CHASSER Pour survivre . // chasse continue//

Ven 11 Mar - 10:32

Chasse du 11 mars 2016

J'ai dû changé de territoire de chasse à cause des larmes acides qui tombent du ciel. Le marais va t-il être propice à de nouvelles proies ou vais-je faire face à la famine?

Ven 11 Mar - 10:32

Lancé de dés

Ven 11 Mar - 10:32

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'Dé de chasse' : 7, 6

Ven 11 Mar - 10:33

7 + 2 - 4
6 + 2 - 4

Chasse loupée.

Jauges : 40/31/33

Sam 12 Mar - 10:36

Chasse du 12 mars 2016

Lancé de dés

Sam 12 Mar - 10:36

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'Dé de chasse' : 3, 1

Sam 12 Mar - 10:37

12 Mars 2016

3 + 2 - 4
1 + 2 - 4

Rien ne prolifère ici. La rage me submerge. Je dois trouver une proie.

Dim 13 Mar - 9:33

13 MARS 2016

Lancé de dé

Dim 13 Mar - 9:33

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'Dé de chasse' : 9, 8

Dim 13 Mar - 9:34

13 MARS 2016

9 + 2 - 4
8 + 2 - 4

La chasse devient difficile.
Je perds espoir.

Lun 14 Mar - 12:57

14 MARS 2016

Lancé de dés

Lun 14 Mar - 12:57

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'Dé de chasse' : 5, 12

Lun 14 Mar - 13:25

14 MARS 2016

5 + 2 - 4
12 + 2 - 4

Chasse au renard
Dé de chasse 10

Connaissez-vous la peur de la faim? Cette sensation de famine quand vos intestins vous tirailles de toute part? Je ne serais plus ce loup qui affamé, devient fou. Je chasserai jusqu'à la dernière espèce en voie d'extinction si il le fallait. Je tuerai des membres de ma propre espèce si c'était le seul moyen de survivre. Une machine de guerre que la faim rendait impitoyable. Comment être raisonnable quand au fond de soit un monstre crie de douleur, de faim.
Encore une fois, je me suis rendu dans ces marais qui, jusqu'à aujourd'hui ne m'avaient rien apportés d'autre qu'un espoir sans fondements. Mais la roue allait tourner. Je me tapis au sol. Observant. Mon ouïe fine se concentrant sur le moindre craquement de brindilles. Je n'étais plus rien d'autre qu'un prédateur. Le sang bat dans mes babines, dans mon corps tout entier. Mes yeux s'injectent doucement de sang. Ils sont plus à l'affut que n'importe qui a ce moment, car, devant moi, un renard avance entre les fourets. Je prend une grande inspiration. Gonfle mes poumons d'air emplis de son odeur putride de petit canidé faible. Je vais le tuer.
Mes griffes s'enfoncent dans le sol alors que je sens l'adrénaline de la chasse envahir mes muscles de son acide baiser. Mon corps tout entier est contracté, guidé seulement par mes pulsion de mort. Il est temps. Je m'élance dans une parfaite extension. Rapide, et fluide, je fond sur ma proie crocs dehors. Je vois son regard paniqué quand l'ombre du monstre que je suis est déjà au dessus de lui. Je le renverse de tout mon poids, ecrasant surement une côte ou deux au renard dans la chute, puis je roule un peu plus loin, déjà prêt à ressauter sur ma proie. Le renard montre les crocs a son tour après s'être levé difficilement. Mes poils sont hirsutes sur mon dos, et ceux du renard aussi. Nous grognons ainsi l'un sur l'autre pendant de longues secondes auxquelles je met fin en bondissant de nouveau. Mes muscles sont tellement contractés que j'aurai surement des courbatures plus tard, mais qu'importe, ce qui compte c'est le gout du sang de ce renard.
Alors qui est prêt à m'accueillir de ses crocs, j'écrase ma patte composée de griffes acérées sur son visage, dont je vois la peau se déchirer sous le coup. Ma force est trop importante pour une si petite bête. Le renard git au sol sonner. Je l'attrape dans ma gueule au niveau de sa cage thoracique pour y comprimer l'air. Je le soulève. Si léger. Si faible. Je balance ma gueule d'un coup puissant a gauche en relachant les muscles de mes maxilaires pour que le renard s'écrase encore plus fort contre l'arbre. Meurt!
J'entend ses côtes craquer une nouvelle fois. Cette fois le renard ne se relève pas, mais j'entend sa douleur. Son souffle saccadé. Il est temps. Je plonge le museau dans son cou, attrape celui ci, et le broie d'un coup de crocs puissant. Son souffle s'arrête. Ma proie est morte. Je sens son corps se détendre en même temps que son corps cesse d'envoyer du sang dans ses membres. Seul celui qui coule sur ma gueule ne s'arrête de s'écouler, et je m'en délecte. Fier de cette chasse dont mon côté monstrueux est ressortis.
A plus tard pour la culpabilité.

41/31/35

Mer 16 Mar - 9:33

16 MARS 2016

Lancé de dé

Mer 16 Mar - 9:33

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'Dé de chasse' : 6, 2

Mer 16 Mar - 9:34

16 MARS 2016

6 + 2 - 4
2 + 2 - 4

La chasse devient difficile.
Je perds espoir.

Jeu 17 Mar - 11:51

17 MARS 2016

Lancé de dés

Jeu 17 Mar - 11:51

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'Dé de chasse' : 10, 1

Jeu 17 Mar - 11:54

17 MARS 2016

10 + 2 - 4
1 + 2 - 4

Chasse au chien

Je n'avais pas pour habitude de manger de la viande qui ne me donnait pas envie. C'était pour ainsi dire, un goût de luxe que je me permettais quand je sélectionnais mes proies. Fraîches ou avariées, ou dévorées par les maladies étaient des points essentiels pour moi. Quand on fourre sa truffe dans n'importe quoi, on finit toujours pas le regretter. Même si je n'étais pas difficile, je préférais faire attention. C'est pourquoi j'avais hésité.
J'avais hésité en voyant ce clébard appartenant sûrement à un humain se balader dans les marais à l'affût d'une quelconque nourriture. Il avait sur le dos des poils qui manquaient, et des pattes un peu trop maigre. Bref une apparence miteuse. Il ne me mettait clairement pas l'eau à la bouche. Mais quand il s'agissait d'un chien, ca allait plus loin. Ca allait dans le domaine de la vengeance. Faire perdre aux humains ce dont ils avaient besoin. Les faire se séparer de membres précieux à leur espèce. Alors j'avais pris ma décision. Plus un meurtre qu'un besoin de chair fraîche, j'allais tuer ce chien.

Tapis dans les hautes herbes marécageuses, mes griffes s'enfoncent dans la boue alors que mes muscles s'échauffent doucement, prêt à bondir. Tuer. Ce mot résonne dans mon esprit. Je vais le dévorer vivant, et je laisserai sa dépouille moisir parmi les roseaux et la puanteur fétide de ces lieux.
Il est temps. Le chien est assez proche. Je bondis hors de ma cachette alors qu'il lève la tête dans ma direction, les oreilles en arrières, le poils hérissé. Il montre les crocs mais ne bouge pas. Je m'élance alors dans sa direction et fait fondre ma patte antérieur sur sa mandibule difforme de chien. Celle-ci n'amortit pas bien le choc et la tête du chien vole sur le côté. Je profite du faite que je retombe sur mes quatre pattes pour plonger ma gueule de crocs acérés dans son cou et l'y mort. Je secoue la tête de gauche à droite alors que mes canines transpercent avec force et rage sa peau si fine. Le sang gicle. Le chien jappe. Il arrive cependant à me repousser en tombant en arrière et en m'ejectant de ses postérieurs. J'atterris gauchement sur le sol, mais réussir à garder mon équilibre. J'en suis fier, car avant mon agilité ce limitait à tomber sur le sol plutôt que de ne retenir mes pattes de faillir. Je commence enfin à sentir le résultat de tout mes entraînements.
Je reprend alors possession de mes moyens et montre les crocs, enragé. Le chien se jette sur moi, ivre de folie. Il pense sûrement avoir un espoir face à moi, mais ce n'est que folie. Je suis une machine à tuer, et j'ai décidé de ton sort à l'instant ou je t'ai vu. Je bande mes muscles pour sauter sur ma droite et ainsi esquiver son attaque empreinte de désorientation.

Le chien qui n'est pas guider par son maître semble ne plus savoir par où attaquer, et je profite des ses incertitudes pour charger de mon crâne une nouvelle fois la bête. Comme je l'avais imaginer, le chien est incapable d'amortir ma charge, et je l'envoie valdinguer au sol. Je saute alors dessus crocs sortis pour lacéré son abdomen enfin mis à nu. Mes crocs traversent sa chair, je sens ses muscles explosés sous l'impulsion rageuse de mes crocs. Il essaye de se redresser pour me mordre mais même aveugle d'un oeil, je ne me laisse pas surprendre. Je lache son ventre, et attrape le dessus de sa gueule de mes crocs avant d'imposer une puissante pression dessus. J'entend des craquements, je vois un croc tomber. Le chien hurle alors de douleur, et révulse sa tête en arrière. Je la lâche immédiatement, et le fou s'assomme seul contre le sol. Sa gorge est dégagée. Je m'en accapare la jugulaire pour la percer et la transpercer. Mes crocs appellent la mort et celle ci vient alors frapper l'âme du chien gisant au sol. L'hémorragie de son veine jugulaire l'a laisser se noyer seul dans son sang, agonisant avant de rendre le dernier soupir.

Jauges : 46 / 34 / 45

Ven 18 Mar - 9:32

18 MARS 2016

Lancé de dé