Souffle acide du vent, larmes brulantes du ciel. Le monde ne ressemble plus aux paysages d'autrefois. Les cataclysmes ont frappé, des colonnes de flammes et de fumées se sont élevées sur l'horizon. La guerre. La guerre des hommes. Et nous, les loups n'avons eu d'autres choix que de fuir. Nombreux furent nos congénères emportés. Nous traversâmes les plaines cabossées, les forêts de cendres, poursuivis par la faim, traqués par la mort.
Notre salut, nous le devions malheureusement à ceux qui avaient provoqué notre malheur.
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Abysse Δ
Résultat du dès : 1 Malus : -4 au résultat 9+2-3 : 8 Reussite +1 rat 9+2-3 : 8 Reussite +1 buse 3+2-3 : 2 échec Force : 28 | Agilité : 29 | Endurance : 30
Tout en s'avançant dans les herbes hautes qui prenaient de plus en plus de place sur les prairies faites de cendres, le corps un peu plus robuste de la louve noire s’avançait bien doucement. Elle avait repéré depuis quelques minutes l’odeur d’un nauséabonde rat, nauséabonde peut être pour le museau sensible des canins, mais délicieux pour ses babines et son estomac. Depuis quelques jours, la chasse n’était pas trop mauvaise pour cette chasseuse, en tout cas c’était à son grand bonheur. Au moins elle n’avait pas à s’en faire pour les prochains jours, elle n’était pas à plaindre. Elle ne faisait pas partie des loups rongés par la famine. Après la rencontre avec Aphrodite, elle avait eut beaucoup de mal à se reprendre en pattes. Mais la femelle été bien décidé a retrouver cette folle et à lui faire la leçon une bonne fois pour toute. Qu’elle comprenne enfin, qu’Abysse n’était pas fautive dans la mort de son père. Oui, elle avait reprit confiance en elle et cela en partie grâce à Kobalt. Mais enfin bref. Faisant le moins de bruit possible, la louve lève haute ses oreilles sur son crâne, les musclé complètement bandé alors que son flanc touche le sol.
Son pelage n’est pas très discret en plein jour, mais dans se magnifique paysage chaotique, avec le vent soufflant dans son avantage cachant son odeur aux proies, elle était en parfaite symbiose avec la nature pour réussir cette nouvelle prise. Maintenant à elle de ne faire aucune erreur dans sa chasse. Son regard vert perçant l’horizon, arpentant les allés de la plaine elle rencontre enfin les petits yeux noirs du rongeur qui lui tendait les bras. Là assis entrain de fouiller le sol sans se douter de la menace planant sur sa tête. Grondant légèrement, elle fila au travers de sa cachette faisant tendre ses muscles a chaque foulé sur le sol. Les oreilles en arrières, le souffle court et son cœur battant la chamade. Elle faisait volé et vire volté la poussière sous chacun de ses pas de course. Bien sûr le petit animal, non idiot à ce point à bien entendu le départ de la jeune solitaire et commence à s’enfuir à toute hâte. Grondant un peu, elle accélère le mouvement de ses muscles, donnant une nouvelle vitesse a ses foulés. Zigzaguant entre les débris du sol, les pluies d’acides ont laissés pas mal de dégâts sur le chemin et les flaques sont importantes. Sautant par-dessus une flaque d’acidité, l’ayant échappé belle alors que sa proie commence à mettre un bel écart de distance entre eux. Secouant de la tête ne voulant certainement pas se faire avoir par une si petite bête que la louve fit un écart sur le côté accélérant de nouveau, forçant encore plus sur ses membres commençant à fatigué.
Elle passe devant le rongeur, une fois quelques mètres plus loin, prenant un virage en épingle assez sec manquant de la faire tomber elle reprend sa course et se retrouve dans la ligne droite face au rat qui ne s’y attendait visiblement pas et s’apprête à changer de direction. Mais un nouvel animal fit son apparition dans cette chasse. Une buse sortit de nulle part tomba comme une flèche meurtrière pour attraper le rat entre ses serres. Secouant la tête surprise, elle ne ralentit cependant pas, pourchassant désormais l’oiseau tenant entre ses griffes son repas. Qu’elle allait cependant récupérer. Cherchant du regard un tremplin, une importante pierre supporter un rondin en équilibre au-dessus d’une large flaque d’acide. C’était risqué, mais qu’importe. Sautant de vive griffe sur l’écorce abîmé qui craquela sous ses pattes, elle trottina jusqu’au balancement vers l’avant de ce dernier. La louve sauta juste avant que ce dernier ne s’écrase dans le liquide qui commence déjà à ronger le morceau d’arbre. Propulser vers l’avant, elle attrape entre ses crocs une des ailes de l’oiseau et l’entraîne dans sa chute violente. Roulant sur la poussière, l’animal est envoyé plus loin sur le sol. Avec une chute de cette envergure, il se retrouva avec une aile briser, faisant face au sol à l’ennemie. Hurlant, alors qu’il maintient le rongeur entre ses serres déjà mortes écrasées par l’emprise.
Abysse se redressa faisant gonfler son pelage, grondant les dents dégarnies de ses babines. Coloré de sang, ses pattes approchèrent l’oiseau qui faisait battre une aile et cria de menace, ne faisant pas même reculer la louve qui fit un nouveau saut sur l’oiseau, le plaquant au sol et d’un coup de croc tua l’animal. Elle regarda ses deux proies, fière d’elle.
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Dim 3 Avr - 14:45
Terrain de chasse (2 Avril)
Abysse Δ
Résultat du dès : 1 Malus : -3 au résultat 11+2 : 13-3 : 10 Reussite +1 Lapin 1+2 : 3-3 : 0 échec 5+2 : 7-3 : 4 échec Force : 31 | Agilité : 36 | Endurance : 34
Abysse était entrain de pourchasser un petit rongeur qui c'était approché, curieux, un peu trop prêt d'une autre carcasse que la petite louve était entrain de convoiter depuis quelques minutes. Quand l'animal était sortie de sa cachette, cette dernière avait redressé les oreilles quelques peu surprise de voir un animal, une proie tel quelle l'avait fortement surprise. En tant normal, un animal si petit ne s'aventurer jamais aussi proche d'un prédateur, mais l'odeur avait dut piquer au vif sa curiosité, mais la voilà maintenant pourchassé. Abysse était en pleine course poursuite, ses oreilles plaquer sur l'arrières de son crâne, faisant des grande foulée pour rattraper le petit animal vif. Se dernier glissa sous un tronc ou la louve ne pouvait pas s'aventurer, alors elle donna des grands coup de pattes dans se dernier pour tenter de le faire craquer, mais le temps qu'elle y arrive, l'animal était déjà ressortit de l'autre côté. Sautant par dessus le tronc, tentant des nombreux virages en épingles, manquant même de glisser sur sol, elle vint faire claquer sa mâchoire pour tenter d'effrayer le lapin et qu'il s'écrase sur le sol. Mais ce dernier avait bondit de ses pattes agiles pour évité de justesse. Elle était tombé sur un lapin plus malin qu'elle ne le pensait. Grondant, elle n'abandonnait pas sa course. Ne pas se laisser distancé était son principe d'ordre.
Sautant par-dessus une pierre, venant aussi évité une flaque d'acide. Elle prit un virage en épingle, pour rattraper l'animal qui fit la même chose tournant sèchement à droite, faisant perdre à la louve l’avance qu'elle venait tout juste de gagner. Elle dut évité une importante pierre qu'elle ne pouvait sauter, elle évita aussi de nouveau en tournant sur la gauche un bout de bois. Concentrer dans sa cours elle préférait les contourner pour ne pas perdre de temps. Mais son souffle commencer à la brûler, elle devait faire une pause, mais si elle se stoppait, le lapin lui filerait entre les pattes. Quand enfin ce dernier, sauta dans un terrier. Un trou creuser au sol, la louve bondit dessus et de ses pattes laboura le sol, envoyant de la terre partout, ses crocs venait s'aventurer dans le petit trou béant, tentant d'attraper le peau du petit mammifère, qui attribua un coup de croc sur le museau de la femelle .Qui prise d'énervement, fit un bain de sang lorsque ses dents rencontrèrent l'oreille de sa proie. Tirant violemment, l'oreille lui resta dans la bouche, mais elle attrapa la fourrure du lapin et l'envoya valser au sol. Le choc assomma l'animal et elle profita de l'occasion pour bondir dessus et d'achever sa proie. Les babines sanglantes, elle passa sa langue fièrement dessus.
Les plaines de cendres étaient sans compter le lieux favoris de la jeune louve pour chasser en toute tranquillité. Même si quelques prédateurs étaient dans les alentours. Elle avait la mauvaise chance de tomber plus d'une fois sur des coyotes, des lynx ou des renards, heureusement pas d'ours a l'horizon. Ses ours.... Des bêtes bien trop forte et imposante pour les maigres forces de la solitaire qui préféré de loin les évités, faire comme s'il n'existait pas. Faire l'aveugle en quelques sortes. Puis ils ne fuyaient pas eux, ils fonçaient dans le tas, tête baissé pour tué. Un peu comme les hommes, les loups et les chiens finalement. Mais en pire, aux yeux de la chasseuse, c'était des animaux bêtes, qui ne connaissez pas vraiment la fuite dans le propre sens du terme. Avec son ami Kobalt, la louve avait dut apprendre durant un certain entraînement à fuir, elle avait également mise en application cet exercice face aux hommes et aux chiens d'hier soir. Alors qu'elle trottinait doucement des les alentours d ela terre brûlé des cendres, une odeur vint lui chatouiller le museau.
Relevant la tête, humant l'air délicatement. Une sale odeur de sang, un animal ne semblait pas être très loin d'où se trouvait Abysse, en plus de ça blesser. Un miracle pour la femelle qui n'aurait peut-être pas à se dépenser pour trouver de quoi nourrir la meute. Trottinant donc, suivant l'odeur, elle remarqua bien rapidement des traces de sang sur les pierres, le sol. Venant humer, elle pistait l'animal en question. Un grondement se fit entendre a quelques mètres. Là droit devant elle, un blaireau entrain de se battre avec semble t-il un coyote. Sale bête pensa t-elle dans un petit grognement. Les coyotes, charognards, qui tentent de vous piquer votre chasse par tout les moyens, se camouflant sur le sol, le flanc poser dans la poussière. Elle avant rampant pour se faire discrète, mais une branche morte juste là sous ses pattes fit alerter les deux animaux de sa présence. Ne pouvant pas perdre une minute, elle bondit hors des fourrés pour détaler comme une furie, de grande foulé, empoignant vitesse a l'aide de ses pattes arrières. Elle visait le coyote, d'abord le faire fuir, ensuite tuer le blaireau.
Bien sûr le canin, d'un rire sournois attrapa une patte du blaireau et le tira, tentant de s'enfuir avec l'animal toujours en vie qui grondait sourdement, donnant des coups de griffes dans le museau du carnivore qui furieux commença a le déchiqueter. D'un bond elle percuta alors ce dernier l'envoyant manger la poussière. Les poils gonflés, doublant sa masse, les crocs dégarnit, elle avança menaçant. C'était l'un des rares a ne pas fuir, mais faire face à sa rivale. Sautant au cou de la jeune louve qui le repoussa sans grand mal de ses pattes avant, l'attrapant a la queue pour le tirer, le faire glisser sous elle. Ses griffes venant déchirer, labourer son ventre, la partie fragile. Alors que ses crocs attaquer son museau, ses oreilles puis enfin sa nuque. Il hurlait a la mort. Elle tentait de le tuer, mais des hurlements lui indiquer, qu'il n'était pas seul. Relâchant un peu sa prise il put s'enfuir à toute hâte.
Faisant un demi-tour sur elle même, alors que le blaireau tenta de fuir vers la forêt. Elle reprit de nouveaux une vitesse en bandant ses pattes, propulsant son corps dans la foulé, attrapa le blaireau par la peau du cou. Ce dernier tapa de ses pattes arrières sur le sol faisant valdinguer la femelle vers l'avant qui ne tarda pas à se relever, approchant, l'attrapant avec fureur au niveau du museau, l'envoyant vers la droite, le faire valdinguer à son tour et sauta férocement à sa hauteur, venant mettre son ventre a l'état de morceau de chair. Les hurlements des coyotes se faisaient de plus en plus proche. La louve ne devait pas perdre son temps. Attrapant entre ses crocs sa proie maintenant morte, elle disparut le plus rapidement possible dans la forêt, un sourire sur les babines.
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Lun 4 Avr - 12:47
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Mar 5 Avr - 8:28
Terrain de chasse (4 Avril)
Abysse Δ
Résultat du dès : 9, 5, 2 Malus : -3 au résultat 9+2 : 11-3 : 8 Reussite +1 Rat 5+2 : 7-3 : 4 échec 2+2 : 4-2 : 2 échec Force : 32 | Agilité : 38 | Endurance : 33
Toujours blessé a la patte arrière droite suite a sa rencontre avec le chien Kaito, la louve chasser plus ou moins sérieusement. Elle avançait de manière hasardeuse dans les champs de la plaine de cendre, relevant parfois le museau dans les airs pour y détecter l’odeur d’un animal qui pourrait se montrer par pur hasard. Parfois elle grattait également le sol de ses pattes au niveau des terriers, mais l’envie n’y était pas vraiment. En fait, la louve sentait une certaine fatigue pesait sur elle, alors elle restait plus tôt calme. Même ses entraînements avaient semble t-il perdu de leurs vigueurs, leurs férocités. Bref, elle n’avait envie de rien faire. Alors elle était couchée au sol, le ventre complètement salit par la poussière de cendre. Sa queue fouettant les gravillons traînant par-ci par-là, elle était plus ou moins pensive aussi ses derniers jours. Elle se sentait fatigué, sermonné. Bref, la louve noir n’était pas dans ses états vraiment normaux. Relevant les oreilles par moment, levant également la truffe dans les airs. Certains corbeaux s’arrêtaient pour repasser leur chemin en voyant la louve toujours vivante. Elle souriait devant cette vision, stupide charognard se dit-elle alors soufflant un peu. Soufflant longuement, et laissant retomber sa tête sur le sol avec fatigue, comme si tout le poids du monde était sur ses épaules. Baillant un peu également, elle laissa son corps pivoter sur la droite. Non ce matin elle n’avait envie de rien faire, mais la nature semblait en avoir décidé autrement.
Alors que la femelle venait de fermer les yeux pour un peu de repos bien mériter après ses jours intenses de chasses, de courses, d’entraînement. Le bruit agaçant d’un rongeur vint siffler jusqu’à ses oreilles. Redressant tout son corps, grondant de colère. La noiraude se redressa sur ses pattes cherchant de la tête le bruit du gêneur. La provenance, quand elle remarqua les poils blancs pétillant de l’animal aux yeux rouges. Un rat albinos. Les oreilles venant se dresser sur toute sa longueur, pourquoi ne pas jouer avec lui pensa-t-elle soudainement. Un sourire sans pitié se dessina sur les babines de la femelle qui sauta d’un bond jusqu’à l’animal. La queue battant rapidement, l’animal tenta de s’enfuir, mais hop, un premier coup de patte dans son museau le fit partir en arrière. Puis hop un autre coup de patte pour le ramener devant ses yeux. Il grondait de colère et tenta même de pincer la femelle à la patte se qui la fit rire doucement.
Elle donna un nouveau coup l’envoyant plus loin dans la poussière, mais alors qu’il tentait de s’enfuir, cette dernière se mise a trottiner gentiment, le laissant prendre de l’avance, puis commença des grandes foulés, venant attaquer de ses pattes le sol. Tapant des antérieurs, se faisant survoler la plaine. Mais se n’était pas une course réelle, elle prenait son temps et s’amuser. Le rongeur passa sous des débris qu’elle vint écarter d’un violent coup de tête le faisant fuir vers la gauche, prenant elle-même un virage serré. Elle sautilla jusqu’à lui et plaça une patte sur sa queue, riant toute seule. Heureuse de l’avoir piégé. « Tu es coincé mon gros désolé. » Dit-elle venant mettre l’ultime coup de croc dans la tête du rongeur.
Cela faisait quand même quelques jours que la louve noire n’en faisait pas un niveau de la chasse. Mais depuis l’annonce de Yamaska, malgré son refoulement pour ses futurs louveteaux, la jeune louve voulait faire attention. Elle était attisée d’une certaine pitié envers ses choses étranges qui grandissaient dans son ventre. Elle devait les protégés finalement non ? Mais bon pour réellement les protégés comme il se doit il faut aussi chasser après tout. Trottinant depuis quelques minutes sur le terrain de chasse qu’elle convoite depuis le début de ses routines. La plaine de cendre. Hâtant ses pattes sur son chemin, cherchant dans l’air l’odeur alléchante d’une proie quelconque dans les parages. Elle se mit alors à augmentait ses foulés sur le sol dur lorsque le bruit de grondement se fit entendre et que l’odeur abondante de sang se fit naître dans les narines de la femelle qui suivait la trace de cette dernière de manière subtile. Bondissant par-dessus un rondin de bois écrasé, elle tendit les oreilles en avant. Se retournant, pour chercher autour d’elle. L’odeur venait du sud, elle accéléra et allongea ses foulés sur le sol. Mais la louve ne découvrit rien de plus qu’une carcasse venant d’être dépouillé certainement par un glouton traînant dans les parages.
SECONDE CHASSE ECHEC
En ayant découvert la carcasse, la louve noire avait décidé de partir à la recherche du pilleur en question. Reniflant donc la carcasse, une traînée de sang était clairement visible sur le côté gauche de l’animal qui semblait être une ancienne biche, ou un chevreuil. Suivant les traces de sang alors a la piste. Elle reconnut l’odeur amère d’un puma. Un sourire sur les babines de la louve, si elle pouvait tomber dessus se serait une aubaine pour cette dernière. Reprenant sa course en suivant l’odeur. Trottinant par moment pour reprendre sa direction. Elle finissait toujours par courir. Bondissant au-dessus les obstacles gênant, et s’écartant du chemin sur les gênes du terrain évitant ainsi de se blesser. Elle prit également un virage serré à gauche mais les traces ainsi que l’odeur du sang s’arrêter juste là devant une grosse pierre. Elle en fit le tour mais rien. Grondant de colère elle continua son chemin.
TROISIEME CHASSE ECHEC
Arrivant au bord d’un petit ruisseau presque asséché, la femelle noire s’allongea prêt de ce dernier venant prendre quelques gorgé d’eau dont elle avait bien besoin. Elle était déçus d’avoir perdu la trace du puma qui aurait put lui faire un morceau de viande en plus pour le garde manger, même si face à un animal pareil et ses faiblesses, elle aurait sans doute vite abandonner le combat. Baissant un peu les oreilles, elle remarqua la présence de poisson dans l’eau, une idée submergea ses esprits. Pourquoi ne pas essayer de pêcher ? Cela changerait certaines de ses habitudes. Y allant de toutes pattes sans peur, elle tenta d’attraper un premier poisson en plongeant ses crocs. Mais la première prise fut complètement loupé retrouvant sa gueule complètement humide, grondant frustré elle réessaya. Mais ça ne semblait pas fonctionner, elle se mise alors à sauter donnant des grands coups dans l’eau. Effrayant un premier poisson qui avança a grande allure vers elle, qui prise par l’étonnement recula et manqua même de tomber dans l’eau. Elle se mit alors à le poursuivre en courant après ce dernier, voulant le bloquer dans un rocher. Sautant par-dessus des branches, elle donna un coup de croc a la surface de l’eau mais il était trop rapide et fit un rapide demi-tour faisant arrêter brusquement la louve qui chuta dans l’eau. Grondant énervé, elle sortit, s’ébroua et repartit rapidement au petit trot vers la fête foraine.
Bien que la louve avait eut beaucoup de mal à se lever suite a son combat contre le mâle noir hier, enfin se n'était pas réellement un combat. Mais bien un massacre venant du mâle noir, elle s'était quand même levé et après vérification rapide ses blessures était partit jusqu'aux terrains de chasses favoris. Les plaines de cendres. Trottinant entre les arbres, se glissant entre, créant des obstacles, sautant sur un tronc d'arbre tombé sur le chemin, prenant son équilibre, bondissant sur une pierre pour atterrir sur le sol. Elle testait ses réactions, ses forces. Il lui avait bien amoché l'épaule, quelques peu gênants pour la course, ainsi que son oreille, mais c'était plus un affront physique, qui ne la gênerait en rien pour la chasse. Une fois retrouvé sur la plaine ; L'étendue d'herbes sec, un petit court d'eau, et des multiples obstacles. Levant le museau en avant, elle repéra une odeur alléchante. Une biche n'était semble-t-il pas loin dans les environs. Trottinant alors plus rapidement jusqu'à allongés ses foulés sur le sol, bandant ses muscles a chaque mouvement vers l'avant. Utilisant la force de ses pattes arrières. Elle évita un arbre écrasé en sautant par-dessus. Repérant la proie au loin. Accélérant le mouvement de ses pattes pour utiliser toute ses capacités au maximum, faisant des bonds en s'aidant des obstacles sur son chemin. Elle prit une assez grosse pierre comme tremplin pour se propulser d'un bond vers la biche. Non, un faon. D'un sourire mauvais, la louve accéléra vivement son mouvement, bandant encore et encore ses mouvements féroces. Quand une vive douleur vint lui parcourir l'épaule et la fit s'arrêter brusquement, faisant un bruit assourdissant, sa proie repéra la louve et détala à toute vitesse.
SECONDE CHASSE ECHEC
Grognant de frustration, elle regarda sa plaie toujours ouverte. Ses mouvements furent sans doute trop brusque pendant son bond et en voilà le résultat. Secouant la tête, elle repartit au pas à travers la plaine. Venant renifler l'odeur de la biche qui avait laissé ses marques sur le sol. Si elle ne pouvait pas avoir le faon à la poursuite normale, peut-être pourrait-elle l'avoir par la ruse alors. Partant au trot, suivant l'odeur à la trace, les oreilles en avant en cas de bruit perturbateur. Elle releva la tête de temps à autres pour vérifier. Elle évitait en zigzaguant entre les obstacles, ne pouvant pas les surmonter, valait mieux les contourner. Partant a droite, puis à gauche. Passant également sous une crevasse pour passer de l'autre côté d'un tronc. Mais voilà, elle avait beau avancé, elle tournait inlassablement en rond. Perdant peu a peu la trace de l'animal. Grognant de nouveau, elle se dit que tant pis pour la douleur. Si elle voulait vraiment l'animal, elle l'aurait par la poursuite. Tapotant le sol de cendre, elle prit appuie sur ses antérieurs, tendant, et bandant ses muscles au maximum elle partit à vive allure dans le champ vide. Les oreilles venant se plaquer à son crâne, l'odeur toujours dans le museau. Elle prit un virage en épingle sur la droite, contournant une pierre. Chaque foulé était une dure épreuve pour la femelle qui devait faire abstraction de la douleur vive dans ses pattes. Continuant de forcer, jouant sur l'articulation qu'elle travaillait avec des mouvements parfaitement régulés. Inspiration du nez, expiration de la bouche. Elle utilisait la force de ses pattes arrières pour la vitesse, mais la légèreté des membres avant pour l'équilibre et les virages. Se fut le sifflement ardant d'un serpent qui stoppa sa course.
TROISIEME CHASSE REUSSIE
Stoppant d'une manière sec, les oreilles en avant. Peut-être qu'elle ne pouvait pas avoir le cervidé, mais elle pourrait bien avoir le reptile qui se promène. Suivant son instinct de chasseuse au petite galop, elle avait ralentit ses foulés sans les arrêtés afin de reprendre son souffle. Elle remarqua un nid en premier lieux et trois œufs y étaient aligné parfaitement. Approchant le museau du nid en question caché sous une petite pierre, elle vint renifler l'odeur, puis vint faire la même chose avec le terrain l'entourant. La mère n'était donc pas loin. Un sourire sur les babines, oui, elle c'était promise de ramener au moins une petite chose à manger au groupe, surtout pour la petite nouvelle que la jeune femelle au pelage noir avait ramené de ses propres moyens. Kaos. Une louve grise et blanche, un peu trop faible pour le moment. Reniflant le sol. Regardant de gauche a droite, elle sentit soudain deux crocs se planté férocement dans sa pattes arrières la faisant sursauter. La prise fut lâché rapidement. Un serpent assez gros lui faisait face. Surprise par la taille du monstre, les dents en avant elle sauta sur ce dernier. Plaquant la bête au sol d'une patte sur son flanc, se dernier se débattait et glisser des griffes de la louve qui se mise à la poursuivre dans une course rapide. Il essaye de se cacher dans un trou formé par le sol, mais la femelle ne disait pas son dernier mot et vint creuser a l'aide ses pattes avant et enfonçant le museau dans le terrier pour extirper le serpent de sa cachette. Attrapant le bout de sa queue elle tira violemment en arrière et l'envoya au sol plus loin avant de foncer de nouveau dessus, attrapant sa tête dans sa gueule, tirant de toute ses forces. Secouant de droite à gauche jusqu'à entendre le bruit du craquement de la nuque résonnait dans sa gueule. Voila une bonne chose de faite se dit-elle repartant au trot jusqu'à la fête foraine.
Courant de partout, prenant des virages faisant chavirer la poussière du sol. Continuant sa course au travers de la plaine de cendre. Pourchassant et traquant à l'odorat ce petit animal qui court lui aussi très vite. Les pattes de la louve noir balayant et attaquant sans scrupule le sol. Cherchant à poussé sa proie à l'épuisement. Bondissant d'un large saut vers l'avant pour lui barrer le chemin des arbres. Cet écureuil ne doit surtout pas trouver refuge dans l'écorce. Grognant et aboyant pour l'effrayer, il n'hésite pas à sauter sur le dos de la femelle pour s'enfuir. Donnant un coup d'arrière train vers l'avant, tapant de nouveau ses pattes sur le sol, propulsant son corps vers l'avant d'un bond puissant. Il réussit néanmoins à lui échapper une première fois la faisant gronder de colère.
SECONDE CHASSE REUSSIE
Repartant à la hâte. Ses pas foulent a de nombreuses reprises le sol, les oreilles plaqués sur son crâne, les yeux bien ouvert, la tête au sol reniflant et cherchant sa trace. Les petits animaux sont malins et rapide, alors la femelle doit se montrer encore plus maline et plus rapide qu'eux. Elle doit ce mettre à leur place. Où irait-elle se cacher si un prédateur la poursuivait ? Ses yeux vert vinrent se poser sur une énorme pierre disposer la. Un sourire étira ses babines, bondissant reprenant sa course folle poussant et puisant la force de ses pattes. Le souffle court en endurant, elle saute sur la pierre prenant un appuie sûr, et bondit de nouveau en avant. Elle esquive des branchages écrasé en prenant un virage en épingle puis s'arrête dans un nuage de poussière. Elle bondit de nouveau sur le rondin de bois qu'elle attaque avec acharnement. Prenant dans ses crocs des morceaux de bois, elle tire. Elle secoue la tête énergiquement, grognant. Utilisant toute la force de sa mâchoire. Puis d'un coup d'un seul, le morceau lâche. Le petit mammifère était là caché, mais elle ne lui laisse pas une chance de plus et ses crocs fondent en masse vers la proie qu'elle égorge sans pitié.
TROISIEME CHASSE REUSSIE
La queue de l'animal entre les dents, elle reprend son trottinement joyeux en prévision de rentrer prêt de la tanière. Mais une nouvelle odeur vint se faufiler entre ses narines, un sourire sur les crocs. Cherchant autour d'elle, les oreilles vers l'avant elle reprend son trottinement dans une nouvelle direction. Plus curieuse que jamais. Des petites foulés pour ne pas sa fatiguée de trop, repérant les traces de plumes sur le sol. Les oreilles en avant, la gueule toujours pleine elle vient renifler avec intérêt le plumage en question. Tournant un peu sa tête. Un canard ? Ne se serait-il pas perdu ? Suivant alors l'odeur et les indices laisser par ce dernier. Elle évite de peu les obstacles sur son chemin, esquivant de droite à gauche. Elle grimpe sur une petite hauteur quand l'animal blesser semble avoir de la peine à avancer. Un sourire mauvais étira ses babines et elle se mise à galoper sans pitié, puisant la force de ses muscles restants dans cette course. L'oiseau au bec jaune ne semble pas l'avoir repéré. Prenant appuie sur ses antérieurs elle bondit, se retrouvant à quelques pas de l'oiseau qu'elle vient balayer d'un revers de pattes sur ses pattes palmés. Ne perdant pas une seconde de plus, elle attrape une aile et secoue la tête comme une folle jusqu'à entendre le craquement. Brisant une aile, elle prend des coups de bec dans la tête, grondant. Elle égorge et éventre son futur plat.
QUATRIEME CHASSE ECHEC
La voila qui repart avec deux beaux trophées. Avec cette abondance de proie dans les environs, elle décide de finalement les enterrés et de repartir au trot, se promettant d'y revenir dans peu de temps de peur de se le faire chiper par un autre prédateur. Trottinant sur le terrain, les oreilles redressés vers l'avant la langue pendante. Ses yeux se posent alors sur une forme mouvante. Un chien vagabond. Pourquoi pas ? Cela changerait de ses habitudes. Tapis sur le sol, le vent dans son contre sens, elle rampa au sol avec discrétion. Une fois assez proche, elle bondit vers l'avant courant avec agilité. Sautant sur chaque côté pour évité les morceaux de pierre, d'arbres traînants. Le chien la remarque et détale en courant, entamant une course poursuite. Grognant donnant une accélération dans ses pattes qui désormais chevauche le sol a grande vitesse. Son corps élancé n'est qu'une petite masse noir fulgurante dans le décor. Elle fonce vers sa proie de manière la plus précise. Sautant par-dessus un rondin de bois, elle souffle longuement, sentant sa respiration saccadé la brûlé vivement. Elle ne peut pas continuer ainsi. Frustré elle s'arrête et le regarde fuir avant de faire demi-tour pour reprendre ses dus et partir d'ici.
Courant de partout, prenant des virages faisant chavirer la poussière du sol. Continuant sa course au travers de la plaine de cendre. Pourchassant et traquant à l'odorat ce petit animal qui court lui aussi très vite. Les pattes de la louve noir balayant et attaquant sans scrupule le sol. Cherchant à poussé sa proie à l'épuisement. Bondissant d'un large saut vers l'avant pour lui barrer le chemin des arbres. Cet écureuil ne doit surtout pas trouver refuge dans l'écorce. Grognant et aboyant pour l'effrayer, il n'hésite pas à sauter sur le dos de la femelle pour s'enfuir. Donnant un coup d'arrière train vers l'avant, tapant de nouveau ses pattes sur le sol, propulsant son corps vers l'avant d'un bond puissant. Il réussit néanmoins à lui échapper une première fois la faisant gronder de colère.
SECONDE CHASSE ECHEC
Repartant à la hâte. Ses pas foulent a de nombreuses reprises le sol, les oreilles plaqués sur son crâne, les yeux bien ouvert, la tête au sol reniflant et cherchant sa trace. Les petits animaux sont malins et rapide, alors la femelle doit se montrer encore plus maline et plus rapide qu'eux. Elle doit ce mettre à leur place. Où irait-elle se cacher si un prédateur la poursuivait ? Ses yeux vert vinrent se poser sur une énorme pierre disposer la. Un sourire étira ses babines, bondissant reprenant sa course folle poussant et puisant la force de ses pattes. Le souffle court en endurant, elle saute sur la pierre prenant un appuie sûr, et bondit de nouveau en avant. Elle esquive des branchages écrasé en prenant un virage en épingle puis s'arrête dans un nuage de poussière. Elle bondit de nouveau sur le rondin de bois qu'elle attaque avec acharnement. Prenant dans ses crocs des morceaux de bois, elle tire. Elle secoue la tête énergiquement, grognant. Utilisant toute la force de sa mâchoire. Puis d'un coup d'un seul, le morceau lâche. Le petit mammifère était là caché, mais elle ne lui laisse pas une chance de plus et ses crocs fondent en masse vers la proie qu'elle égorge sans pitié.
TROISIEME CHASSE REUSSIE
La queue de l'animal entre les dents, elle reprend son trottinement joyeux en prévision de rentrer prêt de la tanière. Mais une nouvelle odeur vint se faufiler entre ses narines, un sourire sur les crocs. Cherchant autour d'elle, les oreilles vers l'avant elle reprend son trottinement dans une nouvelle direction. Plus curieuse que jamais. Des petites foulés pour ne pas sa fatiguée de trop, repérant les traces de plumes sur le sol. Les oreilles en avant, la gueule toujours pleine elle vient renifler avec intérêt le plumage en question. Tournant un peu sa tête. Un canard ? Ne se serait-il pas perdu ? Suivant alors l'odeur et les indices laisser par ce dernier. Elle évite de peu les obstacles sur son chemin, esquivant de droite à gauche. Elle grimpe sur une petite hauteur quand l'animal blesser semble avoir de la peine à avancer. Un sourire mauvais étira ses babines et elle se mise à galoper sans pitié, puisant la force de ses muscles restants dans cette course. L'oiseau au bec jaune ne semble pas l'avoir repéré. Prenant appuie sur ses antérieurs elle bondit, se retrouvant à quelques pas de l'oiseau qu'elle vient balayer d'un revers de pattes sur ses pattes palmés. Ne perdant pas une seconde de plus, elle attrape une aile et secoue la tête comme une folle jusqu'à entendre le craquement. Brisant une aile, elle prend des coups de bec dans la tête, grondant. Elle égorge et éventre son futur plat.
QUATRIEME CHASSE REUSSIE
La voila qui repart avec deux beaux trophées. Avec cette abondance de proie dans les environs, elle décide de finalement les enterrés et de repartir au trot, se promettant d'y revenir dans peu de temps de peur de se le faire chiper par un autre prédateur. Trottinant sur le terrain, les oreilles redressés vers l'avant la langue pendante. Ses yeux se posent alors sur une forme mouvante. Un chien vagabond. Pourquoi pas ? Cela changerait de ses habitudes. Tapis sur le sol, le vent dans son contre sens, elle rampa au sol avec discrétion. Une fois assez proche, elle bondit vers l'avant courant avec agilité. Sautant sur chaque côté pour évité les morceaux de pierre, d'arbres traînants. Le chien la remarque et détale en courant, entamant une course poursuite. Grognant donnant une accélération dans ses pattes qui désormais chevauche le sol a grande vitesse. Son corps élancé n'est qu'une petite masse noir fulgurante dans le décor. Elle fonce vers sa proie de manière la plus précise. Sautant par-dessus un rondin de bois, elle souffle longuement, sentant sa respiration saccadé la brûlé vivement. Elle ne peut pas continuer ainsi. Frustré elle s'arrête et le regarde fuir avant de faire demi-tour pour reprendre ses dus et partir d'ici.
Fiche de personnage force: (100/100) agilité: (100/100) endurance: (100/100)
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Messages :
15874
Points :
994
Âge Personnage :
X ans
Rang :
Rang
Niveau Rang :
Niveau
Maladie :
Blessure :
Détails blessures :
Pas de Blessure
Détails maladie :
Pas de Symptôme
Bonus Force :
+0
Bonus Agilité :
+0
Bonus Endurance :
+0
Bonus score de chasse :
Score de chasse : +0
Nombre de lancers quotidien :
Nombre de Chasse : +0
Bonus Santé :
Bonus Santé : 0
Bonus/Malus Autres :
Bonus/Malus Autres (autres dés)
Compétence d'élite :
Mer 25 Mai - 15:29
Le membre 'Abysse' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'Dé de chasse' : 3, 2, 7, 9
Invité
Invité
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Mer 25 Mai - 15:33
Terrain de chasse (25 Mai)
Abysse Δ
Résultat du dès : 3, 2, 7, 9 3+3 : 6 échec 2+3 : 5 échec 7+3 : 10 reussie +1 Taupe 9+3 : 12 reussie +1 Pie Force : 49 | Agilité : 70 | Endurance : 69
PREMIÈRE CHASSE ECHEC
Courant de partout, prenant des virages faisant chavirer la poussière du sol. Continuant sa course au travers de la plaine de cendre. Pourchassant et traquant à l'odorat ce petit animal qui court lui aussi très vite. Les pattes de la louve noir balayant et attaquant sans scrupule le sol. Cherchant à poussé sa proie à l'épuisement. Bondissant d'un large saut vers l'avant pour lui barrer le chemin des arbres. Cet écureuil ne doit surtout pas trouver refuge dans l'écorce. Grognant et aboyant pour l'effrayer, il n'hésite pas à sauter sur le dos de la femelle pour s'enfuir. Donnant un coup d'arrière train vers l'avant, tapant de nouveau ses pattes sur le sol, propulsant son corps vers l'avant d'un bond puissant. Il réussit néanmoins à lui échapper une première fois la faisant gronder de colère.
SECONDE CHASSE ECHEC
Repartant à la hâte. Ses pas foulent a de nombreuses reprises le sol, les oreilles plaqués sur son crâne, les yeux bien ouvert, la tête au sol reniflant et cherchant sa trace. Les petits animaux sont malins et rapide, alors la femelle doit se montrer encore plus maline et plus rapide qu'eux. Elle doit ce mettre à leur place. Où irait-elle se cacher si un prédateur la poursuivait ? Ses yeux vert vinrent se poser sur une énorme pierre disposer la. Un sourire étira ses babines, bondissant reprenant sa course folle poussant et puisant la force de ses pattes. Le souffle court en endurant, elle saute sur la pierre prenant un appuie sûr, et bondit de nouveau en avant. Elle esquive des branchages écrasé en prenant un virage en épingle puis s'arrête dans un nuage de poussière. Elle bondit de nouveau sur le rondin de bois qu'elle attaque avec acharnement. Prenant dans ses crocs des morceaux de bois, elle tire. Elle secoue la tête énergiquement, grognant. Utilisant toute la force de sa mâchoire. Puis d'un coup d'un seul, le morceau lâche. Le petit mammifère était là caché, mais elle ne lui laisse pas une chance de plus et ses crocs fondent en masse vers la proie qu'elle égorge sans pitié.
TROISIEME CHASSE REUSSIE
La queue de l'animal entre les dents, elle reprend son trottinement joyeux en prévision de rentrer prêt de la tanière. Mais une nouvelle odeur vint se faufiler entre ses narines, un sourire sur les crocs. Cherchant autour d'elle, les oreilles vers l'avant elle reprend son trottinement dans une nouvelle direction. Plus curieuse que jamais. Des petites foulés pour ne pas sa fatiguée de trop, repérant les traces de plumes sur le sol. Les oreilles en avant, la gueule toujours pleine elle vient renifler avec intérêt le plumage en question. Tournant un peu sa tête. Un canard ? Ne se serait-il pas perdu ? Suivant alors l'odeur et les indices laisser par ce dernier. Elle évite de peu les obstacles sur son chemin, esquivant de droite à gauche. Elle grimpe sur une petite hauteur quand l'animal blesser semble avoir de la peine à avancer. Un sourire mauvais étira ses babines et elle se mise à galoper sans pitié, puisant la force de ses muscles restants dans cette course. L'oiseau au bec jaune ne semble pas l'avoir repéré. Prenant appuie sur ses antérieurs elle bondit, se retrouvant à quelques pas de l'oiseau qu'elle vient balayer d'un revers de pattes sur ses pattes palmés. Ne perdant pas une seconde de plus, elle attrape une aile et secoue la tête comme une folle jusqu'à entendre le craquement. Brisant une aile, elle prend des coups de bec dans la tête, grondant. Elle égorge et éventre son futur plat.
QUATRIEME CHASSE REUSSIE
La voila qui repart avec deux beaux trophées. Avec cette abondance de proie dans les environs, elle décide de finalement les enterrés et de repartir au trot, se promettant d'y revenir dans peu de temps de peur de se le faire chiper par un autre prédateur. Trottinant sur le terrain, les oreilles redressés vers l'avant la langue pendante. Ses yeux se posent alors sur une forme mouvante. Un chien vagabond. Pourquoi pas ? Cela changerait de ses habitudes. Tapis sur le sol, le vent dans son contre sens, elle rampa au sol avec discrétion. Une fois assez proche, elle bondit vers l'avant courant avec agilité. Sautant sur chaque côté pour évité les morceaux de pierre, d'arbres traînants. Le chien la remarque et détale en courant, entamant une course poursuite. Grognant donnant une accélération dans ses pattes qui désormais chevauche le sol a grande vitesse. Son corps élancé n'est qu'une petite masse noir fulgurante dans le décor. Elle fonce vers sa proie de manière la plus précise. Sautant par-dessus un rondin de bois, elle souffle longuement, sentant sa respiration saccadé la brûlé vivement. Elle ne peut pas continuer ainsi. Frustré elle s'arrête et le regarde fuir avant de faire demi-tour pour reprendre ses dus et partir d'ici.