourquoi je ne le devrais pas?"
Ensuite, en souriant davantage je lui dis.
"Si moi je le veux."
Dis-je en lui souriant puis en lui lançant un doux regard tendre et rempli de désir. Je fixais ses yeux argentés. Je continuais de le fixer de mes prunelles dorées, le paysage de la nuit nous mettait à l'avantage et les rayons de lune nimbaient ma fourrure d'argenté, ainsi que celle du noir. Je continuais de le flatter doucement avec mes pattes avant. Je lui fis une autre lèche sur la joue et une autre près de son museau.
Elle le lécha. S’en était trop. Azazel bondit en arrière, se reculant de plusieurs pas. Il grogna, dévoilant ses crocs avec une animosité terrifiante. Faisant claquer sa mâchoire comme il le ferait lors d’un combat, souhaitant intimider l’ennemi, il la toisa durement. Non, elle n’avait pas le droit de jouer avec lui comme ça. Elle devait avoir senti le mal être du mâle et pourtant, elle tentait d’en tirer profit. Elle l’aguichait avec ses chaleurs et son affection débordante. Mais cela ne faisait qu’étouffer le mâle. Déjà engourdit par la ressemblance frappante de Naïa avec Tyraelle, il se sentait faillir à chaque fois qu’elle le frôlait. Il détestait cette sensation, il perdait le contrôle. Et il n’aimait pas ça. La mâchoire serré, il déglutit péniblement. Le gout amer de la colère remonta jusqu’à ses babines, et il lâcha d’une voix cassante.
« Mais moi je ne veux pas »
Son ton était autoritaire. C’était presque un ordre. Éloigne-toi, recule. Au fond de lui, cela raisonnait comme une supplication. Ne joue pas avec moi. Ne joues pas avec mes nerfs. Mais devant son air précieux, ses prunelles dorées qui le couvait du regard, il baissa la tête. Il craqua. Fuyant son regard, il lui tourna le dos. Il n’arrivait pas à lui résister, à la combattre. Il refusait d’agir comme ça vers cet être si pur. Il regrettait déjà de s’être montrer si agressif. Elle lui ressemblait tellement. Elle avait son coté de princesse qu’il adorait, elle avait tout d’un ange. Elle semblait si fragile, si douce. N’importe qui aurait eu envie de la cacher sous son poids et de la proteger coute que coute. Azazel sentait son esprit faillir. Il soupira, baissant la tête. Fermant les yeux, il ajouta d’une petite voix, comme pour s’excuser.
« Je ne peux pas »
[/quote]
Invité
Invité
En savoir plus
Sam 21 Juin - 3:50
Le début d'une relation(priorité Azazel)
«Ne fais pas juste le désirer, FAIS-LE »
(Jauges: Force: 12, Agilité: 9, Endurance: 10)
feat Naïa & Azazel
Sans prévenir, Azazel bondit vers l'arrière, reculant de plusieurs pas. Alors, moi je le regardais surprise et très déçue. Il grogna après moi et me montra les crocs avec animosité. En faisant cela, il m'effrayait un peu et je le regardais avec un regard triste. Pourtant, je croyais qu'il aimait que nous soyons proches de l'un et de l'autre. Je m'étais trompée, peut-être que je ne l'intéressais pas du tout. Ensuite, il me regarda et me disait qu'il ne voulait pas. Alors, un peu fâchée, je me relevais et le regarda.
"Très bien alors. Je ne te plais pas, j'imagine. Je ne parlais pas nécessairement de nous accoupler, mais de nous coller. Cela semble trop pour toi."
Ensuite, moi je ne bougeais pas de ma place puis je fixais l'horizon. Les rayons de lune rendaient ma fourrure légèrement argentée. Alors, on pouvait voir, que j'étais fâchée, triste et déçue en même temps. Ensuite, je comptais peut-être m'en aller, quant a ça il ne semblait plus vouloir m'approcher.
"Je crois que je ferai peut-être mieux de rentrer."
dis-je un peu sèche a mon beau noir. Cela me faisait mal, j'aurai aimé que nous soyons plus proches que ça. Je le fixais de mes prunelles dorées puis je le regardais puis ensuite, je détournais mon regard, mais une de mes oreilles étaient pointées vers lui, car il allait me dire autre chose. Il me dit qu'il ne pouvait pas.
"Je peux comprendre, s'il y a une autre, mais j'aurai aimé me coller un peu plus."
Ensuite, je soupirais, ce n'était pas drôle, j'avais beaucoup de sentiments qui jouaient en moi a propos d'Azazel. Il avait attiré mon attention, la première fois que je l'avais vu.